Simples réflexions sur le décret du Saint-office Lamentabili sane exitu et sur l ...

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Ledour svivantae udi 4 du meme mois et de la momeannee u rappori id sit de totales otiose ayant etsi fait licia Salii tete te Pape Pie X, a uiritetsi a approuusi et confirme te geret de Reversendissime PoreS, et

O volt que approbation pontificale est 'ne simple ratification, qui laisse au decret Son caractere originei Les POpOSition condananee Parte Satnt- office restent de Ρropositions Ondam-nees par te aint- office ce ne sontius des definition qui viseraten des doctrine heretique et Dappee d'anatheme. Illa insime et Observe quel decret Lamentabiliri'aias te degre sup6rieur de solennite et 'autorii qui μ' attache aux decision de lara Congregation qui soni rise enseance duci eudi. ais cette distinctionis a paspratiqueinent plus de porte que celles doni illa

rieur, telles ou telles des proposition qu'il oblige

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APPENDICE

VERITES OFFIcIELLES

Lauoi eoousiastique qui prescrit de foumetire si uisensure Malable e liores qui concernentis dirines seritures s'6tendi ceux gui cultioentia eritique ou με se scientisque desaiores dei Aneten et da Nouoea Testament.

L interpretation que Polise donne defetiores 3uinis doli tre estime tesse qu'esse ne sottias 30umis au jugement cense plus exae et a laeorreetion des eis tes. Lairdtentio de stoise est que son interpretation dogmatique de Psoriture lasse absolumentl0i, non seulementiour renseignement pastoral,

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Des jugemenis et censures ecclesiastigues Pomte eontre I exeges libre et sapante, omneleiat pascinμremque a fot propos/e pari lis solien contradietion Oee histoire, et que esdogmes atholiques ne puissent se conellier aoeeles origines eritabies de a religion hestienne. On eut certainement e conclure du decret Lamentabili. Ρourriu'illa' ait pas contradiction,il aut ontendrecia sol et Ies dogmes, pris dansleur ensemble, non sens different de celui queleur attribue officieilementi Eglis Pomaine.

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unjugement fur es assertions de selenees Pro- fune8. Le jugementis question ne peut ire telinu ili os ou defende a la science ne conclusionquesconque mais 'est uri simple avertissementcontre les conclusion qui, ous retexi de science, tendraient a ruine les principes dela religio et de la morale. Oter que, an lasnuatio qui Psisulte Our elle de notre civilisation astHise, inalgre ses pretentions, ne peut satre

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renda.

Elle letourrrait si elle avait une connaissance absolue de toute sirit6, et uniouVOir absori suries espriis Μais elle ne possede ni ceu connais-sance ni celouVoir. Ses jugement ontra valeurde directions qui ne 'imposent a Pindivisi quedans la mesurem celubci, selon es lumihres et S conscience les croi legitimes.

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L inspiration demtiores de Ancien Testamentn' pas consist ememque les gerioainiisraelites auraient present les doctrines religieus Mous m aspeet partieulier, e eonnu omineOnnu des

pius intelligibi que a proposition Ormulsi en

doxes.

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I est sau que e solentae eoangelistes ux-mgmes, et les chr/tiens de a seconde et de latroisiame mngration, qui aient elaborfartinete, lement les paraboles s angeliques, et renduainsi compte, peu de fruit dea pr/dieationchretianne avras des Diff.

taine.

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II est saucque e quatrieme Eoangile ait exa-yeredes miraeles, sottpoursu iis parussent plus extraordinatres, Oit Oursu iis depinssentitus aptes a signisse Postvore et a gloire, Verbe

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Les exegetes eterodoxes Ont exprime motus faelement moeritabie sens des Eeritares que les exegetes eatholiques.

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