Simples réflexions sur le décret du Saint-office Lamentabili sane exitu et sur l ...

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e anous les homines parma propre Vertu Getaitune sol vivante, engage de toutes part dans letemps et te mille ou elle est nee Unoravaild'adaptation a et et sera perpetuellement neces-Satre Our que cette mi se conserve dans le

Dans le texi de la S. Congregation, e mouVement qui 'adapte est hos e resque inintelligible. O dirait ussi quera 'ai conteste que leChrist ait donne u enseignement L Christo proclisi une sol non ne thoologie et te mouVement chretien est revolutio de cette sol a traverstes iecles On seruit sor empsicho de prouVerquede Christin prosesse uis corps sitermine de doctrine , comme de demontrer que robj et reel de a prodication est directernent applicabie atous te temps It ne sembleias que les membresd Saint-Οaece vivent, comm Jesus et Ses discipies, dans rattente dijugement dernier. Une idee vivante dit Newman OuVrage cite, Pp. 38-39), procede necessatrement δ' u etat de

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L doctrine chrefienne, a se debuis, ut juiomi mais elle deoint, par de goolutions successipes, labor paulinienne, uis johannique, enisin hellenique et unis enselle. Volci te extera'o procede ceti propositi Ori L Eoangite et Eglise, I 8 si La pense chre-tienne, hie d6buis, ut juive et ne Ouvait Otreque juive bie que te christianisme evangelique

ait conten te germe lane religion universelle. Le remier changement te plus decisis, te plus important, te plus rapideatissileut-otre, qu'il ait subi est celui qui sit d'un mouvement uis, sondesur ide Messianique, ne religion acceptable

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ompeia dire sans paradoxesu'auca chvitreae Eoriture, depuis e reniter de a Genese jusqu'au dernier de Apoca isse, ne contientiane doctrine absolumen identique a celle que

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proposition Altour Tun petitutore. 54 est ainsi

tures conformement a s doctrine actuelle 'est son droit, ea elle 'est a tenue et elle auraittor de 'ensermer dans te sens historique, en leprenantiou regie de s sol. ais son interpretationi'estias, a proprement parier, te en de

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LXII

tres n'as alent passour Ies chrmenides premierste sua si scation quila ni surries chre-tiens de notre te S. Texte original Autouri' unieti liore, ou : ia conception theorique u dogme immuableneleut essacer rhistoire des domes Le sens quine change pas cestias colui qui resulte recisemen de la letire, 'est-a-dire 1 sorme articu-Ithre questa verit prenat dans l'esprit de ceuxqvi on libelle la formule ilἈ'est pas davantage dans a forme particuliere des interpretations qui se succedent selon te besoin Gl est dans laursond commun impossibi a exprime en langage humai par une definitio adsiquate a son oriete susnsante pouestes siectes des iecies. 'a cite de exemples, notaminent les articles du Symbole des apotres concernant la descente du Christ aux

bor que es articles principaux du Symbole apostoliquem'avalentia non plus tout a sat lanahme signification pou les chretieris χ'a our

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KEglis se montre incapable de defendi e 'cacementa morate eoangelique, parce gu'elle reste obstinement attache a des doctrines im-

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progres modernes. Je ne croi pus que ceu ε erreu 3 Vienne demes criis, et je ne Ois a non Plus comment

LXIVLe progres de sciences exige que Pon reformeles concepis de la doctrine chretienne sur Diau, surda creation, surda res elation, sura personne d Verbe incarne, surcia redemption. Source originale Autour 'un petit liore introduction, XXIV-XXV, et 153-I543 progres decla science os en de termes OuVeauxi problem de Dieu. e progres de histoire p0Se en de termes nouueau te problem duchris et 1 problem de Eglise . . . e Verbe aete conqu-'abor commeone sorte 'intermediaire indispensabie entre Dieu, absolu et immuabie, et te monile fini et changeant... On Serepresentat Diei agissant comm d dehors suriemonde et sui rhomine. . . Cependant revolutionde la philosophie moderne tendi plus en plus a

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ri Medu mea immanent, qui, a pasamoica'i termediaire mur agis dans e monde et clamlhomme La eonnaissane actuene de universne sumere-velle Pas ne eritique de ride deeroationet a connaissance de histoire ne suggere--ueΡas une eritique dei'ide de revelation 'La connaissane de homine mora ne suν Me velle as ne critique de ride de redemption . . . e Chris est Die murra sol. aistes gens nou demandent maintenant de eurexHique Die et te Christ, arce queo S definitions soni conques en parti dans ne auis langue que laeseur. Une traduction 'im-

I'ai constate des laus, et jei'aiioint parie de

reformem des anciens concepi aut ment M'entes adaptant aux egoin decla pense contemPoriane.

Ls catholicisme fauilourd'hui neseu se concilieris ecci orate science que 'i se transformeonis christianisme non dogmatique, est-adire en protestantisme large et liberat. Iae est-ὰ-dire, Vec e qui fuit, doli venir de

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I varians dire que ce jugementi'estias insati-lible, et, an se constitue rapologiste duraaint- Ossice, on eui observe que oute la religionii est pas dans la critique biblique ni dans la philosophie du dogme. δme suris dernier Oint, je crois que mon Systeme en tantaque system il a dissere essentiellementis protestantisme. ilourie qui est de robj et a croire te protestantisme orthodoxe, sim celui de . Harnach, eonsiste dans adhesion declario a uitlisioremeabsolu, qui est cense conteni la substanc immuable de 'Evangite te catholici Sme, a con

stularite divinement etabile, interpretation quel Eglis donne actuellement de Evangite ces

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I'ense et I activite des croyants). Qui dit proteStantisme affirme implicitemen ta sumsance et rimmutabilite absolues de la revelation Vangelique. Qui dit catholicisme Di implicitementcette sumsance et cette immutabilite absolues s Autour,' an petit rure, O5-2Ο63. Μais la question, auloint de ue generat declaphilosophie religieuse est celle-ci I religionest-elle uti sui individuel oui sat sociat Mapoint de ue de ceti philosophie Ρplique a I histoire di christiauisme la question est iste Christ--t-il Oulu sondei une religion individualiste , O bienista societ des justes et te service universe du salut Autour tun petiturore,1 3) cetio double question, 'a toriours repondi la religion eston ait social la religion chrotienne est ne societ uniVerSelle, qui ient di Christ te principe de so institution et de s sol. Rien 'est molns proteS

tant.