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de Iudas en rouge ou aune, et cellera Sauveur et des onge intres a tres, en blanc.
Cest encore 1 Castor et lilollux que te poete latui ait allusion. Onciait que cette sabie, qui es sal vivre chacui alternativement, donnesiieu de dire que c'silai un excellent moyen de ne se vola
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CRAP. V page i , ligne 13. Exiemis famularitur sacris, etc. Le polythfisme, interprεtsi dans te sens large quli comporte, permet et m/me savoriseri'introduction desinu culteratranger qui ne vasa directemen contre te principe de a pluralit de Seux.
ini duisit a Rome te culte declarasiesse phrygienne Cybele, etc. Le Panthhon, elevsi par Agrippa, n'sitat qu'un hommage rendua e principe, que totis te dieu du polytheisme peuvent vivre et hire honorsis les unca coth desciuires et Rome avouait, en applaudissant Li'ide de cet asile ouuert a totites le divinith dei'univers que, parda mEmeriu'elle rhunissait mille peuples dissiε rens fous sectois elle devait enco urager mille cultes disserens. CRAP. V page i , ligne 13. Aedigitis deos gestant, ele. L'usage des talismans et des amuleues,'estias plus ancien quecelui de porter des bagues magique auidoigis Celles clirhsen-
talent, tantocun Harpocrate, tanto un animal uisne plante sacres, etc. Ginea PLINE XXIII, a.)CRAP. V page i , ligne 15. Monstra quoque quo colunt, damnant. Les Egyptiens immolatent leur belle sacrε Apis. Cette nationsirigeat de temples a Typhon, oui du mal, et prononς ait sesplus grandes imprfication contre lui, quand esse chlabrait les se tesd'Osiris, die dualen O lit dans queique manuscriis Monstra quoque colunt, damnant et excogitant cibos, leuon que Potnsinet a adopthe. Mais Pline se plast a rassembler des contradictions ou dessalis hiἡrogenes, et commera contradiction 'immole ou demaudire te die iriu'on adore, est plus grande que celle de rεprou-
ver certain meis, et de regarde d'autres comme sacr6s, no tre
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CHA P. VI page Io, signes rara nisu aiamento να- humoris, etc. Nous parieron plus bas de ceste opinion des anciens surdyoH-gine des tolles filantes. CHAP. VI, p. o ligneris. Quando ad emm pertinet tota, signiferi
Auctieu de ces mois, o lit, dans Phdition de Potnsinet Quando ad eum pertinet tota signiferi motalatio, mentionibus non distis. Hardouin a consulth nombre de manuscrit de line, et it,' apa uouu lacleson adopthe par Potnsinet L seule variante qu)ilai dἡconverte, consiste en ceriu'on lit dans queique manuscriis emoribus pour mentionibus quantoriout te restera passage, te lesons de manuscrit consulisis parmardouin ne dissi*rentias de celle qu'on liciei dans le texte Potnsine aluissicia leuon dans queique anciennes dition imprimees de Pline, qui ont tέ pu bithes avant que Gelenius ni imprime se remarque sur Pline,c'est li dire manici 535. Gelonius a V le manuscrit dans tequelo pretend auoi luci mo modia tio employ pour elui de modo, et ilious assure qu'On y lit modo et non modialis Laue son adopthe parioinsinet,'est done bassi sur autorii dyau eun manuscrit; mais, en supposani,hme qu'elle sit foutenue par l'autorii de quelque manuscriis, o serat encore mieux deprhiarer lacleuon modo a celle de modia tio Uine, parte seulement des invetition qui se rattachent acla connaissance durio diaque : r, en adoptant lacleςon de Potnsinet, ii seudrai qu'il in aussi nous eniretent de ovies es inventions astrono
CRAP. VI page o, ligne 7 Rerumfores. O lit dans plusleur manuscrit siderum ortus fores Our re rum fores Cest cette autre leson queloinsinet a prhiarhe Leelle de rerum fores, et i soutient son opinio par te raisonnement
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Dyε sur Phistoire de rastrologie Car, avant Anaximandre, onsuivalide systhme de la sphore inventhe par Atlas, dans laquelle lexodiaque,'hini pa plach. Cette sphise atlantique tali compo--ssie des cercles paralleles que dἡcri cliaque oueste solet entre les deu tropique et I siquateur Anaximandre, partant de ces troispoint donnes, rasa auriodiaque une ligne, qu'il fit passer parces trois potnis prescriis, e qu'il ne peui faire sans projeter cette ligne dans unita oblique Ainsi, cette inventio ne ut 'abordqu'une sorte de subtilitesnisicanique, ou , ou mieu dire, qu'unpur,sicanisme. ais biento it en resulta latasiconverte importante dii leve et du concher de signes Ellem due a Cl/οstrate, qui profit duila trace par Anaximandre pou prsivoir, avecirsicision et certitude la marche et les varieth phriodiques de salsons, varietes donides divers aspect de ces signes sonides seules rhoes in illibles Pline a donesraison de dire queri decou- vertera'Anaximandre uolt a portes la sciencera leve et ducoucher des astres Cestiae qui m' sonde a relabilesta leuon Ἀλderum ortus fores a peruisse. 3
de deu cenis an avant Anaximandre, Hesiode parte deja duleve et u coucher bellaque et cosmique des thiades, des Hyades, d'Arcture et d'autres tolles Ceru'est don pas seule ment a parti deI'epoque a laquelle Anaximandre projeta te planoblique deci'sicliptique, que les Gree connurent te leve et lecoucher des astre : e philosophe ne leur a donc pas uver lasciencera leve et du coucher des astres. n ne peu pas,hmedire qu'il leues ouveri a porte decla science dileve et du cou-cher de signe zodiacaux ea les Hyades soni situsies dans laconstellation du aureau qui est uti de douete signes etodia calix, et c' est du leve et u coucher de Hyades et de Pseiades
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γ'Ηεstode se sertiour fixercle commencement de salsons et les .poque de semailΙes et de laticolle. A ceti premihre ration o povrrait en aiouter bienta'autres. Par exemple, a connaissance deI'obliquit de Picliptique est avssi lihe intimement aveo cellera eour de planetes et de lalune, avec la sciencedes clipses solaires et lunaires, avec ladlisi mination durite que chaque tolle fixe occupe dans te ciet; et
avecines utera'autres sui et astronomique doni omne peut passe procurer la connaissance parri'observation dii leve et du cou
XV, 93 XX, 5a', ne se composait que de trois cent soixante jοur HESIODE, Truoaux, v. 81οὶ Anaximandre, son disciple, persectionna se observations fur Porbile du solati, et les rhpanditiam te Grecs. De la l'erreur de Pline, qui volt en tui Pin venieti dera'obliquit dii Lodiaque ou bie de celle de Pέcliptique Au reste, es mois de ce passage dolvent tre pris ab solumentaria rigueur. En dyautres termes, o doli croire quo Pline a oui dire qu'Anaximandre a determine te premier la position des quinoxes et des solstices, γ'il a sat passer, cercle Par es quatre potnis, et qu'en mesurant la distanc di soleilara'siquateu le ourra solstice d'hive vers midi, i a decon vericla grandeur de Pangle d'inclinaison de l'ecliptique relative mentis l'έqvateur. Hardouin et Potnsine interprotent te texte dela mansere svivantes re L position des potnt cardinaux init con-nue long-temps avant Anaximandre mais elui-c fit passer lepremieris cercle qui reprεsenta 'obliquii de l'orbitera soleii Mant Anaximandre, on fulvait' systhme de la sphsire in venthe par Atlas, dans laquelle te rodiaque,'etaitias place Cette Ubhre athlantique etait compossie des cercles parallese que derelichaque oueste solet entre les deu tropique et 'ἡquateur. Certes, l'invention d'Anaximandre serat chetive, si tout son
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devati se rhsenter 'elle-mhme aucastronome qui Vecurententre Λtlas et Anaximandre, si tant est queri'on connucla post tion de quelque politis avant ceraernier Mais it 'en ut pasainsi. En esset, pone nous bomer Lune reuue, Anaximandre afait connatue te premier aux Grec te gnomon et Ι'horloge so latre Le gnomon est te seul instrument donides anciens Grec se semissent mant Hipparque, pou mesure auriour de solsticest'. du meridie compris entre Ie solei culminant et l'horizon. Μais avant qu'Anaximandre edi fait connatueri'usage du gnomonaux Grees, ceux-es,'malent aucu instrument exact, ni aucun
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h. 4. 8 48'. Datis te mille du quatrihme sthcle avant notre hre, te Grec ne savalentias encore que Pann/e solaire est de plu- sleur heures, minutes et secondes, plus grande que trois centsoixante-cinii Ours. Vomea STRABON, VII page'o6, eie )Quoi qu'il en soli, Anaximandre ne dottia plus que Thalas,so pricepleur, tre regard comme inventeu de obliquiis de recliptique Thath s'en procura quelque connaissances dansl'Εgypte i te communiqua a son disciple Anaximandre, et ce-luiaciles persection alaide dignomon, et les rhpandit en Grhce: Quant . invention du gnomon, doni es anciens se servatentpou determine ave exactitude obliqvit de Iricliptique ellen'est pas non plus due 1 Anaximandre, auque Diogἡne Larece II, , 3 et Suidas Pattribuhrent. Cet astronome introdnisit cetinstrument de Babylone en Grhce. V ea HERODOTE , liv. II, D. Io9, et, our te sens dimotiolos CL DELER, Haniavi dermath und techn Chronologie tome I pages 233-236.)CuAM VI page o, ligne 19 Signa deinde in eo Geos ratus. Plutarque in des philos. dit que 'estPythagore et non Cisiostrate de sinἡdos qui a figur te doure signe godiacati dans lectet Cisiostrate a tachsi de syapproprie lyinvention d, autre. Si Cthostrate Ou Pythagore on siit connatue en esset les dougesigne godiacaux en Grsice, iis te auron introduit de I Assyrie,d'olide premier transportales chevreauxi Grece, ou dei'Egypte, qui apprit au second que Venus et Mercure tournent autour du soleti Les douxe signes zodiacauciarent connus dans Porient long-temps avant vostrate et Pythagore ce laica dἡja te michors dedoute par beau coupra'astronome de soixante dernthres annhes. Nous devons done nous borne a dire que Cl6ostrate o Pythagoreoni transporte la connaissance des douete signes dei' orient
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compatriotes a ne plus commencer te salsons avec te levers et couehers de quelque astres primatres ou autres et rhgler tes
demens de lyastrologie et Anaximandre ceu de la scienee de lasphhre Lymo sphhre, dans ce dernier passage, ne pent gnister aulae hos que la sphere terrestre; a quant 1 la sphhre
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venteur CL DIOG. LAERCE, v. II, I AGATlIEMLRE, I, ). Quantal 'inventionattribille par Plinea Atlas .il est sicile d'en δε- termiser Γέtendue car si commerit te eui, Anaximandre est lepremier Gree qui ait fixesia position de hquinoxes et de solsti ces, et projet te plan oblique de Pheliptique entre es potnis,la sphhre 'Atlas hiat construite de lasonis e que par elle onsat a m-e de se nitetne idhe exacte dic mouvement diurne dueiel, et qu'on persa a in sursace ou dans son int/risor, te lignes et les ercle qui ont apportis e mouvement teis quePaxe de la terre, /quateur, horizon, quelque meridiens et quelque parallese qui passaient pardes astres de la grande urse, par Arcture Sirius, lesithiades, es Hyades, et par plusleurs au- tres tolles connues de Grees depuis te temps te plus recul6s de leur histoire. Cet Atlas vhcut en Afrique Les mythologistes et les Ohtes anciens racontent qu'il ut fit de Iaphe et d'Αsies, et γ'il rh-gua dans la auritante. It ponsa letone, fille de Pochan et deThέtis, et en ut les sepi leiades et les in o sep Hyades. Se ensans tui furent enlevsis par Busiris, roi 'Espagne Her cule tua ceraernier et rendit les eunes filles h leur phre Par reconnaissance, elui-ci initia Hercule ara 'art 'observe te conrs des astres Hercule ensuite Ι'apprit avx Grees 4insi Γέpoque otiles inventions astronomique commensaient a se repandre en Gesce, est cellera'Hercules elle tombe dans te quatorgihmeciihele avant Phre chri fetine. En esset, 'est usqu'Dun temps aussi recul qu'il sint remonter Our decouisi te premthres traces de eonnaissances astrognostique et astronomique de Grees.
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et te passage de Pline ii ii est dit VII, 6 qu Atlas, o bientes Egyptiens, ou enfin tes Assyriens, on post les sondemens de astrono e on est pori a croire que e Greccon resuleurs premieres connaissarices astronomique dans te m/me temps de disserens peuples, hi que es peuples soni furtout les Ph/niciens de Asie et de PAfrique les Egyptiens, es Babyloniens
royaumes et destahinocratie les plus anciennes que nous con-naission e Grece De la vient qu'Homere connali dipi a grande urse, a laquelle it donne te sumom de Chariot Ἀμαξα, les Plέiades, les Hyades Orion, Sirius o le Chienta' Orion, et te Bouvier et qu'Leniendredes tragique vecs, e sonides chesi Mees deci'exphdition de Troi qui on figur ces constellations