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Cette comparaison est dans te sinae soli que celle donii'ai pari plus haut faut deri'attention potirin volesta justesse Virgile compare te taureau qui recora Vre insensi-blement a force et sola Courasse, et V enfin altaque Sonennonii , unio qui s'ensse et se gonne peii h eu et vasondre ave impύtuosit surde rivasse.
Virgilo fait ei allusion Di histo ire de Loandre, qui passoit, bras de me poli alles timuVer Usiro On amante. Dryden a traduit e passage san gotii. andis que Virgilesemble parte en gonsira des esset effravant de 'amour, et se contente de fa ire allusion hahisto ire dei andro qu'ilne nomme pas, te traducteu angloi conte froidement et
Trois sortes 'animau trai nolent, selon Ies posites, lechar de Bacchus te tigre te lύopard et te lynx Volcides marques qui distinguent es trois animaux Le tigre estatissi ros et monae plus gros que te lion Pson pol est mar- quo de longues rates Ledύopard est plus petit que te tigre, et arquύ de laches rondes. Le lyncesto Ougeatre commele renard et tachyde blan se Seu sontiXtromement viseetiridanis. LL cer est ussi furieux aussi ardi, lors tu i est enchaleur, qu'il est timide dans es a uires tempS.
Ι dans le texte, Glauci Potniades malis membra ab- silmpsere quadriqin Potnie tot uno ille de Bύotio prbs deThἡbes Glaucus, si dans cette ille, empsicha quatre Ca
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Une foule 'auteur anciens attestent celtes condatio mervellieuse Columelle en parte comme 'un ait connuo avsi1 6. I ajout que e fruit de cavales , ins Rcondhes par levent, ne Vitias plus de trois ans. Quoique lamature sol infiniment vario dans se opsirations et om dansses euX, to ut porte his ire que les anciens ontiatd tropcrsidulech et gard.
Coemorceat est imith 'un passage de Lucrsice, qui aut bioticles vers de Virgile, sinon potar 'harmonio, d molnspou la beautydes images. Un podie franso is qui criro itai ourd'hui uti podine surci' agriculture pourro it dire amomo otiose que Virgile.
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sait nous intίressero et animal, que nou regardon scommemn des plus viis M. de Busson semble avo ir dύrobh Virgile son secret 'ant i a su releve par Son Style enchanteu les moeur et les opsirations de animaux On lira S rement aveo plaistris paralibi qu'il fait de la chsivro et docia brebis. uia tibvre a de a nature plus de sentiment et de res-ι Source que librebis : elle vient Di homine volontiers, elle ιι se familiari semissiment pelle est sensit, te auX AVOSSeS, et Cn .ulable d alta hement ille est aussi plus forte plus loghre, si plus agile, et oin timide que lairebis ; elle est vive, ιι Capri Cieuse, lascive et vagabon de cem'est qu'ave pei neu qu'on a conduit et 'lu'on petit a roduire en troupeau; ellectinime h4'έcarterians es solitudes h gi imper fur te lieuxu escarpsis a se placer et memela dormi surda pollite desu rocher et surde hord des proci pices Dolle cherche te male
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u roit cependantias dans la chhvre dis re essentiellementu de elui de la rebis Ces detix sphces 'animaux, doniti rorganisation int Pleure est presque enithrement embla- uile se nourrissent, croissent, et multiplient de la momesimanthre et se essemblent en ore par te caracthre desu maladios, qui sonicies momes h rexception de quelquesti unes auxquelles la tibvrem est pas si elle Elle ne craintupas, Comme lairebis, lintro P grande chaleur elle ortu au soleti, et 'expos Voloniter hises ayon les plus vitia sans enitre incommodi e et satis que cette ardetii qui cauSec ni tourdissement ni vertiges elle ne 'effrate sint desu orasses, e S impatiente a cicia plute; mais elle parat tu hire sensibi h la rigueur u roid Les Ouvemetits X-titsirieurs, Os queis, comme nous 'avon dit, di pendentu beaucolaphoin decla formation dii corps que decla forceti et de labarisit de sensations relatives h 'appsitit et auti desir soni par cette aison beau CouP moin mesuros,u beaucoup plus vis dans ait hvre que dans lairebis. I 'inu constanc de son nature se marque parci'irrύgularito deci Ses actions Delle marche, elle 'arrhie elle colari, elle bon-udit elle Saule, 'approche, 'Io igne, Se montre se CRCheuiu fuit comme Par caprice, et Sans utre cause sitermiti nante que colle de la vivacit bigarre de son sentimentu intύrieur; et toti te a fouplesse des organes, tota les ne su dii corps sus fisetito eine Lia situ lance et Dia rapidito si de ces mouvemenis, qui tui soni natureis n
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Lo anciens, Comme on volt, ne tirotentias aut an de parti dii poli do ch hvre quo Dous Les tos es nites de cette matthre sontisne des plus grande riches Ses de manufactures de Flandro et de Picardie.
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Le chant des igales nyest Oint pro luit par te Dotie-ment de leur alles, comine elui de grillons, des Sau-terelles P 'est uno scanique qui leurist particul throe ellesoni solas te ventre ne petite cavitέ, dans laquelle se troiive une membrane exirhmementioide, lastique, qui ita formed 'une tinabale Deia muscies trbs foris Dappen sur cette tinabale alternativement et produisent e charit. . de Reatimur avant dissoquύ des ei gales, mitin jeri ces muscies, et ussito infit parte fa cisale morte depuis plus de trois
Ilis' a que les males qui aient et organe, te femelles
en Son privsies en sicompense elles Ont ut instrument
Vsigbce, livre P dit que e fardeau que les soldais O main portoient ordina trement dans leur marche tot de solvante ures Cicέron dit, Tuscul G, ', 37 Qui labor, quantus 9 minis 'ferre lusi nidiati mensis cibaria, ferre siquid ad usum elint, ferretallum. Nam scutum, ladium, iu
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onere nostri milites non Plus numerant qtiam humeros, lacertos, manus Volci comine eexprime hie si et M te prύsident de Montes luteu, datis son excellent iure de la Gran- deur et se aisica leno des Romainsu uiolamque les Romainsu piissent avoi des armes plus pesanies que colles des aut resu homines, i falloit 'lu'il se rendissent plus qu homines: ui'est ceriu'il firent pari travati continue qui aias men-u tot tela force, et par de exerci es qui leur don nolent de ut adresse, laquelle 'est aut1 e chos qu'une juste dispenu sation de forces que 'on a Nou remarquo Matijourd'huiu que nos armhes dύporissent beatico ut par te ravat imi modύrsi des soldat. Aur-tout parde fouillement des terres j
u etsi qui est lx hos dii monde la plus propre Diesti faire p. 1 tr. 1 accoutumoit te soldat roma in ii alter Iouias militaire, 'est-h-dire faire en in I heures vingtu milles, et quelquefot Vingt-qua tres pendant e marchesti on leur falso it porter de polit de solvante livres Oricies uintretenoit dans i habitude de covi ir ou de auter totitu armύς iis pretiolent, dans leur exercices, des psies, desu javelois, de spolies 'une pes anteii dotibi des armesu Ordinatres, et es exercices tolent continueis.
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semble avoir alqusi s description sur celle de Virgilae Sest
I dans le texte, Et pocida linti fermento atque aciliis imitantur Ditea sorbis It 'agit de quotque liqueu sembi ablea laathre, ait id re ou au polrsi petit-otre cependant tot elle plus forte cari fait eloti des euples SauVage et des habitant dii Nord poli lectioisson qui piquent viV men te palliis Laio traye, dans se Voyages, parte 'une liqueu nommoe bya, dontii fait usasse dans a Tartarie-Crimcle: 'est, it-il, ne liquo ur blanche, ait de fleurs de mille et d'eauriu'on fati fermenter ensemble.
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u son intelligetice se di ploie toti tintihre Ses talent natureisu se . unissent ici aiax qualitos acquises Dbs que te ruitu de armes se ait entendi e , hs que e soti dii cor oti lac voicilii chasseur a donno te signat d'une guerre prochaine, uirillant 'une ardeur olivelle, te hien marque a ole
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ββ Dudisiure fugiti interroger la traco.
I dans le texte, timidos astitabis onagros o De Oit dans iacula autela latin queci'ano sau vage se trouvat en
ilans queique ite de l'Archipei, et particulihrement dans celle de Cύrigo ema beaucou dans es dύseris de Libye et de Numidie iis soni gris, et courent si vite, qu'ilis' a