Les Métamorphoses d'Ovide : traduction nouvelle avec le texte Latin, suivie d'une analyse de l'explication des fables, de notes géographiques, historiques, et critiques

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61 BYBLis et CAUNos, en sanis jumeaux de Μilet et de la nymphe Cyane, selon ovide, ou Eidothce, selond'aut res. Aristocrito do Milet set Apollonius do Bhodos attribuent ii Caunus Ia passion incestiaeus o qu'Ovideot Antonius Liberalis soni concovoir h Byblis. Parthonius, Conon, IIygin, s'accordent . dire, aveo Aristocrite ot Apollonius de Rhodes, que B3blis se pendit paria Cein ture, et ovide adopte cetio tradition dans son Art d 'aimor, Arsit, et est laqueo fortiter ulta nefas. Antonius Liberalis prsiten d que Byblis monta surun rochor . 'oh elle allo it se prsicipitor lorsqn 'olle sutchangsie en Hamadryade. 62 ops ou Opis , la mome que Ia Rhca des Grecs,htoit sillo d'Uranus ou lo Ciel, et de Thya ou la Terre; mmo de Saturno, et mere de Iupiter. Les posites Iadsisignent solas les nonis de Tellus, de Thya, de Cybele, de Ccrsis, de Ρroserpine, et in hine par ceux de Iunonet do Minorvo ; iis l'appellent alassi Bonne-D SSE, mer des Dioux, Grando Moro. Le mot ops, d 'Oh d si rivo Celut d 'vus, solon Varron, citέ par St. Augustin de civit. Dei, t. VII, c. 24 , signifie tra Mail; et Ia terre actsi sans dolite ain si fur nomm si e parcequ'elle ne devient fertile que par te travail. Lactant. , de Fatiaret . l. I, c. 13 et ii De ce mhmo mot d si rive cellai To u Dirce, car larichesso vient de la terre et du travail Festus, de wer

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siectes; it y parte de celle qu'on volt h la bibliothoque

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Qua , nisi tu dederis, caritura est ipsa, Salutem, Mittit Amazonio Cressa Puella viro.

Ont brolsi quelquefois de felix illsigitimes. 67 C' est aliasi que Cic6ron sic rivolt . Brutus: Pormagni inter St, quo tibi hinc terr Oro mistola reddita sit; utrum cum Sollicitudinis aliquid haberes an cum ab omni molestia et iacui S ESSES. Itaque ei ProeCCPiquem ad te misi, ut tem 'us obsoroaret epistolin tibi reddendin l. XI, 6 p. 16 . C'sest eo mometit favorabieque Virgile appelle commoda tem Ora, et molles adituS. 68 ovide, selon la remarque de Banter, a 6critcette table avoc tout l'art d'uti homine qui connoissoit parsaltesmont les fothisesses dii coeur humain. Μhis ilontro dans des dύtatis trop dolicats pour des oretiles

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dans Ia Carie. Iis furent condulis au siege de Troie, par Alths, qui 1 signoti h Poduse, fur les boriis dii Sat- Dion Strab., t. VIII; 'Om. , Iliad. , t. XXI, M. 85). oti lit dans Pausanias l. III, c. I que les premiers habitanis de la Laconie porterent quelque temps lenoni de Leleges, qu'iis avolent resu de Lύlea leur pre

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cherchout les ruinos de cotte ville dans l'iste de Cania die, les uns . Ginosa, les aut res h Castel-Pcdiada. 76) Lic Dus ou LYcDus ou LUGDus. Ovide et Antonius Liberalis parois ent hire les seu is qui aient pari si de cepersonia age fabuleux. Antonius Liberalis te nomino

77) TELzaeuus v. Antonius Liberalis tui donne lunoni de Galathύe. 78 Isis, une des plus grandes divinitύs do 1'antiquo Egypte. Diodore de Sicile la dit filio do Saturno ot de

Blisia. Les Grecs, et ovide aprsis elix, Consondirent mal-h-propos aveo Isis, Io sille d 'Inachus, qui dui Vivre plusleurs siecies api hs. Ρlutarque a Dit ian longtrait 6 su D Isis set Osiris. Delix inscriptio HS rapportsi QS, la premi e re par cet aute ur, la seconde par Diodoro do Sicile, serviront . Dire connoitre ce que les Egyptiens Ρensolent do coit e divinit6 :Ι. α Je suis to ut ce qui a sitsi, ce qui est, et co qui

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tie sopori eure de la figuro 'un chat . face humat ne, placo E entro la toto ii 'Isis et celle de Nephtys.

t' honoroit alassi solis lus noms d 'Apis et de S si rapis. ΗErodote, Diodore de Sicile, et Plutarque soni CeuX

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de totas los aut curs anciens qui sont enlrsis dans plus

do illitatis fur cotto divinit6; mais il est dissicile, potarne pas dire impossibie, de Ies concilier entre eux. Ilrosulto cependant de leurs Psiciis qu'Osiris stat uti dos promters rois d 'Egypte, qu'il civilisa ses su j eis, leurdonia a des lois, et leur ens eigna l'art de cultiver latserre. Il sui aussi grand conquύrant. Avant de porter Ses armes et ses lois chen des peuples cloignsis, it laissala rogetice a sa somnae Isis, et tui donna potar ministre Herni sis ou Mercure, te plus sage et te plus sidete deSeS amis, et pour gύnsirat des troia pes Hercule, te plus coura gelix et te plus sori de totis les homines. Il em mena aveo lui uia de ses Deres nominio Apollon, et de ux de sos sis, Macsidon et Anubis. Il si toti accompagnsi de Pan , des Satyros, et do neu f silles instruites dans totas les aris de la musique, et conduites par

Apollon. Il halit dans Ios Indos la ville do Nisa, ou ilplanta te lierre, qui fui appelsi depuis Plante ci Osiris,

ris, tui tendit des embliches, te pol gnarda, et partagoa

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DES FABI ES DII LIVRE IX. 399

Isis, a id sie de son siis Horiis, potars vivit te barbare

Typhon, tui livi a bata ille, Io sit pfrir, ain si que les

principaux rebelles qui a volent embrass6 son parti; elle recti ercha ensui te les membres sipars d 'Osiris, qu 'elle retro uva , et doni elle confia la gar de . des col

Suivant Ρline et Elien, ii falloit que ce boeus esit oncor e

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85 Quel ques commentat eurs ont cru, ain Si que Micylle, que par ce serpent ii falloit en tendi e te cro-