Oeuvres, Volume 2

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repaptiseries heretiques,&se fasche contrela Pape desce quil

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presque rien. Et en cec ii sedesment de ce quat auolt dit enim Deillet is8. que Meniost apres la mori des Apostres, robscuritii commensa a venir, avelle peualemenueloppada Chrestient

de tenebres tres-hesses. orte dernies de ces 4. Conciles aestEtenu presque quatre censans apresia mort de Apostres. Dontila ensuit quecus resoluεt te. . Conciles, ou iis onten tenebres

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cest Matre doni est question , qui est de s sauoi co gnoistreta raye religion via fausis,& la distinguer

Irra deuichesi detout bien, qui respondent aux deuiparties fouueraines, plus excellentes de rame lin qu'il faut croire, de Hestia veritε qui remptit rentendement:rautre qu'il faut faire, ω Hestia veri qui orne is volontε, afinquero solis sauantae bon,bien croyant,&hien falsant vi par ainsi partai ct Ces devacpioce qui comprennent rout bien, rendent rame, a personne accomplie, sonides deux parties integrantes de lairaye religion, laqueste est, te Royaume de verith, te domicile de vertu Les deuxe se contraires de tout mal mensonge ou bien nrreur , vice senties dei x membies de laiausia religion L'on nepourra ia- mala nillirsutuant ceste reue,de iuger cognoistre lavraye re-

Eglon parum qualite &le naturet dela verite, dela verti: Ianvsse par celles de roreurru du vice. Ces deu principes de bien , verith, vertu, se ressemblent enflusieur choses, Mont plasieur deleurs qualite to utes sembla-blesinussi bien que mensonge ou erreur vice se fraternisent fortensemble La premiere de Lur qualite est, que toutes deuisoni

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M VERIT B TROIsIEs ME, dunttε, plus aussaeale de verite, de perfection, de diuinith voire unitε, verite,& perfection volat ensemble Comme pluralitε est impariatiae, uiuision est solbie Cec est auε avola Mententie par induction. irsus donccelle estia raye religionis Eglise Chrestienne. .,.su, qui est tres no simple, constante, ousio siemblable λων

piration de ovile monde a ne metae tabor cesa nee t esu

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une mere fertile.

Tiercement ceste unitε est considerable incla continuation, perpetuite det Eglis et caccaen est ne des principales causes ala fas on γ'meitulare, unan, n iour est ditisn, a cause de sonorigine, continuation&se parties successiues, flantretenantes: demesmel Egliseest,ne en trois manteres, a cause de An

rigine unique, qui aesthi Egliis dolire, remplie du seinct EDIrit se iovide la Pentecoste en Hierusalem , ainsi γ'auoit predit

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Au contraire la diuision, la dissention est propre a Ia lavisse Eglise, commedes mois de schis meis d'heresi te signifient aD sez,4 rexperiene perpetuolle ratassea demonstrε, ainsi'ula

ἴ et . Navniformit de la Catholique est tres-aelinirabie, qui Mant, z.ώ- , , dure si long emps, ε estant res adue ainsi parto ut te monde,ae

...1 a. par tant de nations differentes, en Ase, en Afrique, en Europe, re maintenant aux Indes , tantorientales 'u'Occidentales, elleayttoufiours estε,nem me lares une laentith de creance, de

police, discipline, obseruance Ce qui est a impulera grandmiracle a ne tres- grande de assiduelle assistancede Dieu.Les moyens externes , esimoi3nagesi marques de ceste vobia constante apres rinterne & emciente cause, qu'est te S.Esprit

Eεώ. in omnes occurramin in unitatem dei Tellement qu'o issant ad

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done via premier Pasteur,pour monstreravnit det Egliis, &deson origine: 'vetoute occasion de diuision sola par ce mo-.

yen retra nchee.

secondement des Conciles uniuerseis, Catholiques, ou se a.

sonitrouue Prelais, Seigneura, Ambassadeurs de toutes paris, de to utes langues, nations, detous Princes, les conclusionsae resolutions prinias entre eu auecon si grand accordis union.

union de bonne intellige ncedet Egli Catholique inoitissage

toires, dimitatres , que les Chrestiens Catholiques uoulans asser parte pays prenotent deleur Eues ques Diocesains, non Sauleurs: par vertu desquelles iis estolent partout e monde re- ceus ala Communion Chrestienne&Catholique, M sensicelles non, ny n'estolent tenus pour Catholiques Ceste practique re- ceu par oui, nest celas,ne tres-belle preuue&enisigne dola Communion Catholique partoutes les nations Chrestiennes: Mau contraire honte aux partis strangere de sectes , qui ne pouuans auoi telles lettres, nestolent receus a Lles Chrestiens dimonde Les anciens ontia de cest argument contretes Solctaires deleur temps, tant pou rendredeur communion genera is ε Catholique, que pou reprocher aux autres leur forclusion,' di comme excommuniee partialitε. ainct Augusti reproche ριέι.- aux Donatistesqu'iis ne soni dela communion uniuerselle, pour Ce quat ne peuuent donner telles lettres , qui solent receues athleum, ny autres leur en adressent: suantvi quant monstre Cecilianus Euesque de Carthage,'u'sis mursuiuolent tant aty mone, inrehien Catholique , conuminiquant aveca'Eglis Ro--ine, toutes autres dimondescar il donnoit de telles lettres, πιν, ac en receuolt desciuires. Sala Basile contre auculis, qui levouiolentiendre suspect cheresi aes Euesques, die it, de ovile monde nous adressent, e Gyent lettres, dein resoluent donotas optatus Mileuua vis de cest argumentiour prouuer

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i Egilia Romineestre vrayement Catholique .c'estque out lemoride communiquoit auecelle parae commerce de Ces letum

en combien de paris il est deparis , cessaris en stautres paris par diuisions& subdiuisions Aetius Arrien se retira des tres,&fit secte pari. De ceste sortit Eunomius autheur me autre secte: de ceste cyantichius Puis vindrent Dorotheus Marinus. En theresie de Macedonius itymoit deuκbandes principales: Encelle des Donatistes it fenauolt trois, les here sies de Nestorius, d Eutiches estolent diametralement con' traires & en cha ne licetus ity auoi plus d'une do ainedesectes plusieurs en celles des Monothelites stoutes celles cyostolent capitales , yans encores chacune oussoy lusieursu'ctes differentes.

. dient Egliis Grecque,qui sontio utes contreta personne duelles

. - Uousn'auons plus affaire auec elles iis long temps Celles dorOccident en linglis Latine, qui soni contre te corps mystiquς de Iesus Chiist quiesti Egliseis se apparienances, ne soni pugnoi diuisees , Rient estre en res eius.

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. Pour parier de modernes, auec qui nous auons affaire, de odit nous faut v n peu plus arrester, les plus famevias, comm c pitales sectes, qui presque outes d une volee se ni mises inveni, westeuem depulsioixante ansensa, soni Lutheriens en Allemagne, Zuingliens en suisse, Caluinistes et Gaule, Ana- baptistes en Vves phalle, Trinitatres en Pologne, O a iandrins en Prusse, Puritians en Angleterre,, chacu ne d'elles est encore diuisee en Saul res subalternes. o comblen est grande la diuision, contrarietε inimi id implicabie decessectes, ii est ais Ea oir par plusi eur moyens, de fi cIairement, qu'iisne te Rauro ient nierou dissimuler combienqu'i sprennent grandinetiae, our cacherleurshontes, amuseries simples, leur fessant a croire ou'iis sonid'accord Parquo te lesioucheray brienement care est expedient que emondo lessache, aftia de les cognoistre. Lepremier argument cireuue de leurs dissensions est en Mis.. , leura et crita nim decvns contre les autres, aus queis ili me pire et ' battent tres iuri semen, non seulement par iniures atroces : ἔπ' contre les personnes la doctrine, maisits se censurent, excommunient les,nsae,autres, Menteappellent hereriques,sacramentatres, diaboliques, damne olernellement tesm'ings lase rici de Luther ran ω s. inpres lusde V vestpha par plu- sleur, sol contre les Zuingliens de Caluinistes,4 de ceuκ-cycontre ceux-la. Et depuis Heinuissius, Chemnitius conti e Caluin, Beze &ceuxiescontre, qui mieux Les Lutheriens QCalvinistes escriuentra condamnent les Anabaptistes , lasOZiandrinS. or soni ces debat,non seulemententretes sectes maistresses capitales .mais aus entre ceu dine meme. Entre les Lutheriens cesseuerent dεsae commencement deux seetes principales, i une de Lutheriens rigoureu de Stoiques, rautre des moli&plus modestes dict Melancthopiens, entre esquellesyaeudissension perpetuelle , res grandii, declare par si crith par disputes publiques, tellementque uis naus grand entre harigoureum, appelle les mois, prefchstuta de Christae Antechristi Sous chamne deces deuxicy ityen apti aeursautres differentes stellemem que δε ran cinquante 'eus, par lea Comtes de

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restans encore plusieur autres. Au Caluinis me demetae tesCaluinistς d'Angleterre ne,'accordent auec ceux de Geneuetide France f ceux meta es dAngleterre sonitellement diuiseet, qued'entreeuxen soni sortis detix vitres sectes, i,ne des Puri-

tains , fautre se nomme la maison de famille Samour Lesqueli deux se soni separees des Caluinistes. 4e temple ,α communion δε se deichirent par esciit,les, ncles autres. Certes ron ne crotroit iamris la grande confusion, diuision, qui est entre ux, si ron ne voyoit leuriesertis. Pour exemple prenonis eulementin article, eiusde linueharistie,, confiderotis la diuision emune secte seuliment, auoir de ceux quinient la presen ce reale, qui soni diripour ce Sacramentatre, en combien de fasons diuerses expliquent-iis ces mois: mcs -- rus meum Carao diu , Me, Mod assidet mense, es corp- meam,

memoriale beneficio a m meorum. Saenineu Corpi meam es hic Las Phocis tota haec actio caenae scorpiri meum. Maiice Lasciis a chan-

se Sopinibn plus dedouetes is Et Luther dicenon sermon,