Simples réflexions sur le décret du Saint-office Lamentabili sane exitu et sur l ...

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position. 'i est Palinu'elle ait use 'une certaine critique dans te choi et acceptation de Sescii res acres, cette eritique 'etait pas celle de historien moderne, mais unciugement inSpine par a sol, et qui concernati a Valeurde es crit ui potnt de vii de la sol Ce quille

ait puis' enserineri perpetuit dans te gens primitis de ces antique documenis, et en suit elle nes' est pas ensermee Entre la penso des cri-Vuin sacres et enseignement ecclesiastique de Osciours, se place out te travat decla pense chretienne depuis dix-huit siectes. Ἐ'histo

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Il 'agit toriour duraroit de la critique, droitque Eglis conteste en e qui regarde laci libie et questa critique ne lachera plus, Γayant une sols

Des tigement et censures ecclesiastiques, portes contre exeges libre et sapante, on

est en contradiction Oec histoire, et que esdogmes catholiques ne perloent se concilier oecies origines eritabies de la religion chretienne. ΡPesac re Autour duri petit ire xxII-xxm : Si ron 'explique pus a ceu qui Soni capabies de reflexion elat reel de choses, iis 'instruisent dans es iure des protestant et desincredules, et altitude mome de certaine autorites ecclesiastique seu les induire aiensemquela croyance ossicielle dea Eglis est e contradictio avec histoire que a sol catholique est incompatibi ave la connaissance de la Vorite sui' les origines du christianisme.

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tiques, et 'une possibilite morale te aint- Osfice parte de Eglis et d'une possibilite absolve, δ' une deduction ogique sonde en uison. Aius monis erreum est aggrayee; mais e cratus bien que, ous ceti sorme, elle ne Oit encore defendatile Esse te sera tant que des personneSincompotente en critique pretendroni regirabsolumentiexsiges a noni d 'une theologio quis est constitue tout entiere uvant te developpe-ment de sciences historique et de la critique biblique a cours des dernier SiecteS.

sens propre de satates Ecritures. Autour Tun petit liore uuIὶ si histoire sesait... aveccles temoignage hiStoriqueS, e que ne soni pascies decret du concile dearente), si cen est eni qui regurde la pense de ceu quidesoni rediges... Ous me citie u decret qui definiti sens historique de ce texi du quatriem EVan

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et de Peurit L concite eui queaon entende auSen Proprede motisau. Je ous repliqua querae concite Vait arsaltemen rai Son, ais que levi a sens dii texi ne resultati as de la destribtion, et que te concile defendati qu'on tournat Ia Parole en metaphore, oui elude la necessited bapto me reel ille visai directement nilauthenticitera passage en tant que avole du Sei-gneur, ni tu forme particuliere de a significationdatis Γesprit de revangeliSte. DI 'histoire est ceriu'elle est, et fonte Oitia Sce que les definition des conciles et des apeSpourratent changet a reta de temoiguages et de satis. Onobstant les apparenoes , t Egligeru' a jamais definiri sens historique d'aucun RSSage, muis elle a interprete a propre tradition surde

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Dans a definition des eriles, Eglis elu- diante et Eglismenseignante collaborent de telle sorte que i lis enseignante a qu' Sanc tionne te opinion communes de Eglis eiu-

diante.

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- - Uevolution incessante decla doctrine se ait parte travai de individus, selon que leur activite reagit fur activite generale; et ce sonides incli-Vidus qui pensant avec Eglige, pensent auSSi Dour elle. Mela ne constitue pacta hierarchie en

Le choi des termes discens et docens eccἰθ-sia donneraitis pense que ron uis en ue Cepassage de gr ignot, dans son disco ur sur L mgthode de la theologie 16 Cette expreAsion, Eglis enseignee, 'est pus tres satissai- Sante, arce qu'elle ne ditias raction reciproque, I solidarit mutuelle qui lie les representanis clelautorite aux representant de tu science Aulie de ce vocabie qui luisseruit croire che cesdernier uine pure passivito, it me semble qaeon ΡOurruit en adopter maiatre. . . et distingue tom

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ΓEglis qui eludi et qui seconde les eqons

arendus.

declarant que telle doctrine est erronee la PPOPO- Attion qu'O vient declive est absurde, et e doutetu' elle ait et foutenue pariun catholique . ais question est recisemen de avoi si Eglise

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est insuillitile, a sensit elleaentenil et dan unca donne de Oti damnation, si elle a parte. Un

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- 43-Le problem qui se pose maintenant est plus prosond, et I S. Congrclgatio a pu 'en Outer,puisqu'elle condamne plus lolii I opinio qui metressenc di dogme dans son efficacite morale, non dans son enonce speculatis. Selo cette Opinion, I autorite des dogmes, en tant que doctrine SPsiculatiVe, ne eul tre absolue et celle de ΓΕglis qui te enseigne ne est a duVantctge. Dans in logique de ceti theorie, obligationexiste de se conforme a reliseignement de ΓΕglige en tant que direction Ornle. OUS reservedu droit imprescriptibi de lauaison our e qui regarde es thclories doctrinales.

on doli tentriour exempis de totιtefaute ceuxqvi ne font nul cas de condamnations portees par a S. Congregatio de Index et par es

Il est possibi que rautorite des CongregationS

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romaines sol plus ou moin dechue mais et individus ' soni ou rien et I discrsidis resulte de Pomanisation om de tribunaucteIsque rIndex et te aint-Οaece donicia procedure est tot de presenter oute les aranties desi- rabies our a pleine et impartiale instructionde cause a juger Ces tribunaux institues ourlaiolice des idees, et quilrotendent la conser-

Verriout entiere, assument une tache qui est devenue impossibie contradictoire et, dans la mesure Oii elle petit 'eXercer, funeste en resultatS. La

rester Ouinis, et ii 'on est rogressivement et definitivomunt emancipe. Oveste savunt, autorii de Congregation romaine est nulle, et ces S. Congregations curori ei prendre leurparti.