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- prouuertit m/me que dans te eas ou ilioureait Davola unbruit ou umson pareit, cerae semitias celui qui est produit parua rotation duriel autour de son axe Couinient Pline a Wil done pudire que lalaison potir aqvelle telisit causε par a rotation dicies
ne se petas nos oretiles .e'est que e bruit est immense Je croisque Perreur du naturaliste romain vient de ceriu'iln'apas compristes argumens donides Pythagoriciens se servatent, Our e liquereomment nous,'entendons ni te bruit que saltae monde emto-nant autour de son axe, ni te concer que les planhies sement en parcourant leur orbites Ce sonides pythagoriciens qui te premiers, enseignerent γ'iij a une harmonte des sphhres .c'est a direqu'il existe uesaccord de fons harmonieux les uncaigus, les au- tres graves, rendus par te planhies pendant leur mouvemens.lis disaientque nous,'entendonsia ce concert, parce'u'il existea moment oti nous naissons, et M'il ne ait aucune pause innIs-TOTE, de Coelo II, 9 . Plinei'aias compesce que les pythago riciens Ont,oulti dire par ces mois urit ne sat aucune pause. I pensa M'il son synonyme deI'expression cil ait u sonimmense. , ais te mot re i ne sit aueune pause , a se rap- portent acla continuite durio dans le temps ceu de line serapportent in contraire 1 l'intensilesitu son. Nous avons dij re eonnu γ'il'' a pas de son immense.
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micon consoli bie commentin aecord harmonimx sans a mne paus ou intereuption-chappea nos oreisses Les sons descorps se communiquent DI'air, qui te sati parvenies nos oreissese se metiant en vibration Les vibrations de Piae chatigent avectes fons, et chamn 'eu produit se oseillations pistimithres dans Pala Celles-ei assectent chaeone les org es de roae Tune manthre qui leue est propre Notre time syapersia de cetis affection de roreille, et non emendon te son. aintenant, u sonqui existati au momen de notre missance, et qui n' jamais M interrompa depuis dans ineun moment, aura affecta sans cesse noueoreisse de la m/me manihee Lyame est dones res de s maginerque Passeetion de l'oreille, qui est relatis 1 ce son, partient,''orgine par in nature done, te son qui os cause dea'assectionne sera pacententa, puisque lyam ne croitias que assectionMpende d'une cause tranghre 1 l'oreille Cest alas que nous ne nous aperceuon pas des mouvemens diurne et annuel de la terre, pare que, Outes le choses qui nous enutronnent restant dans leues distances mutuelles, ilis' a pas de Mplacement sensibia a
CRAP. III page 6, lignerio Nobis qui intus agimus, etc. Les pythagoriciens yantilaia te soleti et non laclune au centrederi'univers, ne pouvalentias se servi de eet argumentiou -- plique pourquoi nous Ueniendon pas lyharmoni des sphhres. Cet argument est da a mine, qui pensa avec Aristote et Platon que la terre est situ6e au centre deri'univers.
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CRAP. III pages, ligne 18. Abi plaustri, alibi viri, etc.
C P. III pages, ligne s. sibi Euere gum, etc.
Pline pense ici in Delta, constellation triangulatre doni lasormeresse te . celle decla letire greeque qu'o nomme deita Cette eonstellation est pueεe entre les Hed d'Andromede et la thi duBelier. Eratosthhne rapporte que Mercure a placescetis letire aucier, parce que te plus ancien nomarec de Zeus ou Iupiter est Deus Δεύς, e que se te attester Iconitis o mo qui com
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decouvertes des astronomes modernes. Quant auxinutres opinions
phiis pias II, 1).LHAP. III sagei ligne ax Equidem et consensu gentium, etc. Hardoian a raison de ne a commencer, nouueau chapitreave ce mot Il est incontestable que e que Pline, dire est, selon tui, une nouvelle preMe que la superficie du cie n'est pasinu enitere uiae et lisse.
CRAP. III , pages, ligneis . Haud dubie minus arguminino, It navali des grammatriens anciens qui prεtendatent que te motiati ciniam ciet vient du mo Mec κοῖλον, reux, conmVe , et non de relare, iseler, comme line dit, 'aprhs Varron. Cesyammatriens crivalent cretiori et non contum, ainst que line le
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neris, nos muscles, noue sang et mille autres parties hεωroones de noue corps 'aecroissent par cette nourriture ce qui nepoureait se seire sad nourriture prise ne contenaitias en elle les messeules qui composen us os te neris, les muscies, etc. carensi te rim ne petit Hen produire, et reau ne peu pas plus hue produite par du cuir qu,ne vache ne produirat unaomme. Les partisans dela phil'sophie corpusculaire cesse par mmocrite etpersectionnε par Leucippe et par Epicure,penshrent mee Anax gore que te no re des humens vara Pitani. ais ces lεmens prennent les Arces et les qualius dissigrentes doni iis soni don/s et M'il communiquent in divers corps composes par ux, dela diversith de leur sormes et de leur grandeur, et nussemen dela diversitε de leur matthres mεmes. I 'on potireait dire, commele eroit Anaxagore, que les partisans de Ia philosophie cor seu- Iair isduisaient lesialimens de tous Ies corps qui existent hineffrie limilae de cristati primitisi, doni ebacun aurai et in forme particuli- et v volume fixe L nombre des formes primitives des lέmens,'allaias a Pinfini, puisque les epicuriens ne regardinentias comme telles''ovale, te cone te dodhcahdre et toutestes figures potatues et anguleuses, donides potntes ou angies se
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mense d'atomes, s maginatent queri m/me forme primitiveio vati apparientes de atomes disserens deWandeur ou de volume: de sorte que e n'εtait: pas seulement la figuretan eristat, mais eneor son volume qui constitualentiessene de Palome des vi- euriens Ces corpuscules etaientius par apporta leur masse uinalthre genreὶ iis linient de nombre infini, en vertu de leurasorines et de leur grandeurscia γένος Ε σχήματι ἡ πιι ειδει καὶ κέγεθει διαφερουσαι ARISTOTE, Phyrsique); car nulle chose premihre ne petit natue d'une ctos qui en disshre par in masse. u saut done querioute les choses premthres c'es 1-dire les mens αρχαὶ et les lemens οιχεῖα rethvent 'un seu corps commvn, qui est leur ause constitutive, et qui peut se modifier dissereminent en prenant diverses formes et grandeors, ὐδὲν ετερον ἐτέρων γονεσθαι τῶν προλων, α.λλ' ο κως αὐτὸ τὸ κοινον
σῶμα πάντων ωιν ἀρχὴ μέγεθει κατά τοι μόρια καὶ σχήματε λάφερον AnisTOTE, Phraique III, ). Selon Anaxagore , les qualius des corps qui existent a monde dipendent, non decla figure de leur humens, o de la grandeurde cette figure , mais decla matthre Me desisthmens, qui n'est pascia m/me dans te molscules d'ua ners que dans elles d'unmuscle ou d'un os, etc. n ne petitias classercle corps par tessormes primitives desialimens o par ordre de cristinx, comme
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CRARIV page , ligne 23. Cerus disoria spatias. Le anesens connaissalent asse bienes duisera mouvement riodique de chaque planhte mais anssici 4'en sillait de beau conpriu'iis elissent des idεes ausia neries surdeurs distances mine placera'aboryles hioiles .ensuite Saturne Iupiter et Marsipuisle soleti, et apres tui Venus, Mercure, lactune et la terre. Eudoxe, Antiast te, Aristote et Platon nommaientd'abord ces eloiles fixes, ensuit Saturne Iupiter, Mars Vεnus mercure, te soleti, lalune la terre Nous avons dej eu lieu de remarque que 'est furtout depuis la conquhte de Egypte par les Grees que ceux-es commencerent a placer te solis enire ars et εnus, et que les main adopthren cellatare Cependant Dεmocrite, qui vhcut longHemps avant Alexavdre le-Grand conquεrant de rEgypte, plausi dei te soleil enue ars et hnus; mais son opinion ne sutpas approuuhe avant l'εpoquela Maesdonien Μεtrodore, partisande a philosophie corpusculaire, pensa que te solei est plus 6loign d centre de Punivers que les stoiles fixes et les planhtes; illlas done te soleil et a lune en premier lieu, ensuite lesistoiles fixes, Iuis Saturne Iupiter, ars, finus et Nereure, enfinia terre Les aneiens Persans avalentes me opinion de la dis tribution des corps cilestes. CHAP. IV page o, ligne a. Amplissima magnistarie. Ces deu mois ne signifient pas que te solei est plus grandque les autres corps talestes, mais sentemen qu l est trestrand. Selon Pline sinus est ibi vos de eorps cllestes. CHAP. IV page io, ligne . His suum rimen ecteris quoque
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de la terre. I pou it done en πιε ne temps et re celle opinion surde soleti et les autres corps celestes, et croire que te seu,regard comme lement, est plua εlo. de la terre que les in tres ethmens Au contraire, Pline est e contradictio avet tui m e quand dtune part i dit νo a te commencement de cechapitrexque, de quatre sitsimens , te seu oecupede lieu te plus flevi, et que , de rautre, it prεten que totis te corps celestes dolvent leur seu brillans an soleti, et que elui-ci est situsi auuialisu dea planistes, et pareonsεquent a demous des Molles fixes. CuAP. IV page ro ligne 13 in ris i Eueraram Homero ere. Onesit, Iliade, III, Vers 77
Et tot Soleti, qui vois out qui ententi out.
Par furor illorum quos tradit fama dicatis Consecrasse deos febrem scabiemque sacellis. re sont-iis en proica uu moindre delim, ceu qui, rhistolae nous rattests, erigent en dima lateis et Ia gale, et lenes essent des auteis ri
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tale. Natalis Iuno, sanetosis e thuris honorest O tot minori, qui pinides auc immere, Migno Moepte les honne sdu sacrifice et delencensio,