Les Métamorphoses d'Ovide : traduction nouvelle avec le texte Latin, suivie d'une analyse de l'explication des fables, de notes géographiques, historiques, et critiques

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Ies binusi de cetto contr6e 6tolent fori estimsis. Les Thessaliens passolent potar hire ad Oniasis . la magi e et aux enchantem ents ; et les posites disent que la Thessalio sitoit ab Oti dante en plantes Vsin sine USOS.

core beauco up plus d 'silendue . la description des plantes, des serpents, des in se Ctes, et des monstres que la magicienno nil venir en uti instant de toutes les parties de Punivers. Le P. Brum Οy critique ave C raison Cet si talaged'ύrudition sur la scene , qui n'admei potnt les dύ talis histori ques et gsiographiques, si et qu'On doli passer, si dit-il, plus aisgmont . Ovido, qui sic rivolt de dessetnsi fornisi uti olivrage doni te but 6 tolt d 'instruire ot dou pla ire par des descriptions exactes et dύtaillsies. DSoneque re prsi sente Μύdsie qui exprime te sang et te Venin des serpents ; cette pein ture est horribie etdύgolitante. Brumoy appelle toti te cette description dutragique latin une dimonsation de Pharmacie, unc ρο- froFabio qui ure. si Μύdsie , ajo ute-t-il, hiarte plutot si cet te longue tirade de vers ampo ulsis, qu 'elle ne Iesu rsicite. C'ost la Sibylle do Ρharsale, et pis encore, s'ilsi est pOSSible. o Le grand Corne ille a trop imitsi Ssi neque dans sa tra-

Rousseau a sitsi plus heureux, en d GCrivant un sa Crisice magi quo dans sa cantate de Circ6. on petit VOiraussi dans le V ' chant de la Henriade, te sacrifice quetos Solgo soni aux die ux in serna ux ; et dans Horace

l. I, sal. 8) la description si plaisante d'uu sacrifice mugique fuit par Canidie.

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i 9 Sophocle, Virgile , Macrobe, et Caelius Rhodi

ginus, repr6sentent i 'airain Comme plus propre que leser . coupor los herbes magi ques, . faire reparoltro lal uno siclipsύo, et . metire en fui te les Spe C tres qui appa roissent pendant la nuit.

de mortet, et en sirent uti Triton. It tint parmi los di vinitos marines le momo rang que Ρanopsie, Ino, Pro lsie, et Μέli certo. Ovide et Philostrate te repr6sententaveo lane longue barbe, des solarciis sipais, les bras long s, les cliove V X si otianis su D ses larges ύpatales, lapoitri ne couverte d' herbes marines, et te corps termin sion queue de ΡΟisson. Euripide et Ρausanias prsi tendent que Glaucus pr6disoit Ι'avonir, ot 'lu'il o toti l 'interprete dia vi euX Νύrcle. Aristote, Apollonius, et Diodore, racontent que Glaucus a Prota te navi re Argo, et prύdit auX compagnon S

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de Iason qu 'Hercule et Ios deux tyndarides, Castor et Pollux, serotent mis uti j our au rang des die UX. Pausanias dit qu'On vor Oit encore de son temps, prsis dela villo d'Anthedon , te saut de Glaucus. si Plusi eurS Sere persuadent, dit-il, qu 'il prodit Onc Oro 1'avonir; et

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1st6 NOTES ET EXPLICATION

te nil rement Almo.

cirque uia temple qui tui fiat vo usi par M. Livius, et bati par C. Licinius. on vOyoit oncore sa statue dans letemple de Minerve. Lorsqu'on balit lo Capitolo, lo die uTerme et la d si esso Ius entas refuserent de c6dor leur place; ce qui sui regari si par les Romaius Comme untion augure pOur la villo si ter elle. 23 vnvΕ1NE. Pline parte de l'usage de cette Plante, dans les sacrifices magi ques l. XXV, c. 9 . on t 'emPl Dyoit potar balayer los aut eis de Iupiter. Los druides

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DES FABI ES DII LIVRE VII. 117

24 Les brebis notres cloient consac rhes h Ηύcate et aiax dioiax inferna DX. On los sigorgeoit pendant lanuit, en tenant leur tote incliti sie dans une fosse qui

Ηis ego saepsi lupum fieri et se condere sylvis Moerin , saepsi animas imis excire sepulcris Atque satas alio vidi traducere messeS.

on petat consulter sur oe qu'ont dii des lycanti opes,

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Neptuno et de Tyro, sille de Salmon sie. Sa mere, qui

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Lesbo S.

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3 THYONnus, sis de Bacchus et d'Ariane, ayant volsi uti binus dans la Phrygie, et se Voyant poursui vi par Ises bergers, implora te seco urs de fori pere, qui chango a te boeus en cers, et donna au Voleur 1' apparen ced 'un chasseu P. Thyoneus fiat pere de Thoas, roi do Lesbos, et grand-pere d'Hypsipyle. Ιl sui roi de l' isto do Chio S.

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Pisto do Rhodos. Los Telchines ou Telchiniens, qui I'habitolent, passolent, selon Diodore. potir siis delaeser, et i tolent regari sis Comine les inventeurs de plu- si eurs aris utiles. Iis Ont les premi ers, dit C et aut eur,dress si des statues aux dieiax, et i 'On en Volt en Coroquelques unes qui portent leur nom. Telles si tolent collos do Iunon et . 'Apollon dans l'isto do Rhodos, et celle de Minervo, . Teumesso, on Βύotie, oh s'ύtoit satis dolato 6 tablie uno colonio de Telchiniens. Strabon protonil qu 'iis sitoient origina iros de Crete, qu 'iis sal solent partie des Curetes, Ou Corybantes, Ou Dactyles, et qu'iis furent roga Ddsis comme des magi Ciens et dessenChante Urs, parcequ'iis travailiolent te fer et i 'airain, et qu'iis culti volent des aris jus su 'at Ors in Connus. M ais Cette opinion a clio combattue par Freret, qui fait les Telchines ant6rieurs aux Dactyles id siens.

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13q NOTES ET EXPLICATION

d Onne cent enfanis. Les Groos do signolent uno fommossiconde par ce proverbo : Elle a aut ant ii en fanis queCombe. Quel quos autours attribuent . cet te femmel inuontion des armures d 'atrain.