Simples réflexions sur le décret du Saint-office Lamentabili sane exitu et sur l ...

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- 75 nee surrae terrain philosophique par insuffi- sane dii dogmatisme ancien evant la connais-sance actuelle de univers elle est,si surde terrain de histoire religieus pariobstinationdu dogmatisme regent a meconnalire revidencedes satis et la legitimite decla methode critiquo. Ie ne ais si es remurques etaient tres audacteuses, maisci crain qu'elles 'aient te son- dees, et que I Encyclique Pascendi ne leur apporteu surcrolt de justification.

L description dii modernis te croyant dehute par ne assertio qui doli tre eniterementsausse Du Si la Psialitera divin existe en Oi, en dehors du sentiment et der affirmation, te philosophe n'en a cure et 'flait pas attention. Our te eroyant, a contraire, 'est chos indubitabie et certain quo la realite du divi existe en sol et ne depend aucunement de lui, croyant. Comme it a te observe plus haut pa un Seut moderniste n' di que Die sol inconnaissabie, et questa connaissance de Die soli etPangere a la

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philosophie. . LE BOy, qui de tous te moder-nistes, a te hi insiste surcle curactere ratique de formules de sol et suraimpossibilite de les Prendrelour,ne expression directe et suffiganted divin. 'est hien arde de dire quilla avait, comme PhiloSophe aucun Ouci de leur Valeurobjective it a me ne di te contraire et affirmetres etlement que la realite qui correspond auxsormules justi necies exigences qui resultent de celles-ci dans ord re morat Ι ne semble pasd'ailleur qu'on ait en uem L Roy mais naura conclu, bien a tori, de ce que Dieum' est pasori et de science niuersorina gera' histoire, qu'ilnexiste passourde philosophe. Ilis aurait an dolite beaucouina dire surda lavo doni Encyclique interprete e que es modernistes Onticvit de experience religieuse u Dan te sentiment religieux, o doli reconnalire une certaine intuition dii coeur, a laquesse rhomme, an intermediaire, atteintra realitemo me de Dieii, et acquieri ne telle certitude sol de rexisterice de Dieu sol de ractio divine datis rhomni et hors dealhomine, que ceti certitude depasse tout certitude scientisque 3 D'οuΡie X conclut questa vole est OuVerte a ratheisme. I 'intuitio directe de Diei ne sembleraitiouo tantias deVoir De Onduire.

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- 1 et Mais que moderniste a amat Souten que, dans te sentiment religieux, rhomme perqoiVesans intermediaire a realite de Dieu 2 n a parte des condition morales decla certitude enmatiere de Peligion o a dii que la erit reli-gleus etait Iuto sentie et e prouVe par rexperience, que demontree mathematiquement a Pintelligence propos de ces exΡerienceS, O a Puemployercle motχ'intuitio pou caracteriser luperception non de la realite divine mais de la Verit qui la concerne et O a pu arier auSSid sentiment mystique decla presence de Dieii, ude a force mysterieus qui outient homine morat. Rien de tout cola 'est intuition immediate deda realite divine Faudra-biliense main-tenant que amat homme 'a cru, que nulhomine actuellement ne croi en Dieu que Surune demonstratio syllogistique, commem croitaux theorsime de geometri 2 J'osera foutenirque is sol dii ape lui-mδm n est pus siel-lement sonde fur ne argumentatio de ce

De cette doctrine, dii Encyclique, resulte lavsirit de oute les religioris, stine de cla religio des patens . - Cette si religio despinens v serniti compteriour plusleurs. - De la doctrine moderniste o pent deduire seulement

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ro ver 'un catholicisme idea qui erat laut verit et out charite, en dehors duque riennexisteruit ius arce qu'il aurai pris e luitout e qui Davait de boni de rat autour de tui. ais te catholicisme reel ne desie pas toute comparaison; il appartientin Ordve des hos eg

1ible. Le concepi moderniste decla tradition serat laruine de la tradition exΡerience religieus qui S communique Par la predication et moyennant les sormules doctrinales ir, Si tu communicationii sodali as, la tradition languit et 'eteint. Μais ici on ne volt pasile comment te modem

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daugereuses, et qu'il tiennent a laisse eniterement de cote .

Si te modernistes ecartent usqu' a rhypothesed'un confli entre laesol et Ia science cem'est pasprecise meu parce que les domaines de rune et de rautre correspondraient a la distinctio de rineonnaissable et duconnaissable telle querontd'abor enonce les redacteur dest Encyclique, mais parce que obj et decla sol n'estias mattere de scietice experimentale ni δme d' histoire, a proprement parier, maiSi' experience morale. Et cem'est pas en tant que transsiguree et design- es par a sol que certaines donnees de ait appartiennent a celle-ci, ais en tant uellesontisne significatio religieuge. Ainsicla mori de Jesus eston ait historique donicia realite 'asubi aucune transfiguration mai cem'estia entant que mort naturelle qu'elle appaPtient a la

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shi; 'est e tant que mori volontaire et symboIeprincipat de la redemption Illa' avait doncias

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de ce que histoire a conteste Il sagit mainte-nant d'immortalite, en quelque inaniere quondaΡPenne, non de reSurrectionis Sens propre du

Et 'autre part it 'est a molns evident quet ut te ravai de la ense religieuse, en tantqu'muuro de intelligene qui se Paduit par lasarole et dans le temoignage ecritS, Ppartient a rhistoire de respuit humain, et euiotre matiore d'analyse critique a momeriitre que1es manifestation de a pense philosophique. Cette circonstance 'implique en aucune saςoni asservissemen de la sol uda science, mais seu-1ement si mancipation de a science, a regardi'une theologie qui se prendisour de I histoire. 1 est rat, d'ailleurs, que la ense religieuse, tanton pro duit de la aison croyante, ne Peutechappe a controle decla aison mais e con-

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trolei'est pas celes de la science sura objet de Ia

liro j'ai vite te mot de sub ordination. J'ignoreque si mattreo a pii dire que lario devait tre

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l Citatioti rise 'une letire de Grogoiro I. H28), controles modernisses de ori temps, te docteur dea Universite de Paris, qui introduisnient arisio illismo dans in theologie LE

Pape leur di Praesentium vobis auctoritale mandam iis cidistricte praecipimus, quatenus, praedicta vesania penitus abdi-eata, sine fermento mundanae scientiae doceatis theologicam puritatem, non adulterantes verbum Dei philosophorum omentis. qui 'em poch pns e mouvement philosophi que de suture so cours, et in theologie scolastique de se consti

tuera

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les egliges iis a proclamenti autement. Ieregretterici quoniai potnt cite de nomA car iln' a san doute a beau coui de modernis tesqui aient ecrit une histoire de Iesus, et qui solent en sim temps predicatours. Et e suis la momeobseruntio surcia eritique sui ante RuCOntant Phis toire iis ne sont nul cas de conciles et desietes enseignant te catechisme iis te citent

Iis distinguent aussi rex eges theologique et Ρastorale de exeges scienti sique et historique. - cette distinctio est criminelle, esuis le oupabie carcie a soli Vent exprimee, notam ment dans Autour tu petit liore 51 :

tique sur a Bible, it 'tigit de determinerr Origine, te caractere, te sens primitis de Ges