Œuvres de J. Delille

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Eli commoni faire entendi od vos Dibles orcilles Ces prodiges Ointains A quel obj et moriolComparer ces haut fatis de Pompire ternet

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PARADIS PERDU, LIV. VI. 219

Dda levant uti bras qui ne side enluissance Qu'h colui qui dia ciet ourba a Votite immense, Chacuit propare uni oup qui dii Ciel incertain Dsicide a querelle et commande au destin. I ous deuxigaux d'ardeur, de force, de vatilance, Ont aissh quelque temps a victoire e balance Mais a gloire en est due ait glaive de Michol, Glaive diviti, sorti des arsennuidia ciet.

Bevient, Ourne, 'abat, et ui percede flanc Potir a premiores is prouuant a solas france, I 'affroux Satan 'on duro axeo impatiences I Out Son Corps endrsimit, tant e latve divinD'une bl essure immense a dochiro son sein. Cependant ii sui vivat coup potivantable

La des champs de a gloire et des siens ssiparo, De honte, de regi et de remor is dechirsi,

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Uriel, and Baphael, his auiatin , e, Thous hiugo, and in auock of di amonil arm'd, Vanquish'd Adramelech, and Asmadat, I Wo potent thrones that toto es than GodsDis lain'd but meaner thoughis learii'd in thoi si hi,

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Dieu, de a vieiniux pla a par-tout te sibge, Leur substance, fluide et pure Comine 'air, Comme lui petit braver les atteintes dii fer Ou la vie est par-to ut, a mort Perd On empire. En euctout sent, tout volt tout Cout et respire Libre dans se desius, chacun d 'eucison choix Peut change de Couleur, et de forme, et de voix.

Ne signatoit pas motus Sa Maillance et sonable La tonnoit Gabriel levant ses tendari s Ses enuemis vaincus fui olent de to utes patris. Moloch 'offressi se Coups, Moloch, oi sanguinaire Ii 'irrite a 'aspeo de cessier adversatre Lo barbaro si soti char protendo it l'enchainer, Et capti a sa fuit en pompede trainer. Mais de Dieu blasphomo veni eant solidalii 'injure, De son large potirail usques h lamelliture, Ilaenil son vaste corps te monstre furieux D 'assi elix mugissem ni fait retentii tes cieux Et de celix ulli bravolt devenit a rishe, Fuit et tuaine en fuyant son armure briS SQ.

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ameles in dar oblivion et them dwell. For strensiti froni truth divided, and Dona just, Illaudabie, nought merit but dispraise And ignominy yet tollory aspires

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De detix graniis potentat qui, fier de leur stature, D ui 1 oc de diamant composolent eur armure,

Iis terrassent 'orgueti, et jettenti leur pie is Detes horos dii ciet es Donis humilios It votilent; et e fer domptant leur arrogance, Ens reluxit ' terno a mai quo a distance. Oh combieti de haut fatis, combien d 'exploiis famelix Digne d oti e chantos en versit illant Comme euxi Mais auxispriis divitis qu'importent nos lovanges' La voix dia ciet suffit ad gloire des anges.

Nos rivalix en Onneur ne nous bderotentias, Si des motis plus pur avolent armo leurs bras; Iis maliquoient de Vertia, mais non pas de Maillance Bien ne petit surpassor eur fiore rosistance.

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Iis renirent plus ardents et leur milice salute, Combattant sans remords, conabat RuSSi an Crainte.

Enfin latuit revient, te silenceda fuit, Et des affreta combat a nil laire te bruit;

Dans allaine fatale ou des dobris sans nombro Attestent eur valeur, es colestes horos Au sein decla victoire attendent te repos Par-tout soni opandus de nombreux sentinelles. Satan part enti ainant ses logion rebelles; Et a rage uises Felix refusant e sommess, Illarangue en es mois son nocturne consed , o braves compaguon. ce combat momorabie A ait de vos grand coeurs une pretive honorable;

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Weapons more violent, heu neXt,e meet, Ma serve to bellemus, and wOrsemur s es,