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leti mole . a ivne Dyautres attribuentis one qualite phos phorescentera globe lunaire Dan Pεclipse solaire, Ia lumihiscendrέ est furtout sensibi e , et on apersol tablement te disque Iunaire Ceste remarque avai deja tesseste par Anaximandre. CRAP. VI page 6, ligne x3. Qua mensis exitu latet,
Les anciens regardaient te soleti, a lune et les aulae corpseMestes comme en trisai ou e fousseane quan iis s'εclip salent. Dclaues expression si communes dans lesiohtes deci solis uno ti labores La cause de la disparition de a lune auxneomhnies, vient de ce que te coth clairh de son disque est Mors
tourn versese soleti, et que nous ne ouVons observe que sasursace non illuminhe.
or lesialoiles fixes et furtout les tolles zodiacales finient cen-shes en sousseane tant quem proximit du solei ies rendat invisibles. CRAP. VI page 26, ligne ι. Iam Nero hinnitis et excelsa. La plus grande distance lunaire de la terre surpasse sonialoi Mement moyen qui selἡvea 83,9a lieues) d'environ saavi tihme partie Aussi te diamhtre apparent du disque lunaire esseticompris dans des ornes dontra grandeur varie de s 365 h33 516 Le diamhir du solei varie au contraire seulement de 31 5 16 1 3α 59α La tune semble doncratre tanto plus grande et tanto plus petite que te soleti ce qui sit que, laclune s'interpo-sant entre la terre et te soleiI, elui ci disparali out a fati, ouΘ'on apersol le bord de son disque fous la iam aeun anneau
plus ou molns Iarge. Les anciens representalent et dέmontraient ces variation des distances lunaires par une figure et u thhorhme M'o peu voir
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doni elle est semhe devalent leur origine a ceriu'Endymion dormati te jour, et passait latuit acla contemplation des astres, et Uilreconnulle premier plusleurs particularitε du mouvement lunaire. Pline lui attribue dans le texie la ficouverte de presque totis tesdhiasis qui se rattachen a Pillumination decla tune et , son mou- vement mais on dot douter a molns de toutes es assertions individuelles et hypothsitique de quelque anciens que des savans modernes on tro imites Du reste, noton que cet'est pasmhmede nos our que ouesta premiἡre sol on a u dans les heros de e sabies, non des homme savans, mais des alligories, despersonifications de corps u de phenomhnes physiques Cestainsirine te scoliaste de Germanicus nous dit que, selon plusleursauteur anciens, Endymion ne sutias, astronome mal la ro se seconde qui tombe la nuit surcle platiles, et qui, manant Di0j1jgs by COOste
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de la tune en plus grande quantit que des auste eon, celestes, abonde plus ou molns surda terre, selon tes phases lunaires. Nε-moins, iij a peu his queique connexion, I entre lestrente annέes qu'Endymion passa 1 dormir et les renis oum
oee I, 570, Plutarque me de Solon, hap. 250, et Proclus
suri Timis de Pison, I page 5), nous apprennent que Solonne compta pas commemεstode posime surdes Mura uenterio spour Ia lunaison mais seulement vino-neus, et qu'i appeta leuentieme cur coul depuis a contonetio de a lune aveele soleti, μι νέα, jour ancien et nouueau parce M'il a partient galement a mois qui commene et , elui qui finit. Ainsi Solon sut te premiis en Me qui 'ape ut que Ignis valle Iune contonetion de la tune et du soleii 1 Panire se monte Das jour et demi, et non aio commmon Pavait pense usqu'Mors
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inventa une phriode de vix eus ann/es solaires, comprenant en
ces de accorps cflestes hiatent partis ense te di neus an anpar vant. Calippe, quadruplant cette phriode et retranchant uniour duproduit, en tablit une autre qui sui compos/e de solaante-seire annhes solaires, et qui fui ncore plus exacte queste cycle mέω-nique Hipparque multiplia la4εriode de Calippe par quatre, et oi un curra produit. I obtin ainst uti cycle soliciunaire de
trois cent quatre annees solaires, qui surpassa en exactitude laperiode calippique Hipparque connui aussi te nhros de Chal- Mens ou leur phriode de si cents ann&s solaires. Presque dans les me temps que Solon Halhcs'occupati dumouvement de la tune Cest lui qui adohnέ te premier une explication satisfalsante des siclipses solaires et lunaires. Ιl smait que lyμclipse solaire,4sulte de Pinterposition de la tune enue te soleil et laterre, et l'helipse lunaire de Pinterposition de Ia terre enucle solei et laclune Ι pr/dit une clipse solaire, e qu'il n'aurai putilae sans avoirine conmissance exacte dimouvement de la lune, o sans conna tre in molns une pέHode soli lunaire a bout de Iaqvelle le fclipses reviennem au mhmes our γ'elles on enlieu dans la phriode prεcέdente. En rsisumsi, Ies premthres conmissances tant sol pe exactesque Ies Grec eurent du mouvement de la tune et de son illum natio par te soleti, leur furent communiquhes par Solon et par Thalta, qui vecurent tous deucenvison siccent an avara J.M. CRAP. VI, age a6, ligne 23. Vicinis Linus septenisque e tertia diei parie.
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qu'elle est revenue a Pendroitta cie ou elle etait en conjonc tio avec et astre a commencemen d mois, line a ncore compisi par nombres ronds, et son valvation est juste.
cette parti seule peucalor recevoirdes myons solaires. II en est de mhme de tout aulae partie clairhera disque lunaires cette partie se trouve oujour hire une quantit de la sphhre lunaire aussi grande queri distanc correspondante de la tune a solei lyestra cercle La cause de ce phsinomhne est une fore occulte analogue a celle qui Lit que les distances planhiatres chan gent en aison de leur angies de vision o avec leur aspect ausoleil. Vorea es notes de line qui voti suture et lain du
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parua plupari des astronome qui vivalent alors. Long-temps avant tui cependant Geminus expliquat les phases de la tune absolumen commedes modernes. CHAP. L, age 28, lignei. Soloere tavium Eumorem,
Les a iens pensatent queri tune et les autres eo ps eclestesn'attirentias seulement Deu les humeurs terrestres, mala qu'ils en remotent une parties la terre Urhcles avola entremMhes dedissigrentes substances, qui soni destinhes a nourris et satre rossi te corps organique et inorganique de la terre, et mhme hie produire nos notes uestes mois ingens sidus Veneris duri chapitre. CHA P. VI, page a , ligne 5 Humore terreno. I 'idie que a lune et les intres corps Mestes se repaissentd'humeur terrestres escuhs anelenne e cles Grees Plutarque nou apprendinue Thaths, qui vecut vers 6x avant J.-C. s'est prέvaturae ceve opinion onfralement reconnue our prouuerque toutes les choses qui existent soni formέes d'un seu εlέment, et que elui ei est rhthment liquide Heraclite et les stolaiens partaghrent ceste opinion sur alimentation des corps Mestes. Aristote la retet par esprit de systhme, en visant que out equi est sui et a prendre de a nourriture est aussi pεrissabie, maisque les corps 6lestes et la terre soni de duree ternelle. CHAP. VI page 28, ligne 18 mculas enim, etc. Les anciens ontiens queri tune vivat d'humeur terrestres, et que celles cicioni a cause des laches qu'on aperςoit fur son
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terrestres: ἀναθυμιίασις ωιγειος ACHILLE TATIUS, Introduction
terrestres se dessinent fur te disque declaraune, et que nous aperceuon ces dessin sous lasorme de aches PLUT. G. p. 9xo) Les pythagoriciens, donicies idεes astronomique et cosmolo gique se rencontrent si fouvent avec celles des savans modernes, Paccordent ave eu fur rorigine des laches lunaires It disaientque celles-ei proviennent de ce queri sursae de la tune nyestias uiae, mais qu'elle est couverte de montagnes, de plaines et de
Nous ne terminerons pas cetis note avant d'avoi di que les pythagoriciens crurent aussi que a lune lourn autour de so axe,
et qu'elle emptote presque un moicentiees cette rotation. En enset, Plutarque Opinio de Philosophes II, hap. 3o nous apprendisve les pythagoriciens valvalent a quinge sol vingi quatre heures la durε de chaque ou et de chaque nuit de lalune, e qu'ils 'auraienti faireri'ils,'avalent attribu a cetastrein mouvement autour de so axe, et qui dure presque aussi
long-temps queri mois synodique de la tune Ainsicles pythagoriciens furent rhs-bien que laclune nous pr6sente oujour lamhme molith de s sphere. CHAP. VI page 8 ligne a a Umbraeque. Cesi-,dire de la figure dera'ombre et non de s grandeur, commem Alexandrea pens en expliquant e moliar et, in magnis iamis. Pline, parte dans la suile decla figure des o res terrestres et lunaires, et nullement de leur grandeur Ceriu'il est de grandeur de ces deuis corps Aestes et de a terre, telles γ'ocles a dεterminεes, selon tui, an moyen des helipses, se ἡ-dnit Diissisen de chose caesit se borne a proclamerae solei plus
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Cependant ψparque savait 61 calculercle grandeor durio Iei et de la tune a moren des clipses et les estimations de cesgrandeurs, qui son Iecmhmes que celles de PtoIεmsies Almae. ,
pages 115 1ao , disserentie des valvations des astronome mo- demes, nouvelle preuve duieu de conmissances que line avait en astronomae plus tard ns aiknous te verrons dsiclarer qu'ilest impossibie de dεtermine les grandeurs de raron solaires et lunaires, et Ies distances de ces deucastres 1 la terre.
tous de ces mot dii sirihme hapitres Haud scio an Omm msum in oraelo emosci potuerunt m Istra, etc.
CRAP. VII page o, ligne 13. Ergo consimum ita est aeris
termistas , instiumque aetheris.
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Ieura satellites entre eis et te soleti ces satellites s'ente4clipsent mutuellement. CRAP. VII page o, ligne 6. Strati a/-- auque non meristria. Je lis avec lailupari des manuscriis Mali arulem non mensistit; cariautre leson, resque genεralement adoptee, stati autem a que menstra non sunt utrique defectus, n'est pas recevable puis
qu'elle serat dire 1 Pline que te retour desiaclipses,'estias rἡψε, tandis qu'il erit a contraire que e retour est foumis aucalces, quoique ce calcul dissere de celui des mois ΡOINsINET.CRAP. VII page o, ligne x8. Propter obliquitatem senseri. Pline fualue Pano Sinclinaison de rorbile lunaire et de Pheltptique a aulant de devh queri largeu des odiaque cyest-h-dire, si degrsis chap. III . Don il pouvat metue les mois, ac se de obliquis Δ odiaque, licia placerae ceux i a cause de Ω- ίω de Porbis hinatre. ais on mit que cyest a cause de I'obliquith deI'orbile lunaire que laclune ne nous cache pacle solei actaque contonction, et qu'elle-mhme,'estias Eclipsse Deliaque opposition. CRAP. VIII page 3a, ignea Trium maximarum rerum
II s'agit ici des grandeor apparentes des corps ellestes, et nul-lement de te ars grandeursis Selles, comme a pens Potnsinet. Pline prendo/nus our e corps te plus gran de 'univers AEU VI il croi te cin planhies plus grandes que la tune schap. ); done en dεsignant te soleil la terre et laclune partes mola les trois Irus grandes Moses qui exissem, ille parte que de disque apparens, qui soni plus gratas que ceu des autres corps chlestes. CBM. VIII pageaci ligne 6. Si terra major esse quam ianu. Aurite de ces mot ondit: Si hina major esset quam terra si Di0j1jgs by COOste
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Ia lune etai pitis grande - la terre, dans queique manuscrit rcette dernthre leςon est probabiemen sausse. En esset, si laclunesilait plus grande questa terre, o en tirerait, de prime abord, la conclusion uerae disque u solei domi his totalementhclipsestoute les sola qu'il arrive utieraclipse centrale di soleil. Dhs lors, si la seconde leuon est admise, line aura di queeeci ne pelit amat arriser, en cas queri tune sol plus grandeque la terre. En admetiant, a contraire, lairemthre, line ne tombe dans aucune contradiction caesi di que te solei hiant quelquelai totalementiaclipse par la tune ce corps chleste doli hue plus gran que la terre La conclusion ne serat pactou . sat juste, si ron interprεtait les mois latins non posse qui esto
sol de beaucou plus petite que la terre mai rieti 11'obliged'interprsite les mois latins decla manthre indiquhe on peut les prendre a lacleure, et dire que line ne savait pas que, dans les
hclipses de soleti, et astre est dεrob seulement acla uera une partie des habitans de la terre, et que par consεquent ii a uoulta exprimerique te solet nest, nine par suret terre. Cetie dernthre interpretation du passage en question nous parait,hmeratre plus juste 'que a premihre cae lineis critterris aucterres, et non terrae , la terre, commeri te ait par tout ailleurs. ais, en supposant que, dans le fclipses cen trales et totales de soleti, et astre, comme line semble lecroare, disparui tou . ait avx regard de tous les habitans de
noue globe, eelui-ci semit en esset plus petit queda lune. ais,
comme ille''estias, et que sonetayon est, u contraire, d'envi-ron 3Ἀ15 seis plus grand que celui de la inne, te soletin'estias dε- robesnon plus au reords de totis Ies habitans de la terre dans seshelipses totales et la largeur de la parti de la terre oti omne levoli pasta inui, ne dεpasse pascioixante lieues Laisaison, c'estque, malges la petitesse decla lune, te solei pent hue elipsesto
talement pariet astre, et, qu'au momentitila tune enue en eo