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attribuent leurasiliction, et prennenties habita de lamme iis εclarent leur impulsinace; dos lor iis vivent eommerae semines et seli rent auxmomes oecupations Cette maladie affecte, parmides Scythes, non tes hommes dudernier ang mais Ie riches, ceu qui sontio plus uissant par leurisOblesse et leur fortune; 'invitatio en est cause et, si tespa iures, soni molnssuieta,''est qu'il ne vont paca chevat. Et cependant, si cetis maladie est plus divine que les autres, i lassait'u'elle ne futias exclusive auxilus nobles et auxiliis richeides Scythes , messisu'elle les attaquatinus .alement et m/me, de pressirenee, ceuxqui poss&lent te molns et qui n'offreni potnt de sacrifices.s'il est,res que les dieux se platsent auxiοmmages de hommes et les enis compensent par de laveum. Car. Ie riches petivent immole de nombreuses victimes, pr senter de offrandes, et user de leur fortunemur honorestes dieo, tandis que les pauvresson empsichis, parraeue indigenee, de les honore rualement et Ies accusent de cetis
indigetice m&ne Mnsi Ialesne de telles offenses deurat pluto Irappe les pauom que les riches. Nais, ainst que e rai di plus haut . Qui rela est divi eommerae reste inaqueehos est produli consor ment aux Iois naturelinc et Ia maladie donide parte, nait, ehecles Scythes, de la cause que ila indiquεe. Au reste i en est de meme pou les autres homines la ou 'invitatio estis exercicelournalier, heauem soni affectis d'engom menta des articulations de sciatique, dogoutis, et deviennent inhabiles adconεration. Ces maux affligent Ies Scythes et en soni Ieshommes es plus impuissanis riovis aux
des culoues, D'iis soni resque ouj rs hchevat, sansiouuoi meme porter la main auxpartim naturelles que par te troid et la saliguo iis soni distratis didisi deI'union des sex .e qu, momentiu iis soni des tentatives iisoni dei perdu evr puissane virile Mithemque j'avais Ddire surda nation des Mythes. 23. Quant auxinutres nations de Europe. elles ditarent les unes des autres parda tallis et parra consormation disserenoes qui pr
viennent des changementa des salsons En esset. Ies vicissitudes sontconsidεrabies et Osiquentes, Ies chaleum sortes, Iesalvere rigo eux Iespluies abondantes; puis, furviennent des secteresses prolong4es, et des venis qui multiplient et diversissent les alternatives atmosphdiriques. Il est naturet que ces innuences solentressenties, dans la gensiration, que la consormation de rembryon varie, et ne sottias lameme mur aissime personne enitε ostenciiver, pendant les plutes ou pendant les secheresses. Cestiou eela, selon moi, que les Europeens diGrent plus entreeucque les Asiatiques pοuria forme et que dans chaque villeis observe enisedes habitanis, des variations de tallte caria onsormation dera'embryon prouue plus d'aberrations dans un climat, u es chang mentides salsons soni sesquenis, que dans unctimat ou les salson soni seniblabies Delles-momes. a meme remarque 'applique umorat dans de teis natureis predominent les dispositioncsarouches la rudesse et rempor- tement caries secousses frεquenies que dolinqIe climat, metient dans te caractἡrecla rudesse
et Leleignent a doueeur et l'aminiω. est mur cela, e pense, que les habitanis dea'Europe soni plus cour eo que les habitant dei'Αsie uno per uelle uniformit entretientrindolenee uiuesimat variable donne de 'exe eice a corps et a rame; or, si te repos et I'indolene nourrissent Ia lachete, rexeresce et te travat noverissent 1 eourage Lesaurο- ens soni plus belliqueu pou ceti raison. et aurei parri'eget des institutionc carciis noson pas, commedes Asiasiques, ouuernes pardes mis et checles homines qui soni soumis
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remarque, anque nec mirement Mur ameest asservie, et iis se foveientieu de coposeraux pelail sans necessit mur acerolis lapuissancora'autrui Micles Europeens, M vernes par eum propres Ois sentant quoles dangere qu'ils courent ustes courent dansleu propre interet et non pou rinteret d'unauire, te acceptent volonuere, et se jeuent haesiment dans Iechasarci caede prix declavicinire est po- uxic'est ainsique les Iola ne contribuentiaste a creer te muram Tel est I'apere generat dea'Europe compareeda' te. 24. Η existe aussi. en urope des races differentes ieiunes des autres par ictaille, paria sorme et par te murage varietes qui uennent aux causes queri'ai enuiuerem plus haut
tanta d'une contree montagneuse, pre, elevee, Murvue 'mu, o te salsons passent par desvariations considerabies sont 'une stature elevee, et d'une constitution satis pou te traves et murrae acies de covrage e memetemps de teis naturetcont, en proportion non petite, une disposition arouche et brutale. Les habitanis in pay ensonce, couver de turages Ou regnent des chaleurs eloutantes, ou soument les venis hauds, de prese, enceaux venis miM, O les au potabies soniehaudes, ne soni generalement ni grand nilae proportionnes mais iis soni uapus,eharges de chalas iis Ont les cheveo nolas; et en genera leur tuin est pluto brun queblanc leue constitutio pluto phlegmatiqueque bilieuse te conrage et l'aptitudo a is vallis'existentia naturellement che eo au aussi haut degre mal les institutions, venant en aide seruientisalire es qualites dans leur ame et si te pus etait traversε pardes steuves qui enisalneratent l'ea stagnante et celle desiluies, leuessante serat bonne et leue telat brutant; si aucontraire, la contreemanquai de sieuves, et quera'ono ut des ux de Murce et des eaux stagnantes mare-eage es, m aurai de gros venires et de Mosse rates. Lechabitanis des mys olevis. battus par te venis et humides, sontis'une haut stature, et onventre eux de grandes re semblances la naturetis est plus oux et molas brave Lechabitanis de termire legere
nus et sans au ο les changemenis des sal fons ne soni pa temperes, Onta constitutionsecte, nerveuse, et la coloration plutochtondeque brune te naturetis est enesin a I'are gane ei a indoeilite Carra ou Iecsesso eprouventam variatio des plus considerables, ei disserent te plus entre elles, Daussi uous aure te plus de diversitis dans l'habitude ducorps dans te naturet, et dans Ia constitution. Cesson ces causes qui modisientae plus pro-kndementa nature humaine; puis iennentie soli'ova'on ure la subsistance, et les modontis use Generalement, en esset, o
trouvere qu' lanature duius correspondentia forme du corps et les dispositions de riune. Pariout o te sol est gras, mou et plein 'eau, ou es aux, tantores-supersicielles, sontinaudes emete et Iroides en iuver, Oudes ini- sons ni une lavorabie temperature, lacies hommes sont charnus, athles, d'une constit tion humide, d'un caractere indolent, et Min ratemen sans Ourage dans l'ame. 'inso clance et l'engo dissement dominent en eux;
et dans I'exercice des aris leu esprit emis est dem vide subtilissi et de sagacite. Mis surun sol nu, sans abri, apre, accisia par les rigue s de l'hiver brute par les ardeum dusoleii ies homines ontua constitution dure et seche les articulations pronone sole corps nerveux et velu dans de telles nationsim dominent ractiviae, latenεtration, la vigilance, en meme temps querarroganee et rindoeilito; plutoliamuches que doux iis soni plus fias et plus intelligent dans I'exeresce des aris, et plus braves a la guerre. En eierat, laut ceque I terre produi est conforme a la termelle-meme Volla quelles sontam constitutions physique et morales, les plus oppossies. M partani de ces observations On Murra jugerdu reste, sans eratnae de se uomper.
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v saut done vote dans te Pr- ιie Silippocrate, non pas u line de sis ologio, massu veritable traito de pathologio, talo. Pronostia riso , quant aux maladios algussa februes, a nos Ilures modernes ou I'hisinire dos maladios est ex ais au Meu de deeriso lasaffections partieuliares, Hippocrate dεericles modifieauon communes que lemrps en remit; et, comm ae taceonmissaneo do em modisi eations qui indique r4tat present du malado, qui apprend Leonjeet era tat futur, et qui enseigne rempla opportu de la intrapeutiqua, it en Multe qu'ssippocrate, en trasant oe tablean a ense nε au mi ein praticien laut eoqu'il lui importo de saviar, auirint de me de la modecine antique dana is traiismon des maladies algues sebrues Auasi termino4-il sonivroen disant: κιl ne faut domander lenom. 'aueune maladie qui ne mi pas inserit les ear tout ee qui socium dans les pistodes, x- plus haut se eonnat par los m&nos signes. Plus on4'est eloiγε ditemps 'Rippoerate, plus oma ou do is tendane a mnslatim sontium commemniseeuel de proposition de innesologie Cest une grave erreu qui en isit eomplMement mωonnalire la signifieation et russilia La --ologie inseque ron eo volos modernes, a mur bucd'indique e qu, oncent de hien on de malae signes isserula;
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e Pronosti Sssippoerate a pour bucd'expose les symptome eommvns a laute les mala- dies almes briles on volt quelienis'mi plus different que la coneeption dea semesologio moderne et du Pronosti d'Hippocrate. Le Pronoatie se rattache DI'idsi qui a dictyle livre de raneienne medeeine. En esset, eo 'Rippocrate reeommande, dans ce dernier traiia, commoda doctrine sondamentale de iovismidoeine χ'est'u'il saut eludiera'etre vivant, ou, dans son propre angage, 'homme dans aes rapporta ave les choses extεrie es, et constate les modification qu'il en reuolt Lo Pronostia est une application de ce principe sinsirat Hippocratem' expose pas, a lariaγndes modernes, les signes particulier de maladies mais, fidδle acla doctrine de rantiquo selenee, ii embrasse et rεunit les modifications principales qu'εprouveae corps malade fous taene des maladies algusis et sebriles Ainsi, audie d'y donne les symptomes Metauxu laineumonie, LI'angine, auxἘἡvres iij donne Ies symptomes communia ces etata divere; de tono sorte que I corps est considεα dans son ensemiae, conformementis lailthodomine ducllure de rAneienne medeeine. La selene antique, et par consinuent la Mecine qui en sormes une branche, linit esse uellemon synthltique Platon, dans Charmide, di qu'omneseu gueris la partie sans Iotou Le philosophe avait pris cette idἡ l'enseignement insidical qui se donnait de sontemps; et enseignement par ait dono diisui, de re emble nous en avons Iaireuve dans Io Mure mine du Pronostis, qui nous montre d'une maniΦre Dappante comment Ia composition des cleriis particulier se subordonne a la conception gentrale de la science ce Iiure. et γ'ilippocratea, composε, ne Muvait se satre qui une lpoque ouda medecine conservatiendore rem cinis des doctrines encyclomdique qui aves Leonstitu&le sonide inuid'e se nement oriental. on remarquem dans te Pronostis, et evite remarque s'ltend a plusteum austes desineriis hippocratiques, qu'une in large place est satis aux affections de la mitrine, p4ripneum nies et pleuresies. I paraumit que, ouile climat de la Griae, es affections ni uno grande rinuenee, plus Mut re qu'ines Uen ont, mome dans notre climat La description, or aberulerit est nai, M'en donne dippocrate, me porte penser que, si cetis descriptiones exacte, viles ne suivent pas a meme marehe que armi nous En esset, que sontem em emes qui, fulvant Hippocrate, se sontioura dehors fous lamel'expeeiorationpurulente in Mut emire, que dans Iadεnomination d empyἡmes soni comprisi 'panch menta pleuratiques mais Iecsipanchement pleuratiques ne se sontias our a dehors, iisse utrissent par resorption alore, que sont ces empylane signalta par Hippocrate, commeterminalson despωipneumontes, et ces expectorations purulentes qui en procurent l'εvacu tion in Mest impossibi de sepondre Lees questions Mut ire des observations saltes dans la Grece mine, permetuatent de mondre la distinuiti. Ie disasseressam bornes et te but de cet argument, si j'examinais en dites la valeue d finitivo que ron pent accorder, dansa'ltat actuet de nos connaissances a chacune des propositions du Pronoatie Ie me eontentem de eo igne iei te jugement porta parra homino tr&--μtent surdes observations relatives a uisuiet particulier, LI'situde de rurine. Locremarque dBippocrate, dic Rayer, surdes urines erues, pales et transparentes, aurae urines 4paisses et euites probablement char. χ'acido urique ou Surat in suram urines noires probablement sanguinolentes), surdes urines charoes de sisIes, successes qui inpent des sεdimenta plus ou molns considie les, on διε Ionoemps la seule richesse dec mesol istes et te insime de laure commentate . ais, it lautae dire, iis ontriout repe duit, Io plus fouvent sans chola et sans examen. ous on repεω d.pres Hippocrate, quo Ies urines linient .aissos ehecles ensanis, et que leue transparenee linit d'un mauuais signe, ei murtantileni'linit plus facile que de cassure dieontraire Tous Ont signati la formationdes disola de rurine Lis sin des malassies algues, sans aiouter que las urines deviennents ventitra parentes et molns charoes, oraque la solution decla maladi ou Ia eonvale eenoe se dεclare presque t sint attachi, ara siluation des nuages, a leur illvation ou Alauris issement, des signes pronostic que robservationis' iamais donnis Toutelais,
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mma re em lacunes et ma rei es erreum, que se signate neueinent, par 'u'ines ont Areproduites dans des milliere de volumes,des observations d'Rippocrate sue rurine offrent linvisit te interet Traiιε dea maιadies de reina t. I, p. 2 73. Ce quem Rayer dit decremarque hippocratique sura'urine, capplique, en gentres anxautres observations contenues dans te meme Iiure, Cestdinire qu'elles reposent en partissu des satis bien observes, en partie sue des conclusion Outeus is erronees. En desin tive ille se te que te principat delautinulanteu Lirouver, Cest qu'elles soni tropaen ralisees, et que rauleur ne uentias asse compte des exceptions. Danctous les cas, leur valeur semiologique est, d'apres le sens dela d trine d'Hippocrate leur valeur secondatre Graupere, comme elles le sont, dans telut de presenter te tableaudes phenomenes oneris que les maladies times, setiriles, produisent danil'Monomio, viles soni destinees h instruire te med in de ee qui, arriver, non Mur'v'ilae predis et carrete a cette eonnaissance, malimur qu'illasse ee qui dest Otreriait Ainsides indieations qui, Our nous, resultent surisui, diagnostic, multatent Mur Rippocrate surtout da pronostic ainst entendu.n est, dans te Pronostie, perpetuellement question des erises ei des jοur eritiques di merate Ieu attribue uno generalit queles observations modernes,'ontias confirmes. Cependant on uouve certains eas o une erise manifeste determine la solution de la malassiereela est etabli4'une maniere incontestabie par de observations precises It resulterait decla. que parmi les maladies Ies unecn'on aueune crise apparente, et Sestae plus gran no-hre che nou . et que les aurem soni terminees pariun veritable mouvemen eritique coserati done aclourd'hui un important Hella'etude quo de tacher de salae te deparcentre les maladieceritiques et les malames acritiques, et de signiae Ies circonstances qui appartio
Rippocrate dit limans tout anne et dans laute salsis les mauisis signes annoneent is mal, Ies Mns signes annoncent te bien . Si j'osais opposer mon avis Deelui d'Bippocrate, et consigne ici coeque 'experience M appris, e dimis que, dans inute malaiae auum les Mns signes importentieu et qu'il lautiniquement apprecie la gravissi des mauvias. Γ passage de ce traiiε a Maumum cupedes commentateum tant meiens que modernes, e est eelui ou iks,gi d divin dans les malinies. Quoique cetis expression soli lar vague, cependant omne peu guere 'empeeher de croire qu'Hippocrate iei attribue les maladies avne infliction celeste Ilos, dans te Traiia dea ira, dea Eaux et dea Lisux une polemique eontre cette Opinion vulgaire, et Hippocrate , quio mutient decla laconcla plus explicite qu'aueune maladiei'est plus divinea'une que rautre, que inutes soni divines et laute sonthumaines, et qu'aucvne ne se produit sans ne cause naturelle, Hippocrate dis e aures ile Mileursin avis oppose Galien , yant discute inutes Ies opinion emises avani tui sureette dissiculte, pense que cette expressio signis icium influences atmospheriques, Iesqualites occultes que rate prendinuelquelais et qui se revelent justement par rexplosio dedissirentes maladies B me se te que cetis interpretation de Galien est inadmissible, a causo disens preeiid'infliction divinoque te mot theton a dans les passages duamite dea atra dea Eauae et dea Lleuae ou Hippocrate combat oeux qui pensent γ'ilo a des malassies enuoye paris divinite B est dono permis de croire que dans l'intervalle qui semulcentre la eoru position du Pronostis et cella diuise dea stra, dea Eau et des Limae, lecide χ'Hippo-erate 'εtaient modifiees o Murres en oncture querae Pronostic est u livre de sa
Quesque commentateum et traducteurioni pretenduinus te Pronoasie summi Drenseμgnement de lauto la medecine Ainsi Bosquillondit danis presaee, que les Aphoriamea et te Pronostis sonorabrege de lautoria science Cestisne evident exageration , qui Ourne meme a detriment duatvre d'Hippocrate en esset, non euiemeniae Promatis ne rensermopas inuis a med ine, mais encoren est uniquement consacri a I'examen des malassies algure febriles, et, dans ces maladies mome, illas traiis que de M'u'elles on de commvn. on volt done que des espriis studio Auio chercheralentin abrege de la med ine enuere, seratent
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iis en retireroni profit et instruction. Pro ιιωχ' ippocrate murras en re autourd'hure re recon a 4 mmmede laudement d'uns nouvalle stude is semit oertainement important et utile de resiare, ave leaeon issaneos des modernes, ueriumire misit de so temps surae sympiomes des --ies algues ut Ebriles. Independam ment dei'a euon locale qui existe les maladies, et furtout Ies malassies sebriles se gemoralisent avec beau u de soroe et de promptitude; I iud de eos Meraii cu'estias satin il semit muriant ori utile de invole jusqu*inoe potat eon urent, dans Iea modifieations M'elles inpriment a lorganisme, es films, tespneumontes, te angines, te lesion traumatique a ompagnem de reaction febrile est. se tablea manque auiant Ia physiologie qu'acla pathologie, et ii lauruirali certainementdes notiora utiles anxiraticiens, da aes eas ouae indications speciales et preesses ne sont
4ernier inultat, te med in qui uisurd'hui oudra lire te Pronoatiela'ssiis rate, uouvera dabord des observatiotis de delat qui ontis veniae merite d'une grande vertie et qui demis ora dia de oes hien decisis ito verea ensulis laimsonde disseretice qui separela eoneoption utique de la coneeption moderne touchantua medecine eusin, 'il est doued n evrit laborieax, il sentis meae rare cheinent de a pense ancienne est suseeptibis de eo recla pen e moderne, et qu'i Lauriat utinam vasto ei nouum a exploiter, si Ihm appliqualida doctrine dBippocrate is innide satis que is medecine a re villis depulsae temps de eo mcdes Asclepiades. um est, dit salion, d'un medeoin habile et digne dea'art d'llippocrate de prevole te moment o cla maladis aura attein son summum a Cettet unaneela'est plus decla pari dumideria,''obiel dlane attention ausa eo tantes 'ellea'etiat dea part dimed in Morine ιδεμ εχ sippoerale on insiste sue is diagnostic, omen recberche in ues Minus in le remine a si Mure ement M'u est possinis; avec grande mison sans douis Mais il
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qui sati connatue d'avance. εnetrant et expo-sant, a prealable pres des malades, leur sent, te passsi et I'avenis de leurs malassies, expliquant ceriu'ilcomettent, ii agnera leurmnsiance et convaincus de la superiorith deses Iumieres, itin'hesilerontias a se remetire a ses solns It traiier aussi d'autantiste desinaiades, qu4 saura alaide de retat present, prevoira'4tat a venir Rendrecla ante a inustes malassies est impossibie, bieique cela valut euique de predire lamarche successive des symptomes mais, puisque les homules meu-rent, Iecuns succombant avant d'avoir appetele mεdecin emporis parda iolencela mal, Ies autres immediatemen apres I'avola appelsi, furvivant unbour Ou unie plus de temps et expirant avant que te niεdecin ait pu combatire Parion arcinacuides accidenis, ii importe de reconnalis Ia nature d'assections semblables, de faves de combien olles depassent la forcede Ia constitution, et en mome temps de discerner cirra quelque chos de divin dans Iesmaiadi Sest encore unis nostic apprendre. Beria sorte Iethd in sera iustement admire, et u exercora sonori habilemeni; en esset, ceu doncla uerison est possinte, ilsera n re plus capable de les preserve duperit, en se precautiomani de plus loin contrectaque accident; et, pravoyant et predisantqueIssoni ceux qui dolvent pεrir et rechapper,il sera exempt de blanae. 2. Bans Iecmaladies algusis, te medetan serales observationisvivantesci ii examinerata'ahor is visage du malade, et verra si Ia physio inie est se lablora celle de gens ensanto mais furtout si esse est se lable Dei --ine ce semita'apparenceda plus favorabie, et plus elle s'en eloiguera, plus te tange seragra lues traitarunt attein Ie demier degrεd'alteratio quandrae ne est misi lecyeuxensoncos, te tempes agaissees , les orcilles Diades et contracte , es labes des millesecarios, a mau du on iache, lendue et
aride, lateau de iuuieria saco jaune ou nolae, ou livide, ouilomMe. Si de te debui declamatadie te visage presente ces apparences etsi es avtres signes ne laurnissentias d'indications susssantes, o demandem au malade s'ila veille longiemps s'il a eum ne sorte diarrhεe,s'il a fousseri de Iariaim; une siponse affirmative sur quelqu'un de ces potnis sera regarderte peril comm molns imminent; un telliat morbide, quandae causes indiqu&s plus hautontisinsi decompose la physionomie, se juge dans respace d unciour et d'une nuit Mais sile malade ne commemore aucune de ces causes Sia'affectio ne cesse pas dans rintervalle qui aiste fixe ii aut avolesque la mort est Prochaine Est-ce a ne epoque plus avancsie de la maladio, a troisieme ou au quatriomo jour que la physionomie est ainst decomposee,
o sera Ie question queci'ai indiquis plus
haut et on examinera les aurem signes, tanteeuxque donne 'ensemiae divisage que ceuxqui soni Murnis par lesyeux. Sicles 1eo latentia Iumiere, 'it se remplissent involontairement de larmes, s'il ψδcartent de leur axe,
si l'undevient plus petit querautre; fide blanc se colore en rouge, 'in parali des einules livides o noires, cil se monis de la chassieautour de latrunelle 4'iis soni, ou agitsis, ousaillanis hora dera'orbite, o prosondementensonces si te prunelles soni dessecheos et ternes, ou si la coloration desinu le visage est altεree l'ensemble de ces signes est mauuais et de funeste augure. II sau aussi considεrerce qui parati des yeu pendant te sommeu leblane de I'ceil se monis Nil a travers Iesiau- pisire incomplὐtement sermεes, sans diarinee o purgation prεcedente, o sans habitude dodormis alasi, e symptome est sachoux et an- nonce unierit imminent Les paupieres, Oiles Iἡvres, urae ne vionNil, coriointement avecque u'un des autem signes, a se murber ouis prendreine ieinis livide ouuaune, on jugerata mori prochaine on portera encorem augure funeste, si les lovres soni relachem, pendantes, roides, et ou Diuit blanchim.
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eouehe surrae eot droit ourae coti auche Dant les bras, te ο et les ambes unieuinsseeliis et te corps eniter e molisur care' tisinsi questa lupari de gens bienio lanis reposent dans leur Iit et la meilleure position est celle qui ressemble acla position delasania stre couchi surae dos auoi les bras,le co et les jambes etendus est molns favorabie La tendance 14'assaisse dans te lit ei a glisse vers les pied est plus acheuse. Si ontrouveae malade ave les pietis nus sans etretre chauds, aveccles bras, te cola et les jambes nus, et dans des position irregulieres, onso ter unciugementalicheux, car 'est rindiced'une grande agitation Il est encore sun teque te malade dorme constamment a b cheouveris, et que couch surri dos ses ambes solent dans utrapprochement extremetu dansu extreme cariement ptre covche svr loventre, quandisin' pasa'habitudo de dormirainsi pendant la sanit, annone o u certain destire, ou de Ia douleur dans les region abdominales. Le est de se leve a seri de lamatadie est lacheux dans inutes les assections algues, mais il l'est furtout dans Ies affections pelaipneumoniques Grince des denis quande n'est pas ne habitude d'ensance menace
Iesmaiade,'un delire maniaque, et cela est grave te rincement et te delire s iis se reu-nissent, presagent du danger par leurrsiunion; et, si Sestae grinoemeni de denis qui furvient pendant te deIire, reta est tout-a-sait ala mani Le medeciis'informera si quelque plate existest avant te debui ou 'ilis en est forme pendant te cour de la maladie Cette plate quandae suiet doli succomber devient, avantia mori livide et seche, oujaune et seehe. 4. 'at observ c qui sui surcies mouu menta de maini dans Iecsievres algues, dansles peripneumontes, dans les phrenitis, dans Ies cephalalgies, te main promenee d vant te visage, hercliant dans le vide, ra- massant des fetus de pallie , arrachant brin abrin Ie duvet des couvertures, delachant les pallieites des mura dea'apparisment, presentent aulant 'indices 'une terminalso su-
3. La respiration devenue frequente annoncede Ia douleuris de I'inflammatio dans les region sus-diaphragmatiques Prosonde et se sessantra de long intervalles, elle indique ledellae fortant smide des narines et de laiouehe elle est d'un t--funeste augure u diutregaeserta bonne respiration commeayant uno tres-grande influence surra conservation dumalade, dans toutes Ies maladies algues quisoni jointes a des evres, et se jugent dans
quaranteuoura. 6. Les fueum Iecmeilleures dans lautes tesmaiadies algues, soni celles qui furviennent aux our critiques, et qui enlevent eomplesemen ta sevre Elles soni bonnes loraque, repandum fur inuide corps, elles Ontiendu aus ei sa maladie plus supportable mala celles qui ne produisent aucun de ces esset ne sontpas vanisgeuses Les plus maumises soni Iessueum froides, et celles qui n'Occupent que latete laetace et te mi; car elles annoncent, dans uno sevre algum a mori, dans une sevre molns intense Ie prolongement dela maladie; sontiativaises aussi, cesses qui 'etablissent fur inuide corps, avecae caracteres des fueurs declarisite Les fueum miliatres et ornem auco soni lacheuses Celles qui forment des Muttes et de Ia vapeu soni honnes II aut considere l'ensemble des fueum; car elles se soni, Ies unes parcia resolutionis corps, es autres, parra'intensit continue de rinflam
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dange de mori prochaine, et que lectumeum molles, indolentes, et eidant fouila pressiondu dolo, ni une durie plus prolonoe Lestumeum placres dans la region deri'estomac suppurent molns fouveni que colles des hypo-ehondres, et lectumeum placem dans legis gion Ombilieales soni celles qui tournent lemolns Lia suppuration. Cest furtout dans Iesasseetions qui on leur siege dans Io haut qu'ilsaut attendreues himorrhagies. Toutes Ies Misque des tumeum persistent longiemps dans les hyp bondres, a suppuratio en est treprivue Ces abces seront ainst apprecita Dceuxqui se inurnent vere te dehors sont les plus lavorabies, 'iis soni petita salsant une sorte satili a I'exleisleur, et terminis en potnte les abeos considerabies, larges, et qui ne se te minentias en potnie, sont les plus lacheux. Des abces qui s'ouvrent a I'inteisleur, les molns
nication aude''extelaieur, qui ne sontioint de millis, qui soni indolenta, et qui laissent a lama in muleur uniforme se pus te meilleures blanc homogene, uni et exempt de laute mauuais odeur; Ie plus mauuais est celui qui offre les pro testa contraires. 8. Les hydropistes qui naissent des maladies Rigue sont outes meheuses elles ne dεli rentias de la Mure elles sontare doulo Teuses et tres-funestes L plupari ni eur Mint de depart dans te stanes et dans IesIOmbes, d'autres dans te sole quan elles Ont Ieur origine avx stanes et auctombes, les pieciensent, et ii s tablit des diarrhees prolonoes qui ne Molvent pascies douleum essenties dans Iesmanes et dans les Iombes, et qui ne Tendent pas a ventre a Muplesse. Quandelles naissent du sese, es malades soni prisd enries de inusser; leue expectoratio est
insignifiante les pied enstent illa' a piant
de selles, si cellast des selles dures et provo- quoes parra'acito des remedes it se forme, dans le ventre, de tumeum, tanto alamite. tanto a Duche, friettes a des alternatives de
s. Ιl est lacteucque Iariete les bras et Iespied solent Dolds, pendant que te ventre et les coles sont chauds; ce qu'iij a de mieux Sest queriout te corps soli galement chaud etlgalement Ouple. Π aut verae malade setourne facilement, et qu'il scit agile dans tesmouvementa 'εIεvation 'it monte de lape nisu dans es mouvemenis de laut te eorps et dans ceux de bras et desii sole dangerest plus grand. Si outre talesanteur, on volt tecongles et les dolgis deveni livides la mortes touNDisit prochaine La teinte complete-ment notre des dolgis et des pied est molns funeste que laneint livide; maicit laut pren-dre en conside bation les auires signes car, sile malade parali supporter te mal avec facillia, et si se montre, a cot de ces sympiomes, quesque uns des signes de salut O aura lieud'es et que a maladi prenne la voto de dem, de sorte que lessuie richappera, et queles parties gangronees Ombemni La contra tion des testicules et des parties sinitales
annonee des fougrances violentes et an dangerde mori.
10. Quantiu sommeit, ii importe, commee' tu'habitude pendant la sanie de vellier lejour, et de dorimi I nuit. Si et ordre est change, te mal est plus grave; ce changementserat te molns faeheux si te malade dormait, te malin jusqu'aitiem de la Ournee a partirdece moment, Ies somnieiis soni plus mauuais; e qu'iij a de plus uneste cest de ne dormirni latuit ni Iedour car il fuit de ce symptome, o que ce sontra dotaleur et te malais qui causenta'insomnie, ou que te malade delirera. 11. Les selles le meilleures soni celles quison molles et consistantes, qui se sonta l'heuro ou Iles se salsatent pendant la sanisi, et quison e proportio des substances ingelaees; car es vacuations 'une nature semblableprouvent que te ventre iniarieur est en bonεtat. Si es sellas sont liquides, i importequ'elles s'o reni sans amouillement, qu'elles ne solentias ire frequentes, et qu'elles n'entralnent que peu de matteres laissicessit dose leve Dequemment saliguerat Iesmaiado et te priverat de sommeil d'un autre cote des
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dejeetion eopleuses et frequentes le metuatente dange de desaillanes It saut proportion-nellement a la quantit des substances ing rem, alter ada felle deux Ouamis lais pardour, et une solita nuit, plus copleusement te malin commeχ'est rhabitude dans l'ltat de sania Lesselles dolventis'si issi a mure queri ma- ladie4'approche de la crise Elles dolvent tire rune ininte tirant surae rouge, et ne paleis ierine tro mauuaiseideue II est bon ausiaque de tombries solent expulsis ave tesselles a rapproche de la crise Banctout m ladie, ii importe querae ventre sol souple et
en est de mεme quan elles soni de maueres petites , isqveuses , anches , legereinent
jaunes, homogenes Les plus lanestes sonides moires ou les graissenses , ou les livides, oules violacem, o Ies iides. Les selles qui varient annoncentisne plus longue duree dumal, mais non molns de Dru les selles qui varient soni compossies de matteres semblabies 1 de raelures, de matteres bilieuses. Porra es, notres, qui coacuent tanto , Iariois, et tanto separesnent quant aux gag intestinaux, te mlevx 'est qu'iis sortent sans bruit mais leur expulsion bruyante est encore preserablea leur retention Les gacemis avecaruit, a
tion de mattere alvi nec, 'urine et de ax; sinon, te orbo me sontage par te sal seulde so passage, Psoulage eneor en desce dant dans la portio inserieure diventre. 12. 'urine est a meilleure quan elledonne, depol blanc, uni et homogene te dant laut te temps de la malassies, juriu' lacesse car cela indique absene de ange ethrievetet u mal. 8 l'vrine offre des altern tives, 'est4-dire si elle est tanto limpide, tanto avee te depol blanc et uni, limatadie se
i est rat, ne maladi qui durem plus que dans te premio eas, mala Uen ostias moi salutatre Les depota se lahisi, de la sarine
dis e grossierement mouiue soni de mauualae nature, mala ceux de lamelles sontaneore plus mauuais; les demis lanes et minem sontistaeux, mais Ies depota se Nabim a d son, me e tres Les uages qui fouent dansl'urine, blanes, sonidebo augure niam. soni de mauuais augure Tant que rurine reate tenue et muge, Cest rindie que is maladien est pas encors venuo . oetion si eue apparenes dea'urine se prolonge ii est Leriandre que te friet ne puisse resister juriu'aumomen do Ia metion decla maladie Los plus funestes de urines soni Ies urines selides, aqueus , noires et .aisses; mur les horum et Ies lammes, e son Iecnoires mura ensanis, ee sonides aqueus . Quand des urinosianum et erues soni rendues pendant lon temps, mriointemen aveo d,uires signes quisemblent annoncer te relabiissement, ii saut pronostique qu'i se formem uidem dans Ies regions inusin taphragma liques Les parties graisseus , se lablech des tolles Saraiget surnageant surdes urines, soni suspectes ea elles indiquentisne eoinquation Baniles urines o se trouvent Iecnuages, ii diu ex miner4'us sont en haut ou e bas, et commentiis soni eolores ceu qui descendent en has ave les teintes qui on site dierites, dolventove consideis comme savorabies, et ii savis'endouer; ceux qui montente haut avee Iesteintes deerites, soni delavormes et ii laut en disier. Prene garde de ne a uous enlaisse impose par des urines semblabies quepourrat laurnis la vessio attetate de quesque affection car alarsa'urine donne uisigne qui apparuent, non plus a corps eniter, mala ala esste seule. 13. Le vomissemen is plus vanisgeucesteelui qui est forme de pituite et de bilo te pius me lange 'u'il est possibis, et si saut qua ne sol ni rta pals ni tres bondant molns levomissemen est mesange plus u est mauisis. 8 les matteres vomios soni porreeles ouirinnas ou noires il lauteoniadirer, quelisque soli eoue de res e leues γε rom minarque. e sympium commeet eheux Si te momo m Iado vomit des matteres de inutes le mulsura,eela devient excessivement grave. Les omis sementa de matteres brunes, si ellea senteni