Les Métamorphoses d'Ovide : traduction nouvelle avec le texte Latin, suivie d'une analyse de l'explication des fables, de notes géographiques, historiques, et critiques

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per ii de nouvelles pers sicutions : si Le sort a nil voir, si dit Pausanias, dans la person ne de ce grand homine, si et long-tempS au paravant en Celle δ' Homere, com-υ bion il est injusto en vors les talenis et tu vertia D. On

en phoque ou veau marin, par Apollon. Cette satile est

obscure et Peu Connia C.

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gomme prompte . s'en flammer, et qui la sit p6rir, ain si que Crsion, qui s'eu sitoit approclisi, dans des

Glaucus, et la conjecture de ce savant se trouVe as-

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et de Polypomon en Oiseaux soni encore des fatiles obscures et ignorsies. Ovide parte do Ρolypsimon dans la satire in tituloe, in Ibin . Antonius Liberalis rapporteque Ρύriphas fiat uia des premiers 1 Ois de Ι'Attique, et que son regne prccsida celui de C6crops, qui cepen

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I. XXVII, C. 2. 54 Neptune, irritsi contre Minos, avolt fait sortirdu sein des ea ux uia taureata monstrue uX qui Vomissolides flammes. Co taureati ra Vageoit i a Crete. Hercule leterrassa, et te condulsit . Euris thoe , qui, cra ignant lavengcance de Neptune, te remit En liberto. Cet animal furioux se jeta dans I 'Attiquo, oh il raxageoit les enui-rons de Marathon, lorsque Thossie te combattit, Iedonita, et te condulsit is Athones, oh il en sit uti sacrifico . Apollon delphien, selon Plutarque, et a Minerve, selon Ρausani RS. Marathon 6toit uia bourg de l'Attique, qui devin te silebre par la victoire momorabie que los Athoniens remporterent fur les Ρerses, ta 3' antice de la II' olympiade, c'est-h-dire, 49o ans avant i 'ere Chi sitienti Q. Leshistoriens racontent quo J'armoe des Porses stoit forte de cin I cent mille homines, et quo Miltiade ne tui opposa que dix mille Grecs. Marathon, qui rappelle de si grani S SouVenirs , n' est plus qu'un petit amas de chalamieres, habitges par quel ques Albanais. La plaine de Marathon, cam i Marathonii, a dou κρ milles detour, et s'ύteiad jus tu'. la mer; elle est divissie paruue Petite ri Viere qui conserve enc Ore te nom de Marathon.

rinthe.

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sille Proserpine. On nomine aujourd 'hui Ce bourg ou. Cette ville Se time.

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parcoqu'il vo noli dia coto de ces ro chers l. II, c. 47).M. Bodiliger croit que Scyron est te insime que Sinnis, Procus te, et Cercyon, et qu'on tui donna divers sur- nonis qui incliquoienties diffsirenis genres de cro aut sis qu'exorsoit ce Briganii, Damastes, qui domte; Pith γο-cam tos, qui courbe des pins; Procrustes, qui cliendavec violenco; etc. Euripide avolt compossi uno tragύ- die qui est perdue, et qui aVoit potar titre S Fron. 6o) Cette maximo d'ovide rappollo collo-ci: Nihil enim est ab Omni Parte beatum. Apollonius dit aussi, dans lo IV livro do ses Argonautiques Tota j Ours quel si que chos e d 'amer coule de la sontaine dii bonheur. n

ios consilis do l'Attique. Los Atti siniens, potar SauVeri 'honnour do leur roi, sironi coorir Ie bruit qu'Andro-gde avolt sit si tusi par te tauroau de Marathon. Apollodore et quelques historiens uouliarent accrsiditer cette impostiare; mais Diodoro et Ρlutarque accusent AEgύe. Selon quelques aute ars, Androg6e fiat lusi par les athletes it 'Athenes, qui volaturent Verager 1'asfrontqu'iis Pec evolent de ses victoires. D'autres attribuent

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uno iste de Ce nom, et que C 'est de cette derniere que parto 1'autour des Μύtamorphose S.