Œuvres de J. Delille

발행: 1824년

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분류: 미분류

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tion, et latrande divisiora lesiis se en ossi e plusi fur de

eo genre Dans es invii oris de Paris, et dans ne grande parito de s Europe onoro uve les Vers tui sunt in bon- lance au moi de septembre ora te volt par centaines semotivoir 'un hi in 'herberari aratre, omine de petit astros rayonnant qui clatrent de leur lumihi e vive et ver- dat recies objet volsin S. Le nona savant de cet animal estiam Fre; 'est la semelle d'uno ospi cydon te male est alle, que les enimmologistes apportent aux moti hes Cantharidos. Le malo D 'ostias Phosphorique illa toti a plus queiquespoitit solbici non lumineu surci Venti C.

Cotto diffii once otii re te filo tra femelle a Dit penserauX amni eur de causes inales, que a lumibro de la semelle est Un symptome et uri signat 'amour que te male

accour ii et te lucur mais de Observations plus certaines succi dant hises conjectures, on ait ata jourd 'hui que te verlui Sant a se in tamorphosesit se troisilais, comine lever

ausSi vivement que datis son dernier tat, e seu ou il ait acquis te dέveloppemon don it a b scitia poli concolari li

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52 NOTES

Italie, qu'on nomine luci Ole Ellos formoni datis Ibi uni rhscioli spectacle de seu mobiles qui 'olsivent, 'abaissent,

se cro isent emtous sens elles 'attachon auxitiisson dont

quos houres. Si on ait moliri est 'in se te datis de I 'eau tipite,

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uelle es la natur dia seu 3 Estri uno substancera li: ia i

De homines cel res dans es sciencos rogardoni, , Cle vulga ire, te seu commeo tant ian Orps dian Opsico particuliare, et tui attribuent te proprio tos Convora ubi CS POMPopore totis es esset qui accompagnent a chalcur matrid 'autres avariis, donici 'ari traii lyn Ostias m in im Prasante ne volent dans la Chaleur que de molavomenis intestitis Pla substance sim de Corps qui ' i hau erit ou se rei, ob dissent Potir seu te fou 'ost 'lu' uti resultat ora action docertaine forces an cesse agi antes dans I univcrs Ain l.

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De la ces variations de volume si frύquentes et Si faciles a pereevoir aris nos thermonabire torsque a tempέratu rechange si elle augmente, a colonne dii mei curem'alonge;

dela vient qu'un vase plein 'uti liquid fro id, ne contient plus co liquid lors au'ones'. chalis . e Dii est dono neptiisSance donicies se et luttent ori sens contraire de 'attraction qui agit ou rount r. L'univer est plein de motive monis il est de hine rempli 'actions ou de forcos qui es proditissent Les acti On Se

cent en sens Opposos selon mille directions et totiuOur enoboissano descio is immu abies. De to ut celaci ri sulte desaccord dans es mouvemenis, des rapporis de distances, de Positions de Vitesse erit restes corps, qui sontri'siqui libre ut 'or ire dest' univers. Le svsthme des olivemenis C sileSteS Sti plus beata monument de et admirabie quilibreri et lecalcul de passages parcios inis Successis et momenta DCSd'ύquilibre est uti des plus beata trophsies du sinie. It 'est a donni aux homines 'ombrasse dans ne seule Viae totis los motivemenis de 'univers, ni de salsi lacause physique gonorale et unique dest'. quilibre universet,s'il est vi a Ptoute is qu'il ex iste ne cause de eo genre LeShornes de noti e intelligeno nous astre ignent ii marcherpas a pas, li iudier solsinient clinque objet et lecto is qui lersigissent; mais de temps en temps oti est condultra desa perqusIsinorauae qui rattachen desilis nonabnes petit en apparen ce, a ce 'lu'il in de plus sublime dans la nature Dei genre est lo principe de 'opposition rem arquύ entrei'attractiori et te scii, seu reus omen exprim par te odieapi h uno description ussi compi Ad que brillante des phύ- Domi ne qui proh en ii vortisi dii principe.

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La glace se refroidit ave les aut res Orps stan volum

diminue, 'est-h-diro que les Oisiciales solidos doni ine est formύe, oumi se his ne sipulsion inoindro, parceque intempora ture 'est abaissi e prenuunt dii motive moti dansle sens dera' attraction, qui illa a changi ci force ellos oboissent lici'ascendant que prendri attracti in sur Ia cha-leur, doni Ponea si a diminusi L'. qtii libre est continuellenient rompti en avehar decla ibi ce attracti e par in retroitu

decla chale iacio rapvrochementote moloctiles . que uminis si lotia dari scies iners noldes is locia glace siciate O sei Ompi ave Di bruit os frayant, sol que os parites solidos tropiresssies se glissent ens in se fines surdes aut res, Soli que de petite masses d 'at enserui es dans fallace et trop comprimi es finissent par olivi ir leur prison tale re Loisque se fro id s'adoucit, la chaleur reprCriunt a solatratra 'ascendant, a force ri pulsive carte locoli ent de la

tace, et te volume de celi ci augmento mais it si despoliat de tempora ture iacia si pulsiori par suspendite. Qua nil la glace commencei fondre, ellem. se dilate plus;

qui constituent ei sit a d inuisibi e te retorii licia solidii si

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56 NOTES

ne petit avo i lieuriu'aprbs son opari: 'est, ne fore qui doli se perdre to ut enti bre vant que 'actiora attractive pro luis aucun es et de moti vement fur es thment de

lante les a croissemetit de chaleur se manifestent de nou-Vea par te augmentations dii volume de 'eau et 'silsivationde la tempora ture des Orps volsitas mai la tempora tures arro te en ore auso in t deri'obullition. Quel que sol le seu dontini viro Dein vase ou l'ea bout elle Deri'ύcbatisse plus Pelle prendine nou velle forme mei'est plus doci'Hau c'est ian corps donicie volume est immense et telo id si resque rien invisibi eo cause de On toti Nante X Pan Sion. Dans et hiat, ori ne recontioit pas 'eau et oricia nisi On-n Oitroit long-temps, si e contac des cori' froid ne uirendo it a premi pre forme, en enlevant te principe de son

La chaleur qui s' out a colle de 'eau bovillante Desert don plus h leverri templi ratiare elle est employsi ,

convertii te liquid ei vapeurs, et hue mainteni r Ous cetie forme. L'acci Oissemen dia volume est te seu effet de sonaccumulation Elle devient, comme dans la conversi Ora dela gin re eri aia, uti hisi mentisicessa ire licia nouvelle formedi corpS. Aia sui plus, a vapcur ne sol formite elle est Su Sceptibi de re ovo i et de monti e des acci Oissementa daechalciar licia maniore os solides et de liquides. De Observations semblabies petiverit Otre aites sur J'-tros Orps et dotinent liet ii des applications Utiles potarnmis On ei di duit e principe g in irat, que les Solidos ense Ondant, e liquid es D se vapori sani absorbent de laChaleur. 'rari aratre Oisi te roid artificio Do ossa ire ii la

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pi paration des glaces quest 'On Sert sui nos abies, At ne application dei principe ihi esset, On mole cle lalla ibi sio et luset lamniei de ces detix solides 'Ophre, trita nepetit se Dire qu'auod 'pens dea chalcur de obicis vcti in M. Leiroid est d'autant plus considii rabie questa sontemst plus

d'un miroi qui se distingue par a proprii te de renuoyer

tinue, si it sphsirique, sol parabolique I faut . Our doniae de iurat se in blance ii 'irivontion de ce grandiomine unia Succos qu'On tui attribuo, coci cevoir son miro ii Grin id 'uti grandiombre de petit introii flans et mobiles, qu 'oripuisse incliner a volonto potar diriss r o rayon sola tres VCPS rari moriae Oint. 'est insi que iri or a proiive sopossibiluit ori do iuvii sed 'Archim. de De nos iovis, Rufi ci 'a rendue probabic on inflammani di tu, dei

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58 NOTES

cenis pas de distance, et a celle de cent cinquante, plus leurs substances motalliques.

L'anni eo 746 sera c. lbbre datis l'histoire des progrbs dei'esprit liui H iti. Jusque-lacie fluide lectrique innocent et fothlo 'avmi fait ei quelque sorte que ouer avec te hom-nies. L'ex phrience de Leyde te moti traluissant et cap ablede Dapper ave violen e Biento aprbs, des commoti Ons plus sinergique bi cithrent, fondirent, Oxidhrent les mota ux,

de la foudre. Ille falloit, pota se conva incre dest' identit6 decla cause des uias et des aut res, qu'enleveriae seu des orages et te comparer dans te cabi ne dii physicien his elui de lysi lectri cito. Franklin, doni levioni inventi avolt multipliocles expύ-riences de celen re, et mis dans uti beau ouestes s et dela bouteille de Leydo enseigna alassicies moyens de sicider

En vivant la rotate tracsi par Franklin, M. Dali bardί levati h de Marty-la-Ville, dans uncii ei docouVert, ne verse de se ronde d uia potico de di ambire, longue de qua-rant pie is emisi ei potiate par son extrύmith supi rietare; ila'assujettit dans la position verticale ave des cordon de

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servi qu tot si an dans os druimus, Sur qui e potivolsogale metit compter pota rintelligende ei poti l intrepidiω.u Le mei credi O moi 7 λ. iitre uelix in trois enim api sis naidi, Cois aer eniendi uia coiis de tonnerre asseZsort ii vole ii a mai hin . pr ente te sit clam lia a laverge, en volt Orti une sic liri Olle et ente nil ei til-lement. It tire ne seconde otiosella plus sorte questa pre- mihi e et aveo plus de ruit. I appelle se volsitas, clivole chei cher e cursi, qui a coliri ave Pr cipitatiou, et ire hson toti de sortes, incelsos ii Le bruit de coitu audaci se bello Qxpi rion e ne tarda PIS i voler Par torale 'Eraropo Dos ver es electri lues furentdresssius en illo nitroit ro uo illi la mali ores do la udre par te montes kroc idos que collo lori' lectricitύ orita Dracontra an les montes vases; los esset dest' uno nia entatissi locos et de lauire otii in 'ex p rience ne laissa plus de do ut surci cur identit Τ.

Le conducteur, empi eiu ile cc siicer i Ouraut . Aia sindre ei amnisi suis passini ces torretits Scauda in de to iis te poliat aurioin rei ad issanie fclate et resplendi tria stamine pluraliis ante.

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60 XOTES

traction et de rύpulsion qui a distinguent. Quot quoliis

mome elle manifeste sa prhsene paries tinc elles bruyaD-tes, par des algrettes lumineuses, par de Violentes comm O

Cestrillant phsinombnes avolent ait croire hJ'existen ed 'un fluido particulier que a Nature employoit poti les

lion de sol plus que 'caurici ea de mei coni Ois mi elixque 'cau distillite; et est cati satui si de sel sep cent cingi

les solutiori salines, dolat Ia faculi si conductrice semblo due proportiora elle acla quantito de Mariu et hos contionia Orit Lecharbon et les mi taux soni des conducieiii K l,llio et i 'osprit-de-viri soni des conducti urs fias imparsalus uir, li

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