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d poete. En montrant auxinomain lasource de leur guerres ave Carthage, ilvouloit les flatter ceriu'i 11'entioin salte representant Dido parfallement ver- tueus et satis solbiesseri cartator rodieux de in mort retomboli su Enge 'eut hie commem presage 'injustice et de perfidie cur a cause de se descendans. Virgile 'avolt garde de commetire cetie
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I Eneide , on des chess-d'ceuvre 'eloquetice dans tous te genres. on euicies diviser en deux classesci es unsmhthodique et conformes aux regie ordinatres de la rhetorique Iecautres irreguli: ercen apparence , et molns assujetis au prέceptes de artqu'a mouvement des passion qui tes inspirent. Les premier supposent, dans celui qui parte , unesprit tranquille et qui se possede asseZpour meitreu certain ordre dans se idhes cles seconds an- noncentine ame agitee de quelque passion violente qui ne tui laisse potnt te temps de reflechirni de mesure se paroles.
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Anna soror, quin me sus ensam ansomnia terrent IEn esset elle est pleine 'admiration pou sapersonne ruis no s hic nostris suecessit sedibus hospes luem sese Oreferensa quam forti pectore et armis
Cette admiratio est justiste par a bonnemine, par a Valeur et se exploits to ut an- nonc e lui'u'il est ducianides Dieux
Credo equidem, nec anasides, genius esse deorum 'Degeneres animos timor anguit. Iraul quibus ille Iactatus fati, quin bella exhausta canebat lHeu me cri de compassion annoncein vis i teret qui se m/le deja au sentiment d'admiration. Unael epoux ne serottias sans doute indigne deci males elle ni pense a cependant , aiselleis penseruit, sit-elle , sancta sol u'elle a Promise aux manea de Sichhe is niihi non animo ixum immotumque sederet, Ne cui me incla,ellem sociam jugali, Postquam primus amor dece tam morte fefellit Si non peremsum thalami tiaramque Disset; asilo uni forsan potui succumbere cul in.
Ce sentiment qui ne paroli pas encoreubrantersa resolution esticaninoin bien vis: Anna;fatebor enim, miseri post fata Mehini
Coniugis et sorsos fratem cinae Penates , Solus hic inflexit sensus animumque labant mmpulit.
Elle compare ce sentiment ad tendresse qu'elle
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DE DISCO URS DUO V LIV. 65 eut auire is pou Sichee et ei'en est qu'un ve lage, une elinoelles, mais qui essembis bien ala flamme Agnosco eteris,estigia flammam Cet aveu tui est a peine echappe , qu'elle craintd'en avoi tro dit Elle se corrige aussito enrevenant a sa premiere resolution, dans laquelle elle se confirme par ceti affreus imprecationsuivie de larines tres-equivoques Sed mihi, etc. REPorus D 'ANNE A DIDON. b algre te serment de Didon, sa sinu voltra leucqu'elle--me la force de s passion potirle prince rorem et comme elle n'a amat ap- prouul a triste resolution , et qu'elle ne volt potn d'autre obstacte a cette nouvelle alliance, ellei'essor cedet determiner. Elle agnela'abordsa confiance par a tendresse qu'elle luitemoigne: O mea magis dilecta sorori. Elle lui petu ensuit te euvage ou elle s'est
condamuee, ous des couleur sombres Solans erPetu moerens carpere iuventa a
me dulces natos, Veneris nec rimia noris 3 Elle lui parte de son ceu commeἈ'un sacrisce inutile qu'elle sat amne cendi e insensibi eri Id cinerem aut Manes credis curare sepultos Apres es trois interrogationis courtes, mala
Pleines deciens, et qui emblent diciees par le
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I,' Parce 'lu'elle est necessatre, vules angers qui enutroianent Carthage. numeration Ds vatile de ces angers
I cient in mentem quorum consederis arvis pHinc Gelmo uis , etc.
5'. Parce lu'elle est extr/mement aVantageusere' est uti biennii des Dieu mΦmes hesNil permis de te refuser Poti equidem auuicibus reor, etc. De la open ta gloire de retat, a laquelle unereine do it se sacrifier
. Otiam tu urbem, soror, hanc cernes, etc.
Elle conclut en indiquant a sa ceu la conduite qu'elle doli teni pou parveni a ce mari age. Elle prevolt ses scrupule .c'estio arquoi este lui recommande de se rendre les Dieu favorabios apres quoi it neci'agira plus que de retentriue e par diversiretexies a Tu modo , etc. Disco uas Diu aurum VENυ s. o Ce,'est qu'ave Mdain que Cette deesse orgupilleus enire en compositionisve une Di vini te qu'elle regarde commessor inserie re. Elle debui par ne ironi bion arque , eomine pou faire honte a s rivale des in ens
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Grace avxcioin de Venus cia hos est bienavance e puisque Didon est dei solle d'amour. Juno consent de son cot a ce quo es de uxpeuples,'en fassent plus qu'un, doni elle veut bien partager 'empire avec scrivale. L'avantage,s'il en est , era encore u cole des rorens puisqu'Enee , en qualite 'epoux , aura outerautorite, et Didon to ut la dependance
Ente sen1ble Φme demander ela comme ne graces maisi'est encore une ironier elle se ardebie de manis ster son veritable ut, qui est l'eloigneri e de l'Italle. REPONfE DE VENUS. M Cette repons est mesuree et conforme aucaractere de douceu qu'on doli suppose a ladeesse de amours. Elle a penetre Partifice de sarivales mais deleur que ceti fiere Divinito ne se portea de uouvelle violences, si elleis volt
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decouvertes, elle sein do donne dans te plege, et consent aclo ut, sachantile que e projet ne sa
pose secretemen a abaridonmer Sensibi a P utrago, et plus en cor a la cratnte dei e recelui qu'elle regarde comme son poux , elledobule par de violens reproches, et passe insensi-blement , et par degris au representatioris,au prie res et auxes armes. I 'ex orde est vehement 'est Possenseriti 'elle considere. Quo de crimes n'o trouve-t-elle pas ala sola La dissimulation et te combie; 'est par-la que commetice cetie reine irrite :
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nec moritiam tenet, etc. Apres les reproches Viennenties remontrances.
Au de ut de olit autre sentiment, elle lached exciter au moltis sa compassion : Aerctre mcls labentis Esse tui repr6sentela triste siluationo elle, se trouver reduite a cause de tui ha des euples volsinc, meprisee des princes de Libye, detestεe de se sui eis, destio recensin la mort est tout e qui tui. reste si Enee rabaris
donne: Cui me moribundam deseris ' '
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PeuNelle attendre deformais dans labies quid moror de qui peut-elle espere rappui sera-cede Pygmaliomaon rere, o de et Iarbas qui a rechexcbecia Naa in P ais iis soni devenus ses plus εrand enne . olle ne doli attendre que leur
Ven Mancer An mea dis malion, et
Esse uoudroi desino insinu'Enee en f ant luieu laissi unaage de so Lymen, qui futua consolation et resper nce d'une mere matheureuse elle et e se crotroit passentierement rompsi niabandonnec Sciatem si qua mihi, etc. Enc4'ur-xhte su ces dernieres paroles, qui appellent a laseis et sa tendresse et se reproches, et qui ren- ferment par consequent tout e fonds de son
D Enἐe est attendri par te discours de Didon
renseruie dans son: eur es sentimens secret , Pour notas donner a la rei ne decesperances inutiles me ouvant se rendre a se Hestra, it neveu Polu la tromper Sa reponse est sincere,