Oeuvres

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1. Cesui qui eut approlandi la medecine, dest latro e qui fuit II eonfido era Sabord

mala eneor dans chacuneis'elle les vicissitudes apportent de notabies differences pulsi examinera queis sont les venis haud et Dolds, surisu ceo qui soni commvns Dioustes pays, ensuit ceux qui soni propres h ch que locvitia. II est necessalae aussi de eo nailredes qualites des min, qui, si elles disi rent parda saveur et parde polds, ne different pas molns parteum proprietes Bonc, oraqu'unmvileein aeriue dans une villa haut inconnue. II en observera I siluation et les rapporis Meetes venis et aveo te leve du soleu, a les memes esset ne soni pa produit par ne expositionis nord, ou au missi, ou au levant, ou au muchant Ii aequerra des notion uti preesses surda nature des mucdon Iechabitant sontissam, si elles sontis laeustres et molles, ou dures et fortant de lieo eleves et romuleux, o erues et saumatres ii eludierales diversetala disci, qui est tanto nu et seo,

et inniat hesia et armia, tanto has et brula deeheseum eloussantes, tanto haut et smid. IIroconnaltra te genre de vie des habitanis, qui sonitu amis divin de laionne inere et du

inaque e se deein instruit surda plu- part de ces minis, sumtous ci est possidie, arrivant dans une ville haut ineo ue, Uigno. rem vides malassim localas, ni is nature des maladis generales, de sorte γ'ilis'hialterapas dans Io traiiement, ni ne eommeum Ieserreum dans tesquelles lamberait elui quin'auraitias approlandi d vanes eo donne essentiesses Ainia prepare, si predire a m

sum queda salson et I unee cavaneent, tantles maladies generales qui amigeronta villerat ou iuver, que elles Ont ehaeu en partieulier est menaee par te Gangement dugenre de vie. En eget, connaissant Iec volutions de salsons, te leve des astres et leurmucher, avertoutes Ies circonstances de cha- cun de oes phenomenes, it murra privoi lamnstitution latur de Ilannee Aveo de telles recherches et ceu prevision des temps, o med in auracia plus grando instructio surchaque cas partieulier il saura te mleucco server I sania, et ille pratiquera pas aveo unmediocre sueeesulari de Ia medecine. 8 ron obieet queriout cela est diremor dea mω teorologie, o comprendra lacilement aveo quaeque restexion quo 'astronomie, lotid'ευε dlane petite utilii a medecin tui importebeau up ea reta des organes digestiis Gange aveo les Misons. s. 4e ais explique en Minu eomment usaut observer et approlandi chacundes minis doni illa et question 8uppofons une illo expos iux venis inauds; ce soni ceu quisoument entre locleve d'hive du solei et le ueherra uver ouverte Lee venis, esse sotrouve DI'abri de eo uisord Bans cetis is lite loceaux seront abondantes, saumatres, peu prolandes, et par onsequent haudesilate et Doldes IIuver Les habitant ontia tete humido et pituitense Ie ventre prouue de frequent derangements 1 cause desta pituito qui descend de la tete is generes la constitutionis quo de ton, et ron est pe capabio de hie mange et de hien boire ea modonida telo est stibio ne muralent supporterio vin et rivresso lauris plus incommodo

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sies, auxi9ipneumontes, aux sevres ardentes et a toutes es maladies que 'on appelleaigues, elles , sontias frequentes, a detelles affections ne euvent pr6valoirda ou de ventre est relachδ. II se manifeste des ophthalmies humides, peu longues et peu dangereu-ses a molns que parrae changement de salson I'ophthalmie ne sevisse d'une maniἡreonhrale. Passycinquante ans, les homines soni exposhsa des nuxion qui viennent dicerueau et qui produisent de paralysies, quan iis ont ethfrappes4οudainement surra tete par te soleilou salsis par ledroid Telles son Iecmaladies communes parmides habitanta de ces localites sans parte des maladies sinsirales qui peuveni 4tre causees par les vicissitude des salsons, et avxquelles iis participent egalement. 4. Les villes qui oni une exposition contraire Sest adire qui, tant a l'abri du veni dimidi ians que de tonsae venis chauds resolvent habituellement les venis roid qui fovissententre Is eoucher 'εi ei te lever 'ete, pr sententae particularissis fulvantes aes eaux soni Mnεralement dures et roides Meshomines, dolvent tre robustes et sera chegla plupari, Ieccavith inserieures soni sermes ei difficiles a imouvoiriles vites suporieuresson plus laciles; lectem ramenta, soni plus bilieucque phlegmatiques le cervea y est sal et Me les ruptures intεrieures, sont --quentes Les maladies communes che euxsonides pleur&ies et inutes les affections appe-lωs algusis. En eget, quan te ventre est sec, inivit Iemen touis cause occasionnelle pr duira, che Husteum, de suppuration dupoumo .ce qui vient de la rigiditsi du eorps et de la dureia du ventre carda iacheresse dela constitution et Ie Iroid des au disposenties vaisseauca se rompre. Bes hommes ainti constitu& dolvent heaucou mange et eu ire Omne mut gusire, en esset, sitro a Ia sola grand mangeur ei gran buveur u leuessu vient, par intervalle, des Ophthalmies elles sont shines et violentes et produisent rapide- mentes sonte de 1'ceil. Auinesmus de irenteans, on est expora pendant resέ, a de sortes .istaris Les maladios appelees sacraei sontrares mais intenses Il est nature quea'onjvive plus long-temps'u'ailleurs Lesilaies', deviennent pas sordides, vilesis, prennent Pas, non plus in caractere mali et rebelle. morato est pluto Iamuche que doux Chegles hommes on observe Iecmaladies inoneres plus haut sans parte de celles qu'iis'prou-vent en commun axe les autres par te etiam

gement des salsons; checles lammes la dureto. Ia erudite et te seoid de l'ea frondent gen ralement te corps rigide recoulemoni men

truelis' a nida regulariis ni tes qualitis eo venabies mi est peu abondant et de manvaisenature Les accouchementso soni laborieux .maicies avortementa rares Les lammes ne sont

qu'iis soni petiis, portent sesquemmeni des hydropistes dans les bourses, hydropities qui disparaissent a mesuro qu'il avaneent en age. Ita puberi est tardive dans cette localith. Telle est, ainst que je viens dea'expliquerol'M-tion des venis haud et d 3 vent Iroici. et la condition des ille quio sont expo-

5. e passe maintenant aux villes expose aux venis qui ouissent entre te Iove d'ἡto et Ie leveri'hiver, et elles doni rexposition est contraire Celles qui son expossies a 1'orient naturellement soni plus salubres que cellas quison expo es a nota uis missi quandmome la distanc ne semit que 'un stade

limpides, de Mnne odeur, molis et agrωhles, parce que te soleti, a son lever, les corrige endissipant par se myons te rouillar qui odidinairement eum ratmosphhre docta mam nle Les habitant on te tein meilleur et Iacomplexio plus Murie, a molns que quaeque malassie ' meus obstacte. Mur vix est clatre iis sonid'un Gracthre plus vis, et 'unesprit plus Mnεtrant quo te habitant des region septentrionales; toutes lecautres e ductions y soni austi melileures sne villo ainia siluee ouit, a mus de la modisation de Iachaleur et du eoid, 'une temperatur quiresse te Leellera printemps Les maladies

sont molns nombreuses et molns violent .mais elles oni de ranalogio ave celles qui regnent dans les ille exposem au venis chauds Les lammeso soni extremementa

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eondes, et accouehent alsiment Telles sontres localitias. 6. Quantaux villes qui regardent roceident, qui soni a rabri des venis dea'orient, et suriesquelles les ventichavds dimidi et les venis Doldsi nor ne soni quo glisser elles sontnecessatrement les plus insalubres pax leur sition. 'abord, Iecmuxis' soni pa limpides la cause en est dans te brouillar qui occupe Aneralement 'atmosphhre dδcla mali-nsie, et qui se molant a I'eau, en troubie lalimpiditε ea les rayon du soleti 'siclairentem localitta que loesqu'il est des sori levisur rhorigon. a seconduieu it fousile pendant les malinges σεω, des brises smides, illambe des rosees et durant te reste de ladourn , te soleti, eis'avaneant versi occident, brute singulierement les hommes aussi sonNil decolores, maladia iis participent a toutestes maladies doni 1 a te parte aucune ne leur apparuent exclusivement. Dcontra voix grave et rauque a cause dea'air, qui, dans cesloealilsis est gensiralement impur et malsain ear il n'estgusire eorrigε pardes venis duisord qui ' sontie sentie, et les venis qui rignent dans ces localites soni tria humides Melle esten effeta nature des venis di uchant, ne ille ainsi exposε ressemble surtout a rau- omne relativement avx alternatives de lamlane journ , parce ne la disiarences est tris grande entre te mali et e sole. Telles

sontae observations saltes surdes venis salubres et insalubres. . I veux maintenant expose ee qui est adire fur es eavx, et montre quelles eaux sonimaisaines, et quelles Ont tres salubres, quelles incommodites ou queis biens inultent deseau distis sest usage car esses ni une grande innuene surda sanis Les avxtas mantes, Mit de marais, sol d'etangs, sonti4- cessatrement, pendant 'hisi, chaudes, ε isses, de mauuesse deur; 'ayani potn d eoul ment, mais tant alimentsies eoatinuellement par de nouvelles plutes et hau es par te soleti elles deviennent Iouches mal ines et propresin augmenter la bile Pendant I'hiver,

a contraire la eloe les Mnetre, taleige et la glaceam troublent, ce qui tes endrae plus savorabies a la productio decla pituite et des

resseres, macie et havd les paules et les clavi Iecd harne .an esset les chalas solandent a profit dea rate, et Sest Ia cause dela maiyeur de ces homm . vec une telle constitution , iis soni affames et alterεs Leseavit superieures et inserieures, soni sortsoches, de sorte que murae purger il laut des medicamenta sinergiques Cetrata maladis leur est habitue tant en sit qu'en iver Enoutre les hydropistes, soni trἡs frequentes et tris dangereuses ear, pendant 'sitri Ies habitantason amiges par des dyssenteries, par desdiarrhεes, par de Mures quartes de longue duree, malassies qui, prolongees, se terminent, dans de pareille constitutions par des hydr pisies et causent la mort Telles sonides assections qui regnent pendantes'itsi pendant l'hi- ver, les jeunes gens soni atteinta de peripneumontes et de malassies accompagnem de destres; rage plus avance, de sievres ardentes, a causo de la duret du ventre Les lammes sontsuletles auccedἡmes et a la leucophlegmaste;

elles conmivent dissicilement et leur accou-chement est laborieux Les nouueau- s sontgros et boursounta mais, pendant la nourriture, iis maigrissent et deviennent chltiss. Lossu qui sui tes eouches ne se saltias 'uno maniure avantageuse iacensanta furtout sontaiteint de hernies; les hommes le soni de varices et de plates aux jam s. Be sorte quela longevi te est impossibi ave de pareilles constitutionc; a vieill se arrive avant lotemps. De plus, te lammes paraissent diro enceintes; et, orsque vient l'accouchement, Io volume diventre disparait: ceit grossesso apparente est te ait 'une hydropisi de lamatrice Ie regatae de telles au commemauuaises murrious lec ages; les plus mau-vaises aprsis elle la soni celles qui provie nenti de mehers, e qui leur donne neces- mirement de la dureto , ui'un terroi danslequel soni de mucchaudes, du ser, du cui-vre, dea'argent, de ror, du4οulae, dea'alvn, du bitum ou du nitre. Out cela est reget dela chaleur; par consequent Ies mucd'un tes termi ne euventias etro bonnes, elles sontdures et sichaussantes elles passent difficilement par 'urine, et contrarient lectvacuations alvines Les meilleures soni celles qui coulent dedi celeuta et de collines de terre elles sont douces, claires, et peuvent porterin vini*er. Iles deviennent chaudes pendanta u- ver, et smides pendant rεte, e qui prouuo

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vrer Ia saniε les Acautions sui vantes prendre ux donicies manes digestissson dura et satales h s' hausser ii convient de ire les modes plus douces, les plus eores et les plus limpides a celix donicies organes digestis son mous, humides et pituiteux, de

ire les eaucles plus dures cles plus erues et linεrement salem, qui sont, en esset, tres pr pres h consume rexe&χ'humidiit Les eauxqui soni ius mellisures mur la cuisson et les plus dissolvantes, soni austi cellas qui relachent te ventre et 1' moctent te mieux Leelles qui soni erues dures et impropres adceuissonresserrent avantage et desiachen ius ommnes digestiss. on se trompe, en esset, par ine pirienee, surrae vertus des aux sines pontes emit laxatives, et evendant elles conis rient te plus la a gularit des vacuatio alvines; car, Mant erues et impropres h laeuisson, elles exercent surde ventremne aetioniae plus astringente que elachante Telles sonides observations a latre sur Ies avx de

8. I passe hesa eo idtration des aux de pluis et de neige iaceaux de plui sonoles plus la res, te plus douces, las plus inines.les plus limpides Car eo que is solasi aut d, es et enlave avx eanx, Eest e M'ellesoni de plus inbu et de plus lager Cela est prouuε parda formation du ses; Ia parti s line, Dinum de is densite et de lai anteur. demeum, et eo uineae ses; la partiona plus subtile, a cause de in l*4reia, est enimω parte Meil attractio qui coerce, nonmeae ment surdes eaux lacustres, mala eneor suria me et fur out eo qui conuent que uesliquides. r. iij a d liquide en laute e se. Et dans te corps humati me, te soleti attirela partie Ia plus tenue et Ia plus triti e dol'humeur. En voicida meilleum prouuec 'unhomme habilia marehe ou reste assis au solen; les parties duisorps que les myon stament, ne suemn pas ea te solet enthvera I susura mesure qu'elle paraltra; mala les parties qui Seron protegie par les volements ou de ovis

duite et amenes a dehors par la Galaur da soleti, sera protis para'habiliement etellone se dissipera pas si e maine homine semetal'ombre inutae eorps deviendra molis invi ment, I'actionis solet ne 'exe an plus. Aussi de lautes Ieceaux, cesse qui se eo rompi te plus vite, Sest 1'ea de plute elle contracte ne mauuesse odeur ea de inuisseus est a plus Manoe et e mesange enaccesere la eorruption ais, d'un auise eoia. l'mmenlarie et portae dans las region sup rieures est promenis dansa'atmosphore aveelaquella esse se mole, esse se iapare de se padities opaque et trouhles, qui deviennent Mume echrouillard esse conserve lesiarum les plustinues et les plus lores qui 'adoucissent musci'action inaussante, soleti et par sae uoupor, parda coction laute chose cadou- est torioura Tant que cetis partie'εore restadispersω et sans condensation esse est Pr menω au haut de ratinosphire; mais, quandia rencontre foudaino des venis opposis laesunt et Ia condense, Mors esse se prωipite dumini ou la condensation se trouve avola e lapius considissile. 8ans douis, en esset, a plute se sorme de prεiaronee quandam nuagesque te vent ne laisse pas en repos, Viennent, dans te mouvement qui es emporis, Line heurias foudainement parran vent contraire et par dhutres nuages la condensatio se ait d.bord auiolat de rencontre les nuages qui

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elles ne retrouvent plus leur qualite premisire; 'v'esse avalent de limpide , de lager, dedoux se per et disparast. Il ne reste que cequ'ilo a de plus troubie et de plus pes t.

VOus ous ea convainere par 'experienco sui antes: eue dansin vase, pendant 1'hi- ver, de ea que ous aure memese, et

notablement diminuist Cest Ia preuve que laeonssilatio evapore et dissipe les parties tesplus Mores et les plus subtiles, et non tesplus pesantes et les plus 4paisses; ce qui servit impossible. En consequence de regatae les eaux iseige et de glae et les aux analogueseomme ius mucles plus mauuaises Mur quesque sago que ce soli Volia ce qu'on observem friet des eaux de plute, de neige et de glace. s. Laiierre la gravelle la strangurie, lasciatique et les hernies sonisurisui frequentes Ia ou es habitanis bolvent de eau de lanatur Ia plus diverse, telles que cellas des grandineuves qui' olven d autres viares, Miles de laesis se dεehargent quantit demisseau de laute espωecensim lautes Ieseaux qui arrivant, non divolsinage, mais de Meux Moignes, deviennent heslmones dans lolan trajet qu'elles parcourent. ne ea neressembleias hine auire eau les unes sontdouere, las auires salin et alumineus id,utres provienneni de fources chaudes dans lemclange, leum propritias enirent en lutte, et

sanis et Sest tantot rune ei tantot rauiseselon 'influence des venis. AI'une te venti norddonne Iairεdominenco,t'mire te veni du midi, et timidu reste Necessatrement, de lenes eauxdεposent dans lesvasesqui te renserment, dulimon et disable, eid'usagequlanensaitengen-dreaes maladies que j'a enumeroes , non chotous lechonimes indistinctement, et en voiciliresson ceu donile ventre est libre et min, donia vessie 'est pas brutante, ni te ces docet organe tro resserrsi, rendent facilementi'urine, et ien ne se condense dans leur, sie Mais, quandae ventre est brutant, livessio pariage necessalaement cetis affection elles'echaulle a dela des limites de Ianaiure; son colis'enssamme; ins assecte, illa'emei

plus 'urine, quio reste foumis ara'actiond'un exces de chaleur Lipartie la plus tenue et a plus pure de ce liquide se pare, et est seule expiassi hora decla vessie La partio lapius epaisse et la plus troubie se condense et se consolide; 'abor petii, te noya grossit successivement car, balloite dans I'urine, ils assimile les sediment sipat qui se dεposent; de cette lason, i augmente de volume ei sedurcit Presse par levio dea'urine au momentde Ιχmission, te calcul4'applique a col de la

leur violente aussides enianis calculeuciso tent la verge et Ia tirent, croyant que c'est lace qui opere lymission deci'urine Latreuveque laiierre se sorme par deposition, 'estque les calculeucrendentisne urine tres limpide; la partie la plus'paisse et Ia plus trou-ble reste dans Ia esste et sj condense Cestainst que ceste maladie nait dans la plupari descas. Esse est ausia produite checles ensanis, parde lait, quandine aliment, a lieu d'eue salubre est inaus et bilieux Il excite unexces de chaleur dans les organes digestis et dans Ia vessie et I'urine, devenue ardente, subicies changementa qui amMent Ia formation, calcul. Je mutiens qu'il aut Meux donne aucensant te vin conpe de mucoupd'eau cetis Misson rule et des cheloi Iecveines Les silles ne soni pacaussi friettesque les DNon ara pierre; tam esses 1'ur iure est cour et large, de sorte que rurine est expulse facilement o ne Ies Oit minieommedes garions se Dotis Iesiarum genitales, ni porter la main au bout de rurhthro; rurethreis'ovvre directemen pres, vagin, tandis que cheg I'homine ce analis'estias direct et est molns large ensin elles bolvent plus que les garςons Ce sontis eu pres lascauses de cetis dissereiace.

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temps de se resserrer, ni te cerum de se dωharrasse des humeum; car, ave uniarestprintemps, i est impossibi queas corps et Iachai ne solentias abreuvlid'humidita Ainsi,1 Ἐδvr aes plus algusis regnemn onsirat ment, furtout parmides sinet phlegmatiques; les semmes et Ies personnesi'une constitutiontria humide seront altaquεes de dysenteries. Si alleve de la canicule it lambe de Ia plute,s'il s'Miso decorages, et fides venis linienseommencent a foumer, niseu GDrer queles maladie eesserent, et quea'automne foramin. Sinon, si est Leriandre que Maumupd enlant et de lammes ne succombent auxaffections regnantes qui ontim de Dri murtes gens asta, et que eeo qui risappent ne sinissent par tomber dans latisre quarte, et dea εδvre quarte dans I'hydropiste Si rhiverest austrat, plurieux et doux, te intemps hortat, Me et Iroid, les lammes qui se trouventenoeintes et qui sontiresd'aceoueher auiri temps, avortent, et eues qui on jusqu'auterme, meum a monde des ensant sansforee et maladiti, qui meurent immidiatemento qui vivent ehitiis, disiles et malinins Telason te aecident qui soni particulier auxlammes Le reste de Ia population est friet auxdysenteries et aucophthalmi Ἀδehes; et ineaqueique personnes it se sest des sturions de latote surrae Dumon B est probabie que Iessuiet phlegmatiques et les semines, vant Iaeonstitution humide, et latituite desemdant

enmuementa se condens et se esserre et

finalement l'arrivi dea'εth, rinvasio de lachaleur et Iearusque changement engendrent Iecmaladies noniae plus haut Les illes doni rexpositio est favorabis ou Is solei

et pou les venis, et ou Iecmo soni dehonnis qualita, se essentent molns de es vicissitudes mais celles ura'on se seri d'mucst gnantes et maricamuses, et donia'expositiones mauuaiso, en sougrent davantage. Si reto est secoles maladies cessent plus vite; 'il est

pluvieux, viles se prolongent et ii est Domin-droinae la moindre causerae plates ne sectangent en ulceres phagediniques. Lectie teries et les hydropisi 4'sit lissent acia sindes maladies attendu que te ventre ne se de sωheias lacilement. Si Ι'eia, pius 'automne. est pluvieucet austrat, n4cessatrementu'hiversera malaain tes fvjet phlegmatique et les

personnes a dessus de quarante an serontexposis auxἘδvres ardentes, te friet bilieux, aut ripneumontes. Si rest est me et hortat, et automne plurieuce austrat, iij aura pendanta'hive fulvant, des csiphalaloes, des affections graves du cerveaucilo aura ausia

quelque sutela, des phthisies. Si te temps, pendant rhi et raulamne est borist et Me, et quIl-γ ait de plute vi au leve decla caniente ni Dcelv d returus, eetis constitutiones surtout favorabie auisujetsphlegmatique aux natures humides et aux lammes; mala esse est fouveratnemeni contraire auisuietabilieux.

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La partis la plus humide et Ia plus aque e dola bile se dissipe la plus pessse et Ia plus

acre reste i en est de m&ne murae sang, et chst ce qui engendro des maladies checles sui et bilieux Mais avx friet phlegmatiques laut cela est favorabie leur corps se iache, et iis arrivent kl'hiver,dsiliveta des humeur,dontus regorgeatent. 11. En examinant ainside coum des salsons avec reflexion, o prevolaait a plupari des esset quo produirontraeum vicissitudes cosoni furtout les vicissitude les plus consid rabies donici savi se dεsier: alors omne do nera aucu purgatis sans neue soria omne pratiquem ni cauterisation, ni incision, dansles parties Oisines diventre, avant qu'aumolns dictour ne solent passM. Les vicissitudes Ies plus considωabies et les plus ang re es sontrae deux solatices, furtout celuid'εt4, et les deux equinoxes, surisu celuid'automne II sau aussi prendregatae a leverdes constellations d'abor Leelui decla can, eule, puis Leelui d'Arcturus et aussi a mu-eher des Plesades c. c'est furiout dans cesiour que Iecmaladies se jugentiles unes soni

mortelles, es autres cessent, et inutae reste prendine autre sorme et une auire constitution Volia ce qui concerne les salsons. 2. I veux maintanant comparer PMis et I'Europe, et e monuerat combien es deuxeontris disserent 1'une dera' tre en laute Gose comparer I figure des habitanis, et jemontrerat que les habitant de rune ne ressemblent en rien a ceu dea'autre. on di

eoum serat sori long si j'εnumsimis lautes Iesdissemblances me ornant a celles qui sonties plus importantes et les plus sensibIes, j'-P erat 'opinion que je,'en suis satis. Je dis dono quo rMi diflare consi rabiemen de 'Europe avssi bien para nature de lautes Iesproductions que par celle des habitanis diute qui vient en Asie est beau up plus heau et Hus grand te elimato est mellieur, et Iesmuples non un caraciare plus doux et plus docile is cause en est dans le juste inuilibredes salsons situle enisedes deux lavere dusoleil Irisio est ada fias exposM DI'orient et Moiγε du id se qui salta'accroissementet a bonia des productions Cestin climat ourien ne pridomine aveo exeta, et ou tout se

Ias fruita decla terre sonides plus abondanis,les arbres sonides plus beaux, i'air est te plus serein, et les ea . tant de pluieque de Murce, sonides meilleures. En esset nici'excia de Iachaleur ne brute es risio , ni tes Mehmresses et Iesmanqtie 'mine les diaolent, nil rigueu duriroi ne les accabis et commel humidi est enuetenue par de pluies Ondantes et par desieiges, te sol doli natu- rellement porter beaucou de fruita venant soli de graines sem s. soli detrusitan que laterre produit spontanisnent, et queram habitanis, par ne culture qui en adovest les qualites sauvages, et par de transplantations enu terrain convenaiae, favent latre serviris leues age Les bestiaux ulam nourrit sonissorissanis furtout laur Mondit est tros grande, et iis c4llvent tris heureusement. Lechommes non dea'embonpoint, iis se di tinguent par la beaut de laure lames, parten inisse avant euse, et diffisontarta muenu'euiparaeur apparence et par leur statum. Cest avrede printemps'u'une telle contrω ale plus de rememblance, Dea e decla construtution et de Ia doueeur des salsons. Misit lamurage viril, ni la patience dans les salignes, vicia eo tanee dans te travati, vici'oneros morale ne murmient se d4velopper che deshommes pareus, quelle que soli leur meo indione ollisanore, et nMessalaementae plaisis

remporis suminutae reste. . . . Cest mur eelaqu'on rencontre des formes variem parmi l animaux Volla ce me se te eo DII en est

des Mutiens et des Libyens.

13. Quantauchabitanis des contries situlea Lla droite du leve Siaver du solesi iusqu'an Palu totide eae Eest Ilia limite enim rΕurope et I siri, iis se esse lent molns entre eoque lesimples norum4s iuriu'iei, et Gla, a cause des variations des salsons et de Ia n ture duius. Il en est, en eget decla teres comme de la gentralita des hommes La ouaesmisons prouuent les vicissitudes es plus grandes et les plus rappantes le pus est Iopius aurage et te plus Myl ona trouvo quantita de montagne Misin desilaines et des Malales; h au contraire , o les salsons ne sontias Heues h de grandes vicissitudes,le pays est tris uni qu'on observe maintenant Iechommes, et ron, trouvera Iecm4mesia porta Iecum sontis'une natur analogue a

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des pay montueux Mises et humides; les antres a des terres sεches et lεores, d'auires Dun sol eouver de Matries et de mari ges,d'autres encore a desilaines num et arides. Cardes salsons, qui modissent Ies formes dum s soni disserentes enire elles; et plus cetis disserence est considεrabie, Hus iij a de variations dans la figure des homines. 14. Laissant de eoia testeuples qui ne dis rent que petentre eux. e me contenterat designate les dissemblances considεrabies, pr duites soli parda nature, scit parda coutume. Eid' ord, it sera question des Haemeephaisa; cune utre nation 'a a tete conso Moomme eux Bansa'origine, ' age seul init a cause de Ilallongement declariote; mais au-joued'huicia nature vient en aide ara'usage. Cette mutume prorient de ridie de nobiesse qu'il attactent avx longum rates Volci ladescription de leur pratique Blique rensantvient de natue et pendant que, dans emcorps si te re, Iariete conserve encore in mollesse, o lauasonne aveo les maius, et on laetore a callonge a 1'aido de bandages et de machines mensiles, qui en altorentia forme sphsirique et en augmentent Ia hauisur. D'abord, Sεtait 'usage qui optrait, de larce, te changementdans la eonfiguration decla ine; mais avec letemps cechangemen est devenu natures, et rintervention de 1'umgeis'est plus nisessaire. En esset, laetiqueu sisninale provient de lautestes parties du corps saine des parties mines, alterω des parties malades. Si donc de parenis ehauves naissent gεnεralement des ensanis Gauves, de parenis aux)eo bleus des ensanis au Dux bisus, de parenta lovcheides en anis Iouehes et ainsi dui telourdes intres varitias dea sorme, ou est rem chement qu'un acrotaphale 'engendre u merocephale Nais ariouin'hui ela 'arrive plus commeautrelais; la mutumeis'est perdue parda se quentation des autres homines Telle est, subvant moi, rhistoire dei aemiaphales. 35. Lechabitant du Phase, auu peupledigno de considωation occupent une contree --Meuse, haude, humide et boliae; les plutoso sont, dans toutes le salsons, ausia sortes ques quentes Ilipassent leu vie dansles martis leues habitations de Bois et de roseau soni eonstruites a mille des eao; ita ne marinent quo dans la ille et dans lomarint ouueri auxintrangers; mala ita se tran portent dans desiimgues salis,d'an seularoned'arbre, montant et deseendant les canaux quisoni nombreux Ilison usaged'mucchaudes, stagnantes, Ormmpue par a chalen dusolei et alimenines par les plutes Le Phassivi-mme est de lavsues euves e plus si gnant, .et celui qui coule avec te plus deae inur. Les fruit queda contrε produit vie nent inus mal et soni de qualit imparisiis. sans saveur, a cause de Ilabondance de I'eau qui tes empoche de muri comptolement et qui, enisutre, repand surde pus destrum continuelles Cestioue cela que les habitanisdu Phase different des autres hommes; iis sont, en esset, d'une hauteriaille, et d'uiem npiant si excessis qu'omne leur volt ni artieulation niveine leur coloration est aussi jaune que cesse des icteriques leur uoi est plus rude que partout illeurs attendu queri'air D'il respiarent, lotid'etretur, est charge dsumidith et de brouillaesciis sonise propres a supporteries satigue corpore les Leum salsons,'epr-Vent pas de grandes variations ni de Gaud nideamid les venis qui regnent de preserence soni humides, excepti une bris locale qui incommode par la violene ave laquelle ellefoum quelqueseis, ei par a chaleur oni'appelle cenehron veni des-bant). Le ventdu Nord ne cnisi quele sentis; et encore, quan iliscussio est ii sans larce et sans vigueur Telle est Ia difference de nature et deforme qui existe entre les statique et les

16. Quant acla pusillanimissi et in delaui de

qui n'ismuvent pas de grandes vicissitudes, ni de ehaud ni des id , mais donides in lites ne soni que e sensibim La, en esset, ni lintelligence''eprouve de semusses, ni lemrps ne subit de changement intenses impression quirendent locaractore plussamuche et quio metentisne par plus grande d'ind euiit et de lavgue v'une temperature --jοura gale se sont les changemenis duriout a tout qui, siveillantes'intelligene humaine, Ictirent de rimmobilite Telles sonides causesd'ou dipendoce me se te, Ia pusillanimissides Asiatiques il aut en res ηοute les institutions Lia plus grande partie dea'Asie est. en esset, foumise a des mis; or la ou les hom-

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mes ne sontias malum de leum personnes, ilis'inmittent non comment ilis'exerceroniau armes, mais comment iis paraluont --

propres au service militatre Cardes dangere ne soni as galement partagsis le sutelavont ad guerre, en supportent les saligues, et metirent m&ne ou leum malises, tot deIeur ensanis, de leum semmes, de leum amis; et, tandis que les malum profitent, Ouracemitre leuespuissanee, des services rendus et du eourage εplayε, rex Uen recueillentd'autro fruit que Ies psirils et Ia mort en outreus soni exposis a voi lcguerre et la cessationdes troaucchange leum champs en dcteris. Ainsi, ceuxistine, quida nature aurai donni parmieux dieseu et de labravoure, seratent, partes institutions, dεtournis d'en latre usage. La grande preuve de ce quees,vance, 'est qu'en Asie laus ceux Grecto barbares, qui, exemptide malum, se regissent par leursir pres tot et travaillentiou eux omes sonties plus belliqueux de laus c. ilis'ex sentauidanger pou leum propres intorsiis iis re- evellient te fruit de leur courago et subissent a potne de leve lachete se plus parmi es Asiatique ausia, ous trouvere des dis rences Iesin valent mieux les autres sontiniarieum en murage .la cause en est dans Ies

Sauromates Murs lammes montent a chevat, et lautes montees, tirent dea'arc et lancent le

que cette contree nourrit La Scythie, en esset, est placω sousu'ourae m&ne et fouites monis

Riphees, d'ou soumede vent duisord Le soletine s'en approche γ'au solatico d'εtε, et alore illae rechausse que pou peu de temps et avecpeu de larce Les venis qui fouissent desis gion chaudes, n, parriennent que raremente assaiulis a contraire iij oume, durae tentrion, des venis Ooidi cause de lineige, de glaces et de rhumidit excessive quin' andonnent tamat les monis Riphees; etc'est e qui te ren inhabitabies. Unimuit-

lard pias occupe es plaines de Ia Scythio

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ne sontias muronnis de montagnes, mais elles vont en s'elevant iusque fous4'ourae Maussi illae nait mini de res animaux, mais iis soni de laille a se metire ad'abri fous terre; coqui arrate leur accroissement, 'est te smi de rhive et la nudite d'uncio qui leur resuse uver et protection Lechaisons,in prouuant des vieissitudes ni grandes ni intenses, s caditent peide runiformitε; de la provient Ia re semNance que les Scythes oncentUeux; usant, Mycommeisiver de Iaisime nourriture et des moines velamenta, respirant viair humide et .ais, buvant des eaux de neige et de glace, et placia hors des conditions 'une vie lab rieuse car illae se Mut que te eorps et rametravaillent heau up Ia ou les changementa de salsons ne sontias considissiles Par cesraiwns, nsicessatrement Ies Scythes soni εptisd'uiem nmini qui masque les articulations, et d'une constitution humido et sans ressori; lec vitta, surtout cesse duias ventre, sontpleines d'humove ear illa'estias possibie quele ventre devienne sec dans unae pays, Vecune telle complexion, fous unae climat Leure onmin et leuroea glabre sontriu'iis se

Pratique, c'est rhumidissi et Ia mollesse de leue eonstitution atoni qui Iesempsiche de tendrei'are et d'appuyer dea paule leuet duriavelot. O la muterisation consume I'exescd humeurdans les articulations et donne acleum membres plus de ton, plus de nutrition et plus dereliel. Mur corps est stasque et trapu, d, in parce'u'on necles emmailioue pM mmmmentgypte usage doni iis ne eulentias asin domieu se teni a ineves, ensuites causodeIeu vie sidentiare Lesaar s, tant qu'ila ne sontias en ita de monte Leheus, deme rent assis dansae chariol la plus grande a ue ditemps et iis ne marchent que rasse apted a muse des migrations et des circulis de

ees populations nomades. Quant aux lammes, elles soni prodigie ement humides et lentes. Laisaee S the a te inintd'un muge hale; e'es u esset u roid te soleilis agit pas avecintensita et te Doldarule la blancheu de lapeau qui devient muge. 21. e paroilles natures ne euvent trouM-prolisiques Checles homines, te penetant auxilaisire de I'amour est peu vi a cause dorhumidite decla constitution a cause dires1-ehement et de Iasoldeur diventre dispositioniqui rendent furtout impropres h lcon ration de plus harassia par ne per uelle εquitation, iis perdent de laurinissa e virile. Telles soni, Murdes hommes, les causes d'i secondissi quant aux semines, ces causea sonti'embonpoint eta'humidit du orps la in trice ne peu plus salsis la liqueues minale; cara'Moulament menstruet, tot de copirer avec la regularii Me mire, est pei ondant ei par par de long intervalles, et I'orifice dea'visirus seem par la graisse, n'admet pasta semenee Mouis a celaa'indolenee de e semines, leur embo oint, latoideur et lo

Scythes peliaconds Mur esclaves lamellas donnent uno grande reuuo docia εrito docetie explication elles n.nt pace plus tot

grosses, et cela parce qu'elles travanient et qu'elles soni plus maigres que leues mattremes. II. I saut Holiter que ron uouve parmiles Scythes Maumumdhomines impuissania; iis se condamnent aux trauaux des lammes et parient comme elles Oiles nomme effeminea. Les indiones attribuent la cause de cetis impulsinnes a Ia diviniti us vlnorent vite espδωχ'iommes et Ies adorent, chaeun σώ-gnant mur solisne pareille amiction. Pourinoi j pense que cetis malassi vient de Iadivinite eommeriout des maladies, M'aueunen'estibis divine ou plus humatne quea'aut'.

mala que inulas soni se Iabies et inutes sontdivines inaque malaiae a, comme cellada, une cause naturesse, et sans cause naturetis aucunene se produit. Voles, scio moi, commentvient ectis impulsisnees esse est te ait del'invitation per inello des Scythes, qui leurdonne des enmmement aux articulations,

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