Bibliothèque Latine-Française, Volume 72

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Aristote compose les corps inestes la teret et inutis qui existe su eu et entre eux, te philosophe rec4'es etare de Phintilis fur des principes ausia mples que ceu parilesquet i lacte de prouuer que te monde n'a amat eu de commiscement et nyatira jamai de sin I dit se e monde doli rivni en tu toutes espersections possibies, qui sont eompatibis avec a nature cyes 1-diserious les genres de mouvement qui ne sontias en opposition ave sale situelle mobilit circulaire. Or, ceu perphtuits d mouvement circulaire du monde,'exclut pasci possibilit de I'existencela'nn monuement qui partant du centre dimonde verssa phriphsirie revienne de lalisiph/rie vers te centre Ces deuxmouvemens petivent done exister dans te monde Deoth de s r ration perpέtuelle. IL a plus il aut qu'il existent puisque si omne les, rencontraitias, te monde, dit Aristote, ne ferali pasaussi pariat quK petit Phue de s nature. Mais Ies modifications primitives decla malthre premiere pre nancta sorme d'autant de forces et d'activitέ individuelles, dolvent his liges intimementa Pactivite premihre decla matthre, ou son ta constitutis, qui nit Dia sol et sariore et a nature, Hes ii ire 1 la perpesuit de sommouvement circulaire, tequel constitue la vieta monde, tandis que de Pautre coth nou serion d/potion dera'idhe,hmera mouvement, syilis' avait pason monderioumant en cercle de tout temps et a tout j mais Ainsi es modifications primitives de la matthre premthre

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destituis de tout sorte, sol inerte, sol aulae. Ainsi, e serata Orce de ces dernier corps leuraratat constitutis o lenrs qualites, mais nullement les iaculias des premier corps, qui constitueront les modifications primitives decla matthre premiare. Enfin, Aristote s'etarce de prouuer que les seia mouvemens oppossis qui puissent risulter imm/diatemen d mouvementii culaire dii monde, dolvent se dirigerra centre dcmonde vers sa

des raisonnemens fur tesquel Aristote amas ces deux assertionsu'est d'auctine importance potir 'interprέtation des id/es cosmologique de Pline Nous te supprimerons donc Cestiis laishmeraison que nous ne parseron pas non plus deri'argumentationtate par Aristote, our prouuer qu'il ne eul pas exister Plu Sieur mondes, et que ous te corps ni existent dolvent treeontenus dans la sphhre de ce monde o ciet, que nous οyonstourne autour de so axe dans respace de vingi quatre heures.

qu'expos Aristote. Accoutum a vola dans la nature m-e lasource de tout e qui existe, ech conson, en hme temps lemo maure Mec te mot monde os ciet, qu'il dἀnit para'ensemblede tonte les choses existantes sedemque rerum naeum opus e rerum ipsa natura), Pline lisve te monde a ranide Die , en pensant avec Democrite Leucippe et Epicure, qu'illeut exister unco qui se meu de tout temps, nisi qui comprendisourtante lui m/me la cause de ce mouvement lucree. CHAP. I, page a , ligne s. Hujus extera indag re, etc.

Iah qu on distingueri'ide decla Divinite de celle dimonde, il

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monde, non-seulement comme ensemble de out e qui est,mais encore commeesa Divinit elle-mhme, 'es 1-dire commela cause rhatfice et conservatrice de ce monde, ilis' a plus rien a rechercher a dela. CRAP. I, page a lignerit. Sacer est, etc. C 'est , ire Me monde est inviolabie On ne peu ni arrhter se forces, ni te changer. CMP. I, page a ligne ax Memus, ere

Pline prosesse les,hmes principes qu'Aristote relativement hi suphriorii de la forme sphsirique surrioute les autres figures de corps ΡLINE, II, ). Mais es partisans de la philosophio

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pli par la sphhre immense durate et donici'autre ne contientrien duriout en elle Le sentiment d'Aristote surde vide revienta celui des stoiciens surde m/me sutet CL Phins. IV, , 5, 6 8 et Traiud GH, I, 8, 9 . Ainsi te monde constituera partui-mhme

temps la totalith elle-mhme, 'est k-dire te ολον des stoiciens et te totum de Pline, puisque rien ne peut exister en dehors de sonenceinterici est don tout en tout totus in toto, 'est-1-dire leto ut, qui renserme la totalith et qui n' d'autre enueloppe que levide mhme. CRAP. I, page a ligne 1 a Finisus, e in is simas, ere.

Le monde est fini et hiuisqu'il est de figure sphέrique PLINE,

II, a); et puisqu'il exicut so mouvement cireulaire dans untemps fini, savole dans respaee de vino-quatre heures. Le monderessembi h l'infini parce qn'il est de sorme ronde, et γ'iltourne oujour autour de so axe, de sorte qu'on ne pent dire parique potes de so corps te monde commenceis finit, ni te que de tons te potnis de ce eo sis'est mi e mouvementis 1 cessera de se mouvola te premier a pare queriout e qui est et qui occupe u espace queleonque est plus petit que te monde qui rensem tontes es hoses de eite sphce. CL Aristote,

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incerto, etc.

monde est ominum rerum eritis, puisque inus te mouvemens

qui s' passent se soni dans desis odes certaines et fixes il)a, par exemple des intervalles fixesiour te retour des levers et de concher diurnes et cosmique des astres, et ourrae coursdes plan/tes autour de la terre). Et cependant ii se te similis incenso, a les mouvemens de planhies soni inhgaux iis pr6sentent en outre des aspecta dissigrens e procέdant tanto par ordrede signes, et tanto dans te sens opposέ. Tous les commentateurs de line expliquent les mola omissum rerum omius et similis inclerio decla mhme manthre qu'Hardouin et Milichius. Ne semit-ilias plus consorme haesprit de toutes Iesreflexion spέculatives de anciens suriessetice du monde et suries tot physiqnes, de dire qu'i y a certitude dans la marche vi tuelle des phεnomhnes ta monde, en tant que la nature agit entout d'apris defclois fixes et invariabies mai M'il rhgne quelque incertitude dans te protad Me des phεnomhnes physiques, en vertu de Pimpassibilita m/me deflois de linature, puisque he nom-bre des corps foumis in re me de chamne de ces lois ne se laisse attacher Laueune lor Lectois de Pattractio mutuelle des eorpseelestes par exemple soni uhs-bie eonnues et Pon satiqu'elles soni invariables Mais nous ne favons pasci'il, a me planhies ou plus, ni 1 quel chisire leur nombre doliri'arrhis nέcessat rement. Cest ici que la nature eu prende so libre essor; mais 'est aussi pove cela queri'incertitude commencera rhgnerdans Ies mouvemens de planetes, en veris decla stabilitesmhmedes toti de leur attractio τεeiproque piasque les proximitis relative de planhies et lenes loignemens causent de perturbations Lleur eoum ordinatre.

n. 16

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NOTES DII MURE II.

UAP. I, page ab igne 13. Extra inura, cuncta complexus in se eis.

Pline ayant di plus haut que out e qui est, ait parti dumonde les mois extra et infra a dehors et aut dedans, dolvent hue explique par extra et inim consperavim nostram posita, eque nou pouvons atteindre des yeux, et e qui n'estias a lato is de noue uum: par cette seconde expression seraten dεsignees

Pline et selon Aristote, te eiel oum autour de so axe te soleil la tune et les cinfautres planἡtes se meuvent auton de late re La terre est plus petite que la lune, moindre esse in eque les austes eorps errans Les comhtes soni des mstiores ign/s, qui syengendrent ainst que les Molles tombantes, les bolides, tesseux sollet , etc., par inflammatio subit de exhalatinns s ebes des astres et de la terre Aussi Pline compren ii tonsises --hnes fous te nom couaeriun de fidem repentina Etan lenaturaliste romain eroi encor avre Aristote qu'si, a de so

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du globe terrestre et a in floignement 'un quar de liene auplus.

Les opinion astronomique de line qui disserent de ellesd'Aristote, ne sontriu'au nombre de deuis: x'. e soleti, dit-il est plus,loign de nou que ne te sontonus et Mercure Aristote pense avec Platon que te soleil estplus rapprochesde la terre que ces deux eorps errans. insilline con nati a division des planetes supεHeures et in Heures maisaris tote et Platon,'en faventilen En esset ces deu philosophes, tors-qu'iis eroten avoirragariau distances desilanhies hcla terre, tesmetient dans 'ordre svivant: Salume, Iupiter, Mars Vfinus, Mercure, Soleti, Lune, Terre Dans Pline, te Solei sui Saturne, Iupiter et ars mais ilirhehde Vέnus, Mercure et la Lune. an elon Platon et Aristote, te Soleti, εnus tmercure glaient de plan- ωοδρόμως Οὐισοταχως φερόμιενα, 'esse dire qu'elles emploientci'une aulant de temps que lyauu pour parcourir leur orbites Pline pense, an contraires, que te Soleil

Aristote.

La divergenre des opinions de line et d'Aristote par apportv l'ortie de succession des planhies, 'explique aisement par lavogue de 'astronomi grεc inultenne a nome, a parti dutempsisti Cεsar oppeta Sosighne potires reformationis ea te Her romain or I Grhe avait long temps regarde te soleileomme plus volsin de nous que hnus et Mercure; mais, en Egypte, o savait de temps imm6moria queri'orbile de Vεnus

renserme celle de Mercure et que es deu planetes tournent au-lour u soleil. Il est trhs-probabisque e'est dans celle opinionque Pythagore pulsa se idεes surcle mouvement autour u soleti, qu'si attribue a mutes le autres planhies et Dia terre. Sol que les Egyptiens regardassent Vfnus et ercure commedes satellites du soleti, sol qu'il pensassent comme les Pythagoririens que la Terre, ars, Iupiter, Saturne sontra tour dusoleii, oujour esset vini qu'avec chacun de ces eu systhmes, o povolt ex querares-sacilementiourquoi έnus et ercure soni sotimis hine intre rhoe que te reste desilanhies dans leur

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modernes aurite que les iMes mises par Aristote su les co--es soni tombles dans roubli. Cesulast pactout Pline ne connali pacle eiel histis It dit 11, 71 questa chevetur de Bεrfnicei'est pas visibi en Italie Mais ceti constellation os situs entre la terge et la queue de lagrande Oves. elle ait done partie des constellations borhales, et ona volt enatali une bonne partie de Pannεe I di que leChario de la grande urse les Septentriones, 'esi 1-dire tessept Meus qui trainent te Chariotyάestias visibi pone les habitans de la Haute gypte. Mais Syhne, ville frontiise de Pstgypte du

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digne d'un philosophe qui ne dottia jugerdes choses par Γεcorce et par apparence Qu' de communiillusion et Pinsumsance de

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