Oeuvres

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ARGUMENT.landem les distinetio intre ees maladies, sinon surdes hypothties concum d'apessa Hisqu'on salsait aloes joue a Niumeu bilieuse Au reste, nous en avons,depense u uehantillan dans te seeon et te troisieme livres Des maladie decla collectio hippocratique, et laom ut se convainere que les dicunctions reposent surdes signes incertains, uotis et nul ment propres a servi de base a de veritabies es e . La methode des medeeins enidiens prodessit te livre de Sentenera enidiennea nous ne PDuvon plus te juger neanmoin il est certain qu nippocrate en sui mal satisfait Hippocrate aves eae eleve Lune auire ecole, it etait en possession Sune ide generale qui tui ouumit un si apercu dans la science, et appuye sudicetis base, i Duvat dire, commo illa dit enestet: ia medecine est des longiemps en possession de inutes choses, en possession d'uns methode et 'unirineipe'u'elle a trouves avec ces uides, de nombreuses et excellentes decouvertes on et saltes dans te long coum des siωles, et te reste se deeouvrira si des homines capabies, instruiis des dee vertes anciennes, les prennent pourioint de departi de leum recherches , liqui sui dono nature de repousserae observationides Cnidiens qui Mur nous, semient depourvum de laut caractere de rigueur, et qui, pou tui etaient depourvum deuout signification utile Dia connaimance des signes et DI'application dos remedes. En consequence, ii suivit la vole ouverte par se peres et par ses malires, et lai sani de cote la recherehe des es em de chaque malassio, ii se mi ad recherche des espeees de retat generat dans de grandes categori χ'affections les monumentiles plus importanis qui nous restent de lui, soni relatis avx maladies algusis febriles. o peut dono mutent qu'ssippoerale eui mison dans sa polemique aveccles Cnidiens; mais euυil misoni'une maniere absolue ou seulement d'une manter relative Iei, i laut quenous jugions la questio , pendante entre tui et les Cnidiens, duioint de me moderne jusqu' cesve celoint de ue, qui est te notro, soli a son inur devenu ancien et remis a saylace par rappreciatio que notre posterite doli latre Or, e ne crain pas de te dire, lai thod des Cnidiens, e'est-h-dire la distinction de plus en plus exacte des es ces des mala- dies est unaravail auquel en ce moment les modernes se dmouent avec te plus de gele et avec lo plus deleuit Les detatis de ranatomi pathologique l'observatio serupuleus des symptomes pendant la vie,4'etude chimique des humeurs, inui conmuri hin grandiu qui est d'augmenter, de jour en our, la precision du diagnostic. L'introduction decla statistiquo dans la medecine est une des expression de ce emin nouueau et sancs'en douter, ceuxqui invoquent avec te plus de aete la methode numerique sont, par des degres eloignesmais certains, les heritierides medecitis de recole de Cnide et les defenseum de re qui sutiadis muten dans leuiure, arioues'hui perdit, des Sentenee enidiennea. 8ILm'est permis, dans ce grave debat fouleve depuis si longiemps et donicie viens d'op se les traiis principaux s'il est permis, disrie. 'exprimer 'opinion que je me suis satis, j' outem que la preeision et liminuti des detatis dans l'observation ne seronidamais imp grandes o peu choisi ente les satis chaque delati ici est uisait ceu que ron regatas comme plus important acla science contemporat ne et mmme allant plus direetemen auxidem generales mais, quandi observe, nul choicn'est permis enire les satis laus on undroit gal aratre recueillis te moinde appartient his merueilleucensemble decla naturo donta prosondeur attire acla Dis et Maie nou esprit Les, et qn'elle nous presente prennent a nos eux, quan nous favonsa donnerri'attention qu'il meritent une realite qui satisfait te plus pleinementi'intelligene humatne, cariis sonta lalais substance et ideo; sub tances pilisqu'il appartiennent augran inut hors duquel nous ne pouvonsiten imaginer; idee, pulmu'ilcontine signification, n rappori et uniola Ie pense dono'u'it Uest si minee

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ressant de rectereber ces traces, presque effaceos, des meditations d'nippocrate. Expliquant quo, si la maladio est de nature seeho, Plaut lavantiadministration de lapιioane enιiere, latre prendre ou de rhydromel ou dubi ou ce qui conviendra ivriouinci ea qui eonvient auiuantaea ea afra mylique. Et alueursis uine humectation prompto et abondante annoneo la promptitude decla crise,une humectation plus lento et moindre en annone te retard. Ces obsorvations, en sol sonturales Mntralement, et it en est beau up d'autres, importantes'galement mur rinterpres tion des signes, vinci aera quesιion dans la auite. Et ailleum uians Iadministration des alimenta on songera heaueou molns Lajoui 'u'. retrancher, Puisque -meis retranchemon absol est d'une grando utilito dans lea casouae malade murra se fouisvir jusqu'au momentiu la maladie, arrivω a son summum, ait subia coetion Ie realtera dea eireonatanees ou i faudra auiore eeιι τυιe. Et alueum Me ne vois pas que les m&leein mehent comment i laut reconnalire, dansles maladies algusis, si is stibi se provient ou des evacuations o de quelque irritation Oude la fouffrance, o de laeuiis du mal. . . . de donnerata Gιni dea aisne qui apprenuens adiaιinguer era disseonis με. Et ailleuri: Ii ne lautias se servi de laiιisane enitere avant quod eootio de la -- adie ne mi arrivis ouriu'il ne sol montre que vos signes de vacuite o d irritatio dans IIntestin ou dans thymehondre, tela que leues diarisai. Et aille scia driections bilieusMimnes... no soni pascesser rardeur des hypochondres,maisa'acoroissent elim causent de rangoisse et dea'agitation, et tendent a ulcereres'intestinet lo strue Pen eortraiae rem/dea. , Et aisse scitans quel eas sau ii se servi deI'eau poli Misson 'mans quel cas en latro ire Maucou ou modorlinent Bans quel eas la prende Doldo ou chaude Cest e qui a δε dit, ou e qui aera dica momen convenable. Et ailleum 4numerant dissirentes sortes de Missons Hippocrate jouinci κώ'δerirat, actoque maladie, dans que eas i faut en fatre Mage, ainsique dea medieamenta composis it quBippocrate ait traiini noment ehacun des minis que e viens de metire fous les Dux dilecteur, mi que se annonees solent resines h l'eia de simples promesses, Oriourses ii qu'ον ut reconnalire su quoi sos indes portalent principalement. 8'applique xl'interpination des signes, mehercherquelle tua veritable nature de lariathlesse dans laquetis te malade est long , examine s'iliourra se foutentes, algee uno abstinence complMe, jumu'au moment de la coetion, explique quelles sonides Missons qui conviennent te mi xsuivant ritat, indique les remἡdes par tesquel on doli lem re et arrete les diections bilimses, ensin preferire les intilicamenta compossis qu'il imporis d'administre dans chaque maladio telisont les ob eis furto uel Hippoorato avait terit ou dimoins vidita Cet ensem-hle est certainement considεrable et toucho a des minis tres importanis. Je remamuerat aeuiument mmme caractore qui distinguo la modecine de cos de laiεdecine moderne, qu'iln'ostias questioni'une description detesnee dos maladios; e qui occupe ipmerate, en'estias de dεerire chaque affectioni particulier, e' id'en salsi tes earaciares ineraux et σεtabur, suries caracteres, des regles rualemoni intrates. Eid'autres termes, teir

avatis si donnes a latratique cuirurgiuale quan ii di dans de traiis ci qui dui ιπσ

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uisur possibιe, illae reporte evideminent, paria pens , aux pansementa et aux operations. It pratiqvait done, ad sol et avectia meme reflexion, la chirurgi et laildecine, et ron no it plus s'etonne qu'il ait laissi des livros alement importanis surces deux branchesdei'art. on volt par cerimite que la therapeutique 'Hippocrate emplοyait, grandisombre de rem es Italisine les msideein enidiens d'en employer tropiseu dans les maladies chroni-ques hil parte lui-mome de la m nee d'embroeations de differentes esμces dans la douleurde coin, de purgatis divere de suppositoires B existait, dM ce temps-la, des moyens pharmaceutiques lari nombreuxhil est meheux mur notre connaissance de 'ancienne therapou-uque, que te trait dans teque Rippocrate promet d'examine remplo de ces moyens dans ehaque maladie, n'aitias etε compose o ne sottias parvenu Lia postsirite. BM avant Hippocrate, o savait associe les substances pou dissimule des qualites desa- greabies de certains medicamenta Hippocrate eite la combinaiso de quelque plantes arom liques avec des purgatiis, et ii remaeque queae ehoix de ces excipientcn'estias indifferent, et qu'ils Ont des consorinites diverses et respectives avec te substances actives qu'On euis

incorporer.

Hippocrate nous instruit lui-meme decla pari qu)il se ait. 8vivant tui, es aneiensis'ontrie eerit4'important surdo regime des malades, et ii a consigne dans son livre des obse vations qui avalentinae negligees par ara predἡeMaevra I e celenseignement ii resulte quo leregime alimentatre des malades n'avaitias et fixe avec exactitude, avant Hippocrate, dans es 4crita medieaux, et qu'il etait abandonni Lia mutine de latratique pluto que dirige pardes Observations preelses Cest evite precision qu'Hippocrate se flatis Fauoi apporto dans uuis et qui est de la plus haut importanee pou te saluties malades O peucemire quisses idees d'nippoerate ont lia inurnees de ce eote par les innovations de la gymnasiique, ut auri travaille a regulariser te regime des gens Non portant pou augmenter leur is es et leur aptitude aux exertae . Ce dire d'nippocrate coIncide donclave ce que nou savonsu'ailleurs surdes premiersarauaux relatus au regiemen d regime alimentatre. Si Hippocrate commerit lo ditaui-momo et commeritis in aueu motis aison nable d'endouter a regia te regime des malados pendant les affections algusis, laisis, iuriu'alore, aucaprice ο acla routine ii a renduin eand service a rhumanite fouffrante, uti service doninous profitoncisus lectoum, et doni ii est justo que nous lassion remoliter jusqu'a lui la

De mld ins, enis,utres Beoussais dansson iure desphlagmasias ehroniqueo, Ont remamuδque, dans les affections algues de la potuine, une alimentatio tro considerable etait exire mement cheuse, qu'elle exasperat to cles accidenis, et qu'elle les rendat promptement morteis. Cette remamve est d'accord aveca'observationi'nippoerate ce medecima prisci ii temen tes affections algues des munions comine exemplo rappant des casi te mal s'accroit Mid4rahlementiara'administration d'alimentio tro copleuco tro substantieis. Remarquonscio uno opinion et uno expression qu'Hippocrate attribue avx anciens tesaneiens Mur dippoerale sontion nous 'uno haut antiquite . Iis regardaten commost πω ei iis appetaient de eo nomisso qui suocombalent rapidemcnt a 'orthopnee et aurale, et surda mitrine desqueis on remaequali des lividites sans doute cadaveriques). Celaremn a reapression posterieuro des Latins siderati, dans laqueti te caractere des opinion qui avalent dicto uno parvilio dinomination est encore plus manifeste Les sideraιi apparuennent a cadro de eos instietions divinea qui avalent dii donne a repilepsie te nomde 3acrae, et contre lesquelles Bippoerate a Milt quesque lignes dans son traiie des Atra, des uae e de Lieuae. L mantem de procede quo fuit Hippoctate dans es traiiu est facile a salsir Bes effetanuisibies que causeri'administration des alimenta, it -ruit, par ne vote tout experimentale et par utraisonnement inui legitime les regles . observe dans io regime alimentatre: mais ici se presente uno observation qui n'estias sans importance Mur comprendre quelis

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ARGUMENT.

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qu'illa, pas salsi tes dissorenem qui siparentin stylo aneten comine eeluid'llippoerate, d'unstyle moderne comme celui de Galienis dans te die ancien ta svite duisaisonnenient est dans Ies idem, mala elle est peu marquee dans les mois eux-memes; te Myle moderne aueontraire, exige que cetis suit sol aussi indique par la Glactionissime, et que te lectave sol ainst averti, de moment e moment, du progres que auisur fiat dans la deductio doso theine Ce caractere que je viens de signate dans te stylo ancien est une des misons qui rendent difficile a traductio des uvrages venus d'une haute antiquite. Quand on a traduit aveo I'exactitude la plus scrupuleuse, ο est lautinisnnsi, en elisant, indisendam-ment du texte, la traduction qui vient diue salte, de voirriu'elle est dei usue sanctiaison. obscure par cela meme et qu'esse ne ripon nullement a l'image que 'original avali latas dans resprit du traducteur. Il saut aloes suppleer a ce qui manque, par des artifices de lan-gage qui rendent evidente une connexion qui plus ou molns visibis dans Ilauisuraui eme, a bescini'etre marque d'une lacon caracteristique dans la traductio Dancesse. de ne sonscrtra doncias a reproche que Galien sal a Hippocrate. IPHouisiour justi-fier et pone attenue ad solice reproche: manice seu livre, qui est fous nos eis, ii est impossitile qu'Bippocrate ait tout dit convenablement et ait presente 'enseignement de ladoctrine dans te mellisur otare, d'autant plus qulii silai icia'invenisur. η cetis remaeque de Galienis te, murici I potnt de depari de que ues observations que e ne erois pasdεnules d'interet. Ii existe entre te Pron ιie et te traiis Bu risime de malaries atques, ne dissereneo extremement notabie dans te mode d'exposition. utant Hippocrate procede, dans le P nostis, avec une assurance dogmatique et en homine qui ex se ne doctrine et Iie, autantit emptote, dans te traiia Du risime de maladiea atques, 'argumentatio par vole de mi-sonnement, d'exemples et d'analogies. Si nous nous reporto in thrigine de ces deuclive . nous nous rendrons compte de la dissemblance qu'il presenteni Dcet Nard. Le Pro. ιὰ ille,sictgsi comme Pa sat voles .amerins dans in These, dont j. adopiades conclusio .d'apros des maioriaux qui''appartiennent pas allippocrate, et qui onceu uno grande autoriistpouraui. Ces maioriaux sonides Prenοιiona de Cos Hippocrate ne crut pas avolat oin doprouverie qui initItabli par les observationides Asclsipiades, et ii se contenta de metire, fouila sormo d'un traiieς dogmatique, e qui εinit Mucia sorme de propositions delache . et d'en latrein ensemble et u inut. Il en est autrement dans te trait4iu risime dea mala- diea atquea lacii est invenisur ari'aide de se observations personnelles, illa' Disit des regle qui sont en contradictio aveccles regles des medecius, se contemporians it combat les propositionides avtres en meme temps'u'ilitablicles siennes B est done natures quIlchange de mode 'exposition et qu'il discute dans ce traiie , a neu d' pose de re es comme da de Pronoaι . II me se te que res reflexion peuventilane condulae plus Ioin, et eis quaeque iove surda chronologie relative desineriis dBippocrate. Be ce que te Pronostia est ridio uniqum ment avecties Prenoιiona de Coa de ceriu'ssippocrate nest te truchement de doctrines qu'uadopte mais qui ne tui appartiennentias d'observationsinaei emptote, mala M'il a re ea de se peres qui talent ses malaemon' Nilias perinis de conclure que cet ouvrage est uno productio de fa eunesse, 'un tempsisu illae hornait ad gloire de metire en aeuum Ies

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eonsigne ita eos talis de eritique intrinseque meitiemant, quandri'en aurai uni unitus

grandinombre, 'essa e de les systemauser. mpmerate ayant dit que ies me cinine faventias distinguer out emque notre nature et notre constitutionis endrent d'ageetion et de formes diverses, aiovis r u Et cependant Iaeonnaissanee o rignoranee desees Goses cause Iesalutolla mort on rencontre Muvent. Hans Hippocrate de ces pensem qui monuent iusqu' quelle prosondeur elatent entrem dans son esprit la gravite des dangere perpetuet qui nous assiegent de laus cotes et la necessitet decla furveillance la plus prudente et Ia plus imureus decla part du medeein ILavait vumainte sola la vie se briser, commoda chosed plus ragile, coatre te hasar te plus inopine, contre recari, en apparene . te plus inoffensis, et i avest senti Flau mille de tant daehances imprevum qui nous donnent tori si fouvent et si gravement, ii importat de inutiatretour metire sa responsabilite e regie cetis responsabilite pese, sans doute, fur noustous tant que nou sommes, maicia profession medicate est une de celles in elle est la plus pesante, et je salsis avec satisfaction cetis occasion decla rappeter a nomχ'Rippocrate, danstin temps ou rexigeuce morale emita mesure que croitu'exigence scientisique.

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diverses fulvant les cas, et quelques-unes ont

delim portanee pou rinterpretation des signes. or, quandrit4'agit de cetis interpretation pour rapplique auaraiiument, e disyre, en beau- eou de potnis, d modera expositio qu'ontpricles auteum de Sentenees enidiennea, et je leur resuse molassentiment, non eulsinentpou cette raison mais encore parce quat se soni servis d'untres petit nombre de remedes, ea toute leur therapeutique se borne, excepte

dans les maladies almes, a preserire des medi- eamenta purgatiti, du petit lait et dilait, suia vant I'opportuniti. Si ces remedes etaientions et 'ils eonvenalent aux maladies urgesquellesus Ont 4tε preseriis, iis seratenti'autant plus dignes de Iouanges que te nombre en est petit et que ouriant iis remptimient leur obiet;

ignori ni tes diverses saces que prsisentent Iesmaiadies, ni leum division multiples mais, uoulant desnontrer avre emetitude les varietas de etaque maladie, iis se soni ruarta car, sans doute, te dino rement ne semitias facile si, pour aractimis partagora'une malassi en phoes, ni herehait en quoi unias differe

sans douleur, ii lauta opere ave te molns dedouleur possibie et ainst dans laut te reste, illauos Gree dea'emporter surdes autres ensaisant mieux'u'eux de donnerais furtout deshloges a m&s in qui aurait se eo uireave une habitet superieure, dans te mal dies algues, qui sont les plus lanestes . rhumanith Les maladies algues soni celles que lasanciens on nonimδει pleurisie Peripneum nimis sinius 'Mhargie, causus, et les antres affections qui eidsipendent et o la fievis est genetralement continue quandri ne regne pasεpidlmiquementisne forme commune de ma- ladies pestilenticiles, malique les affections. etant sporadiques soni semblabies a celles quislvissent habituelloment alor il meuri partes maladies algusis bien plus de monde quo par toutes le autres reuntes Le vulgaire ne connait uδre les til in plus habiles queles autem a soigne ces affections et ii est plus dispos a Ioue et a lame les m&lieations extraordinatres se qui prouue encore manifestement que ces maladies soni celles doni ilestae molns capablo''apprecie te traiiement,c'est que ceu qui ne sontias mω ins parat sent eis medeeins, iustement dans e qui regarde ces affections Il est facile, en esset,d'apprendreae nomides substanees quM Estd'usaged'administris dans em eas. oin, Pisaqu* nomme la demetioid'orge, vivi tes oretet, hydromes et te vulgaire qui volt que Ioa

gine que lesio cles ordonnent de is lason queam mavvais mais illa'en est et en elacito centre les mi eius Iesuria grandes diffisenem.

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A ce Mint, on est dispose a comparer a mεd eine ave l'ari des devinc te devin regardent te nitine iseau contane de hon augurea'il volo a Duche eomine de mauuais auguroci volo admite e se lablement dei'inspectio des eueratum iis urent dos inductio dissἡreotes, vivant ius disserent cas mala d,utres devius Ont, surdes mames cli es, de

avia dia tralement opposis Je dis done quela question quo te visus de s love est helle et inuine a latiu et des potuis de rari mistical

met, non augmenter progressivement lamesure et o I donnera Deucaussi, Dux lais, selon que les solicen sera sentir quant

mesure de la docoction d'orge ear ne humectation prompte et abondante annonceda prommtitude decla erise, une humectation plus lente et oindre en annoncedo retard. Ces observations, en Mi soni urales mio alement, et itinx te mucoupra'autres, importantes gal ment, qui servent de signes, et doni ii sera question inui ara'heure Plus lectvacuations son abondantes, plus il aut augmenter aquautisside la dωoelion dχNejusquila erise; et m/ine on observera te regime, deux Oursen re auineis, sol que la maladie paraisse se

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o donnera, te malin decla dεcoctioid'orge, et te sol oncla remplacera par des aliments. Telles sonidestrules a suture, en insires, dansle regime dos malades qui, tacie dibut ont puratre mica rufage de Ia decoctio d'orge non passεo Be cetis lacon, Iecdouleues dansles affections pleuresique,cessent aussito spontancinent quandisne expectoration quelquere considεrable commenc a 'sitabile lostvacuations soni bien plus completes, Iecem-ntines se lamen molns que ous mautre regime, et les erises soni plus simples, plus dleisives et molns friettos auc-idives. 3. La leoctio dest tro prεparte avecromeda mellieure et aussi bion culi quelo

verius de laχεcoction, te coulant qu'elle a saltque Tomo avalω ne nuitias nullo parcelleu'adhere ni ne carrete en passant par les conduit qui traversent Ia potuine. Ἀχωoction a mieucculte est Ia plus mulante, I plus desaliarante la plus digestibio, cello qui r sisteae molns Lllaetion de restomac et elle ahesian de inutos ces qualitas. Besson coia, si lemεdecimne prendia inutes le precautions mur que administratio de a decoctiond'orge remplisse Omplesement solo et ii enrMultera des in nusinionis multipli pour lomalade M esset, quan testatiores excr mentitiesses restent dans les intestins rad-nistratio de laχε clion large, vani unetvacuation priadabis, exaspereracla doulsu si elle existe dia, et la produla aussito si ellen'existe M la respiratio deviendra plus frequente ce qui estis mal ea cettes quenee dess4che letoumon et saligue les hyp ehondres. 'hypogastre et is diaphrame. Autre prεeaution a prendrecta douleur de coth persiste ave continuita, elle ne Me pas auxembrocations; rexpectoration, lain de se Iaire. devient visqueuse, sans coctionidans cetiniat, si les decline rasout pacta douleur o par decisaeuations alvines o par rouverture dola veine, vivant elui de ces moyens qui paratira convenable, et qu'il prescrive radministration do laχεeoctioni'Orge, I mori des malades ne tardera pas a furvenir Par cesraisons et par dautres encore plus efficaces,les malades mis Ll'usage de la dωoetion dχego non passε succombent te septilane jour et msime plus tot les uns prista destre les autres tousses par orthopnee et par te rate. Cest a ces malades que les anciens appliquatentia dδnomination de frames, a cause de leurmor rapide et aussi parce'u'apessese decδs,le eot est trouu livide comme si v coupavait hi resu; et esset resulte de re qu'iis

perissent avant que la douleur ne se risolve. Car promptementes respiration4'embarrasse; rhales iovenant Dinuente et pricipiiω les crachata prennent, commeritis in dit plus haut, une viscosita sans metion, qui en emps ehe rexpulsion areotia dans les voles pulmonaires, iis produisent Iorale et quandae male est a celoint, a mori est gεnεralementinivitable carcies rachala, retenus, 'unis parinem chenci'air de pεnεtrer au-dedans, etd'autre par te orcon a se porterisu dehors avec rapiditε ocainsido mal aide au mali lex orachata retenus, precipitentes respiration; Ia respiration, precipitoe, ren tes rachatavisqueu et me obstactera leur sortie. Ces. accidenis furviennent non-seulement quandina

dra de preserire la dω tion d'orgo non passie, iusqu* ceriu'il suppos que les mauises alia mentatres soni descendues dans la partie ins rieure deci'intestin. 'il ressent quesque dou-Ieur. O lui sera prendre de Missons cesera dea'oxymel, chaud en ete, fimae en hiver et, si l'alteratio est grande, o preserim disrhydrome et dea'eau. Plus tard si quelquo douisur se lait sentir, ou s'il se manifeste queruque symptome tangereux, on donneracla d coctioid'orgo non pasiae clatre et on petito quantissi, mais omne la donnera, si te malis.

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