Oeuvres complètes de Bossuet ...

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humblement avre mini Augustin, que -- jussice in cella visit consiste pluto dans laisimission des psiclita que dans la perseetion des Vertus B

Surae misite des inseres, 'rillae miliolique enses e que elavia hiemeste doli siue propossie aux istam delim, ei commemne

que toti tale price la valeu des oeuvres chrsitiennes provient dela grae sanctis lanie, qui nous Si donnsi gratui lenient a nomousisus-Christ, et que Cestin esset de rinnue e continuesse de eo divin Ches fur se membres. rii lumenides precesus, las ob initans, las promesses,les minaces ei les reproelies dea' angite soni assecuta quIIIaut que nous opsirions nolre salut par te mouismeni de nos, lonisis avec lavirile de Bieu qui nous aides maice'est unirem ter principe, que te libre arbitre ne peut rien stare qui conduis talassiliensi silomelle, qu'autant qu'il est mu et elevsi parde Minissisprit. Ainsit Milaesaeliantque SestoedivinΕ -iquisiit in us pars graee iovi e que Mus suisons de Hen, elle doti ercire que les honnes uises des Heses soni vh agreabies alleu, et de grande eonSiddratio devant tui isti'est juslement qu'elle se fert dimotde misite ave lolite l'antiquit chrsitienne, principalementio signisserita vale , te price la dignitsi de ces oeu, res que nous

Dison pares graee. Mais e me lauto leur ininteia vient de Bieu qui les sili in nous, ta mome sellae a re dans te conensidearente comme doctrine de sol mi lique celle parole de inint

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lauiclois a Dieu ne plesse que la Hirsilien se se et se gloriusi enh nsime, et nomen Mimine Mur, Onila bonisi est si grande emere laus te homines, qua vini queam dominii'nain lausolent leurs msiriles a Cette doctrine est sipandue dans tout ce concite, qui enseigne dans une inire session que a nous, qui ne potavoris rim de nou

s misse conster e lui-sime a mala que iovi in conflance et laute saririni re est en sisu Christ, e qui nou vivons en quinous meritons, en qui nous satisfaiSOns, salsant de dignes simila

Iess. VI, Eap. XVI. - Sess. XIV, SP. VIII.

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siis qui marinent laselement dans se Voles in pus qui fur sisti ruis intestiferire, selimine que dii rudire . Mais enese in reus esset anee soli Dis sorte que les promesses et les menaees dumondo et qu'elle sumse muris ne te troiuile de nos con

sciences ille 'nhleintinctout si saltria eratnte parce que si nous somnies assuras que Dieu ne nous abandonne jamais de lui-msime, non ne sommes damula certain que nou ne te perdi onsia par

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si atra dans te concile de Trente res imis minis si Messis enecti maiiare . Me nos Melita notis sint paritannis par iniepure missiricorde, a cause de rasu Christi que nous devotis hine

Mi savii cli avouerique les Meles de lauriarii ne eoniolent phis iant sufeeii maiies O laadsolent in comminemnent; eiu Lemale qui ne nous consesseni'ula ne stillati pas se separer

tamme celle premi sire Mon est la plus entisire et latius mes me salonia, it - - Sabore dans iussime Lmais mus e Fons qua in seri de la seconde dans la ramission in Laeeorde auxbaptista qui relambent dans lethchsi, ratant soria minuesque mansere par 'insalitude de ceu qui ont ab si de se premie

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n sin droit absolu parcio prix inlini qu'il a donn mur notresalut it nous ae 'Orde te pardon a tesse condition, mus telle iniet avecaelle reserve qu'nqui pluit. Mus solans injurieux et ingruis inverses Sauisur, si nous

, celui qui nous a monuε une si grande Milissi dans lati piamese ren plus dissi ila inversi capris quem si mons violales milites promesses It si juste, ei sim nisi salutatre mur

iemen decliens de la jussice, nous ne nous abandonni k, une imisulae consanee, abusani de la tactilia dii pardon. Cest donei finiissula Leetis obligation que nou sommo

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termine in quo consistent leum peines, ni Maucou d'autres ehoses semblabies surciesquelles e salii concile demande uno

grande retenue, blamant ceux qui dctilentine qui est incertain et 3 pecti Telle est D minis ei innocente doctrine dea si glis eat liquo lauesiani les satisnetlans, dontis a vovi tui summinis granderime. Si apris cella explication, Messeeur de la religio pr iendus siforme nous objectent que nou salsons tori licia sati laetion de desus-Christ, it saucia γ'iis alent oublisi que nous leuram Mit que te Sinisur a pay te pricentie de noue ruebat; querien ne malique a retrix, pulso'n est insini; et que Osis serves de peium, doni nous avo iurisi, ne proximnen d ineuntilaut de ce palement, maiid'un certain orcte qu'il a hiabli murnous retent par de juste apprehension et par ne discipline

salutatre. due sala nous o Ment me aeque nous cmyonsiouvola Sati

rure par Mus Mnes a milque parite de talesne qui est due a

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bonia lui ait avola Durdes nilliles qui sonides membros de risu Christ, se rient i hessalaement hie divi ines Mais certes ceu qui iniquit qui ont considiso que Dieuissime inspire li sesseoneum te disse de camigor dans ledesine, dans te fac ei dans

Oilaisi qu'il a de gratule se amis, i accepte missiricordiei in sement rhumbis sacrisse de laurem tineatio voloninires, endi ni in decebasim insinu'ilirhamna son Muples e qui montra que insistiit pariles ii , ii vini bienis Mouela invenies

autres honorant parce moyen sonitis Isisus-Christ dans la communion de se membres et dans la sarite societ de so corps mystique.

Votam de la doctrine demande que nous parilans mainiemini

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tante de Oules. ias sacretilens decla nouvelle alliane ne sontias seule imuit dresignes sacris qui nous reprisentent la grace, ni des Meaux quino, bar eonfirment, mala des insimunmis duciain, prit, qui se veni a nous raps iter, et qui nous la conserent en vel in des vles qui Mi nonrent, et de raeum qiu in sesi fur nous aud. o. imm quenmon , apportions ut obsime par noue

par sisu Christ, omine les moyens ordiniares dela sanetis- eatis P de a perseelion uis uvel hom me Leu institution divine parot dans l'Εcri iure ininte, o par les paroles expreMes

iam par les acies de sol d 'espsirance et de charit se, ni par te vinude rece voir e sacrement, nous croyons que S'il ne te resolvent

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tenue depius te lamps de apoires, se servant aussi dii salatiniame, Mur Mnionirer laxe luderem Terreni par eras seni usion plus expresse de ronesion ini laure si Minias L Nous myon qu'il a plui rasus-Christolumceux qui se sonis michra'aiuortisi de 'Eglis par te apthme, et qui depuis onviola lectois de rEvangite viennent subi te jugement de lamme sellae dans te tribunal de la senilance, in esse ex clapiussa eis, tui est donMe de remetire et de rei intra Melius' Les iermes de la commisitan qui est domo anx ministres do

ames affligera de leum pectes, orsque nomseulamen Oileur Melare en fermes sensimo leur absolution, commeare ministre lamiiquent, mala γ'on lac foui en sis par rauiorii donsu Christ apiasin examen partieulier et Mec coniicissante do

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absolum ni do celle sat ni onction, si nous Eommes bien dispossis; audie quo te sotilagement dans les maladies nous est seulementae rasi Par apport4 notre salut silernet, inivant les dispositi seMMes de la divine Providenre, et les divera degras de pris ridion et desti qui se irinveni damnes Mese dum on eo disera que rasus Christ a donMine nominolam a mariage, en sidui sani colle gain te meisitsi h deux per- Solines immital l ment et indissolublement unius et quand onverraque et te in parabie union est te signe de miminuite

eid me infusion si misere de la grare , esse destrare missisum redes saeremens Ausu sit Q Mouer que nos adversatres Uen excluentias absolumenida conssicration des ministres, mala D'ilsa'excluent simplement dii nombre des incremens, qui sonto mum a mutes Eullae L