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les iamoignages nous abandonnent: e crois cependant que examen intrinsἡque prouus quace livre appartient reellement a Hippocrate. 'autev d Pronosιὰ di que les remaeques iii illai soni applicabies ala Scythie a la Lybie et a Belos. Uautev d trait des ira des auae et des Lleuae a recueilli se observations dans a Scythie, a Lybi , et dans la Grece , tant astastique qu'europeenne. commele Pronostie est d'Hippocrate te traii δdes Atra , desina vae e desaleuae est sans dout de tui Be plus Ies concordances de ce livroavefles Aphorismea et les 1 et δ' livres des Gidemies sontis no reuses, qu'evidem
on trouve dans Aristote uiueri table resumsi de cetraite: Le peuples qui habitent les eli- mat Doliis , testeuples Turope sont en genera pleins de covrageri mais iis soni cem, ainement inserieurcen intelligene et en industrie; et sits conservent leur independance, , iis soni politiquement udisciplinabies, et n'ontianiaisi conqueri leur uoisins. En Asie, M a contraire, testeuples Ont plus d'intelligence, 'aptitude pou les aris, mais iis manis quent de Meur, et iis restent Ous le jouid'un esclavage perpetuet La race grecque, qui , topographiqueinent, est intermestiatres, eunt toutes Ies qualiseides deucautres. nolle possedera la Misa'intelligence et te conram n n est dispos a croire qu'Aristoto avait mus Iesbeu te traite des Atra dea Eauae et des Lleuae , quan il ecrivit e passage. DE ARTlcuLATIONs. cyon quelison Ies temoignages surie livre Galienis'elδvo aucundoute sur soli authenticite arctiena, inscrit dans sa listes Bacchius et Philinus . leves d'Herophile, en avalent explique des expressions dans leum commentatres. Ainsi dosa'origine , i sigure dans a collectio hippocratique Mais, plusi eur eritique modernes enayant altaque la legitimit4 celane sussires passourrae convaincre et i saut chercherdes preuves. s'il en est, qui se rapportent amne periode anthrieure. Ctesias, dans u passage que j'arcite plus haut, blamerine pratique chirurgicaled'Hippocrate, pratique qui se imuve dans te traite des Arιieulations Les termes msime doni se fert Galienson significati A. Ilii quo te premier qui eritiqua Hippocrate a friet de la inluetion do
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invM par plusteum critique modernes, entre vires par Gruner, par prenge et par
on a assure queda eonnaissane des arseres et des veines impliquat une date posterieurea Hippocrate; 'ai appete que les arteres avalent δtε nommees par Euryphon plus leucque tui; n a pretendu que e mo museleratait des e les anatomiques d'Alexandrie j'aisait voir'u'i etait dans citatas Grener dans sa Censure declivres inseratique , pages 8 P. et Sprenget, dans son Apolosi d'Rippocrate, ont crurimuverun contradiction enimu passage du traiit des Atra desinauae e de Liauae u rauisu parte des lammes gue rieres des 8auromates, et un passage duarai des Arιieulationa uiauteu traite de lablole recit de Amagones Lemit est qu'entre ces deux passages illa' a aucune contradiction, ear ili' a aucun apport. M lium des Atra , desinauae et des leuae parte des semmessauromates qui vont a la guerre et qui 'atrophient une des mamesses, asin 'avola lasmouvement plus libres ce quea'auisu rapporto commmune observatio verit les et Iolivre des Arιieuιations parto des Amarones, qui desarticulentae membres inserisura deshomines, dans leue ensance, asin de preveni laute revolt de lauriari e que I'auisurrapporte commerun Mit sabuleux Oa volt done me eelui qui cito I'observation des semines sauromates, a bienis traiis de lableae conte des Ammones. . Lebas sonumentsd'antiquissi figure recussillis in re tarda commission de oree, hie , p. 63yditen expliquantum detalla d bas-relies qui, dans le temple de Phigalle representat lai seste des Ammones .ae plus grandio re oncla potuine enuerement cache , quelque η unes Ont Iesein droit de uveri aucune neci' mutil& bien quo ait pretendmque I'un et I 'autre usage sitiat propreio Amagones . e ce'u'i permetini de se servi plus laetis ement de rare Cette mutilationis' mur elle que autoriis de quesque avisura aui, Ombre desquet Onesi surpris de re onuer Hippocrate De Aere et Loeia).allela'est india que par aucun des non rein monuments 'antiquit figurε queri'ai us - ω, Hippo- erat attribue eette mutilation, non aux Amagones . ais avx lammes sauromates Je suis satisfait d'avoi tu , dans M. Lebas, que les anciens monumenta te temple de Phigali avait Mybati 480 an avant I.-C. ne representalentias les Amazones avec la mutilation disein; Hippocrate Vestias en desaeeord avreeux lainessus Seulement ii est probabie que e passagedilium des Arιieulationa ou il est parte des Amagones qui luxent les membres des gareons, et te passage ducllure desci ira dea Eauae et dea Lleuae. ou il est ditque lessemmes sauromates 'atrophient uno mamelle in eis consondus et on donne lieta erreur de croire que les mythologiques Amazones se mutilatentisinsi erreur donicies erita 'Hippocrate Onchia mut vera' easion , mais doni iis sontinussi exempta queris temple antique de Phigalle. Be plus en admettant ave les critique modernes nommes plus haut, que te trait desarιieulatiora contient des notions anatomique plus avaneees qu'on ut is supposer muris temps 'Hippocrate . a uelle emque placer la composition d'un te livre Ces notio anatomique si avancem, o les attribue a recole d lexandrie et ependant deux discipies 4'un chel de evito Mole, Philinus et Baechius, Chesilentias a regarde te traiia des Arti lationa comme I'seuvreta'ssippocrate. Si e livre rensem des notion qui ne euvent partenis qu'aux anatomistes alexandrins, Philinus et Bacchius se sont laisse tremper parun uvrage qui a lia labriqui, mur ainst dire, Mus leurs yeux on ne peu done en aucuneas, te rogarde eorum pos alexandrin.
Tout uela constitue utensemble de preuves qui me paraissent vales une demonstration; et, conformisnent auxis te que je me suis saltas, et d'apres tesquelles je regarde commopreponderanis les Minoignages plus anciens que is sondation des Moles alexandrines, joci'aim Memmiser d'attribuer . nippocrate te traiia des Artieulationa. Basana nam quoique te regardo te traiis des Artisvιaιiona eommoda mite de eotui des Fraeturas, j'ῶχ' ordiaria de eotuMa, pare que alien nous a conserve des temoignam. qui manquent fur elu et naintenant, mur montre I authenticiis duamite des Fraetines, it sussim de salae voiriniit formo, laut avee estui des Artievιationa GaIiems est eharinde eo sola, a fide me contenterat dele traduire: uJ'ai di dans Io eorumentatre surae traiis
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des Artieulation qu'il est une suile de oelui des Fraetares; lci, te valcrappeterariδ-ι, ment Iecmisons qui te prouuent. 'abordineta est evident par te debui de I'un et antro, traii4 celui des Fraeιurea commence par ces motis fau queue medeein fasse remen, siones plus direetemen quis est ossibi dans esuuaeations etrae fraeιurea; I'anteue, annone elatrement parda qu'il traltera des actures et des luxations Celui de Artieul solans debuis par la particule e particule qui indique oujοursis ne suite et iamvis lo commencement 'un traiis. Cependant, quelque uns oumenta'habilate et l'elaudition, jusqu'a citer te eonomique de Mnophon . myant prouuer parra que los anciens, valent la mutume de se servi de la particule Be au Quod'unature et iis rapportent, a premiere phrase de I uvrage de Xenophon ainsi concue: Eous de pote autochai, peri istoaeomias Diade moi dialegomenou. I I'at entendu me donne les instructions, vivantes sura'ε notae). Ila ne faventias que eo livre des nomique est te demier des Nemorables de Socrate. n utre, 'exposition meme des choses monte que te traiti, des Artieuιations est Ia fuit de celui des Fractures. En esset,''auteur, ayant promis. dans eelui-ei, de parte des luxation et des fracturos, majori dans te livre des Artieuιa, ionice qu'ili'avaitias expose dans l'autre de sorteque te suis est traiia completement. Aussi atrie appete que quelque uns pensatent qu'ssippocrateis,vallias divise lui-meman 'aevum entiere en deux livres, qu i avan compos un seul livre intitularas in in dus medeein, et que plus tard , e livre unique avare te a cause de is longueur, partam en den par quelque auue Hippoerate n'a Omis au ne es cerae luxations ni detractures, except les fractures du crane attendo Θ'il se inservait 'en trauer a pari pone cen eonvaincre, it ne saut que se appete les Ob eisinu ilis exposea dans les traiies des, Artieulation et des Fraciureso dans e dernier iliarie des fractures de ravant ras. duiras de lauambe et de lainuisse, puis de oelles duiled et de la main ensuit de oellegi, qui soni accompagnees de plates et de denudation desos ensin des Dactures des articu-- lations digeno et dii coude Il ne restat plus a parte que des articulations dea'hpaule, de la hanehe et dirachis, et emisit de fractures, de celles de eotes de la machoire dia, ne et decoreilles; il en traiie dans te livre des Arιieutationa. Εὐοutre, yant expose la, diasisse des os ei des contusion des articies dans run et rauire livre, it eomplete, dans, elui des Artieulaιiona, e qu'ilis' pas acheve dans eclui des Fraetvrea de sorte qu'iin 'omet aucune es se de luxation, ni detraeiure, ni de diasisse des os Ilo est parie aussi, de la conlusion des muscies, des veines et des ligamenis Tout cola prouue que te livre des, Arιieulations est is suile durature de Fraotures Ensin ayant conseilla, dans ce demn ier, aux med in qui dolvent pratique dans une grande ville, d'avoirine machine de, reduction iren donne is description deisinoe dansae livre des Artiouιationa e'est cerius, depuis o Lappes Ie hanc,'Hippocrate. Jei'ai rie Latouter aux arguments de Galien I a dεmontes que las deuctraitos ne sontqu'un et dis lora, a traitydes Fraetures appartient te meme degre d'authenticissi'u'autraiiades Arιieulaιiona. Quelque critique anciens, a dire de Gallen attribuatent run et l'autre a nippocrate, fila de Gnosidicus, et grand-pere du celebre Hippocrate e qui esti'autant plus singuliorque plusteum eritiques modernes ont ouisnu, a contraire, que ces deo livres eruientd'une date relativemen recente. clamau Enetsi a numwN. Ce traiia est este par Galien eommorandium doni les eriit ques4'accordent a reconnatue lyauthenticite, trotien 'a place dans sa liste, et des le temps de Bacchius il figurait dans la collection hippocratique Celae soni cependantias les dires desanciens critique qui sentim'on determin&Drangerie lium a coia de esu que e regat dommme elant veritabismen d Hippocrate. ais dans le ehapitrea j'ai montes que te livm des Instrumenta de redueιion elesti abrege de celui des Arιieulationa e consequenee, jej'alias, tu separer 'abrege dea'Original, que que soli relui de hippocratiques qui ait Iait celle analyse Ii aut emarque en ovire quo cet o seu te est preced dlane introdito-tion anatomique qui est tres muris, et qui est sans Mule aussi,n abesse oo Mut supposse
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que eme introduction, dans sesimportions primitives, servat de preambule auctraites dea Fraeιurea et de Arιieulationa qui alore ne formalent qu'vn sevi livre suppositioid'autant plus admissibi queae traiis de Fraeιures commenc brusquement stra'une maniere
qui semble indique que quelque Gose avait preced4. A livre des Inaιrumenta de reduetion tali joint dans 'antiquit , u fragmen que Galien cite fous te utre de livre surries eines C fragment ait dans nos editions partiedo a compilation intituleeci de la Nature dea os .e' tua Neuvieme classe qua e sera
BE PLAIM DE TETE. Le plus ancien temoignage que nous possedions fur eo livre est celui de Bacchius Cependant personne dans I'antiquitε ne parali avole dout de authenticite duisaite des lates de t/te Il est d'autant molns permis de resister a cetis unanimite que endans te mite lui-meme ne la contredit seulement quelque eouet Dagmention his signales comme apocophes et Hovias. SERMENT. Plusteum critique modernes ontra te de rauthenticii de cetraerit Cependant i cessi cito plusleur solidans l'antiquissi Lotienu' inserit dans sa liste et certain mentarotien avestiuis cetis indication ehecles commentateum anterieum. Ainsi 'on no ut douter que te Sermenon'ait sat parti de tres honne heure decla collection hippoeratique J'ai di plus haut chap. II, qu ine eitation 'Aristophane semblai ne Duuoi serapporter qu, Serment. Be plus ena'maminant en tui-msime on est poria Diui accordor une haute antiquissi quidemmental se apporte a ne corporatio constituω comme celleque formalenta Aselepiades; et, si omen piami lceomposition pres lasondation de l'ecoled'Alexandrie omne comprendrait plus a quelutat de choses it murrait 'appliquer La gravissi u langage, te sentiment positi decla responsabilite insidieale qui res consigne, Outem ehes' voi roeuvre postlrieured'un saussaire Ce qui 1'a sat suspecter, 'esta mention dela lithotomie, op4ratio qui diNon, ne se pratiquat pas dans ces temps recules. Mais cest uno assertion inute gratuite et ii est tres probabie, qu'a exemple decla medecine egyptienne, it navait en Grece des me deeinsiour lecyevx Ῥοur les denis ete , et pou lalithotomie. Sprengel Apol de Hippocrates, Bd. I S. 77ὶ di que certains passages, enu'au- tres celui qui est relatis auctaille ontite o aioutes, ou salsisses ardes Alexandrins et quo Celse, autorito irreeusabis en erei, designe Ammonius,'Alexandrie, ave lesurnom de lithotomiste, commeae principat chirurgien or voici ce que dit Celses si Si te calculiarait tro gros muriouvοirratre retire sancta rupture uino de la vessie, ii aut diviser co calcul, phration don Ammonius a te l'inventeur, surnomme a cause de cela iιhoιο- miste , uis Celse dεeritu'instrument et explique te procede aci'aide duque Ammonius brimit te calcul On volt done que . 'apres Celae lui-meme lariaille se prati tuait avant Ammonius qued'on ne salimen sur origine de cetio operation et que rienis'empeche dctemire qu'elle ait εω enissage des le temps de hippocratique et avant eux ti est probableque te mot de lithοιοmie expression si viciense pou dosigne la inille, mais si usi de lamanter que Celsea'emploie provient, dans l'usage εdical de meique consusion ne duPassage meme de Ilauisu latin Remarquons e confirmation de tout e qui vient d'etrodit, qu'il est question dans illure qui ait parti decla collectio hippocratique des-yens de reconnatue, DI'aide du catheter Ia pessence dicalcul dans la vessie Ensin cequi Mut Outer quelque polds en saxeur de rauthenticite de cet criti, Platon nous apprend, mmme i est dit dans te Serment, que los messeeins instruimient leur ensanis dans lamedecine.
LA Loi ce petit more v. qui est r6dige avec beaucou de Min est mis pararoue dans laesiste des erit qui appartiennent a Ilippoerate La plupari des critique modernes, aumntraire te regardent comme ameryphe fur quel motiis c'est ceriu'il ne serat pa tres facile dedire Cependantua Loi lient de tres pres a Sermenι, et si ron acceptea'un commeVeritable, Ilautre ne mutauere passer mur illegitime. Comme te Sernien ι, elle aginet, dans retude deua deeine, des inities et des prosanes, et elle parte aussi des mysteres dela scien . A que temps reporter la eompositio de cetraerit, nee 'est a temps es
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Asesepiades eorporation de pinres qui initia ient visitablement les adeptes en leue distribuant renseignementet e plus laeto represente es medeciniambulanis ou periodeutea qui allatent de ille e ville exercer leur art. Cest encore uitrait qui n'est pace desac-eord avecu'emque' Hippocrate. En ummot te Serment me parat entralner avectui la Loi et sans avolesta certitude absoluesque cetis derniore piece apparuenne a Bippocrate, on pecti'attribue a son poque et a son ecole. de viens de passer ei reviterious les criisque e regarde commeratant d'Hippocrate lui- meme et ja expose les motis qui m'Ont determine maintenant, si ces motis soni landsis, si jej'alias errε dans mes determinations it dolose manifester entre inus ces teritiqucti suppos provenus d'une nidine iate et d'une meme main, des apporis qui achevent de demoniseres communaute d'Origine, et donia'absencesserat une objectio contre Ia eritique. Or, emarque combie tous es crit on entre eux de liaimns imites. Leclivro doraneienne Edeeine a des passages eniter qui se uouvent reproduit dans te trait duBegime de maladies atques; cetrai te racion tour, contient, contre Iecmedecinccnidiens une polemique ou Hippocrate leur reproelie leur solide compter et de nomme les maladies; et ansae Pronosti it dit expressemen qu 'ilis' pas oui nommercies maladies, attenduque eela est inutile mur 'intelligence de symptomes δneraux Les observations particu li/res des Di mira son tracees dans te meme esprit les maladies soni rarement denommees, et toti est rapporte ara seule description des symptomes generaux Le meane livmdu Pronosιie declare que les principes medicau qui viennent ditre ex possis soni valabiespou la Scythim, a Lybi et Belos; et, dans e traito des Atra dea auae e des Lievae, 'auteu expose les conditionides habitanis de la Scythie de la Lybie et des Grecitant evro-
peensinulasiatiques Les Aphorismes Ormentis lien entre tous ces lix res et les traiies ehirurgi ux de sorte queron a veritablement, dans et ensemble 'εcrita, un ensemble dodoctrine ova'on reconnali parton la trace visibi d'une meme pens it d'une monte main. Si nolis demandons au plus anciens temoignam que est et auteum, Platon , Ctesias Bioeles, Herophile nous indiquent Hippocrate Les mentions qu'iis soni de somnom, se completent et se confirment l'une parri'autre et tandis que ron volt, dans la collection hippocratique, ii certain nombre de Ilures marquos d'untiem caractere et lies par d'incontestabies rapporis, on volt, danscidii stoire ui medecin cite par des criva inccsitobres qui ont Vecuisti avectui ou eu pres tui citationique ron rapportea quot ques-uns de cestuvragesqu'une tradition de vinn-deux siectes nous a transmis. Ainsi malgre uri si long intervalle de temps, algre testuages qui oujοum4'amoncellent surde passo, on discerne visiblenientia grande figure 'Hippocrate, onis percoitu trace de ses trauaux Ompeu pose te dolgosure qui a te soli seu ure Ici la critique ouche de to ut partis des realites et c'est dans laeon 'ordance des temoignages intrinseques et de temoignagnes extrinseques, des livres et des citations qu'elle trouvaesa plus grande furete.
La serie des ecriis qui manifestemen n'appartiennentias Hippoerate, est naturellementouVerte par ceu qui sonodus a Polybe soli endre Le traiis de la Nature de homine , et peii Netre celui duintaime des gens en sante, son de ce medecin. BE LA NATυRE DE L'HOMME. Aristote Histoire des animaux, liv. III ch. 2 citet long mo eea suries eines qu'il attribue a Polybe en termes expres ear, prsis avol rapport&les opinions de Syennesis de Chypre et de Diogene 'Apollonie illajoute: Polybe 'exprimeainsi et apros avoirmini licitation il la clo e ces termes e que disent les avtres es 4 peuirti semblabie. 0r tout e long Orcea se retro uve textu euement dans Ie traite de lassa ι ure de hom me Cela est absolumen incontestatile. Cependant Galien Dessaysi, ave une insistance laute particuliere, de laire prevaloir 'opinion quem traiis appartenaica Hippocrate, opinion, du reste, sori contestsie commeri nous1'appren tui-meine par d 'autres critiques. 8on Mand argument est te passage de Platon que
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j'a Ionguement discute au Het de Aneienne me eine Je ' revientra pas. II variusqu'a dire queri'anatomi des eines, telle'u'elle est dans te livre de la Nature de Phomme n'est ni d'Hippocrate, ni de Polybe, et que cela a et demontre par d'autres et sera demontre pardui dansa'ouvrage qu'il consacrera, si Bieuaui en accordeae temps Ll'examendes livres qui soni veritablement d'Hippocrate. Miseri'assertion de Galien vivant plus de 300 an apres Polybe, et qui n'en adamais, Imiseriis et I'assertion 'Aristote, presque contempores de ce meme Polybe, et qui a eu es livres enim te mains ille evi pas avolesia moindre hesitation Sest Aristote qui est seul croyable en ceci Aristote ne cite pas ii est,rai de utre de rouvrage de Polybe mais ille cite pas, non plus, te titre duclivre de Biogene d pollonie, qui avait inutule testen, comme nousa, reo Simplicius uela Nature. ni eelui duraturo de Syennesis de Chypre quant Me dernier son livre ayant misi avantu'etre recuellii dans les grandes bibliotheques publiques, nullae init queis en elatent Io utroota'obiet. Ie pense donesqu'i est impossibie de ne a regarde te trait de la Natur de rhommeeomine etant de Polybe I est bien rat, comine te dit Galien, que ceraturo est compos de pieces et de moremux L'inspectio la plus supersicielle sumtiou lo demontrer mais Hest ducllure de Polybe que ces fragments Ont eteiris. Ε voici, ee me semble, une preuve I'auteur di que les maladies se uerissent par Ieseontraires, dans une phrase quiuientie a ce qui precede. Douge ligne pius Irin exposanteomment ii saut combattre les maladi rapidemiques, i riovis que te uestement Micetre lucontraire decla cause, ainai, di ii, que je Pa Gylique aiιιeura Une telle expression indique e qui vient cretre enonce quelque ligne plus haut O pluto ce qui a et ex se dans unautre traiieiu dans, autre hapitre resume dans ces que ues ignes de regatae te muri passage ou inexplique que te traiiement doti eis base surdes contraires, comine ride d unlivre ou chapitre particulier, et te passage urit explique I diagnosue des malacies epide
ruiques, comme appartenant aran autre livre sichapitre.
Immediatemen apres, et sans aucune transition , iliasse a Ia description des veines dum s. fragment anatomique duriture de Polybe. Puis viennent encore sans transilio quelques considerations surcles urines. Ensin il termine par quelques mois tres bres surdes sievres, friet qui n'estias plus amen. que les aut S. Tout cela prouue que ce sont, ii est urat, des fragmentis, maicon volt en meme temps'u'ilest resth, entre ces fragments une iraee qui indique qu'ilconi lenil'un ad'autre. I ne servit memeias impossibi de se satre une ide duiure de Polybe tot qu'Aristoloravait dans sa bibliotheque Ce iure commencait par de considerations generales surI'homme, ou rauleurissayait de latre Oi que te com ne pοuvat pasitre simple commequelques-uns , discipies de Melissus, Ie fouinnatent que quatre humeum Ie constitualent essentiellement te sang la pituite la bile aune et la bile noire et que es humeursor dominaient dans la salson a laquelle chacune etai consorine. Beuhes'auisu passait a son principe querae contraires dolvent aere combatius par teseontraires, et ii enumerest inutes les condition de regime de salson d'age, o ce principeliuit applicabie. Puis it examinaitam causes des maladies, attribuat les malassies epidemique Drair, les
sporadiques au regime. Cet examen te conduimit acla considεration des maladies selon Ies organes examen dontrabreviateur a conserve ne trace dans la phraseth il est dit que les maladies sonoles plus lartes Oiles plus liabies seIon que la partie affecte est plus ou molns importante. Becla transition naturelle a des explications anatomique ou prenait place la descriptiondes veines qui est conservee et qu'Aristote a cline. L,uteur entamai des recherches fur certaines disposition qui existant dans reniance, amenent a ruge adulte, par une fuit necessalae, descitata particuliere.
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Te est te resume que ron petit con voi de rouvrage de Polybo Ce livre reduit a queuque fragmenta et conserve seulement mus cella forme, iste publie plus tardisous te nomd'ilippocrate Mais rappetonsinous qu'Aristote a e ce livre dans sa bibliotheque, et qu'il en eliei long passage et nous ne serons pacitonnes de trouver, entre leuiure de Polybe et te eerit dichei duisoripatetisme, certaines essemblances qui ne peuvent Otre fortuites, ei donicie citerat ictis seul exemple Polybe di que dans des abces qui se forment vers lagrosse eine et qui ne s'ouvrent pas promptement te pus se transforme en concretions. Aristote dit de son coieci se sang qui se putrefie dans te corps devientius, et te pus devient
Une troisieme sεrie est sorme par desineritique plusleur critiques modernes Ont regatasis comme ante leurca Hippocrate ui-meme, et comme provenant directemen des temples des Asclapiades Ce sonides μεnotions de Coa et Ie 1 livre des Prἡdietiora. M NOTION DE Cos. In BIOTIons LIvn 1'. Ces deuclivreconcla plus grande ressem-blance dans la sorme et on die tous deuxis etes du catalogue hippocratique par la plupari des critiques anciens trotien ne sat aucune mention des Prἡnoιions eoaques et les Predietiona, qu'il cites, i declare expressement qu'elles ne soni pas 'Hippocrate Galien ne parte qu'en passant des Prinotion de Coa, it en explique quelques mota dans son Glossaire, et, quantis 1 divre des redietiona, qu'il a commente, ii te regarde commmune compilationis Pronosti, des Aphorismes et de Epidἡmies compilationis mille de laqueue aucou de hos Mausses Ont ei intercalees. a lecture meme de ces deucecrit ne permetias, non plus d' voirine composition siguliere me soni des notes, des fragmentse'ohservation des cas particuliere ou quelquelais te nommaeme dimalade est apporte Enplusi urs endrotis On trouve des minis, interrogation question que rauleur a laisseessans solutions que eradivres solent antique , 'est e donici est impossibi de douter qu'iis prosententisne grande conformite de doctrines et d'observations ave lescitvres te plus authentiques 'Hippocrate, c'est ce dolicon acquier facilement latreuve en Ies comparant aveo lo Pronosti et Ies Aphorismea. Plusleur modernes, et enire autres Grimm on pense ave une grande apparenco de also que cescitvres conuennent les notes prises par tes elepiades dans le templo, et qu' ce utre iis prctententiis cimen de la m&1ecine anterieurem Hippocrate lui-menae. 'un autre cote la comparaison entre latronosti et ces deo iures satis avec beaucou de sol par M. Ermeritis, prouue jusqu' Ι'εviden inve sicles Henotion eoaque soni antelaievres a Hippocrate ili a used mementio 'a composition
Oin des malades est plus wuvent riouti a la proposition I parce que les question et les doulosa sont en plus gran nombre que dans les HEnotion de cos, proportionnessement a
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I longueu des traiies 3 paremque te nombre des proposition res de beaucou inserieura celui que renserinent les Pr/notions de Coa; 4 parce que les enoneiations prognostique yon beaucou motus 'etendue et de generalite et quelour ceu raison elles paraissent tireesta'une molns riche collectioni'observations. Ilis'est presque aucune des propositions duci clivre des redietiona qui ne se retrouvent dans les Prenotion de Cos; mais celle et en offrent, grandisombreta'autres neuves et originales. I semblerat que e recueti doni te poliat de depar ferai l 1' iure des Predieιions est alle se grossissant eos enrichissant de propositions nouvelles et plus etendues et l'oniourrat presque considere les renotion de Ga comme ne edition consis dei ablement augmente et changsie duri clivre de Predi eιiona. Cela etant etabli, i est inutile de chei chera uteu de ces recuetis qui''appartiennent en
L ne nouvelle serie est formsi pardes ecrit qui depourvus de temoignages sussisant pouretre attribues a Hippocrate, portent cependant te cache de recole de Cos, et dolvent troconsideres commees ouvrage des discipies de cette cole qui tui on prochainement succede. O soni te ira ite desileeres; elui des Fiaιules et dus Hemorrhoides , colui de la Malauia saeree colui des ira, celui des Lleuae dans homine te traiie sui PArι le traite du Begrane et des Songes le traiisi des Alfeetions te traii edes fetions interne , es trois preuiters livres des Maladies , les opusculus do I missane a sep mois, de la Naissane a huit
BEDuLcEREs C traite est attribuo u Hippocratei'une maniere positive par Galien et par trotien Bes critique modernes, alter Grune et Grinini, ni contest ce jugement et solis pretexi qu'il regnat dans e thai tela desortire et quci fetait question de medicaments aries et composes iis l'Ont juge indigne dii medecin de Cos; Gruner inemea'attribue quelque niedecin cnidien Ces aisons. Dura dire, me paruissent peti concluanies, et eni'absenc de meilleurs argumenta qui eonfialent que e livre est reellement apocryphe, loplus su serat de ne a secarier de ravis de anciens, et de te anger, ave Galiene imiten, parmi les productions 'dii':)oerate, si l'on avait plus de moyensis en discutor rauthentici te. BES FISTLLES. - DE HEMORRHOIDEs Galien I'auteu de Inlrodvelion et Erotioni'hesi-tentia a compter ces deuctraites parmi elix qui appartientientis Hippocrate. Ces deuxmorceau son evideriimen d mome auieur et meme la fuit ruit de l'autre Certain crilique modernes ni sat contre ces Opvseu es le memes Objections que contre leuiure desbse,ca Comme te traiiε de Ulecires ces deux opuscules ne contiennent rien qui deinente ou sortisse''assertionia'si olien et de Galien et te doute est ce qui convient te Meux ici ou es euenient de discussion maliquent comis tement. BE LAOMADIE sAc E. Connu de Bacchius, dontine explication relative Dee livre nous aBin eo ervee, lae par potiem Coelius urelianus et Galienisu nombre des oeuvresd'Hippocrate lui-menae, te traiisi de la Maladi saere nous arrive enisure de temoignagea imposanis Cependant a plupari des eritiques modernesint cru devotrue range ali nombre declivres apocryphes. Γne des principales auses de ce jugement a MuNeire te uno glosoque ila uouve dans queique manuscrita, et quod'edition de roben a reproduite Ilo est dit que te traiia de la Maladi saere n'estias du visitable Hippocrate, ais que sui ni Galien, 'estra'ouvrage,'un homine de merite Cette opinion ne se trouxe dans aucun dessierit de Galien et la citation est lausse, a molns qu'elle n'ait te empruniae hinuelqu'un de 3M uVrages perdus Les critique modernes pretendent que te style durimi te decla Maladieaaerde ne repond ni a la riovete, ni ad simplicito distyle 'flippocrate, et .que ce Iivroporte inus tes araeteres duciemps oua'leole dogmatique et ait dea completemen formω; iis signatent ausiaci, ndance des raisonnement et ne observatio anatomique trop
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avantee, selon ux, Our rεpoque hippocratique L plupari se soni dono aecordes pone lar aede comme posterieur; cependant quelque uns Caesalpin et Poncedo sanct crude I on auri εἰ Democrite. 'autres ron donne a Philotimus; ito a tro de distanc ontro Hernier et Bemocrite mur que la critique qui reste incertain entre ces deucauisum, ne mitias victeus en Mi M. Bieta, qui a publi&une edition de ce traiie, remisque aveo lautoraison, que e style, la doctrine, et uno consormite invidente avec declivres reconnus eommel'seuvre crHippocrate, ne permettaientias de douter querie traiia de la Haladi saere non sorti dea'siecie de Cos. I incline a pense que ce Iiure est duissime auisu que te liveo
8 dones, en acceptant comme velaitablement de Galienae jugement que apporto la glosscite plus haut o se resus a donne a Rippocrate lui-mem celle composition it sandradu moincrattribue 1 quelqu'un de se discipies, les melileurs et les plus immediais. BEsaias u pluto nu Pr Euse se traite . it par Celso, par grotien , par Gallon , ae sariaveu les memes autorites queris traitydea Malari saerea, maici est friet auxmemes objections I parast apparientes une ecole dogmatique plus Meloppeo qu'au temps meme d'Rippocrate mal les analogies qu'il presente averta lupari des aureos liveos dola collection , ne permetientia qu'on rattribue a quelque me ei decla secte hien plus
recente desineumatiques Cestrine production de r.cole de cos, strangere, si on vini, anippocrate lui-meme, mais apparinnant , quelqu'un de ceu qui avalentim leur instruction dans cette εωIe d'ou il linit sorti. BEDLIEvcnos cnoMME. Dilupari des auteum anciens , Baeehius, Lyeus de Napies protien inulas Γρphese attribuent formellement ce trait a Hippoerate Galien ne Is nom me qu'en passant dans o Glossaire , et i ne s'explique ni οὐ ni contre. En generat, ces opuscules , tela que elui surda πιιadi saeree, surrae neuma, des imae dans ιhommes, de rari se trouvent tropie discutes dans ce qui nous reste des Iures des oritique anciens, po- qu Psoit possibi d'avoir, surde eompte de ces avrages, ne opinionarreaee, et eu effre , dans uniaret douis, Vm ii Meux 'absimir. DE CAAT. Ce traite asour tui te temoignage,'groilon et meme te temoignam, beaveoupplus ancien d'Ηεraclide do Tarentes ea Erouenisapporte rexplicatio donne par eraclide surru mo qui se rencontre dans e traire, I est don evident que opusculo suri Ar a sali, descies premier temps , parti de la colleetio hippocratique maici nyon resulte pas , 'une inaniere incontestabie, que cet opuscule apparumne 1 Hippocrate. Coueste presente quelque singularites de redaction te reambule ou 'auteur remamus qu'i u ega merite a latre des deeοuverissis a persectionne des decouvertes devasaites in ne essemblance Dappante avec te preambule duci clivre duraesim .plus Ioin il recommande ait medecin de ne pas donno leum Oin au malades incuristes, et cetis recommandation se sit avssi dans te Pronostie vera lassin il se trouve , surrae mutae vita , des idsies sor analogues Leelles qu'on ut dans te traiti duineuma Ensin uno phrasoremarquable presentemne singulier analogi avec une phrase de Platon cos consularations reuntes ne permeitent pas de deter 'opuscule sue part hors dea'ancienno evis de
B REGIME , EN TROI LIVREs. Si eis'avais consulte que a valeur intrinseque de cediisset monaout particulier, j'aurais eu ne grande inclinationis l'attribue a Rippoerate mai les critique anciens Ont et tres partages aulariet de e traiti Les unci'on donnδ Hippocrate lui-mem .d'autres a Philiston de Locres . , Arinon, havryphon , a Philetes,tous medecin o contemporain d'Hippocrate o mome plus anciensque tui. on sit doneque cela'estias suriantiquite de ce livre , mais fur son authenticito que 'on a su des avis disserenis Lotie nen ait pas menum dans soleatalogue malien se prononee eontre lalegitimite de ce traite, et tout en admetiant querae Meond livre est digne d Hippoerite ii repousse te premier colume4'silrignant completemen de la doctrine d med in de cos. Il est eertain que te traiie d Regini presente de traces d'une haute an 'uite se conformiles aveccles thhortes d'leraclide, dontra style et quo uelaicies mois ' te vent
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reprodulis se rapporta avre les preceptes d'B6rodicus de Selymbrim, te sont remonis hune isoque peut ire aussi ancienne que cesse d'Rippocrate is seule chose qui m'emseehod'admetire e 1iure pou authentique .c'est que les anciens critique roni rejete Car, dureste, it porte des traces evidentes et nombreuses de conformite ave les cetis vraimen hippocratiques. II navali des dition disserentes de ce traiia dans l'antiquila quandrae trois livres linient reunis ense te, iis talent intitules de a Nature de rhomme et du Resime; quandrae secon sitiat seul, n lui donnestrae utre de Lipre surae Regime. ne uiro particularite de ce secondatures, 'est'ulit, en avait deuceditions notablement disserentes. L'une contenestin long morceaude plus que l'autre Cette disserenoe vient-elle decla volonte des editeur posterieur hien du ait meme de la publicatio primitive Dra Sono . et opuscule est evidemmenta suile diualtera Regimc par consinuentiout e qui arate di dea'uis'applique Li'autre Learaite durataim est, de ceux de laeolleelion Ouda si est te mieux marquee La portion qui est relative avx songe se terminis par ne formule qui estissieuementa eloture de laut e traiie si Celui dit l,uteur, qui, observera ce qui est crit, jovir de la sani pendant inuti coum de s vie carj'ai, trace, auiant qu'un homines ut te salae les regles duo line, ave I semur des