Simples réflexions sur le décret du Saint-office Lamentabili sane exitu et sur l ...

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lourdement, en salsant durive decla philosophie de rimmanenoe la method et les conclusion dela eritique biblique.

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- 166elle a son Vet propreelses moyens particultersd investigation commetoute autre science POSitive. Ρeut-oire u impossibilito de concevoi uneautre sorme d'activite intellectvelle que la dedu tion scolastique les illeologiens de Saraainteteoni pristourdes principes decla critique certaines conclusion generale qui se Ondent fur robservation de satis commvns On a diu u voi cequ'ils entendent par agnostieis me historique cem'estias duriout unirincipe a priori doni onuseruit arbitrairement Our eoarte de temOi- mages incontestabies et inanis Les critique se Sont ornes u OnStater que amnis, utant ques'etendaexperience humuine, aucun Phenomemene 'est produit u On uisse discerner neuctio particuliere et ergonuelle de Dieu, solidans te monde, sol dans histoire. Ce que I Encyclique appelle rincipe de transi uration est aussi ui fait generat, qui petit se verisier dans 1es legendes concernant les sondateur de religions, et meme dans celle des ainis It en a d mmepou te retendu rincipe de de uration Iesages et les ommes suus critique deforment Volomairement ou involontairement les tradition qu'iis conservent. Ibes theologiens de SaSaintet Ont regarde la critique a renuers, et iis

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si Christ te divi te qu'il le comprend citri y aqu' constater incompatibilite du quatriἡme Evangite ave les trois premiers le Christ des Synoptique est historique, mais it 'est pasDieu te Christ ob annique est divin mais iln'est pas historique entre deu temoignages inconciliatiles, te critique moderniste choisit leplus ancien te plus autorige te ius Vraisem-blabie, et illa est pas oblige d'emprunter umseulargument a principe de agnosticisme Les

conception virginale ci sunt de constaterquilson et ignores de arcis de Ρaul que ceu de

pou elimine certain traiis des sicit evangeliques on compare Ies disserentes relations etro choisit celle qui irre te plus de garanties intrinseques et extrinseques, comine n serati Ρour 4mΡorte que temoimage prosane Ainsi

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avssi ridicules quon a volitu dire et i est hcraindre que les educteuus dea Encyclique ne se

ter.

I 'Encyclique 'et Onne que On Pegarde toutestes religion comme de manifestations du sentiment religieux Gest insiriu'elles apparaissent a rhistorien, qui ne Deut les classer en deu categories, celle qui auraient et institue direc- tement a Dieii, et celles qui auraiunt oursendateii authentique te diable lintervention divine et intervention diabolique ne resSOP-tant ni une ni auire de temoignages Ormel et indiscutables. Encyclique se scandalisequ'on ne asse pas 'exception ouesta religioneatholique, et qu'onda dige nee dans la consciencedu Christ. Il est pourtant malaise de Vol en quoi ceu demiore assertion eui tre audacteus et blasphematoire stirpent profecto, qui haec audiunt, tantam ad asserendum audaciam, tantum sacrilegium D car ie X ne eulias sans doute M'on placeri potnt de depari dii christianismeailleur qu'en Iesus lui-mome, an S PonSee, dans se sentiment et dans a Volonisi. D'apres I Encyclique les modernis te attribueraten au seu sentimentes creation decla sol, et

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dessin 'un ieu tableau Ia distinctio elatili entre es assertioris de sol et e dogmes se sonde fur histoire annonce u Oyaume celeste, dans a predication de Iesus est une assertion de la sol la definitio de icee, Ouchanicia consubstantialite u ere et u iis, suppos un Pavai de a pense chretienne surtes donnees rimitives concernant te raΡΡor duChristisve Dictu. Ces distinctionsi'on rien a Vol aVec la philosophie de immanenee, et Encyclique, en tes critiquunt, parat Viser princiPalement, Sinon exclusivement les assages d 'Autour tun petit

esidit que recla revelationis our Objetiropre et direct les verites simples contenues dans tes

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considere a comme contenant tu verit absο-Ιue a contraire, 'est arce que V la nature

ment, a regar de absolu, de representations analogues, de images et de symboles. De la Vient que certain modernistes, donicie suis, Mapplique te nom de symboles aux sormules dogmatiques. Cemu'on it ensuit de la necessite Ou tesdogmes δ' sitre assimiles italement appartient aulangage des immanentistes, et romtrouVerait, ecrois queique hos de cela che Μ. Luberthon-niere, qui n'en insere ascia variabilite indefiniedes formules dogmatiques. Et en esset, cette Variabilite ne resulte pas necessatrement de son Oint de ue. 'Encyclique affirme siquivalence decette doctrine a cette nutre : si que a sor-mule primitive rassertio de la sol demande a

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secondatres proprement dogmatiques), a tresait ous a pression dii coeur. Ceci parati

mais celles de resprit, qui deceterit I imperfectiondes formules dogmatiques A propos des dogmes proprement diis, 'at crit L Eoangite et Eoise, uo8 si es symboles et les definitioris

dogmatique sontis rapportove reta generaldes connaissances humaines dans le temps et lemilie Oi iis ni et constitues. I sui de laqu'un changement considerable dans reta dela science eut endre necessatve ne interpretation Ouvelle des uncierine formuleS, qui, conques dans ne uir atmosphere intellec- luelle, ne se trouventitus diveriout cetu'il suu-drait, omne te digentias commerit conviendrait DCet aspectinistorique decla question emblemVoir

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lamitation precedente), o distinguera entre lesens materie de la formule, image exterieurequ'elle presente, et qui est en appor avecclesidees eques dans antiquite, et, signification proprement religieus et chretienne, ride landamentale, qui eut se concilier avec 'autres Vues surda constitutionis monde et lamature de choses. I si a Piso de la sol est ne decette opposition que les eunes intelligences pervolvententre respuit theologique et I esprit scientisique, entro e qui est presente comme Ia verite catholique et e qui se presente de plus en plus momine a verit de la science elle est