Oeuvres

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tanto un melange de substanees, tant uno comunesson d Dol et de rate. Il diu placer Lune epoque incertaine mais avant Galien, qui te cite in med in anonymo qui aves comminin naue aurae regime futuant Hippoerate, et quia,vait dedi is Victor,

consul romain.

etaient is es, les fleriis dea Dclepiade de cos. Avant de quitier inus ces commentateum et de passeris Galien i ne sera pas inutile dorappeter te jugement que Ie medeein de Pergam a prononge fur eu en masse Enci'absenes de eum Grita ce sera uire eignement fur e quIis Ontiu estre. Il est tres probabie aureique la liste do commentateum, queri'ai ressee, ne contient pas inus ceu qui valent travaille acla critique des 4erita hippocratiques Nous,'avonita que les norus qui se tro vent cites dans lec rivains qui soni parvenus usqu'a nous mais te nombre en linit sansdοute plus grand et Galien parte fouvent des commentateur en generat, Sans en nommerumen particulier te donne te I'avis de Galienis lux, 'ai indique plus haut en certainscas les restrictions qui fauto apporter. Les commentateum avalent dii beaucou dei herches surrae nomides malades et sue leura habitations. Ainsi, dans te Troia ameuiore des videmies, Hippocrate yant di qu'sse mocrate demeurai aupres de Ia nouvelle muraille , certains commentateum pretendatentque cetis circonstance avait te note a dessein parce que une nouvelle constructio est mal ine; 'autres, las contredisant. Hulatent prouuer que cela'etestias a cause de Ia chaoqu'nippocrate avai sat mention decla nouvelle muraille, mais parce que cetis batisse avest gen l'acces dea'aie et du soleti a la maison qu'Herm rate habitati. Les commentateurcs'attachatent a prouuer'u'ssippocrate avait bienaait de note la patriod malade cis Houisient-iis, Aselepiade a dii que les habitanis de Parium etaient particu- verement foulage par la saignte Gallendes blame Maneon de ces inutilites Plusteum des inmentateum, negligeant te potat de me medicat et ne coccupant que dea'interpretationgrammaticale, vont a plus faciis. Αinsi, dans utendroit du Staseme iis de istiamies O les squames dii pityriasis declarisit soni mentionnies, en meme temps que te developp mentri'ais dans I'interieur dicorps iis ne s'inquietent nullement de e qui se pinente chexles malaulas; malis prenant les mota tela D'ila soni donnes, Iss'efforcent d'expliquerae texis, en disinoque los squames sontingendi res par des humeum portees Vers la tete, que es humeum soni eniminees veriles parties elevees parran ai chaud, et que, pou cette mison, A s'agit, dans te passage usdit, d,ir et de flatuosites Galle eombat une telle interpination, en rema uantqu'il a vibeaucou de personnes atteintes de pityriasis dicui inevesu, san aueu developpement de atuosites; et ii rioute, que te passage e question ne peutoue explique que medicalement et que 'interpriter insi mo a mot c est se borne a tiro Iesaivres des anciens medeeius comme ceux de historiens Berodote et Ctesias, et renoncera Leherche des enseignemenis utiles ad'art. . Ailleum I dit: Gladmire Ies commentateurs iis pretendent senis comprende des pas- η sages enigmatique que personne ne comprend quant aux proposition qui soni clatres v Our inuide monde ce sonides seules qu'iis ne eomprennent pas. Galien continuant ses reproches aux commentateum dit u Qv'unta'enx ait Lure uno tesse observation res premio iour on ira acia maιade uneuiore et demi de sanx, e- misime quise sua cune demialiore ea i Lavat hvit Oneea se professeu comme η aisu expliquera ce que les Grees appetatent livre et onee te med in Oudra avola quela signes indiquatent la mim . Cela aut Meucque de echerche diique des Pr dicus Hippocrate Dentendu parier is alienis mison a certains Mess. Cependant si tes.nciens commentateum que te medeein de Pergam erilique Mnsi etaient arriris jusqu4nsus, nousa uouverionides inmignementa histoeique plus interessant et plus utiles quo

emisines longues dissertations medicales o ille ait quo devotopper ses hypothdies sau rites It les Naine de rapporter, , propos dlane proposition lautes las propositim seis

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hles qui se uouvent dans la collection hippocratique, prelandant γ'i laudini une anneemur lire de tela ouvrages qui, insi, restent sans utilite Lesbiame de Galien alioue juste; noanmolns ille serestias indisiarent mur nous de possederam anciens ommentiares satis

certain commentateurs, quand meme iis te uoudraient, nepourraten uouver Iesbonnes explications parce trils 'ont aucune exphrience des hoses elles-memec iis se sontoccupes de interpretation des mota, et iis soni devenus e qu'on appelle medeein enparoles. Ce qumippocrate a tris clatrement dit les commentateum I'expliquent mal a causo de leur ignorance e medecines mais iis volent clair dans Ies proposition obscures, et prennent fur uxta'en change arbitrairement te texte, bien'u'il ne s'entendentias suri'explication Ilin'arrangentias les interpretation d'apres les textes, mais iis arrangent Iestexi χ'aprδs Ies interpretation qu'ilcon imaginees. VeuNon molesu exemplo decla maniere doni certain commentateum expliquatent Iesierit hippocratique. Il est dit dans te Sisi- ιiure des epidemiesci ouae aiahe, nonfisine qu'est- Θ'une lao serine, se MnNils demamia Lecunsint pretendu que c'etaitune inux produite par des vere place a I'orifice deI'estomae Iecautres Ont outen qu Is'agissest declarioux des phthisiques, doniae ongles sere urbent comme ceu des animaux B est certain que cerae sontias ces explications lambiquεes et absurdes qui rendent regrettable la perte des anciens commentatres. Le moveoma doni Hippocrate se sertiour exprime la propension morbide a sommeit, aves Durni mauere a des explications si longum qu'esse formalent, dans les ouvrages do

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u Autre est renseignement di illailleum, qued'on donne directemen sur uisuiet aureo, est celui qui a pour' et''explication d'un texis dans te premier cas, i sum d'exposer, teschoses tellos qu'elles soni dans te second ii fauod'abord connaltrea'opinion de I'a n eur ancien Cela'est dones tu'apros une situde previminatre qu'o peut crire te commem inire is sens du texis etant une solsχεterminsi, reste a examineris'il est conforme o non , acla visitsi non volt paries citations que Galien avali parsaltement compris te devotrid'unissidecineritique, et qu'il avait saltine par aux recherches historique que reclamatent la personne et les heriis 'Hippocrate isne partis la correctio dii texte; ne part enfin et Ia plus grande ara'explication m&licate. Aussi se commeniatres offrent une ource precieuse derenseimement qui aident beaucoul a comprendreaes sierit hippocratiques on ne Mut implaire usage des conseiis, de corrections et des explications 'un homme qui se donnia lemi de consulte les manuscriis, qui avait a sa disposition 'antique bibliotheques, main-tenant aneanties, qui possedait de tres grandes connaissances dans Ia philosophie et les sciences et qui est restet uimalire dans la inedecine Le desaut de se commentatres est non pas tant Ia prolixite . comme nu' solivent dii, que te dεsi de foutent se propres theories ud'aide des heriis hippocratiques Aussi neglig Nil, dans cesteriis, Iecthhortes qui ne concordentias avecrae siennes, et i exalte Outre mesure cesses qui commeria doctrine desquatre humeum, lamenta base de son propre systome Liautretae, ut, c'est qu'il est e traordinatrement avare d'observations de satis particulier et de description de malassies. Nous outerions davantage les developpemenis su se insiories, 'it navali joint, commeHippocrate dans les Gid/mies, 'histoire d'unisertain nombre de se malades. Galien repete a diverses reprises, qu'ssippocrate ne s'estias occupe des maladies en historien comm Thucydide de la peste d'AthΦnes II assure quea'auisur athenienis' hcri quemur te vulgaire, et n' di que des choses sans portemscientisque Ie ne puis nullement partager 'opinion de Galien La description de Thucydide est tellement bonne qu'elle sussit plei-nement pcur nous latre comprendre ce que cetis ancienne maladi a tε; et i est sor a regrette que des medecin teis qu'Hippocrate et Galienis alent rien crit surrae grandesopidenties doni iis on si inues spectateum Hippocrate a sit tεmin de cetis peste raconisiepa Thucydide et illae nous en a pas laissi de description Galien vitingalement Iam re 6ru live qui desola te monde fous Mare-Αurδle, et qu'i appelle lui-msime Ia longue peste Cependant excepi quelque mola εpars dans se volumineux ouvrages, excepi quelque indications sugitives, illae nous a rien transmis surru exenement si cal aussi important, a telpoin que, si nous,'avions pacle recit de Thucydide, it nous serat sori dimelle de nous latre une idis de celle γ' vue Galien et qui est Iaisime comm M. Heche s'est attache a I dmonuer questa malassi connue fousde nom de Peste Ath/nea Chialtine Mure rumtive, disserente decla variole, et eiulate ario d'hui on a cru en uoi des traces dans Ieseharbona declivres hippocratiques. Galien est te dernier des grandi decins de rantiquitε il4'en trouve pres lui 'estimabies, mais iis ne soni plus createum, et les meilleum d'entseu luitent en vain contre ladsicadence decla science Les commentateum qui viennent apres tui, nous inseressent bea cou molns que ceu qui I'avalent prεcεdε. 'une pari, iis s'eloignent de plus en plus de rancienne mωecine les livres disparaissent par les incendies, par les guerres omn*lige de les recopter ous; les fources deviennent molns abondantes, les documenta molns authentiques; de sorte que nous trouvons dans les commentateurs,sicent peu de renseignemens qui ne solentias deja dans Ies commentateum anciens, et furtout dans alien B'une autre pari roriginalit leurianque sineralement leur admiration pou rauisu qu'iis commentent, croti ave leur impulsinnce; et les explications mselicat 'u'iI donnent soni, commeles enseignemens historique qu is contiennent, inserieum a ce qui provientis'une plus

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havis antiqvite. Ie,'eiandrai donete su ces commentaleura, qui d'aisseura ne sontias ista nombreuX. Nous ne favonsisten sur Bomnus et Attalion clias commmmmmentateum des Aphoriames dans Ie eommentatre attribui atribase feraernier OuVrage commetit' demontre, porto inride nom du ehitare moleein de rempereur Julienti presente des traces evidentes d'unelpoque posterieure, et n'a amat etyeerit enaroc. 'austuris Pen est ignore, Au reste eeeommentatre, a part lairesaee qui contient quelque renseignemenis curieux, est inut enuereonsacryn des explications medicales donota valeur,'estias rhs grande. B'apros te tonoignage de Suidas Philagrius avait aussi crit fur Hippocrate Ce medeeinlaceonnii pariun grandisombre 'ecriis doni quelque fragmenta nou on site conservsis. Theophile ite deux passages, relatis au Aphori3meι du commentatre de e medecin, auquel il donne te nomχ'ambulantiu de periodeute Baias te premier il4'agit de raphorismo relatili remplo duriroidci 4'at rencontre, di Lee sujet Philagrius u malade a1antine, intemptri chaudo, ardente dela tete Ayantemplοyeptusleura remedes Dolds, te nobuns, auculamendement plus tardese tui rasa completemen tes cheveux, et equi appliquat, de laiseige surda tete Be cetis lacon, 'intempsirie ut sileinte, et je leaveris de sommat. , Dieigo est ummoyen queu'on peut empl0yer dans es cas. Ailleum Philagrius arrive a raphorisme u il est question de liguerison de rophthalmie par te in pris a rinterieur,4'etend longuement fur es qualites que doli avol le vin employeeontre les instammations de l'cest, indique qu'on se servira de in lanc doux, jeune, et ouis que, si te malade a la ut susceptibie On coupera Ie Vin avec de l'eau. Gestus est uniuis commentateu des Aphoriamea 'ssippocrate, ou du molns il les expliquest a se eisives. Bans te dernier aphorisme de la deurieme section il est dit qu'uno grande tallte alien a larieunesse, mala se deforme dans umage avance Gesius, quan ilen venaticla dans es lemns, dimit a ses discipies Si vous oule uous eonvaincre decla, virit4 de paroles 'Hippocrate, ousi'ave qu'a me considerer nan esset, dans in si nesse si avescete 'uno inisse elevee et d'unae exterieur; maice avancant en age it eruit devenu tout murbe, Asclepius medecin direste ignora, n'est mnnu que par te scholiastesque M. Biet vient de publier, et quiae cite eomme Vant commentsicles Aphoriamea AscI6pius, qui parait avoleiravailia su inutes Ies euures hippocratiques, s'etat impos une bonne methode, e'einitd'explique Hippocrate par lu,meme. Mais, Len juger 'apres le petit nombrei'exemplesque Theophile en apporte Asclepius Maii suiui cetis methode ave peu de jugement et avecon sprit limit alasi plusteum commentateur vant condamn raphorisme qui auribue de rutilit aucagusion Diades dans les Ouleur de la ouite et de contractions museulaires, Aselepius te deland uaed id, dii-il, est utile dans ces cas, non par in nature propre, mais accidentellement et parce que concentrant la chaleur innee il la niultiplio, et dissipeda cause morbisque., Cette explication, si elle se uentires des termes dii merate, est eloignee de son esprit. Ce meme medecin rapportetne observatio de superi tation doni jequi laisso la garantie u J'Misu, di ii, une summe qui sitant enceinte, eui des, apporis ave son mari a sitieme mois de s grossesse a neuvieme mois elle accoucha, 'uniremier ensant, et sta mois apros cet ac uehement, elle en mitin utre almonde. tuenne d'Αthenes cite, dans se propres commentatres, uniuieurriu'i designe parae nomde nouoea eommentaιeur, et qui, ainia que is conjecture M. Bieta est sans douis Asel pius se nouueau eommenιateur esses de prouuer que te siege de l'intelligende est dans Io eur. Hippocrate, dans te Pronostie dit que l'inssammation dea'oreille determine par solito delire; de la les interprotesint ursi la conclusion qu'i placattae siege dea'intelligenee dans la iste Le nouueau eommentateu combat celoint de doctrineci Teis'estias a cause du cerveau, Cest a cause decla sievre que te delire est furvenu; Hippocrate ditaui-mente qu'une, Mure algu&s'etai etabile La sievre prendison origine dans te coe .le delire est produit parria silure, donesrintelligene est dans te coeur. η

us res eommentatrocon peri ilis'en est pas de meme de Gux de Palladius cerae

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Her, qui porte te nomχ'Iat sophiste alexandrin, et qui a vεω probablement dans te se

item Oile huitieetne siecte deri'ere chresienne a compose des explications surde Trait desstaetares et surris Sisiἡmeuiore des epidemies Les premieres Ont etsi publices enare par Foes dans sonradition 'Hippocrate les secondes par M. Biet dans in collection des scholiastes recs. Ces commentatres conuennent Maumup 'emprunt a Galien et Palladius dit comme tui: Nous au tres medecin nous nous occupons des c ses et non des mota η Mal-baureusemen il a molias de uis .pou teni ce langage que l'illustre insidecin de Pergame et, aprta avoir tu es commentatres de ce dernier, o ne retirer qu'un mediocre fruit de ceuxdu pros seu d'Alexandrie. οὐ ut placer, fulvani κ. Bietet, a peuiris au m&ne temps quo Palladius Iean d'Alexandrie, donici nous restem fragmenti'un commoniaire surde Trait decia naιure dea'e fant. et erit, qui 'estias inutile a 'interpretation de rouvrage hippocratique, nous apprend que te Traiae deua nature de rensanoavait Me commento plusleurs Mis Aucun doces commentatres n'est venuciusqui nous; celui de Iean est Ieseul qui ait ne conserve encore est Lincomplet δ' remarque ne citation de Democrite, qui dimit si est I'intelligence, qui volt, e'est rintelligenc qui eniend tout te reste dans te corps est aveugio et fourd maean commetu'erreur chronologique de placer Hippocrate apres Platon. O manque de renseignemens fur stiennela'Athenes on te conson ordinatrement avec unis uir stienne d Alexandrie mais, fulvant M. Bielg ce soni deux personnages disserenis; et celut 'Alexandri etait uii alchimiste on ignore χpoque ou stienne d'Athenes a vecu. . Biet ne semitia eloigne de te latre contemporai de reinpereur Heraclius cependanti observe qu'il se trouve, dans te commentiare 'quenne surrae iure therapeutique de Galien adresse a Glaveon des mot qui paruissent d'une gracite beau up plus recente quecette epoque quo γ'il en soli, tuenne est certainementae plus important deuous es commentateum moderne d Iippocrate. Non possedon de lutis commentatre surdes Aphο-riames, et univire surde Pronostie. Ces detix Ovvrages, qui ontite publiε pou la premiere Dis enare par M. Biela, sormentin utile complement aux commentatres de alien lui-mdine onoamuis des explications des rapprochementa et des citations que ron chercherait vainement allieum. Bella a renduis velait te service a rerudition dieale en donnantnne sidition de cet auteur. Au reste ce qui ioute encor a I'incertitude suratienne χ'est que des commenta ires quison identique dans une grande tendue aveccles siens portent te nom de Meldtius. Est ce sithilus ou quenne qui en est''auteur' Theophile ou Philollisie ear c'est probablementae meme nom et lemsime personnage est appete dans les anciens manuscriis medecin protospathaire, o ches des gardes, moine et philosophe. II sui certainement chretien, et Fabricius croi qu'il ecuti temps dea'emp reur Heraclius on preten generalement qu'it latue prsicepinu d'stienne, mais M. Bieta esteontraire a cette opinion, et ii montre que hsiophile n'esi'u'un abreviateur de explications d'Εtienne. Le commentatre qui nous reste de Theophile est surdes Aphorismea Ce Theophilene saltias prouue 'independanee 'esprit a propos de raphorismo ui'amuxta sang dans , Iecmamelles checles semines annonceda solle. Oheophile remarque que Galien regat de eeite proposition commessausse, puis in Outeri u Comine nous favons qu'Hippocrate ne s'estv amat trompe, nous riouterons, pou corriger alien, que e phe niene a sitsi obseresi, mais rarement, par Hippocrate quant a nous, nouin'en avons amat vula'exemple. Il saut metire Leoth des abreviateum comme Theophile, Bamascius, doni M. Bieta caussi Publielour la premiere scis en Mecue commentatre surdes Aphoriames Aprδcces ΦcriVains, Iesarauaux des Grees vont en se ratentissant de plus en plus maicies Arabes leur succedent dans la culture de lime lecine iis traduisent et commentent a leur inur Hippocrate jusqu'aumomentiva'occident reprend te sceptre des sciences.

La traductionclatineque Pelops avait donne des Aphorismea nyost pacta seule quea'antiquite ait possed . Cassiodore, qui aves ete ministre de Thωdorie, mi des ostrogotha, ite

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une traduction latine d'Hippoerate qaei recommande, ave Galien et Coelis urelianus, commoda fource de 1'instruction medicate. Je me suis attache, dans la liste de commentateur que te lecteu vient de par urir, a doniae auiant de delatis querieri'aiis fur ceu doniae sierit ont completemen pelai passant beaucou plus sigerement fur ceu qui subsistent encore, et qui Mant entre les mains s medecins, peuventitre lacilement consulisis. Cette liste, outre les rense nementa qu'elle Murni sura'εtude declines hippocratiques, surdes homines qui ' sontatures, surda transmission des doctrines, cette iste, disese, donne une solution positive de deux question capitales dans Oute a critique desolariis qui portenti nomis'Hippocrate. Ces deux questions soni la determinatio de la date la plus ancienno a laquelle on mut reporter la collection hippocratique elle que nous la possedon encore, et rauthentici te generale de ces texies dans leur transmissio depuis cetis date juriu' nos

Xsinoerite de Cos avait explique les motis les plus dissiciles de cetis collection Bacchius, apres tui, en avai sat aulant Philinus Mait combaitu Bacchius, et Philinus avait te aud Dur d'Herophile. Ce que nous favons de ces explications Onae verra dans te hapitre sui-Vani montre qu'elles avalent porta fur ensemble de Ilures hippocratiques Mnsi Xen erite etant anterieu a Bacchius, non seulement les successeum d'Herophile, mais encore sesconteinporains, oni travaille surrensemble des lix res ita,'nippocrate Ce resultat obtenupa des recherches directes, concorde d'une auire pari avec ne phrasedete en passant par Galien, ouis medetan dit que, des 'epoque 'frasistrate, a derniere parti du tralia duRegime danaues maladies atques etait jointe acla premiere Uepoque decla publication de lacollection hippocratique est donc forcement reporte au temps meme ο Ont vecu Herophile et grasistrate, 'est-1-dire a ce'u'iij a de plus antique dans la sontation des eludes de mede- cine et d'erudition is Alexandrie. Une aussi longue sἡrie de commentateum, qui commenco haerophile, trois cenis ans avant J.-ta, et qui se termine plusleurs siecies apros, monue que rari de la critique a embrassε, dans l'antiquite, toute les parties qui soni de so ressori corrections du texte hippocratique discussions fur rauthenticite des erit ; et explications sur Ies theories medicales Anous, qui venonisi longiemps pres eo, intelligene des doctrines est plus lacile que laconnaissance des caracteres qui sontra'authenticii de te ovael crit. Cette lacu ne dans nosmoyens 'exploratio donne une importance d'autant plus grande a laut celaui a etsi sinusidet critique ancienne, ures, jugementa, conjectures, indices fugitiss mentions rapides, allusions et citations queri'on uoudrait plus developpsies, mais que ron chei cherat vainementailleure Matheureusemen cesicrivaliis ne nousint mis que dans unieti no re de eas enotat d'apprecte les motist qui deserminalent leur opinion surda legitimit ou l'illegitimitydes diffsirenis ecrita de la collectio hippocratique. Si dans ce qui nous reste d'eux, nous trou-Vions leura jugement plus fovvent motives, cela seu nous communique ratione parti des notions qui leur elatent encore accessibies, et qui on cesset de l'etreiour nous Malges cette insumsance, leur succession si bien suivie leum travaux si multiplies, leuriespriis si divere, leuripolemique si vive, sontinuisu de ages et d'assurances pourda critique moderne pendant Oute la periode de tempsisu'iis embrassent omne peu nier, pres cet expossi, que,toutes les scis qu'ilcs'aecordent fur unioint, leur opinion devient d'un grand Mids cariis on beaueou examin&e beaveou debattv II resulte encore dela suile non inter'ompus de commentateursioni j viens dessa ire passer la revue a lecteur, que les texies declivres hippocratiques sontra, dies, interpretes et fixsis dans leur ensemble depulsine antiquite quine remonte paca molns de trois centa ansavantia.ή. que chacu de ces commentateur a donne 4our 'epoque ou illa ecu, ne sorte de copie legalisee des livres hippocratiques; quo par consequent ces texies, sau les erreurs des copistes, ni une incontestabie auste

licitε, meme dans ce qu'il on de plus obscur et de plus incomplet Cela'est pacis molns importante des conclusion que j'ai vovi tire de rεnumεration exacte de tant de livres quioni presque laus peri, de tant d'ecrivain donici ne nous reste que des mentions fugitives-

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II existat dans rantiquit de tables o listes qui soliqu'elles lassent destinees Lunauteur unique, scit qu'elles s'etendissent a tout une branche de litterature , contenaientrindication declivres Galien sat mention d 'une liste semblabie et e pariant d'un ouvrage te Traue dea Glandesin, que nous possMons encore, it oute, our en confirmerci'illisitnmitsi, que ceux-δmes qui Ont compossides tablesi'emon pas parisi. Si uide ces index otait parvenit juriu' nous il nous Osistrai eertainement des renseignement precieux et quandmeine u se ornerat Dune shche nomenclature, ilious apprendrait encore quelle linit, aumomentouri avai etsi compossi, ta listo des erit admis comme hippocratiques. A desauid'un tes document, it lautissimi et compare les indications qui soni ἡparses dans disserenis

8 I'On se appelle e que i, di dans Ieschapitre iv, oves, rasse te les plus anciens tἡmoignages fur Hippocrate, O comprendra qu'il semit inutile de hercher, dans Ι'inte valle qui a preced&retablissement de grandes bibliothδquos et de I ruditio alexandrine. une trace fulvie desineriis hippoeratiques. Sicl'on rapproche de cetis donnhe celles qui ontεt lavrnies par te chapitre rhchdent, ura'on a v que les trauaux surci'ensemble de lacollectioine remontentias auincla de Xenocrit et d'flerophile in trouvera, dans ce doubiorsisultat, latreuve qu'illa'estias possibie 'etendre, sumtovis la collection, des Iu ἡres quimanquent absolumen et qui sans doute ont manquelata te momen meme o Ies oeuvres hippocratiques, multiplisies parda copie acquirent beaucou plus de publicite qu'au paravant. Ce soni deux satis connexes, et fur rinterpretation desqueis e reviendra dans uides chapitres uiuanta, a fauoi que, 'une pari, usqu' un certain moment, a plupari desωriis diis hippocratiques Ont εω peii connus, peu repandus, n'on passε que dans, petit no re de mains, e qui est prouue parcia raret des citations dans Iesinerivain contem p rainio immεdialement subsoluenta, et que. 'une auire part la collectio hippocratique parati subitement, sorme eompisitemen et livre a rinterprsitation des commentateum avectoutes le incertitudes qui regnent sumses origines et tonte la consusion queci, a dia signate et que j, signatera encore, peu plus Ioin Laissons Onc provisoirement de colola premiere sipoque, qui embrasse environ centarente ans Iaissons de cote la recherche des causes d'incertitude et deri tat de confusion ou reti collection4'est trouvsie δ les pr mlers temps, et examinon a I'aide dea'ancienne exegἡse donides livres hippocratiques Ont δή i'Objet quela parmi ces livrecontriait, dans tantiquite, partie decla collection, suiVant quel otare ilioni in rangsis, combien nous en avons perdu, et eombion chos singultiset nous en avons de plus Cette elude preliminatre est indispensabie mur la solution des que tionsiliarieures elle donne decrenseimement postula elle et litae canon de la collectionhipy ratique pou une epoque certaine; 'estin mini fixe de plus dans une eruion dissicile

Que d&a'antique periode des premier commentateurs Ieclivres hippocratiques alent exist mus Orme de collection, 'est ceriu'il est possibio de stire voir quandaroue et salie nous apprennent que Xen rite, que Bacetius, Philinus et Glaucias ce sontes lea

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plus aneiens on expliγε les mola obscura de ces livres, iis ne sontiumne ineme Mur telou telarait commemyantite exclus duaravail de ces interpretes evideminent, inutis que Galien et Dotie connaissalento avait te compris is meme remarque 'applique a Ber elide de arente et a Zeuxis, quiis, aientias redige de glossaires hippocratiques, mala qui avalent commente toutes tes oeupres dRippocrate. In utraues oeuores d'Hippocrate, dans Ia bouehe detratie et de Galien signifient celles qu'iis connaismient, celles Ou Glaucias, Philinus Bacchius et Xenocrite avalent dria clatret certaines dissiculte de langage. II serat alse si on avait fous lecyeucles oeuvres de ces critiques, de fauoi quelle liuit, de leur temps I'opinion la plus enisale surcle canon hippocratique Mais de ces ravaux, qui nous feralent si utiles rien ne nous reste que des lambeaucepars de ne uis don don-nertia avis de Bacelitus , ni ravis d'Heraclide o de Zeuxis, surda totalit de la Collection. Seulemenide nostrai tout coeque 4 divers titres, nous smons surra'existenoe . so Me nomd Hippocrate de telis telaraite, au'sipoque reculee'u'ic je considἡre. Ηhrophile avait commente a Pronostie; c'est te plus ancien commentateumque nous eo naissions Je ne disias glossographo car Xenocrite est a Peu preis son contemporala. oueeette date siloiμεe, qui atteint les premiἡres annees duamistente siacle avant J.-α la listo se borne , cet Ouvrage car duaravail de Xenocriterit ne nous aete conservi qu'ummot, et eo mot comme jest,i deha dit, se trouve apparieni a Pronosιω. ehoix saltiar'εmphile porterat alamire que te Pronostia jοuissait, dans te anciennes coles medieales de plus rautoriis et de rεputation que Ies autres livres hippocratiques; et je montremi pius loli remarque qui vient kl'appvi qu'Erasistrate Da ait sans ouis allusion in disant, a propos dea'urine noire, qui est de sachelix augure, que cela est erit dans dea signea quo qu'il en soli il est bon de noter, ouru'histoire decla Collectio hi meratique, que te seul livre qui ait ete commento aulasibui des commentatres idimu sue Hippocrate, est Ie Pronostis: d utant plus que cetraite a des liaisons intimes avee 'autres irailsis doni l'authenticite sera demontree dans Ieschapitrerit; de telle sorte que la critique desermine, de ditarenta coisis a laetois ses recherches et ses resultata. B apres les renset emenis Murnis par groiten et par Galien, o reconnali que Bacchius aves travailla surde Pronosties surda 7 seetion des Aphoriamea et sans doute surries Aph riamea tout entiem; surdei diure des Prorrheιiques; surtei' , I Iu' le P iures des idemies par consequent surdes sepi livres surri livre de Platea da a uis fur letralia de PAir , desina uae et dea Lisuae cela resulte d'une explication donnee par son abrovialeur Epicles, surrummo de ce traiiel surde livre duraestime danaues maladies algues; surde traiis des Artieulationa surde traiisi des Instrumenta de riuuetion, avec PAppendiee

Phomme surae premier livre des Malaries Uimo murrait se apporter a 'opuscule urte comes mais dans grouen et dans Bacchius leto etia est laptousa, et dans te triato dumeu on t uve eulement aptet de sorte qu'il est douteucque la citation se apportoreellement a ce petit Iiure surdo Coeur Ces indications sontairoes, sol dera'existence deseommentatres de Bacchius fur certaincisaltsis Galien non apprendinu'il 'avait pas commente inute les cevvres dites hippocratiques in soli des explications qui fessalent partio doso Gιοasaire, et que Ila reconnait appariunt a descitvres determines de a Couection. Nais Erotion nous a conservia'interpretation de bo nombre d'autres mois qui sont mmmuns a plusteum traites ala mis, et doni jei'aiias, en onsinuence, ait usage. Ainsi ilressori clatrement de ces lambeaux du Glossaire de Bacchius, qu'il amice , fous lecyeux,d'autres livres hippocratique que ceu qui soni sevis mentionnsis dans te relevi clinessus. C'est une remisque qui vient confirme diraetementa'argument indirect que j'avais tire du

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seu explications de Philinus se apporteat, run au Pronostis . mire ac re des

auquel ce medeci avait consacre unaravati particulier. Bescitations prouuent que Zeuxis avait compris, dans On ommentatre merat, au

ouvrage laut entier. Au reste, cela est dit formellement alueum Galien , dans sommmmo inire surae livre de rAιiment, apportant umaphorisme, dic 'Rεraclide avali commento Vaphorisme ainst querious lec tres Iei'insisteri dessusque mur montremque lectae ne laisshes enire les renseignementa venus Fune si haut antiquise movent, dans maintes circonstanees, Otre eomblae avre certitude.

traii des Plates de lau/te, avait εω interpri par Euphorion et par Lysimaque de cogiil est question des explications de Philoni Mideaicile surae iret Io,r uises dea idemses,

8ans donne nne liste complete des nisages que et ouael eritique a rogardis commetiisant parti decla collectio hippoeratique les indications dissoninisset fugitivos que syas

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avait eommenti te traiia de la Nature de rensant mais e traii lui-mem est une inite duimitet de lameneration, et certainement Bacchius aves connu I'uniuisqu'il avait connuI'autre quandis rencontre latreuve γ'un commentateum explique une expression duriu'Mure des Gidemies et une expression du vi', il est indubitable que ses explicationcs'etem datent avx sep tivres. e meme aisonnement 'applique a ovies le lacunes importantesque presentent les indications raunies surrae trauaux critique des plus anciens commen

Ainsi, demi rage d 'Herophile et d'grasistrate, se derout une serie non interrompue detrauaux qui Ontiour laet Hippocrate , et a collectio qui porte son nom. lle est constiatusi des lora; et cependant ses impersections son desordre, ses obscurites et se incertitudes exercent, des Iors aussi, ouis a sagacite des critiques Cette remarque est don digned'attention, et jecla consigne ici commemne date importante dans Ι'histoire de ceti collection Auparavant on connait, oicite plusleur OuVrages 'Hippocrate, et o ne connait, ni nescite I'ensemble des oenures qui on etyrassemblees fous cetis commune appellation. Be-puis, elle est εtabliei'une maniere irrevocabie dans ses parties essentielles rae critiques Moutent ouyretranchent, selon leur propre jugement maistis en consacrent en mome temps, par leurs travavx, 'existence la composition et la tradition Visiblement elle et formee, en tant que Collection, a momentiu la landation des grandes bibliotheques publiques de-velopperent le out declivres et de rerudition. Bu reste, a celointi'histoire litteraire, qui merite plus γ'une indication passagere, uichapitre spεcia est reserve. Douen est te premiee donici nous reste une liste complete. Π importe decla rapporter icipuisque Sest te plus ancien monument de ce genre qui nous ait et conserve, et de laχο- parer aux indications tirem des Murres anterieures. II fame te Pronostie ieci' et te vlivres de Prorrhetique , en Houtant γ'i prouuera eslleurs que cet ouvragela'estias 'ssim

eoura de suppιieation. Comparons cetis liste aveo ce que nous favons de iistes dressees pardes commentateum me denis Erotien en exclutreellement les Prorrheιique par la remarque qu'il oint en tesy inscrivant; neanmoincles anciens, Bacchius enir,utres connaissalent te Prorrheιiques, dimoincla partie qui porte dans nos editions te titre de Premieratore, et qui est tres sem-Nable aux Prin ions de Coa. En seeondate , I admet, comme vraiment hippocratique, Ie traiia desivmeura contre l'opinion de Glaucias et d'Heraclide, qui regardaten ce liVro comme provenant d'une aure fource. En troisieme lieu, it exclut les renοιions eoaque , qui avalent ite admises par Bemetriusq'εpicurien En quatrieme teu, te traite des Semainea, elia par Philo leQuis commmune autorite hippocratique, ne figure pas dans te cataloguela'Lmum. En cinquieme teu, it nementionne pasto traiie qui dans uneradition portele utre de Premieratore des maladies, et qui aves cite par Bacchius. Ce sontia les seules ditarencesque, ues'insumsance des notions possεdees surdes trauaux des anciens commentateum, nous puission signater avec certitude Il est inutile 'liablir aucune comitaraison entre la isted'grotien et lectistes preetilentes dans letu de vola ce que a premiere a de plus que essem es, carie cesses-c nous ne possedonsque de fragmenta qui ne permetient aucunrapprochement de ce genre. B'tioue a Galien i se uouve u grand nombre de commentateurs donides eunesint totalement pεri. Comme leur iamoignages 'on plus a me in importance que ceu des

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