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Quis Latio alitiquo si ierit Status... Eneid, VII, 28.
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, Oir que , Comine les Peuplades salivages deaAmsirique, Ce Aborighnes, que nous appellerotis biolatot Ausones, occupolent divers potuis de 'Italie, et se Donferinolent dans les limites naturelles que leur assisnolenties fletives et les montagnes. Religion rites morsis dieia domestiques, o ut dis roit o devolt in rer entre elix avolt danmotus de Croyanc esroligieus es et de tables Communes Miles Peuple sortis 'une Commune Origine Le Oete a tir uti galparti des documents historique et de traditions fabuleuse uri nouVel Ordre de Choses se prύsente liqui; rerumqtie noυtis mihi, ascitur ordo, 'sicrie-t-il ui-momo, happo satis dolite de la richesse de On si et Consi
Mais queis tolent ces Aborigones 3 oici ce que de
plus plausibi ait Cothbre Heyne. Les Aborigonos furent les plus anciens habitanis dei'Itulte, en Ce sens, quem' est 'eu que date, si proprement parier, forigine decla civilisation de cette Contrύe; et 'est ceriu'in liqueri'ύtymologio out romaine uno in qui ne leur ut dontisi que postorie urementu curi est fori do utoux 'lu'il se solent uitis nominsis dansio principe Ce Domitii-mem ne turda paca Se perdre, consonitu avec celui de Latius, qui ne sisigna 'abordque Ia portion de ce euple qui tot gouVerno parui roi, et ne 'sitendit plus loliariu'uve latuissancedes rois Albaitis Mais Virgile alii user ici dii privilosedecia posiste, franchir te temps, et suppose te Latium, Li'ni rivsio 'stisio, e qu'il ne devint, en effet, quintrois Ou quatre iocle plus turil. I ri sulte dii simoignasse des anciens crivatus, CX-
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due par se propres habitanis, favori salsitablis omentiles premi ers transser qui vini Orit Choi Chermne nou- velle patri oncitatio Q les Phlasgos ne siron hie tot lu'une nation veCHUS nutriret dii pays. Mais e Pύ- IaSsse CuX-momes, que de dotates, que 'incertitudes surdour origine, surda date pro rise et les circonstances
de leur passage en Italio Lo avariti adsimiciori do Gottingue ad me Conune plausibio 'opinion qui fuit descendro es Pi lasgos de montagiae de a Thracedans a Phoc eloti tui, is y intro luisti Ont les Carn thres phύniciens, ais it 'en conclut pus oui Celaqu'il sussent Plisiniciens 'origine Ce qui paro it dono Ie plus stir, ait milieu de tant d'hvpothos es et de conjecture plus ou moin fondsies, 'e t a fusion do Pύ-lasges ave flos Aborightios, a uno poquo trbs re ruisied in i histoire. Quant au systhmo de Donys d Halicar-nnsse, qui De volt quo de Pola gos an los Abori-0hnes, Systhmo adopto par Cluvior et par a luparides Critique moderne , i est juste 'observor quel historieri gre est prύsente motus commemia fuit que
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Presque totis les Critiques 'a Cordenti reconnoitretrois migrations principales de colonies psilasgiques la promthre solis la Conduite 'Enotrus et de Peucetius, fit de Lycaon, sorti de Arcadie, et arriva en Itali dix-sep ssinorations uvantes guerre de Troie I seconde eut leuid opoque de Deucalion Pet a troisthino ut dirigύ par vandre, et pr6 6da de solvantentis a guerre de Troie. ΙLn'entro potnt dans notre plando futuro isti 'itinoraire de ces distarentes colonies, ni de discuter os opinion des avanti cet gard nous notis ortions libassemblercle fatis te plus authentiquoment simonii sis, et les Plus Capabies de sipandrela lumiore surdes question histori lues qui se prsisentent dans es dernier livres de l'Enclide. D apros Detiys 'Halicarnasse, Enotrus et les fieriqabordorent u-dessus dii Promontoire a mylum, uselon . Petit-Radet, de elui de Palinure. On se demande alor. quelle poque et de quelle manthre, en partant de On oint de sibarqueinent, Cette petite poigno de Polasges alii 'olivi irin hemincius tu aucentro de 'Italio qu'habitote fles Aborighnes,lour 'Τ
lumen rien de commuia ave les Aborigones mais tu uno vicillo tradition ropa diae dans la rhce, prύ- tendoit 'lu'uti certain nombre de Polasses tolent ve-
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Ιl faut done apporter e silange des Psilasges et de Aborighnes h la seconde coloni Psilasgique, qui, chasAsi de la Thessalie vini surda sol ori'oraclo de
Dodone, 'emburque surcies cotes d'Epire, ni temps de Deucalion, traversa te Golia Ionieri, et fiat potissύe par tu tempote usque verses embolichure dii Po Dύ-barqusis stir o Pollit les uris ' fixorent, es uiress avanchrent dans l'intύrieur u pays, et aprhs avo irsuccessivement atta lusicles Ombriens et les Aborighnes, sirent allianc avecitis p euples, en resurent une Portiori de territoire se clunirent hcleur allisis et leurs commvns efforis Contra ignirent les Sicules h abandon- ne los detix rivos dii Tibro Lemombre et les for es de Psilasges 'a Crurent singuli orement mais affligύς dans a suit par divers)ύaux, et agilsis par de dissensions domestiques, iis se siparorent Ceu qui res- thrent en petit nombre, dans l'ύtablissemen primitis, sub titubrent insensibi ment cur Domi colui dos Aborigone . tento se Oignirent Delawd'autres Polasges, sortis doci'Arcadio solis la conduite 'Evandre Hercule et 'autro Chesso amen orent 'autres re Cf. Ηeyn ne dolite done poliat questa plus grande partiedes Aborightios qui habitoientd'Itali centrale, ne fus- sentiolasgos ou Helthnes 'origine, et qu'ilsi'eussentem prunisi une foui de hos os decla langue et decla religion de ces momes pcuples me qui justis elle inement Virgilo 'avoir si sotivont appeto, dans coite parti deSOD HVruge les usasse religi eux de la rhoe. Ι ne 'ensuit pas ni anmotus, elon e momo critique, qu'i faille dontior ari Aborigonos ritio origine
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tout psilasgique de Ombreus es probabilit6s sem- blent tui simoiitrer au contraire 'lu'il falsolent partio des Ausones, sipundus, solis distarentes si ominations dans une grande parti de ΓΙtalie et qui occupolent, solis Celle 'Aborighnes le territoiro depuis lemont Cir si usqu'au Liris. Ce qui paroltroit confirmercette deritior Conjecture, 'est que te non de Latias, qui empla a colui 'Aborighnes, 'sitendit en esset
servorent te leur, dans la Campanie, et dans te reste de 'Itali in ricure, qu'il continuhrent d'habiter Des homines de Cette nation occupolent ΠύCessatrementi intervallo nive es olfes Scylace et Larnsitique, avant que les Polasges notriens Vitissent 'en emPurer On retroiive ens Orestes Ausones dans es Opiques, ou sques leur langue, qui toti aussi elle des Aborigones, a ruis emblablement donii nais sa cera a latine. D'autres Ausones donithrent lici' Itali les tibias et les Aurunces mais par vite 'une grande sivolution oporo purimi Cesteuples le Uns ConserVhrenti asportisi de leur origine, tandis que les nutres udoPthrent les aris et les institutions des Colonies greCques.
Thucydide et Denys 'a cordenti dire que les Sicules, potir chapper licia potarsuit de Opiques, passdrent en Sicile paveo colle distare Ce Cependant, que Thucydide semble voti pia 6 los Sicule datisci Italio in&rie ure: 'est uti Consoque C de ilia snge requia Iesanciens historiens gre os, qui ne dos ignotent parde nomd'Ιtuli quo a portion intarietare de Cette Contrύο. Bien, ut sui plus de motus sui prenunt que ceti frύ-quente Confusion de nonas tors tulit 'agit de peuples uussi ύtroitemetit rapprochos partes localitύs.
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C est dono de coitu soliche commune les Ausono )que sortirent, vivant notremi iobre critique, o diniarent periptes 'Itali e connus depuis solas tant de nouis divers, et Consolidus ici ave les Polasgos; il- leurs, avo te di bris de Siculos, des Ombriens, et r.
sine Commune Le.Subitas, par exemplo, qui habitotentio territo ire 'otides Ausones et les Aborigones avolent chas si os Ombriens, pus solenti Our te plus raciens
de Cette monte ruce. 'est Deu que attacho ient leui
origine les Picentilis, lus Gligniens, te Marses, es Eques, testerniques, o les Samnites. De Samnites descendolent les Frontani les Hirpiniens, te Lucaniens; et de Ces evnters les Bruti eris. 'estigalementdes Samnites que ortoient te Campaniens, Ut SC- Condi s des Etrusques, expulsorent de leur territo ire es Ausones et les Aureia Ciens, premiers habitant di pays. Passon maintenant his que noris appellerons es Mythes italiques Notis en avoris dit asseZbus tu' ici potirmetire e lectetis en ta de remotiterin 'origine dos Romains, et ii colle decla langue latine, qui De fiat, selon Heyn et diuutres uvantes, quin dialecte de cellu
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Vesta, Mars, etc. Mais a lupari de Ces traditio starent nocessuirement dύsigui sies, es unos par dessabies grossiores et absurdes, te nutreS, Pur de mon
gamo dubra et di faiax, qui dύ naturoit Mia- is et latatile et I histoire. L'estimabio avarit qui nous dirige dans nos re her- Ches , assigne plusleur Cause probabies des alisiratiotis tu otii do subir, en passant d'un Peuple hin nutre, Ces diverses tradition historicO- mythologiques Virgilelui-monae, trompypa des Crivatus qui 'sitoient plus d uno Dis garsis dans e chaos ' origines greCques et latines, se Contredit solavent d uno manthrerioubh-fait remarquatile. 'est uin si par Xemple, qu'apro uvOir donnypou aieu au ro Latinus, Faunus, Picus et Saturne, illabando ne bientot Cette Opinion, et tui com-PΟse ne utre sinύalogi , licia toto des laquollo it placo Italus et Sabinus. Le premier de Ce Dona raP- peloit les notriens, que nous avons vias Chasse les Ausones de leur territoire Pet Sabinus in liquoit les S bilis, te cupierae plus a Cieri de la race des Ausones. La lupari des crivatus Ostori eur nyant mis urati ides fuit historique ce qui 'sitoit, dans te principe, que de Simples alisigories, ni nocessuirementieti l ovoubie et a confusion dati l hi toire de cestemps e Culos. Alias Saturne, utine Janus, Onnsis comme uieu de Latinus, 'sitoierit utre hos que des nouas symboliques h la faveti des queis la vieillo Itali cher holti 'expliquer es mysthres de lamature oules oritos ducia morale; et e symboles, deveni Savec te temps defratres cleis, des personitasses historiques, Cquirent uti autorii durabio an sages in-