Auli Persii Flacci satyrae = Les satires de Perse

발행: 1765년

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tes Aceius & Pacuvius avolent mis en tragέidie. Quintilien

parte de tous Ies deuX en ces fermes. Accius V Pacuvius, tragoediae foriptores viri ιν ni iisdem temporibus, sententiarum gravitate pondere verborum. Ceterum nitor V summa iucolandis operibus manus defuit. Martialis epigramma de

attonitusque legis, terais furiferois Aeeius ξρ' quidquid Pacuviusque vomunt. V. 8α --- Unde haec fartago loquendi.

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V. 89. - - antas, cum fracta te in trale pictum Eae humero portes s ceuκ qui avolent lait nauisage, avolent coutume de Po ter dans Ies rues, pour exciter Ia compassion des passans, des tabΙeaux oh εtoit peinte Philtoire de Ieur matheur. V. 92. Sed numeris decor es re Uunctura addita crudis claudere A mersum didicit. Perse lait parier ici les admirateurs du Bux gout de sontemS : D notre poῆte, te poete a Ia mode, dilant-ils, doni il,, est partε au vers 67. lait terminer un vers avec harmonie. . Le scholiaste, connu laus te no in de cornutus, attribue cesvers , qu'on taurne en ridicule, a Neron. Bule dans sonDictioiiaire , articis Perae, a QIeγέ de bonnes resfons pour Prouver que Perse Tauron pas OG Ies citer , tui que Co nutus obligea, si nous en crorons te scholiaste, de chamger te vers : Auriculas asini Mida rex habet, pour ne pas, offenser l'empereur. Le lavant Brettinger dans une disse talion sur ces vers publiέe en Irar. donne de trἡs-bonnesraisons contre cet argument , & remarque que Neron n' volt pas encore nil un. seul acte de sevόritε avant l'anngeoli Perse mourrit. Au contraire, it prouue par des tόmoignagestirεs de Suεtone x Dion Cassius, qu'il έtoit fori tolerant 11'έgard de ceux qui avolent ose te dόchirer par des εcriis latiriques, & qu'il ne devini cruet , que quelques annEes apr/S. Quoiqu'il en stit, les vers que Perse rapporte, soni placόsidi comme des exemples de la poῆsie de sola tems , .qui certatis nement ne valoit yas celle de Virgile, quoiqu'il paroisse Par

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ment.

V. 93 Berecinthius Attin, Et qui caeruleum, ξ c. En qnoi consiste te ridicule & Ie dglaut de ces vers 3 dans uiae rime, Ω peut-ἡtre ausit dans les exprimons, quisoni fori affectόes. Les Μscr. & les lavans soni partagόssur ce mot Attin. Les uiis lisent ainst 3 Ω les autres sitis. Ceux qui sent du premier avis, veulent que Attin & Delphin riment ensemble, & que c'est cerie rime, vici eula dans Ia poῆsie latine , que Perse reprend. G'est 1'avis de Cornutus ; Il est appulε par la Ieqon de nos Μscr. V. 9s. Sic costam lango subduximus spennino pCe vers est sori embarassant. Cornutus lit: Si eo amin. Il nous dit ingόnieulament, a la maniέre des scholiastes,

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t. ramale vetus.

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NOTES. Suber minisa arbor, glans pesima, rara, eortex tantum infructu, praeci assius ac renascens.

Cela se confirme par te vers saevant: Quidnam igitur tonerum. Perse dit ironiquement ἰ is Virgile est vieux R rude, ,, que faut ii dono tire, quela poemes sent εeriis aveo graee,, & delicatement 3 is Tout cet endroit a bien eneore l'air& la forme du dialogue. Μais Ia mεme Gose se volt frequem-ment dans les Satires d'Horaee , sans qu'il soli belain cha-que Dis d'interlocuteurs. V. 99. Torva Mimalloneis implerunt m. Ces 4. vers sonten erit ridicules. casauhon a sori bien remarquε les rimes qui syy rencontrent. La maniere doni ii Ies transposuit les reiad encore plus Bappans. Torva Μimalloneis - --- bombis Bassiaris & lyncem -- corymbis Et raptum vitulo caput ablatura superbo

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nuptiis Pelei. , , t in

Multi ratieissionis e bant eornua bombis. Comme si catullene pouvolt pas moir ausii fait un mauuais vers. Toroa Mimalloneis implerunt com- bombis. Et raptum vitulo caput Ela.

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vient, a ce que diserat les etymologistes , de βηr αε , loca praerupta, parce que ces Bacchantes couroient les montagnes, dans leurs fui eurs haechiques. '. lancem Maenas texura coombis. - yeg I'histolae de Batachus sans Ies poetes . , ce dieu a dans sa suile des Lynx suLoups cerviers & des Tynes ; selon ce passage d'Ovide. Ipse racemiferis Bontem circumdatus uvis Pampineis agitat velatam Dondibus hastam stilem circa tigres, simulacraque inania lyncum Pictarumque jacent fera corpora pantherarum. troisieme. svrnom des Bacchantes, de μαιυρια ,

Insanio.

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par une certaine molesse de prononeiation : natat in labris. V. Io9. Sonat hale de nare canina littera. Cela exprime

simplement la mauuaise humeur des grands, doni Perse ori tique les vers. Canina littera , c'est la terere R. doni te sonest analogue 1 Ia voix d'un chien en colὸre. Scaliger cite aee propos ce vers de Lucilius fur 1a letire R. Britata canis quod homo quam plentu' dicit on pourroityrendre ces mois eneore dans un autre sens : D foriptis tuis, Pers, sonat littera Emina, mordacia nimis sunt. V. Ma. Hic, inquis , meto , quisquam faxit oletam.

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NO TE S. Huge duos a ues.

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I a cornutus interprὁte ce vers en deux inanieres ; it dit d'abord. Non hic me legat qui habitu graecorum mea .ult irridere carmiano , cumst impudicus , Ω puis il ajoute. Et focari Iibi sine tirbanitate permittet. Hoc de Nerone qui invebitur contra tragoediographos, aliter, qui patitur philosophorum calciamenta risu digna judicare. V- Iag. - - Et lusos qui possit dicere I ee. calaubon lit ainst :poscit. Cornutus & la plupari des commentateurs ont froidement interprῆtό cet endroit, & font dire a Perso, qu'il ne velit pas pour Iecheur uia honime, qui reproche auX autres Ies dεlauti dii eo s. Ιl y a ici trῆs - certainement une ali sion, & te suis asseet portἡ a croire que Perse ueut parter dela Satire , qu'au rappori de Suetone dans la vie de Domitten. chap. I. Neron compola contre claudius Pollion,& qu'i1 intitula Luscio ; voici Ies paroles de ces auteur : S 3.tisque consat Cl. Pollionem Praetorium mirum , in quem es poema Neronis , quod inscribitur Lusio , chirographum ejus

Domitiani ) confervasse, nonnunquam protulisse , noctem sibi pollicentis, I

Neron avolt eu une lamnae pareille. Suetone. V. I 29, I 3o. Sese aliquem credens, Italo quod honore supinus s

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