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tencricontrition, co0fession, satisfaction, participation des Sacremens,&autres exercices Les schismatijaesens e nent quesans cesmoyens par laseula Dy, bressans riennire nous ouyDtans de ceste perionne,mori,& resurrection. s. Nous enseignon qu'en falsantce qui nous est enseigia, aistumaude en laparole dc Dieu. 5 no appropriant ceste maride resurrection , nous euon auoir ne turma sperance ea
Dieu, que nousiouysons de se promesses laquelle doli estre plus forte, mai non pas destrui recla cratiate, qui nous est tant recommaudee enda palo de Dieu, qui vient de u cognoss- .sancede nφst te fotblesse de misere Les chismatiques destrui-Duila criante de Dieu niuenflans te coea d'orguelli pre&m ption en&igneutriu'il en faucestre certain asseurε peruer--.tissanti tela parole de Dicu, qui ne ditant nio dela certitu. de, nonsen igne de iure M chominer par foy, ac sperance, Qui est umilie .enuere uis des reprouu-ωla certitude cus6. Nous ditansqu'i iij a quisn seul sacrifice expiatiare& pro pitiatoire pourtout te monde, ne seis falia illaCtota visibum et, auec violente, volontaire effusion de sang. Leque unique suis crifice doli estre perpetvellemet rememore, representεa Dieinpour te salut de tous en genera , de chacui en pasticulier Ias. schismatiques iniectene ceste rememoration& representation. ndemnans hioute action, signat, o niarque qui sere a resueti
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frement, fusimi r inconueniens, erreues ε heresisti
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donio ιμα de ses fautos . comprend nussintne contre lebe. - &deliberation de n y plus remurne mee sperance depar. doni remissionia is satisfactuinis merite infin de Iesu Christo equisit Laut cappi quar, as Sacrement de consessionti absolution, ae par bonne emures, qui sontappellera oeuures 4 , μωκε istactoue meritolaus, po ce trili soni moyεs instrumens mur nous,relique lasathisinon, te metia de Iesus Christ fur quos faut implare la puislance de temerare .u retentrias pectea queis Fusae Diau inablyen son Eglii.
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, ouueaur ossi iers, qui dereches, euvent enco res an aer,
enleprenantiout seul, latronquant, sans represente rinietion, laeto te sensentier derintheur Car iis, procedent ousioursatast, comme nous auom monstre cydessus clairemeare desueux
de M. Augustin, Hierosme, Chrysostonis Mais que la do. ctrine anelemiride is es Apostres initu toue commare , la
leur,ileuaropolatria leurs propres diresti confessions, queay cite: en moniture,ac te uel illae ille pas sicles anciens est olenta'aecord auec Caluin, commece respondan reue aiis
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α dis hori seulementiour en estre musque, mais urses auola descouuenes,&hu' x fonticius las deux Commentaret pellera-on ceste fason de parier quens Peres anciens voire Iesplus volsins des Apostres Ont vescien tenebres, on estSaueu- glea,4nt ignorε te, Escritii res,erresenda doctrine,orit obscvrcy, difforme, corrompu, deprauε Iasaine doctrine: onidit des cho .ses qui sententarIdolat ieiprodulet nes nee serpentinoidon tneoccasionata tyrannies dec cesso leum parueres mois. ω- celas bim pueque se mocquer Laquestion est, ni succession persorinelle est necessatre ounontali dis quisit, que ieeta prouuε par quatre moyens It dit 'ira refutε tout cela. or bien te men rapporte ada, erit heste Le--ur en iugera Pour prouuer te contraire, it argumentesnsi. succession personnelle peucestre san Egl se, Eet alien'est pas necessalae Iedis que cem est vas Hen argumentε L antecedant est,rη, &ie leuis en mon iure: te consequent est nux,, la consequence ne aut rien. Grdinatrementum propositions Vmyraestans refoumeeso renuerises sontrivisses Lasucceia sisnest sans risisse. Dyrrilis est sans succe*on, faux. Et puista forme d'argumenter insi ne vaurrien. La successon euiestres ansulise, Euola successioni'estias necessatres: Itau-droit dire au reboura La successior, peucestre fans Eguis, Ergo i' lisen'est pas necessatre ad syccession Illait que nier,'est pys refuter.'e dis que nier est perrinemment respondre a refute en quandie prouue lanullit de s consequenm, Myle, tu prouue, que monobstant quela succession soluans Egliis, ictutes is rEglis nepeut est restans succession Et par ainsi com-
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d nec o parvitavere. Iltiat Meto utes le deua sommineombien M'en'Diers rares It faut donesque les personnes succession perion nelle nioir. Contre mondire quest, queb senarie la succcssion per odi. neue ne sume Aule, si est-elle necessaite I me demande dequel nom sappelleraseeux, qui auroncla inc me doctrine des A ,ostres saris usuccession personncile iitroxeni insi, Mea qu'ilayeoubliEa rex primer,&φerire e mo sancta perso neue pulsi respondIour,i.y, Dignant que telo appellera iteretiques. Iete deinduove, te ne les appelleraspas inii, retenans amesine doctrine des Apostres, lane peuuent inre teretiq aes, mala n'ayans pasta successiqn personnelle, te les
amplenient in preface de rexamen de so chap. Li responditie mestne argument qae 'antiquitε, multitude, c. n'inolenteas etlectualement en regisse in commeneomene et iour CURn inolent pas motus propresae rayes marques, de cepariam
-- - e, quo te respondantis aurit misen mali oui est
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aeis propriet rire en rhomme. 3. Si son argument estosthon, i. dirois aueant de la succession de doctrine, qu ellen est pas marque det Egisse, commetivem, dautant qu'aux A- poties ili' auoitioi: it de succession de doetrine mal seul
'mene commencement de doctrine Euangelique.
Responsent a ce de rudit a letiis seconde obiection, it na
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e est chola qui consiste in droit, qui eu disputabie, surae et
arant de gloses&diuerses interpretations wainfitie mutem marque de rEglise La suceession est clatre: notoire, et nost-sisse en faire, .insi plus proprea estre marque: Mericores est esse plus elatre, estant inincte auee la personnelle, conisaea in voesonsi, ne seri deris. pournes renere uernesine, de
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Surce quera di, de respondi Iobiection des Euesques Aoriens, AEMei trois demandes: Vne comment si grande multitu de Sileretique .pouuoitestre si proprement condamne de leposee par,ns petit nombre de Camolique ac comment onsouuia trouue tam digens our metire en leur plage Laayn. e cest horum porte a 'Eglis Catholique est ε
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doitestre bonne, estant nicte par main d Euesciues det visis
aut re forme que Catholique: ausi faut-u reordonnerce suont eu ne nusse ordination comme nos schismatiques
sequi dit, comme ille nict. Irdit que ieri'enuetappe en do contradictions manifestes Dor vomns quelles, ear il fir quatis, noter La premiere dit-il est ente que te dis en cest aditicle, Questa succession personnelle a estStrouhlee en quelquos Eglises prineipales de rece , a cause de quelques Eue γε