Œuvres de J. Delille

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couvertes, olles soni re t es ' nombro de fictions oti reusos qui servent ii explique de satis certatus, uti dos matthres dout te sui et sicli ppe a rexamen de Presque ious

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momedors tu' i est vii de la France, et 'olsive resque licia haut eur uiole Les ares, dria lumine ux, paroissent 'en- flammer; les plus obscurs 'siclaircissent, ensin te uages ouuro ii ora sori dos et de feta des gerbos, de Colonnes, des Outres de flammos qui 'illati eni vers le λύ nith et detous coisis; les ri gions da cie septentriona soni nondsies de seu de diverses couleurs, nune, O HIIO-SINgi Int, Ou fecit re, bleu, Violet: a terre semble mena siei'uia vaste incendie Les habitant de la Zone glaciale sont en viro unos de flammes qui embra sent te cie dans resque toti te Sesparties Mais accoutumosi e Pecta Cle effrayant potardespouples dii midi, te Lupons, es robialand ais, es ami-chadules 'en soni potntimus Les rosintanda is, qui fontioue aueboules le ames heureuses dans leui si hamps oly-SέeS, Croient que es grandes Schnes de a nature sontra es

assigne Ordina trement L monae auro re Vant i uno

de la terro, en ligne verit ale. au mo in de inquante-Septi leues trois quaris, i probablement beata coia P Plus, Mi S- qu 'il estime que es sortes de plisinonisines sont Ordinati sementis latro CPn O ti Dis perils liene d bl vation. 'aurore doni notas parton semble apparieni ara Oleseptentriona dia globo mais se polo dii midi a nussi os

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9 Lovg-tem pol 'cri cur te crut, dans es apros climat, Le res et des cla oris, des uel ges, des rimas.

Ce 'est pascia premi ire sol qu on a voti tu reliquer, avant rexamen, des choses qu'oia ueniendoli pas Ceriainsesprit se reposent difficilemens dans e dolite, certa ins

esse uident licia in sinoire, on se discute, on multipli te fieXpύrie iaces, et lor montemne de non voanx ait ei di cou-vrent la falasset , elles Orit bien servi I scio' .L'opinion qui attribbocles auro res horoales h lacium throdii solet ri fidelite a les glaces, les Dei ges la a PCUT COI denso dans les rύgion polaires, est tombi e d est mome, potar a in si dire saris potivo i solitoni se plus i. ger examen. Le aurores ori ales sero ierit, dans es hypothhses, uns imple cropuscule prolongo Ditiis es heures de leur existen re te Cara Ctor . la sol me de masses de lum ibi eriti 'elles lura CC Ut ne Peuventis a cordor avec e qu'on ait decla du-rbe et de la cause dia crύpuscule Les montagnes de piace, de ne ille les rimas, orati a vortii des auses lia Cial de insititores luminora tres singuli orsa mais es eu de lalum iero. Ou ros chie ora sicompos Se Sorit otinus iis dif-sdrent enti trement deci 'a tiro re bor ale, et ne petiverat a Vol rhi monte origine.

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de certainos exhalai sons terrestres, grassos, sulfure HS 's ira flammabies ori lumineia ses, supposOientis Ac gratuit ens

ivmbrassant, 'arceque os limite dopassoni a distanco dela torro ait soleti l semit difficile de iratior tiri si ea 'une

Maii an de donuerra in sysii me dona ii si impossint de 'rouver videminent se principi . his de caraciares do

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' De esprit sulfuroux exhales de la terre, Qui prύsageolenta moni lii discorde et in guerre.

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revient ii monae, 'inexporten e de homines, our H ἶ- mentor en ore ceti Dibi esse de leur imagination. Los aurores borύales soni tros rare menti perques dans tespa V uia poli siridiona HX, Comme a France. Ora ne cut voti que colles doni es flammes 'ύlan erit aucio in dansles rὐgions dii ciet, et brillent comme des oratres, de colorinos, dos avet Ois embras s et olivont ii 'si oulo de an- noes en grandis Ombre Ontre Quod Cos auro ros imposantes Lair sidente est utilii e tors tu' il en paro itinera utre. Mais in tradition, 'histoire et les compilations de to uigon re, iennent regiStre des ovonem erit remar tu los qui se orat passsis dans es temps Ois in deci'appariticin; h lors une compte, ne aurore hi quelque aut rethhnom sine extraordina ire et fi apparit, ne soni plus que des ignes dela colore colesto, te pri curseur illa ventu res Sinistres, dontilia inari fai l 'application 'aprbs es oves de soli imagina

Aia sui plus, 'aspe t une de cos grandes aurores ne laisse pas 'otre offravant poli dos homines qui ne coni issent pas te phon om sine Los descriptio sinu seu ori laisssies des

i essenti P.

. On volt, it Plino, do iram lio A. Os iam Pos ardentes, dos Ianoes , Os outros enflammi es an tota te iovi QOD IN 'ur On Di oncoro et ien 'est 'un plus terribi pro sage, mi incendie qui senibi tomber surria terr On plui e

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V Alias que totis te corps de main de leur aut eur, Chaque a Tota iiii lim dolis de Pe Suni cur.

portunces propres h eri fairo con noli recla cisse, dirigea urifile de lumiore sui te trancti ni in coiit auaros stilo. Il

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. 8 NOTES

i oment dans lauo actioni son orati se an los corps trans- parent s. Si ora Suppos que ei te actiori 'exerce directem Diath la sursace la rosi action surcia premiore sui face se troiive

expliqui e Ave la momo hypothbse,in expliquo aussi lari action et mo me labi flexion surcia seconde sua se . Si on demando ceriu'il dans es explications de cor-tain, de prouu invincit lenient par de fatis invariatiles,

et qui 'aient qu'un Seras, nou ropondi Ons: Ce soni dos consi quences 'une hypothhse ingonicus et rillanto,d'autant plus urat Semblabies, qu'elle Paroissent tre ne dimendance decla gravitation des corps, si universelle metit reconnuo, que totitie qui est matthre paro I l'exerceri tui obsit en sim tem PS.

Los circonstances h lacium ibi e se montre sans chaleur, soli bion plus nombreuses 'lu'On ne te pense vulgat rement. La tune en foui nitin remi OP Oxemple rom arquatile elle

t illo qui renit a luna ibi e mille ou lux illo sol plus

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s d intremeni qu'il opsi re dans te corps paroissent hi reles vitri tables causes deri'inflammation.

ὴ Tel te phosphore clate en flammes Petillii utes.

Le hosphore est ne substanc combustibi h de tresso ibies temp. ratures. Si se thermonabiro est nu-dessotis de

di rabio, e lacon se remptit de lum ibi e l'ea in momeen est sinsiti oe; mais satis chaleur, et laclumiore ost visibieseulement datis la Duit. on a plus 'une seis effray des personnes transshres aux connoissances de la chimie, cici'aide dii phosphore. En

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50 NOTES

esset, si 'on trace des caracthres de figures, des phras essenti bres sui uno sitos semia sur u papier iis demetirent invisibies dans le our, et se sont Oi ave uno lum threbleuatre tors tu'on es place dans lecti iasib res Les marchesd 'uti laborato ire ou ron auroit et les rosidiis 'uti flaconauparavant rempli de phOSphore, e tro uvent te sol parse- uisios de politis lumineu qu'on 'aper evolt pas dans letour Ceilii nona hiae Se renou velle Pendanti temps 'autant plus long que la temporature desilair est plus froide: nousu'avons u dure plus de quinge our en hi ver. In con noli es briquet de phosphoroe iis soni fatisci'une potite bougie portant a sola extri mites in more ea de phosphoro, le out onferna dans uia petit iube de Verre, et garant dii conta et dori'air Dour avo ii de laesum thre ave cebriquet, On casse l' X tri miti di iube te hosphore subit dans cette fracture uti roissomon asse fortiour''hchau se ait polia de prendro eu et la flamine se communique

Lorsque te hosphore brute avo chaleur, 'est une siris ablo combustion indocomposeri'air, Se combine ave J'unde es lsimonis, chasse, solis la forme de chaleur et de lumiore te seu qui en est 'aut re lύment, et doniae naissanceii, ne substance acide appeto Phosphorique. On regat de ussi omine ne combustion lente, a lu- mihi e que te phosphoreusipand sans chalcur; mai cette explication, tres admissi ble orsque lethbno inhiae se nil voirdans l'air, ne laisse pas do soliffri des difficultύ lorsque lata lumihi e bi illo dans te scin 'une masse 'eau et Gonύra

Et eis, de leur amouus dontiant i doux signat. De versa iacis iniis sons suspendent leur anal.