Oeuvres, Volume 2

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etousioum depulsae fiese de Mestres , par la succession des

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autres partis contraires. Combien que desiali censuit amet pas . 'sι, dessus ea mal-ais Ement estant elle encla Catholique.

I '' si est pasti eux metae,ie confessent,eombien qca regre ditans. erifinquellen est pas necessatre. Mais cela se disputem apres. Les Peros anciens te reprochoient Art a ceu de leur tempsi quant auAmodernes, LutherenVvitemberg Zuingle enautich,

propres dires Caluin Arce parti veritε confesse, querordination, commea estEidit, est necessiam, ditant qaeaucunsobre neniera, que les euesque Dur strelegitimement appellaet, ne dolumbestre designeaepa les honunes, estanti Escriture siclaire, abon dante en cela: at qua bion ii ny auroita un 0mnian- dement de rimposition des mains,loutessois robseruationi viage perpetuet des Apostres, dola auoi force de comman- dement Laquelle imposition des mains ne doli potnies re nita:- ny baille par inute la multitude, ais par les lauis Pasteurs Voleydoncque ceste person no selon eux, n est legitimemen

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Qmnt ala succession de doctrine, de laquella sisIressent tant, striis vanient divoles: ili disent sussire bres, Hesisyle fot de in

resfarre Cretesiis loni encore molns , que la person lae, eom me nous monstrerons tantost in re men de leuis dires, astinε die que rvne ne peus estre vi durer sanit mire Mais monstrons lex par expres, qu'iis,' ita doctrine. Ity deux manis res de proceder en cecy, rvne semis deproduire les sentenem docto te anciens, p rvoir que aesthlacreance ω domine det terEglis ancienne primitine, de puis filiaianteae floris ter ae patria on verraque la doctrine des Catholi es est lavraye , descendue des Apostres, tenue detout tenaes, cine des aureo fausia Mais ceste maniere feros troiloninie, at ouin infiniexpuis elle ne seroti ais .claire, liquide,assimi , alas frutecte Lob.

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ae par ii consessis propreides aduersatres, quela doctrine descatholiques de maintenantiaquelletisco amne sita doctra. Reae cimancederancienne de primitiveEgliso,tenue, uersei .

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pourdes respinea: mais que les anciens en cesa soni tombea in

ment nostre intention carentoutes ac chas ne deleuis Centuties tousious au chapitre qui est fatetiour cela, en rarti equi est de a declination dela doctriue,iis monstrent clatrement, quelesPeres, Docteura dos premierssiectes, 4ousiours do-puis tenoteocla metae doctrine, quela Catholique Romatae tienta ceste heure de laquelle runt iis pou uiuent de condamnent. Ce γ'il forat decla seconde Centurie auec ces mota, Combien que' cest age sole bien voisin de Apostres to es ista doctrine de Christ&des Apostres aesthbeaucou offuia quεὐ car plus eius opinions monstreus es de incommodes olit estε respanaues partes Docteurs, Et lora pourte prouuersis in guenties sentences des premiers SS. Docteurs, Irenεe, ustin, nate, Clement Alexandrin. aurem to haniles potnct qui

prouuer que la succession Pastorale, doctrinale 'est poliachmeux,, est enla Catholique Romaine, que les Centuries Dictes partes Lutheriens,& cede qui est Dicte par Boursoing Caluiniste Gest, tout de la prouidetine de Die tantio leur condam nation , pacto sela domonstration de rantiquide veratesCainolique, pi'ili se solent appliquEs a faue cestvieuure Cariis quali sy solent lor ea de mmvais ειν, κ

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peu qu'auons dicta esulte asseet, quela tuccession de doctrine postolique est en a Catholique Romaine: Ot quela doctrine,queles modernes schismatique impugnentiant, est celle, quies ok tenue dε les prennier series , auant treige censans, en ta seconde Centurie, qui est alter iusqu'auxtemps de Apostres Car Silean Euangeli te, Apostrea vescitiusques,la seconde Cen

turie.

les Euesque Papistes se ,labim a Caiphe, ira est pMmis auae

Ministres reforme estre Euesque stans succession tu ordi-3. nation des ordinatres Caiphes Secondement ena iam me, ou es premier Euesques Arriens estolent, rays degitimes sumeesseuis en droiete ligne des Apostres grand personnages,com me Eusebe des comede, Macedonius de Constantinopis, Paulus Samosathenus JAntioehe,ausquesuapres ontiueo ε'd'au tres ruriens legit mement Mais encores plus clatrement vis, chementia vanit de ceste successon persennelle se monstre enl Eglis Grecqueae orientale, laquese est tenue pou schismat, quo paria Romaine, bie qu'en celles 4rouue encoreta su cesson personnelle entime Estant done ceste successson, bledo perinnnes, angereu argument 8 inaeque incer ne, it se fame teniri arrester ad suecessio de do ne, i est suffine seu-

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4rious auons che nous, e que sommes prests de verssier ω---onstre par les escthures , par esquelles oute doctrine dolinstre examime, iugee de par icelle it noussera aisa de monstrerque nostre doctrine exto ute accordee,, ne auec celle des inposita Et enciores au pire, de eaque ron requier scron cris

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uersei detoustes anciens qui 'ensent seruis pourbarere decor damnerious schismatiques Ceinu iis allaguent povete prouuer,

fiuon, Bede ceste veritStirer une conclusion Suffestis .euuent bis dire at . a sumession person telis petit bien elire saris vraye glise, celari uras: Maisit ne s'ensuit pas te contraire, qu aussi a vraye Egliis sinit sanatasuccession persontielle, ει que ceste successio ne init pastaecein re Carnous Mons D'ellene sunt pas seule, Si que ouiesseis elle est necessalae: .uonsdst& monstrescy desias, quela suecession entiere vraye marque delEglis est doutae, Rauolt est des Pasteuis, des Docteura,&quenissem ceu qui separent i ne de lautre, et se contentem Das dclineseule. Iliaue oboranx Prestresfain si appelloienti, tes Eues ques)en Eglisc, qui succedent aux Apostres a qui avecta succession Episcosiae, on receu te don assisu sed eritε. Et

Catholique Romesnee avraye glise, ello suffit outtis c. Irouuer,que cheisles aduersatres rEglise,' est mini.Et toni ce- vient de la precedente proposuion, quela personnelle .stas'. cinatre thais seula ne sussit pas. I. autrepetit modia dire, in que les aduersalem desdasminsainsi de mespritans la personnellepour se contente dela doctrinale, procedent Wauteleu sement. Car il est ovi patentae elair, 'u'iis mont ointla personelle: Sest cliose qui setouche au dout