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des sein que de perdre la propro fille, ait psi, ait ota se
que Valet. Non, satis dotite, it ne a' est potui vu d eriemplo d'un empori oment si odi euκ, si dἡnaturε, et qui cho quo si indignement totites lea Loin. i Aulli, Μellieurs. vous voyea comine elle fuit, et que son crime l'Apouvante, ou tui nil honte. Elles abien pu jusques ici s'entreten ir de son Roman dans Iesmelles, et parmi les vallis applaudissemens de ses flat.
te urS, Ou de Ies complices; mais maintenant ellct recon.
volt, combien il est ὸifficile de d. fetidie une folle lable uri Ouvrage de ten/hres, . la face de tant de iugos si intelligens, si sages, si hclairis. Ne cherchona poliat d
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fero it ite in holaircir, et de m instruire si ma conscience
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Diora, oh les tenebrem de nos consciences dolvent tiro
C'est potir cela in gine, dii Saint Gregoire Pape. Bolles et folide rem arque, c' est pour cela, quo plus lejugem ut de Dieia est proche, plus la fausse consciencede vient chati celante et timide dans son erreur. Penda Di te coors de la vi , elle pe ut so tautenir en quelque maniere; et plus elle est Diisse, plus elle paro1t ferme et palsi ble. Mais auκ approches de la mori, tota te sa serm etd se demetit, la veritέ reprend l' ascendant ior pile, et c' est l. qu elist commetice . se revell-ler, a μ' examiner. . ta defier d'elle . mome, et . s'agiter. Ain si, par exemple, tandis que uous gles encorct datis une sante florissante, votis iovi II et traia quillementdu hien d autrui et uous te rete ne Z sans scrupule; vous
suspecis; que cetio boniae fot doni on se statio it, semis bie douteule; qu'.on ne trouve plus, cette possession si legitime et si valide, et 'lu' oti prend bien d'autres id hes t ouchant te devotr rigoure uri et ita dispensabie do Ia restitution : pourquoi y parceque te jugement de Dieu qui n'est pas lotti, change tout te Systemo des choles et les mei dans une oviden ce Oh ellos ti'ont jam ais hil. Si c' ὐtoit uti e conscience droite et conforme . la tot do Dieu, elle se solatiotidio it . la vue inline du jugementde Dieii ; Ou ,'il ti'y avolt voint de jugement, quoique faust. et erronἡe, elle seroit tranquille . la Inoit uisimo.
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Juge hquitable qui psila to ut dans la plus juste balance et qui punit prἐci merit, ou qui recompense selon Ieaoeuvres: d'un Juge hclairἐe, qui lit datis te fonda dea
s/me, quand tout Apotre qu'il ἡtoit, it cra ignotid sitre re prouuέ. Exierat Paulus judicium mundi quod aspernabatur, judicium sui quo gloriabatur; sed Testabat iudicium Dei quod reverebatur. Or quoiqu' doti nit . notre 6gard et dia jugement du monde et du '
mea chera Auditeors, et cra ignous toti jours le jugementde Dieu. Et parce que cette crairite est un don des Dictu.
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deuius natures que de craindrei mais it ri est rieti daplus sur- naturet, ni de plus divin- , quo de craindra utilement pour te salui. Ce qui Di it dire au Pr
phete Royal: Confige timore tuo carnes meas; Seigneurpε treκ ma chair de Votre cra inte: de Votre Crain te, O mon Dieu, et non pas de la mi enne: car la miennomo seroit inutile et mome prἡjudici able; elle me tro hieroit Ians me convertir, au lieu que la voire me cono vertira et me sancti fiera en me troublant. Or voila
colle doni j'ai belain, et que je vous demande commoti ne de vos graees les plus exquises. sachant bienqυ 'elle vient de uous et non Pas de moi: Confige tis
Cra ignotis te iugement de Dieu, et craignons te, quelque jusses et datis queique diat de perfection quo
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metit de Dieu.Cra ignotis te jugement de Dieu, mais ne nous contentons pas de te cra in dre : servon1- nous de cerie era inte potir corriger les erreurs de noue esprit, Pour moderer les passions de notre Coeur, Pour resister auxaltaques de la concupiscerice, pour nous d/tacher desva ins plais1rs du si ὀcle, en uti mot pour reformer toute moti e vie fulvant Ia belle maxime de Saint Gregoire da Tagiance: ΗΗec time, et hoc timore eruditus animum a concupiscentiis quasi fraeno quodam retrahe. Quandvotre ccmlbience nous sera des reproches secreis, et que par de pressans remoriis ello nous avertira que nous ne fouimes pas dans l'ordre, et que nous nous damnons; Teutrons En nous msimes, et disons . Dieu: Ahi Sei- eur comment poUTrai-je lauteuir Votre jugement,puisque je ne lauro is momes lautenir celui δe ma ra1son et de ma fo18 Quand nous nous trouvonD eugagegdans uno occasion dangereula, figurons-nous Dieu quinous volt et qui de s a matri va lui - msimo εcrire notre arrgi commo celui de l'impie Balta gar; ce ne sera po intone imagination, mais une veritε. Quand la tentationnous alta quera, et que nouS sentirons notre volo titἡέbratille, armons-nous de cette peniae, et demandonsisnous : que uoudrois - je a voir Dit, Ioraqu'it Dudra comparoitro devant te Tribunal de Dieu8 Quand la passion Oudra nous persuader que ce pectiἡ n' est pas si grandu'on te pense, et qu' il n' est pas probabie que te salut
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que enim est quo fugias a deo irato, nisi ad Deum pla-eatum: vis fugere ab ipso 2 fuge ad ipsum. Or nous te pouvons aishment tandis que Dous si in mes sur laterre. Car ce Dieu tout irrit ἡ qu'il est contres nous,s' appalia par nos larmes, ου' apyalia par Dos brinnes
knfiti craignons te Iugement de Dieu; et cra ignotissur tout de perdre cette cra in te, qui est une telource Poux noua dans nos defordrea et comme uti pori de saluti Car cette cratnte se Peut perdxe; et elle se pol dtous les lours, particuliἡrement dans le grand motide. Les laitis temporeis l'dtoussent, lea convel satiotis ladissipent, les petits pἡchea l'assaiblissent, te libertina e
Ia dsitruit; et Ia perte de cette grace est te commeticeis inent de la reprobation. En esset que Peut-on es perer Sune ame, et de quel mOyen se peut-on servir potiria conversion, quand elle a Perdu la crattite du j rigement de Dieu , et que les plus terribies verit eg da Christianis me ne font plus d'impression sur olle 2 C esten craignant Dieu, mais d'une Crainte Chrsitientio O'on se dispoia . i'aimer; et c' est en i aimant d unamoux essicace et pratique qu'on parvient . la gloireque je uous lauhaite etc.
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conseils : ici, tout se prhiante . la sols ; la multitudo des objeis ne te conlaud pas; is Pinstant te parti est
p Ourquoi cra in dre que la glo ire d' uti si gratid hommespuisse sitre diminu εε par cet aveu 2 CE D'est plus sespromptes se illies qu'it Ravolt si vite, et si agrhaslement
tro tout-h- coup je ne sς i quoi de si net, de si pota, de si vis, de si ardent, de si doux, de si agreabio ponr tes