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Et d unon rabies corim se combiliciis en uri Et lauare potios rans Ioui Minoi nil res corpu'cules,
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Donne si Mars sori tonuerre, si Coros sa faucille, claire nos lambris, dans nos foyers petille; Chango te fer rebelle enitastique acier, En Verre transparent formem limon grosSier, Durcit a tange vile en pierres procleuSe Redoui ablesloisons, liquerar dolici euses, Parqui out os formo tout respiremum eurit.
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Qui ait ceriu'il ajoute et avit a chaque Otre, Et scit ne laisse pas, haraVer SCS aPCui S, Un rosidii factice en des vases trompeiarsySache donc distingueries diVers phon Omhnes, De quel tre it donoue ou esset re es Chaines, Lo corps qui ui rosiste et ceuX qucit asservit, C qu il laisse ou reprendoce qu'il donne ou ravit Telle duimur humatiam ne attentive lude, ait de a passion distinguor 'habitude, I 'instinct de la aison, lamature de 'ari, Le caprice ii 'un voeu te proj et illiin hasard,
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Dans e temple des aris, asile ou a Sciences ait an pro dii Gonie asseolr 'Exportetico,
Ei dans o cercle Dialior se pandiri seu plus oux.
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HANT . ΗΝoudain a scone Change, et rother, o mei veillo De Leycle vient rempti l a massique bouteille Fondue mota ductile, et ses cspriis brutants Se sipandent dans 'air en stois tincolanis. L'acior a toti che-t-il te coiiplari, te seu brillo Je redoubles reclair fori, octate et psit illo Tanto au bout d'uifer Voltigenti nos Felix, Et des globes de flamine et des langues de felix. Ici os spectateurs forment de longues Chaines Sotadain de maius en imaius et de veri in veines Dii Ruid illidi si es torrent orat a illi, Et dans totis cur ram Caux es verssint ires ailli. Ain i lorsqu' uti beau trait nous sal sit at thoatre, Tout-h-coul datis es ratis; de a foule idolis tre,
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Donne hises yeux de Votrues riches phononisines. La nature te doli es plus hi illantes schnes Dans es cieux, dans es mers, dans es plus urs motaiax, Aux sanos de 'animal au sein des VhghtauX, Pantout vii ton esprit et circule ta flamme
Qui condulsent ni main et suident me CrnyonS.
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Ain i quand de nos Ours de Caverne prosondes La France cui pulse es en trailles focondes,Pour portor te tropa si Conticus es valucim, J'ai vii Mars profanor lusia Pan de Bacchus,
Dii Salpotres usueux son sol si di pota illo Et a mort ovorante avide ii fairoie. Victit cher horda ruine ora nous pulsions ab Oie. De ces graius sol royanu , par combien de secret AI 'art a multipli siclos torribies oti eis Tantot dans uia cylindro iii 'homine 'amoncelle. Il somnicillo, illationii in rapido tincello Elle enire cle seu part de Salphi Peinflammo, Dans te tubo brutant chasse ratis Comprimo. Solidain''holair aillit, et e toti uerre gronde
Au momo instant, vomi de s prison profonde, Le globe destructour vole, sis fle et fend 'air. L'horribi catapulto, et intrari Clian dii fer Ν'ontaien de comparabie si celou ve3M tonneri e De bata illon intior bonchentiu loincla terre; Des rem paris solis es colaps es obri sint oulo
Les mur soni a battus, et les tolli sint CPD ut Q.
De oudit om brassi, tanto tu 'as freti ei Ombe, En long sillon de seu pari, 'sit sive et Petombe, Se rotile, se sephir avse uia long fraCas, De son globe de sor dispersedes Cla s.
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Et parmi des torrent de fumo et de felix, BOChers, armes soldais, ni volo Vers es Clelix. Mais tandis que dii Dube chante aluissance, Ι 'hivor, de la chalcur nous ait sentir 'absence Quel Dicu nous a rendi a C'est ce seu biens aiteur. Notre hole, notremini, notre ConSolat ur, Lo seu fils d soluit, et saltus pure CSSen Ce, Qui remplaceria flamme et charme son abSenCC Et, bion solivent utile et rarement Cruel, POur focondor a terre est descendu dia Ciel. li est lanae dos aris, 'agon declamature Par tui, quan id 'aquilon nous solismo a froidure, CeS Chones cosmi meaiax, donides seu illasses vertis Bahalchisso iunt 'oto, sic hau sciatio hi v r
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Ah l dos biens ulli prodigue u nos ii aut hospices,
Commeni a pumia mus oublici de dolicos Laissons dono, i est tempS, Ces esset mervcille ux. Et 'oclairile trique, et ses rapide seu X,
Et a sorse brutant ou te mota bouillo une,
Et te volcan qui fronde, et a foud re qui tonne Et dian accent molnsfer dun ton plus familior,
Chantons duio in dii seu l'asile hospitalior. La varisito plait ininsi''aigle intropide Qui vers 'astre dii oui a pris son Vol rapide, Bedescend de 'Olympe, et des pompus dii ciet
Revient se dolassor dans e nid paternet. Les Ser desilai,ir est a solii ce foconde Il fixo douch nunt notre hum cur Vagabonde. Aia retour utrintemps, de nos totis chalypsis,
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Pros dii seu deuxipoux bravant te tole-hetote, De eur antique hymen se appellent a fote
Et odit conjugalion d grace auio in dia Du.
La vient se renouor a dolice causerie Chacu incla contant recommenCe a Vie L'un redit ses combais uri allii e Son Procos, Cet aiatre se amours M'autres plus indiscreti,