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s'. gare saris ussor ire, et revient aras erreurs.
Los anciens inient bieneso in de solapsonne que les conti liris fiassent des astres places comm les planὐtes solas Iadsipendatice dii soleil orici cur refusoli a permanence, Ontes soli mettoi h l'empire de la terre son atmosphhre totile lieu de leur origine, et leur existen Ce fugitive, prosa-geant tot our de matheur et de dύSordi es, tot u su-j et de terre u et d'alarines populnires. It tot tusiservsi au plus grand de philosophos, Newton, do di truire es prriti Isis erigendrsis Parri' ignorance, CCrέ-ditos parci' habitude, et de marque la siritable place queles comotes occupent anses' univers. Elles se me uvent, non commode planotes, dans de cer-cles resque parsaltss ais an de ovales rhs aptaties. Plaesi rhsirps 'une des exti simitiis de tota te ce ovales le soleti dirige en mome temps les combies et les planὐtes dansleu marches il est uno so urce commune, Ou Ous les astrespuissent lacium thre et a force qui te animent. Les cometes et les plansites Voyagent ave la monae rogularito, et te retour decla comὐte de I759 a sitsi pr6v et an- non cesave la si me cerii tude que elui de Planotes. I est visibi que les comhtes, sicrivant de ovales rhsalongsies, dolvent se troiive tanto a ne immense distanc dii solo it tanto au Oisinasse de cet astre. OrS-qu'elles oti trbs silo igni es dii Soleti, elles resolvent peii de luna ibre, elles se me uvent ave beaticovi de lenteur; unfroid excessi se fati senti fur leti sui face. Lorsque la distance qui os si pare u solei diminue leuriciat augmente, et lors tu'elles sontarbs p rhs de cet astre la chalear qu'olleS prora veni ovioni brutante, au Oini de dessocher ent thro-
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men leur furface totis te liquid es prennent la forme ga-Zeu Se la apeu que es globes exhalent reqoit ne direction contraire a celle dia seu qui laria it nait re, et produita in si l apparetice de ceti queue des conisi teS, oujOur Oppossie a Soleti, qui, aprhs auoi inspir tros long -temps des alarmes, Π'excite aujourd'hu ni curiositsi ni surpri se . I par ut en 68o ne com hi qui 'appi Ocha tellementdu soleti, qu'elle pro uvam ne chaleur mille Dis plus grandeque celle 'uri fer ouge Les apeur qui S'. levhrent de sasui face, et qui furent chas Shes audo in dans ut sens oppos6 au soleti, tu prsithrent ne queue qui embarrasso it te ciet ille viro bingt-c in i million de lieues Matheu aux habitant de la terre, si, dans a course autour u soleti, elloesi sitsi eri vel oppsi pares matthreartilante qui formo it laqueue de ei te fameus Couisite.
Les objet ne soni visibies que par laesumihi emia 'iis rέηύ-chissent. Ceux quid aissenti e lui dein libre passage, sontinvisibios, ou truus arent s. Los verres de nos senotres, lor qu'iis sontra 'une pate bien gale, et qu' iis soni fratchementueti sis, nous en donnent a certitude ori est tent deci Oire que les verres son enlevi S, tant lacium thres le traverse avoc facilitύ l'oeil ne 'apercoit de leur existen e que tria nil deVenus Plus ternes, iis arretini ne parti dii
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docia saetiti si de sissilebis out factum thre pari cur premisit esuri ace.
Les corps te plus transparenis, et que te cristat, I ea iovi'esprit-d vin tros limpides diminuent de transparcnco, on augmentant d'opaisseur Ensin notis finitiori pax avola, en ple in Our, ne uit prosondo dati nos uiscitis, endo ranant ata vitres une P ais seu Con Sid si rabie. Ain si laclum ibi e parvient a poni trer plus ou molns dans totis es cor ps, at non PIS O ut On tibi e Le plus trans- paronis seu rejetieni par a vi flexion ne petite partio sis leui iri mihi e Couche, et Continuont en sui te l'sitoindro do
laesumihi e qui nou vient blanche dii soluit, n'ostia simple. Uri de se rayons 'est quoci' assemblage 'uno in sinit Sile a 3 on de uini re simple, Cupabies, hac uno part d'exciter dans l'inil iam uarice de couleur qui tui est Propi Q. S iis rappetit Otre organe, ri uti is notis OSOn te blano; si leurissiparation est nito, et que te rotisse eul, Par XCmple, entre dans lisit, oti te auiae, Ou e veri, on Oit exotasse oti te auiae, iacie Vert. Ain si uri cor ps qui ri si Schira lacium ibi e dii solei tollo tulit I auro reque, satis si parer te olsimonis color is, sero blati C. Puisque lacium toro qui e sera voti introna dans .ilsans y oti e d compossie Mais don notis ii a sui face do co
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se niti in sui face extύrie ure des corps Levi uide, dans l'im-Puissance de continuer a rotii sui vant la uomedi rection, se rei ve en formant, aucesta sui face dia corpS, Un angle quid spe id , quant a sonis uvertiare, de latrandeur deri an glesolas teque lacinnithre est arrivsi a Cette surtace. 'est paria rύflexion queri' ora voti l 'image bl ouissante dii solei suri sui face 'tino eau tranquille, tors tu'On est laesi conve-Dab lenient sui te rivage, Oumu'on renuo te ait O in ne imago de lumibre aveo uia miro ii qu'Onolent expos auxra Vora dia soleil. Les idonii rorasses 'uno sensiti e clatronion Ougestes Obj et qui is avolsinent, en itas chissant sui Eux . Iumihi e P0uge , aris ebeia admirabie, OV De verrions te solet o Ios corps qui ei teni laclum iere de leur propre soniis, que comme de boupies allum Ses O les hosphoe
semieni invisibies Parcia vi flexion, Ies corps sanctum thre
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encore an tota te les sigion deci'cspace: 'est parcia lu- milies r. flochi e Sures lune, que et astre nous ciuire etillab elice dii soluit. Si oti res arderi image dii solet fur hine glace post e terre, en imaginant uno ligne roite qui ira ducllimas ausolo it et une aut re de 'image ii 'inii, oramur uno de justo et facile it con evoir de la si flexion cha uiae de cos Oux lignes paroitra sensibi ement tomber surcia glacerave viae inclinaison gale si on inestare en osset, ces inclinatSOns, Oncles troia vera gales, de sorte que si te solei tot plia olous, it nudi Oit aus si quo l'ωil dolevat potirriu'il put citrl'image du sole illati momo Oint de la glace; et cela parceque larium ibi e dii solet qui arrivera a ce potni,quom bant solis Un plus grand angle se reisivera arassi sotis tin plus grani angio Ensii cos an se de et te ei de relevite d'unrayon de lumiore scant i oujours gati X. Unecio aussi simplo suffit our expliquor totis os esset de lum thre amensis parta vi flexion es et Presque miracul eux poni ceu qui I 'enon pasci habitudo, et 'lu'on voti, par exemple I'imagesimple 'un obie derribi e uiae glace, a ri psititio multiplii e de cetii et par plus leur glaces; les fanto meS, Si Sem-blabies au objeis deis, orsque a tramio PQ fit relli Chie parian miroi concavo. En sin e fulcia conno issa iace de cottoloi qui fit concevotri Archimὐde et metire ii ex cution te proj et de sativo Syracuse, en incendiant les toties omnines avec te seu dii solo il.
Descartes ait dii pendi est phonomon decla transparcncede' sit uation respective des ores qui ssiparent les molύ-cule des corps. Si cessores ut une disposition rectiligne,
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corps soni transparenis iis sontispaques, dans i hypothhse
Cette explicatio ne potavolt satisfaire Newton. I interrogea a nature, et acha de 'ille ver a a cause qui fait naiti O la transpare noe . ne seu ille de apter devient plus transparente par Son immersion dans uri liquid e . 'eati devient opaque Ors tu'elle est baittae par a Propre Chute, Ου Par uia utre Oyen vel conque Dii verre pilii oti di poli peril la trans paretice et i 'ai se . poti ille de cet te proprii s , lovsque l'eauri' ilove Solis forme de vapeur dans 'a mos Phhre. C'est fur es expύrienees, nussi simples que faciles a verisior, que Newton fonda l'explication des phsinomones declatrans parence et de l'opacit si lis opendent visibi ement durappori qui existe entre la densit des moli cules 'uri corpso celle dii milieti, remplissantes'espace qui les sύpare Plusce rappor approch de Iigalitii, plus la transpare nee o visent grande elle sero it pars alte datis uti corps sinu si depores, qui ouiro it de 'homogoni itύ; puisque, en traversant
si Suivati leur densi id par desinuntes divers, lita corses qu'int aversi, repasse datis tos ii s
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lumihi e senti e par rael que polite livoriure an uia leuotiscur ora volt Sa truce par rari Suito de gratias do potissi hi ei clatriis quest 'ora fasse ab otii trie sileti a sui nco 'uti, usu plein d'eati,in Divra pare illo metit sit race datis te liquide; la rout sera n ligno droile dans l'eati commo dans 'air, mai ne sera pascia continuation hi rayon dans 'air lera Son se sera abaisssi par uno inflexio Dracia sui face do 'eaia, i se sera rapi'r hi de a signe tonabant ii tombisu perpendiculai rement sui ''eau , 5 l'cndroit oti te rayon passe dei'air dans l'oau i 'angle quo fati te ravon de lumihi e vecceti perpendicula ire, est dono Pliis petit aprbs a Grac-rion, quo colui tali falsoit avo Ollo avarit ori Dir C. Cesero it te contrairo si laclum thre passo is de ' an an irair; otii ni ratem n la rosi actiori si 'autant plus considicta-ble , que te cor ps si si a Ctant est plias dense. of t os la ouroo 'uti grandisombre 'illusiotas, tesianos rhs si siquo rates te aratro filias raros Cha trio is que
d uti baton dioit, longi e dans I aut notis paroti relevoc, tandis que collo qui si lior de I'cau conseris ii position
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le baton nous paro it rissi. Un Oisson nous avolt datist 'ean plus p rh de la sui face qu'il nocl'est en e et L sole ilet Ou les astres Ous paroissent de meme plus levsis. Par ne do ubi e sifraction ave les verres de lunettes, o donne a a lumi ero qui vient 'un olla et une disposition tolle que et ollae est reprύsent par On image, commetri te volt dans a chambremo ire, dans es lunettes, dans la fantasmagorie solivent les vapeur de la terre, Iesnuasses, produisent de illosioris dei genre, qui font, oirdes Obj et terrestres dans leti eici soliventinussi leue ii de larύflexion se insile ii colui de la rofraction dans la productionde cesti illant m Gisiores.
Deuous es si et traiisis par Newton, ili'en est potnt otice philosophe ait Di voir aulant de sagacitέ, oh il ait ἔ-ploysi des aisonia ement plus Suivis, uue logique Plus stire, ou i sol parvenit, par de expi riences plus silicates, a des rosultat plus brillanis, que dans se recti erches surcia lu- mihi se Avarit tui ori corinois sol laeso de laui flexion et celledecia vi fraction oti avolt ex sic uter des miroir brulanis, rappi Ocher et grossi les objut par lausifraction de la lu- mihi eiu traver de lentilles. Cependant a luna ibre tot teneor inconnue; 'origine des Oul urs tot ignorde onne dolato itias qu'elles De fiassent occasioni es par quotque jeu de cem uidea mais personiae De Ora pConia Oitriu'uri ab onde Iuni re fui compos; filia grandis Ombre de ab Oras sim Ples, capi les, hac uia a Pari de Oniae uiae couleur quilui ut propre. Une si grande di convorte toti si rude auplus gruod des siona tres ei des physiciens Tout te mori de commit les esset dii pristiae uo cristat, lors qu'on rogardo quesque objsit a traver uia de se angi es. Unvolt et objot dύplacii par o r fraction in te apporte plus bas qu' in 'est sicilem rit lorsque 'angle travors parta lu-
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mlhre qui a dea'ol et Di 'inii, a Son omines enias ei noti vertur totai nomen haut uii aut rellisino mone cndore plus pi quatit, 'est questus bord de l'ol et os freti pluueurs is leur mage lune leue, I' aut re rotisso, etc. Newton ne vi dans e phsinoinpiae qu' uti esset de la refraction il jugea quo laesumiore lanche tot uia composside plus leui s sortes de lumihi es que la rosi action, plus forte Potir es unes, moin forte potir 'aratres, os 6paroit oriabaissant avantage les plus ros rangibles Det portanti, nemo in dre distanc cleri objut a lumiore qui 'i tot mollis, il out que chaque tum ibi e Simple avoltis a Couleur. Newton lis rari grandis Ombre d'exp. Pictices delicates et ini; inicuses pota confirmer cette i. c. I sussiret ile apporter ici Ia premiore, qui est resinent sondamentale it fit
due triis obscure, uti fido de lumiore erici 'obligeant ii traverse I'ansle 'un pris me pia se convenablement ph de lyciuvoriure Ceilet changea de diro cito ra cause des de uxi fractions qu'il subit, 'uno h I'enti A paut re ei fortant dii pris me. e silet de lum thre, an scia r. fracimo, auro itfait voles inuetque distance uti image de lum ibi pilariche. ronde, et 'un iam sit re di pendant de la dista tace: ay an l
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sans incertitude Il mesura lausi action de hac uiae 'elles. Cotto division de laesumiore simple ori sep es poces ait i
sui face des Orps, 'eXer antra de petites distances, avaritie Coniaci, et se combinant aveo in uissance attractivo de