Beispielsammlung zur Theorie und Literatur der Schönen Wissenschaften

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Sautiit.

Ies essoris que uous ferez autourd' hui, ou Μecredi proa rebain, dans la collecte que je Vous annon ce. Voua demanderez sans do ute, comment subsistent dono totisees pauises 8 Car il est trhs vrai qu'iis subsistent, et qua personne ne more de Laim. Comment iis subsistenti Potiveg-vous l'ignorer 2 Iis lauMetit: iis pleurent: ita ghinissent: iis tombent de la Dim dans la mala die. Lesmaiadies augmentent leurs belaitis: leurs belaitis au- mentent leuxs maladies. Iis soni la victime d'une mora' autant plus crvelle, qu' elle est plus lente ; et cetis

morte crie Vengeatice Ru Ciel contre ceux qui leur ont ferme leurs entrailles.

votis demande du patri' Et tous ces couPS, que nous venotis de Dapper . la porte de Vos coeurs, ne servi Tolent- iis qu'. en Dire contiolire la duretε, et qu'άvous rendre Plus condamnabies' . Nous ne cessoris de nous plaindre qrie nos Shrmonssent inutiles, que nos exhortations soni satis fruit, quenotre mini figre ne pro duit ni lumiἡre dans volveesprit, ni sentiment dans vos coeurs, ni Changementdans votre conduite. Vous uous pia ignea . Votre totirivous dites que l'on declame : mons lautenez qu' on eria ghre; et comme te fondement, ou la nulliti de nost

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pas es uous servent de pultans motin . des charitea

Suivea voire propre erieimple. Pensea que ce qui fait la gloire de cet Etat, et de cette Eglite, ee que Jesus- Christ lovera au dernier j ur, ce qui Vous Consoli raau sit de la mori, ce ne sevont potnt ces riches bussera qui brillent dans vos mai sons, ces superbes hquipages

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de tes biens. Les richesses et les hono eura viennent de tot. La vertu et Ja Puis Lance sotit en ta main. Μain-tenant dono, o Dieu, nous te celebrons. Nous lovon

Que des railans si pressantes, que de si nobies motiis se fassent iour . travers Ies coeura les plus endurci ,

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que cha cun se les applique en particulicr. Car.il arrive pour Pordina re datis ces circonstances, que chnciari sere pola sur te public, et ε'imaginant que sa charit 6 part cultore ne fera rien fur la lamine totale, it se dispense de domor par cette Taison. Noli, mes Adres, il ti ra pei sonne ici qui ne fuste nombre, il n'y a pol sorine qui no dolve se considerer commo te public, si j'ose a insidire, et columenalant En quelque sorte toute lyasi emblge. Il ai'y a purio une qui ne dolve considerer sa contribution comme decidant de l'abon danee ou do la discite de

emulation au milieu de uous. Que te Grand donne des revenus de ses emplois ; que l' homine de guerrct dotiue de ses gages ; que te Marchand donne du fruit de soncommerce; que Ι'Λrtisan donne dia travati de ses mattis; que te Pasteur consacre de ce que tui Procurent ses mi. ditations et ses situdes; que te jeune homme donne deses plaisirs'; que la semine monis aliae doniae de ses orneis mens ; que la psicheresse donne la boδte d 'o igne metit 'hnui eloti destin sie , des usapes profanes; que l'habitant de ces Provinces donne de son patrimoine; que te Re. fugiἡ donne, qu'il ramasse te debris de soti , ais aufra casia, et qu'il en ullume uia seu POur omir des sacri. flees . ce Dicu qui l'a sauvέ du naufrage. Nos Frisos, te ne Rai queis molavemenis de joyeme pὰnsitrent et me transportent. Ie ne stat qDeis

Mais, Mes Frὁres, nous ne lammes pas en Core contens d8 vous. Quand uous surpasserieg notre attente; quand votis donneri ea tous Vos biens; quand voras notiis ciea plus de pauvres au milieu do uous, Cela sees ne Raurola suitae. Nous uous demandons non nuleis

ment

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vergie tot Meire te silerii mit dem e emosthenes, und den ersierninit beni Cicero; oder tenen init dem Corne ille, die sen init beni citie. 2m Manten aber nido te et molit allen Adiuel red nerii

to ut

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in grais, injustes, dissiciles, impulsians du motos, et

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de nos peines, de nos sati gues, de nos assujetti mens, de nos sacrifices. que ceun qui soni osseris . sa gloiro . et non pas h la notre; et nos jours ne soni plein s h Iesyeu' que torsqu'iis soni Pleios pour l 'siternitε. Toutea Iesapti'ns qui n'ont poM Obj et que te monde, quor ἐciat qui vient de la terre, qu'une fortune phrissable, quel ques lovanges qu'elles nous attirent de la part deshommes, . quelque degrε de grandeur, de reputati is, qu'elles Doris hi/vent ici bas, ne sotat rien de-vant tui, ou ne soni que des amus emeris pueriles indignes de la majesti de res regavds. Ainsi, mes Frhres, que les iugemens de Dieu sonedi retis de ceux du mondet on appelle une belle via

datis te monde uti e vie dclatante oti l'on compte degrandes actions, des victoires remporiἡes, des negociations dissiciles conciues, des entreprises condui es avecfucchs, des emplois illustres so utenus aVec rhputation, des dignitόs hminentes acquises par des services imporisinus, et enerches avec gloire; une vi e qui passe dans

Ies histoires, qui rem plit les monumens publica, et doni te fouvenir se conservora jus tu'. la derniere pos-ttritἐ: voilh uno belle vio Dion te monde. Mais ndaris tout cela on a plus Chexchε sa gloire propre quela glo ire de Diea; si l'on ii'a eu en vue que de se batiron ψdifice phrissable de grandeur sur la terre, en valu

feront I admiration des si hcles . venir; elles ne seront Potnt hcrites stir les colonia es immortelles du Templo chleste: et in scriptura domus Israhi non scribentur D: Eri vain nous j Ouerons un grand role fur la laene de totis 1 es Rἡcles ; notis serotis dans Jes fiεcles iterneis commoceian qui n'ont jam ais ἡth: en Vain nos titres et nos dignitἡs, se conteruerorat fur te marbre et fur te cuivre ;comme ce sera te dolgi des holumes qui tes aura ocrites, elles phriront avec eux; et ce que te dolgi de Dieu toue ferit aura hcrit, durera aulant que lui-msime: en vatu

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a Cor. 7. 29.

Daque si ea u.