Simples réflexions sur le décret du Saint-office Lamentabili sane exitu et sur l ...

발행: 1908년

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historique de leui institution et de leu emploi. De la vient leur efficacite DC est assaibli beaucoumla porte de ceti comparaison que de ramene resficacito de sacrement a Pentretie decla sol. esset du symbole

gistes catholique les soni valoii depuis longiemps

arbitraire de celui qui te a tablis.

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propos de inspiration biblique les theologiens de Sa aintet ont associe ride de Pimmanenceis e queci'ai erit sua te sivi et . 'at dit studes bibliques 161 166 u a Bible est unliure ancien, n ivre crit par de homines et Ρou des homines, dans de temps et des milieux

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tout eu qui 'occupent de critique biblique,n'admetientias que les livres biblique alent etsi

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hasard la Bible serat uti livre divinciusque dans

redige Par de anges, our usage de a cour celeste 2 Ceriu'on dit sui rorigine de Eglis doli tre emprunt a M. yrreli Letoint de ue est pure in ment philosophique et 'est de ce Oint de vii que Eglis apparat comme nee u es in de

communiquercia sol et 'organiger es croyanis en societe de meme I autorii est necessatve a laconservation de ceti societe. De telles conAiderationsis excluent a te otia de ue historique, doni Encyclique ne dit Pien en et endroit LeΡupe enseigne que autorite ecclesiastique Vient de Die immediatement. ais, historiquement pariant ii est salix que te Christ, a non de Dieu. O agisSant Omine Dieu, ait institue Γ glis enmonarchie absolue Philosophiquenient artant, ridee 'une societe Ouuerne autΟCPatique-ment puro ches unique est celle 'une pure tyrannie incompatibi ave te develoΡΡement normal de nation civilisees, Vule circonStances,rinstauration definitive de ce regi me se Poduit juste a momentis i est devenu impraticabie dans ordire civi et politique on conuolt que certain modernistes aienti pense et dire querat,solutisme ecclesiastique menai de iatholi-

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ωum encore te concepi de autorii doctrinale et dogmatique et une societ religieusem'a

d veritable unite que ira conscience religieuse de se membres est une, et une aussicia formule

qu'iis adoptent. P cette douiae unit requieriun espece d'intelligence universelle, doni ce soli I office de trouverit de determine lariormule qui

reponde te leuca a conscience commune, et

que cette intelligene ait en utre asse δ' autoritepour imposero a communaute la Ormuleone sol fixee. v I va de so qu'une telle notion derautorii est incompatibi ave les differentes manifestations de absolutisme ecclesiastique qui saltiourtant si cem'est paci unique moren de salive ride catholique, et de conserve acla a-ΡRut une aison d'otre 2I 'Encyclique expose longuement a doctrine moderniste su te developpement chre-tie principe gensira est ici que, dans ne religio vivante, it 'est te quine soli Variabie, et qui, at cela monae, ne dolVeVRPier. . . Ogme, Eglige, culte, liVres que

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mεmo de rhomine et decla vie Uevolutio vitale sit te rogres, non a adjOnctipii exterieure denouvelle sormes, mais par sinetration tomourseroissante di sentiment Peligieu dans la conscience C progres se fit de deux munieres labor negati vement, par elimination de tout element tranger, proVenant, Par exemple de Iasamille ou de la nation ensuit positivement, par te persectionuenient intellectuet et mora de rhoinme, qui entioli esset d'elargiri d'eclaireri notion dii divin et 'amine te sentiment reli- eux comparer a citation de ewman ci-dessust. II 6; Encyclique a sans dout emprunte e passage a n disciple anglai du celebre Cardinal). 11 doit attribue te progros decla solau mome cause qui serventin expliquer Son Origine; a quoi i sau ajouter ourtant actio decertain homines extraordinatPeS, ceu que nouS Upelon prophetes, et doni te plus remarquable est te Christ, tam parce qu'ilsin Pirent, dans leur Vie et leur discours, quelque chos de mySterieuxque la sol attribuat ad Divinite, ni parce qu'iis furent favorises δ' expediences nouVelle et originales, en harmoni ave les hesolus Peligieux deleur temps Le progres, dogme est du furtout aux obstacles que la sol ut a Surmonter, auxennemis qu' esse ut v ainore avx udVerSatres

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qu'elle eutiniscarier. Ajouteg- umessori perpetuet ΡOur mieu pensitrer Ies mysteres declarioi. Ainsipou nous e teni a ce seu exemple est-il arriVe, uiroΡO dii Christ, quem quelque chose de divin, questa sol reconnaissat e lui, peu a Peue progressiVement 'elargit, usquin e qu'On levegardat comine Dieu. e lacteu principa de revolutio di culte est la necessite δ' adaptationuux Outumes et traditions opulatres, et aussile besolide metire a proficia valeti que certainsactes Ont tir de accoutumatice. ou ΓΕgliseensin ta cause de evolutio est te hesoin des' adapter aux circonstances historique et auxsormes exiStantes des societes ciViles ... Ourrendre letnemen ta ense des modernistes,disons que evolution resulte dii connit de deuxsorces, dontiune potasse au progres Tautre porte la conservation une Orce conservatrice existedans rEglis : 'est la tradition et la tradition est represente par autorite religieu Se ... v Ontraire, la force qui entralne a progres et quireΡOn aux egoin intimes, Ouve et Pavni Iledans les consciences de individus, surtout de ceu qui soni, comme iis disent, en contactilusetroit avec a vie . Et te ontis suprome de

poindre cette doctrine pernicieus qui eut latre

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qui muuernent te developsement chretien I 'ail eerit, dans Arrio ιr, 'un petitarure 4 si 'est-ili

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culte 2 Larii adition ten uda stabilite, malila vie ΡOuSS au progres. uisque la religion 'Israel, depuis se origines jusqu' rapparition du christianisme, et te christianistite, deput SasOndation,

sociologie litterature, se reclamentis granda cris de te ne suis quelle conscience tuique contre a conscience catholique, ets'arrogent lo roit et a mission de reforme les consciences catholiques s. a conscience laique emble ire te cello quis'interroge elle-mome, qui fuit e qu 'elle eui, et ourquoi ellate eui, 'est-h-dire qui est ne conscience et a conscience catholique, celle qui estis instrument docile ou croire et laire, an autre reflexion, e que decide la hilrarchie, 'est-li dire qui n'estias ne cor Science.

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