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saura proster de inus Ies m Omens. Ainsi, au premiet avis que te haZaita lui porta d'un siege important,
molire, te font ses soldais et ses these. Car de ista vientcε parfait concert qui fait agir les armhes comme uaseul corps, ou pour parier avec I' Ecriture, comme unlata homine: Egressus est Israel tanquam vir unus. Pourquoi comine uti seul homme 8 Parce que inos unmsime ches, qui connoit et les solduis et les cheis comme ses bras et ses mains, tout est hgal sinent vis et
publioit de son cotέ qu'il agisso it satis inquisitude parte
qu'il connois it te Prince, et ses ord res toti jo Urs si1rs. C est altisi qu' iis se doti nolent mutuellement ora reposrui tes appliquoit chacuti to ut eniter . lati actiora; amsinit heureulament la bata ille la plus Laetardevia et la
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montrer ensembis to ut ce qu'il petit Dire des hommes Que de campemens, que de belles marches, que dati ardiesse, que de prεcautions, que de pἡriis, que de res-
aux prodiges qui ont fini te cours de salute: l auito comme uti hom me inspirἡ, d sis sa premi h re bata ille,s' hgale auκ mait res les plus consommos. L'un par doviis et continueis e ris, emporte l' admiration du
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piaci x et si agreable ι de voir mon nom aveo tant donoma illustres: de partager aveo uous cette reputatiorique Vous BVEZ toute aquise , et que je n'aurois jania is metit oe ; de profiter de vos lumieres et de vos exemis Ples et d' apprendre de votis totites les graces du dis- Cours, toutes les regles de la politesso. J'aurois rappelle dans votre memoire la naissaneo
vous seula dans vos εcriis POuvien en donner une imia mortelle.
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Quel heureux. changement dans la fortune des Gens de Letues 8 Autrefois iis reverolent de to in lagrandeur et la majesti des Bois, qu' iis ne conticii tentque fur la lay de la renommhe. Apei ne te fori de leurxOix arrivoit -il' jusqu'auκ oreilles de ceum dotii sechanto leut les victoires. Iis entroient quelquefois dans Ie Cabinet de queique Μechne, mnis iis n' approchoienti resque jamais des Palais d' Auguste; lait par uti indi' pris genereum des Vaines grandeurs , sola par Moe juste indignation contre. l' ignorance de leur siecte talis ubvolent dana leurs solitudes enues oppeκ dans leur prinPre Veiis, et s'eloignolent de la Coux des Bois, Osi lecaste P emporisit sue la modestio et Od la fortune ἔtest Presque toujours plus honorsie que la sagesse.
seu propre Palais, de uous faire tro ex dans te nouure rasime toutes lea douccurs de la retra ite, de uoua dommer Un nobi e repoa . Ι Ombro de son Trone, de senire au milieu do ceue Cour superbe et tumultueus' comme une Cour palsibio et modeste oli regne une honnete hmulation, et Oh des ames tranquillea et des- interessias travaillent . s'enrichir des biens de l'esprit et chercheut une glo ire plus pure que celle des amet vulgaires. Que si vo us trouvex tant de gloire dana la grace
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grand des homines. Ces Provinces conquites, ces telord res ba mis, ces Loiκ vetabiles, ces Aris flori Dians, ces Let tres que uous culti veκ avec tant de laceos,
honorhes de ses solus et de Ion estimo, ce courage si actis dans ses expeditions militatres, cette sagene si ἡclairho dans ses conseiis, cette vigilauce si attentive da tis Ia multitude des assa tres, ne sont-ce pas des matthres qui peuvent combier de gloire ceux qui los traitent 8 . Je conno is votro modestie, Μessieurs, et ii me
bles et plus hardies que ces figures, qu'elle a l'adresso de rele Uer les petites cholas, mais qu'elle a te matheurde succomber laus les grandes, et que Pour travailleth la gloire d'un heros, l' orateur te Plus dloquent a'eπ-
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rietin monumens qui conservent la reputation et Ia me.
moire des Princes; mais outre que ce ne socii que deshloges inueta, dea titres uuides ἡt des rhpresentations imparisites, iis ne Peuvent siue qu'en peu de lieux, et me durent que peu de fiocles. Le temps Consume tesmetaux les plus durs, efface Ies caracteres Ies inieux gravea, et xenverse les plus beaux trophέes. I xi'y a que les ouvrages de l'esprit qui puissent donner utie veritable gloire. Bs Hennent de Ia nature et de l'excelletice de leur principe, et soni Presque ausa vita et austi immorteis que J'esprit msime qui tes a pro. duits r iis recoeillent tous les moti vemens du Coeur et da i'aino des Heros: iis en forment de vives mages qui excitent parto ut l'estime et l' emulat;on ; et Passent do memoire ora memoire iusqu'. la derniere posterite, iis leura font commo un triomphe perpetuet Pax inustes climais et dans totas les Rectes.
son coiirage, devolt animer votre Eele.
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ge olent en arblares de la palx et de la guerre, 'et ne
gueit , do fieriέ saris emportemetit, de resentimentians aigreur, de justice sans passiori, de prudelice sans
et j ouissant de se propre tranquillith. On esit dit qu ilne pens ait qu'. se reposer dans ces Palais enchanteZ, oh Ι'art a mis toutes les graces de Ia nature. Cependant ilmsiloit ses lains avec ses divertissemonis et mome en se
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seeoties si plussatis et si invinciales se dissipent aveo eux, et ii ne leur reste que la miserable cons blation d a voirmontrέ, aveo beaucoup de fotblesse, au molns un peude temeriti. Mais j'έleve ma voix insensibi ement, et je iann qu animi par uoue presenee, par te svi et de mon disco urs, par la majestε de ee lictu, j'entreprens de diro Giblement ce que uous avea dija dit, ou que uous dixeκ avec tant de force. C'essi h vous, Messie urs, . faire Ies couronnes du va inquevr : jo ne pias que semerquelques fleurs sur la mute de son trici mpho. C' est .vous . tirer ces traiis hardis qui te representent, et qui luy donnent son air de grandeur; te ne puis quora siler de fotbles couleurs, et seire d'une main tremis blante quel ques copies de ces Parsalis originaux. Mais si je ne suis pas ast ea beureum potir lasiten ir l'honneunque me fati aut ourd'huy cette Ravante compagnie, jomis dire quo je sens en moy quelque cholo qui n' estras indigne d'elle, une Veneratio a profonde pOur toua Ceum qui Ia composent, et uti Zele trhs- ardent pour la