Oeuvres

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4 Le deuxiδme livre des Baladie is peti est celui qui porte dans nos ditionile iitre de

imisiἡme .c'est te secondia'grotien et de Coelius Aurelianus Galienis'en cite qu'un mot Cemotri retroiive ave sa signification et it est interpret aussi dans te lexique 'gmtien. 3 Galien cile encore inuste utre simple de livre des ea Iadies Ou dea div re des sala dies, uniuvrage qui est notre premierature a 'altaria rapporini passage ou il lam e cesti tre dei' livre; il leblameaussi dans unautre qui me semble revεle lairace dequesque interversion. passage est aliasi conquQ mans te preambule ducllure in titula a tori premier iure des saladies, ii est dit que a sἡvre sui necessatrementae Disson. η orda phras cite par Galien se uouve, non pas dans te preambule, mais Llain de ce traiti. o lit, dans uii ancien manuscriti u Glossaire de Galien, uti article qui manque dans Ous Ies au tres manuscrita et dans les si lilions et qui indique uti certain mot comme se uouvant dans lea' et te 2 livres dos Mala dies Ce motis trouve en esset, dans ces liVres. Ainsi votia, de compte ait 'in i livres portant is utre surdes Masadies cites par Gallen; iis repondent aux η' , I a livres des πιιadies de nos oditionc et ait trait de Asseeιionainιernea. Γn inquiemo ne se retrouve pas et d'un auire cote nous ne 'ons dans teseitations de Galien aucune trace de celui qui aujοurd'hui, est appete te quatriem livre. Tol est te dernier resultat de cetis discussion dissicile. Queis sont les autevrs des quatres livres desinaιadies conservsis dans la collectio actu elledes aeuures hippocratiques 'ae premier porte, dans l'edition de roben p. 129ὶ une note prised quelque manuscrit, dans laqtielle it est dit qu'sippocrate en est,siritablement Pauleur. igre cetis asseriton, o ne peut en admetire rauthenticiisi troilan 'a' et de so cat logue ei Galien exprimant son jugement e masse fur lectivres dos saladies, dεclare qu'iis

ne sontias 'Hippocrate ce livre est trῆ bien ait, et ii est dissicile de comprendrelourquelle raison los critiques anciens ront rejetsi mais te rejet est certain o peucdu molns rapprocher cedine des au tres heriis deu'sicole qui a succsidi a Hippocrate. Galien Mus appreni que Dioscoride, l'siditeur 'Hippocrate, attribuat notre 2 livre des

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salaates , Rippocrate, silcd Thessalus. Lui-meme doute de rauthenticite de ee lium quel- quas caracteres intrinseques porteratent a l'attribueris, modoci enidion; de plus choso

assegremarquable , - passage copie dans unouvrage 'Euryphon, auques, dans tantiquite. on attribuat generalement les Senιenee enidiennea, ' retrouve textuellement. Cetis ci eo tanee sortifieaes conjectures de ceu quio volentine euvre dea' OIe de Cnide. Lo troisieme livre ne mutauere tre separe du second. Quant a notre quatrieme, hien quu ne se uouve cite ni par grotien, ni par Gallen, nea molns illae dolopas siue exesu decla collection hippocratique carrit apparuent alauteu destrestes de la Nature de Pensant de Ia Generation, et des saιadies dea femmes Il est cita par Bemetrius Pepagomsine.

ividerumentsuite runa rautre Erotienne les admetias dans son catalogue declivres hippocratiques mai Galien tes ite comme unis suure qui apparuent reellementis Hippocrate. Clement d'Αlexandri attribue te traite de la Naissane a hut mota a Polybe Plutarque citela nitine med in comm auisurde 1'op euleisura naissane a sep mois Bans cette ince uinde oes deux opusculas, quoique certainement lar anciens, ne peuvent etro consideresque commerumdisris mal connu dea'antique medeciae.

Ie range dans ceu serie is des livres qui ne sont qaeu reeueil de notes, d'extralis, et qui evidemmentis'ontias recu ne redactio definitive, mais qui Ont figure dans la collectio hippocratique de les premier temps se son te 2 Ie 4 lem'. I 6 et ei livres des Gidemies, Ie mite de Ostieine du Meein te traiis de Humeum, et elui surrGage desaiqvides. L'etat insorine de laus cesicrita est Iaireuve manifeste que la main dessaussalaesin' tiour riendans la composition decla collection hippocratique; ear ques homme cupera labrique ces Ilures ou las bibliotheques de 'Mypte, aurai sono ariete pol mele des notes de usues qui aurait u dans est artifice u moyen de recommander tellure γ'il uoules vendrea Ces notes proviennent incontest Iement de rheritage de que que medeci et de quaeque mole. DInfinus, ', ', ', ', ' LivnEs Tous Ies anciens critiques Ont connu celein livres de EpidEmies latius Ont Maoin do4'aecorde sur rautev auquet it saut les attribuer. Lea livre est uno eollectio de remarque surisne laute de sutela divere, crites d'unstyle obseur, sans Ilaimiles unes aveo Iecautres; opinion de Galien est que Thessalus ais usi cessament apres la mort de son pere et Dalait quelque additions accrues encore par d'autres medecins TeI etait4'avis qui prevalait dans antiquite sura'origine duri lium de E idemies, et Ies modernes ne peuvent que te recevoi aveo inus les doutes doni cet avis hiat d& Iorienvironne. ' livre des Didemies, qui est in se lable ama', doli eue, pou les m&nes aisons, mi a coia de eo demier, et retranche d catalogue des crit authentiques 'Hippocrate. Balle a crinisouver latreuve que lem livre des Didemie Mait de beaucou posterieur aflippoerate, dans u passage o it init question d'un philosophe cynique Mais rieni'est plus incertain quo Ia valeur Sune telle conclusion cardes imprimes et les manuscriis cri-vent uti diversementae mot dont414'agit, et ondit tanto Cyniscus, tanto Cyriscus, de tello sorte γ'i nj a rien Leones e d'unio ainst isola. Quant a 4', alien ne te eroi nid'Hippocrate ni meme de Thessalus, et si assime que Iaeomposition de ce livre amne date plus recente que es deux medecins Cependant, dans unavis passage, i te range dans la meme categorio que te 2 et let livres. rotien rapporto une explication d'Heraclide de Tarente relative a ce line, e qui prouis chose, du reste, prouuee sura ndamment son anciennete dans la collection hippocratique L styleo estate pessae meme que dans lea et let' et ono trouve une laute de passages tirta de auum livres 1llippocrate.

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mεrite incontestable est cependant comme Ies autres uirecussit de notes et de fragmenta. Celse, Quintilien et Plutarque te citent comme parsaiteruent authentique Galien au Ontraire, di que 'opinio presque gensirale estque ce livre porte unnom qui ne tui appartientpas, et iid'attribue a Hippocrate, petit-silata grand Hippocrate. 'ajoutera uiae remarque c'est que svivant Ie meme Galien te mot diaphrasme a et introduit par Platon, et ce motae imine dans tera livre des Epidemies. ne telle observation ne tendrait'u' confirmerI'opinio que lem livredes I idemies alia compossi amne sipoque posterieure a Hippocrate. M P Iiure offre, dans in contexture et in redaction, Ius memes caracteres que les prec, denta It saut remamve quod derniere partie kce Iiure se retrouve acia si dum livre Galien dit queriem et leo fout manifestemen d'un auire Hippocrate, et ailleum, que lea' parricis inus plus recent et compose de piaces et de moroeaux. La lecture attentive de ces cin Ilures porte a penser, comme Galien qu'ilin'on jamais .ia desunsis amne publication reguliere, et quem sont des noles, des fragmenta, des obse vations cousues ense te, sans aucumist, et prises a des fources diverses. Les repsititions frequentes que 'On troux dea'un uri'autre de ces livres , les emprunis fatis a d autres Ouvrages hippocratiques, confirment encore cetis maniore de viar, et s'ilresie la plus grande incertitude surributeur Oucles auisur de ceti composition la chose en sol importe peu Bes notes venues 'Hippocrate lui-meme semient sans cute interessantes et curieuses; peut treo et Nil, en esset, dans ces cinwlivres, quelque unes qui tui apparitiennent nais quand amne si grande distance de temps, et dans te denumen o ron est de Ia plupari des documenta posititi, on hesit surd'authenticite de traites enuere, quelamoyens aurai on de reconnalire des phrases isolae et des passages sipareulta' BE LDisi in nurifin in Bacchius, Heraclide de Tarente et Zeuxis ont connu ceature, et cela sumtiour prouuer que te traiia de risieine du medeeinis etsi angsi, Maes premieretemps, dans la collection hippocratique Les critiques Ont varisi suru'authenticito de celium. trouen''attribue a Bippocrate mais Galien, qui semble partager cet avis, emarque end'autres endrotis que svivant quelques-uns cedivre est de Thessalus, silcd'Hippocrate, Oudien d'vissippocrate plus ancien sit de Gnosidicus atlleurcensin il avance que cestratisin' et corrig pou la publication ni par ippocrate, ni par se sis iom. V pag. 685, Ed Bas). Bans Ie prsiambule de son commentatre surice Iiure, Galien rapporte que nantias Philotimus et Biocles avalent compos uniuvrage surde meme sujet avec te meme titre Leseomparaisons des traiias satis paries meiens insidecius avec te trait hippocratique nous apprendraienbelles si celui-ci est antὐrieur a ceu la Galien te pense, tui qui avest Iesinset les autres sοus lecyeux mais mur nou ce,'est qu'une conjecture La redaction--εdu traiia dea ieine du medeein indique quo cela'est'u'un extrait, une analyse esset, j'ai montesi que te traii de Insιrumenta de reduetion initin abr*εχ grandaratia des Arιieulations or la composition durature de Ostisine u i deein a de grand rapporis avec celle duciture des Inaιrumenta de reduetion Il est done permis de croire que 1 pro-rnier est, comine te second ranalyse tres succincte de quelque iravati etendu surda chiru gie, qui n'existe plus. BE BuHEuas Galien , dans son Commenιaire destratisi des mineurs, dit: Biocles de Carysteis' pas hien compris te mot erripsis; iLaim que c'linit, non un symptome relan is aux larces et corporei, maisin symptome relatis a rame et intellectuel nae motrionitI4'agit ici se uouve dans te traiint de Humevra: en lisant dans Galien que Biocles ne 14 pashien compris, o povrrait mire que e m&leein de Caryste en avait donnexine interpr lation, et insere decla que Diocles aves compos uicommentatre suscet sicrit. Illa'en estrien; Glaucias , Zeuxis et Bἡraclide de Tarente 'aceordesentiou nier querae traiieς destiumeuroauod'Rippocrate et une pareille negationis'eu pas in possibi si iocles reui Commenla Erripsis est v mo que Diocles a de sint, mais sans aucune relation hin erit allippocrate. Nous trouvons, dans te Glossaires medicaux de semblabies dεsinitions domois commvns a Diocles et auchippocratiques Erotien cite trois explieations dimedeein de

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En lisant ce livre, O s'exprime dissicilement a laveu don illa oui dans antiquissi. Palladius te regarde comme authentique Galien, quid' commente rasielare quI apparitent lini timement alippocrate, saus queique passages reduitia une excessive briavete et quelque auires alonge plus qu'iis ne deuraten rotre Dioscoride et Arionidore Capiton attribuatent a Hippocrate de Cos tout e qui, dans ce livre est 'un laconisme extr&ne, et ad'autres msidecin tes parties plus developpees Thessalus et Polybo en on sit regamis comme es auteum par quelque auires critiques Les anciens interprδtes 'Hippocrate avalent in molns indulgent pou cette composition Zeuxis et nἡraclide de Tarente larrietatent complἡtemen comme apocryphe Glaucias l'attribuat hi aut re Hippocrate. Beaeis jugementa ne nous permetiratentias de range te trait desivmeura parmi les Ilures 'Hippocrate quan bien mome nous n'aurion pas reconnu, par l'examen me ne de ce iure, qu 'il est compos de Orceaux empruntes plusleurs uires crit hippο-

eratiques.

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eorreetion du texis d'Athlnte montre que te livre appela par quelques-uns, dans rantiquita. desinavae est te mδme que te livre que dautres intitulatent et que nos edition inutulentencore deamage des iquides It en resulte aussi que les mois expliquos par trouen quo nous retrouvons dans te traii de Gage de liquides, apparuennent hien siellement a

J'ai sati volesque cet opuscule, de mome que celui desivmevra est compossi en partie de fragment pris a disserent Ilures encore existants, de la Collection hippocratique Cest dono une compilation mais 'est du molns une compilation lar ancienne Erotie nous a conserv&I'explicationi'unire par Glaucias, d'un auire mot par Bacchius et ces deux mois ne se trouvent que dans ce traiio ainside Iivre deamage desesiquides a figure dans la colleetion hippocratique des le temps des premier commentateurs il .nous reste comm une deces anciennes compilation qui on preced&memea'elabiissemen des hcoles alexandrines. Les crita que j'ai reunis ici a cause decla similitude de leur composition et doni j'a saltune classe a part ne sont, i est,rai, que des notes, des extralis et des abreges mais iis soni particulisirement interessanis, parce'u'il nou on conserusi des uaces des anciens trauaux de l'6eole de Cos et d'flippocrate. En esset, en tes comparant avecχ'autres ecriis dola Collection hippocratique ii arati facile de s'assure qu is contenaient beaucou deia sages textuellement copisis su dautres livres que cette collectio renserme et cela momea es de quelque utilite carinas enuevoi commentisne portion de cette collection4'est formee Mais ces opuscules de la inquieme elasse ne contiennent pas seulement de passages copias surχ'autres livres iis contiennent aussi de longcmOrceavx qui ne se trouvent pasailleum et des extralis d'οuvrages qui n'existent plus J'ai rassemble, dans te chapitre ' docette Introiluetion l'indication de tous lectravaux qui soni mentionnsis dans la collectionhippocratique et qui avalentisiri dos avant I'etablissemen des bibliothoque alexandrines. Si maintenant Onrapprech ces pertes nombreuses que 'antique litterature mωicale a saltes, des opuscules mutiles et des fragmenta qui constituent cette cinquienae sεrie , et doni lacompositio appartient justemen uune poque que j'appellerat mur abr*er, ant&alexandrine, O pensera sans peine que ces opuscules, es Dagmenta, nous representent quelques clibris,'une medecine qui aves occupemigran nolubre 'intelligenues et produit une masse considisablei'ouvrages importauis. Je placeriei une serie de traitis qui sontra mome auteur, et cet auteur est antεrieur a

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Ces ecriis lament une masse considerable et une section naturelle dans la collection him meratique a 'examinerat a partes doctrine qui nest contenue, et les satis qui sontina portes murrae attribuerra Hippocrate, it laudraitis avolein temoignage decla auteantiquitε ce qui serat decisis o te consentemen de tous te critique anciens, preuus plus laibi maiiencore sorte or rien de laut cela 'apparuent licia serie 'eerit doni ila'agit iei lectomoignages anterieum LI'ecolei'Alexandri manquent absolument. Quantaux Opinions des commentateur qui on suivi cette epoque elles varient Dolien range cesteriis parmi les crit hippocratiques, excepterae 4 Iivre des saιadies, qui cependant nopeutaetre eniosi a Hippocrate sans que tous te auires nequi solent egalement enleves. Il est eertain quera'anciens critiques, teis que Bacchius, les connaissalent Leur antiquit n'est pas outeuse ce qui est incertain , 'est leur origine Galien croi que Olybe, gendrod Hippocrate, eri est l'auteur Cette opinion, a cause des variationides anciens critique sure friet, n'estias mieux assure que cella qui tes attribue a Hippocrate. Banctous les cas, iein'empeche de placer la composition de ces erit avant Aristote. Aristote, contrairement aux naturalistes qui ravalent precede a pose comme principe aean

tomi et de physiologie, que Ies eines on leur origine a coeur. or, voici fur c mint I'Opinion dea'auteu inconnu doni illa'agit iei: Il est dit dans te traite dea Nature de rensant, que inutes le vel nes se terminent dans te dolgi des pied et des mains, et que les plus grosses Veines du corps sontians la te; il est dit dans le ' iure des πιιadies quo Ie coeur est a solarce duisang il est dit dans cemetue 4 livre des Maladies, que des veines appelae jugulatres naissent di eur, et qu'elles distribuent te sani lariete et a tout lo rps quoique dans ces diverses propositions une doctrine ne sol pas viritablement so mulee cependant οὐ volt que 'autev admet, comme Polybe et comme Syennesis de Chypre, que les plus grosses eines soni dans la tete et que de la elles vont en diminuantiusqu'aux Ois de pied et de mains qu'il admet, comine Platon, que te coeur est lasource duisang qv'il admet ensin que les eines jugulatres parten d coeu pou se renit a la tote. et ensemblei'opinion anatomique tient beauecu plus a celles de Polybe et desanciens hippocratique qu'a celles 'Aristote. Rie donesn' poche de placer et auisuravant Aristote, conformement a l'opinion de Galien et aegrotien qui attribuent cecidires, lepremier a Polybe, te secon a Hippocrate. Erasistrate, en combattant thpinio de Platon, qui foutenait qu'une partie des boisso passe dans les Oumons, avait demande comment, si celaratait urat, i se salinit que laetarinoavalε ave te cyceon sorte de breuvage en sage dans a visine recquel traversan loyoumon et ne l'obstruallias or, cetis meme objection contrea'opinion du passage de Mi sons dans letoumon, opinion qui appartient non seulement a Platon, mais avssi a Bioxippol'hippocratique, a Philistion de Loeres, et qui sit ait vulgaire dans la haute antiquitε, eue objection, disrie, seu uve ave de termes semblabies Mansae diure des Ma ιadies Onolit: 'n'Omme buvant di elon, oumne bovilli salte aveo la sarine, ou tout auire chosis se lable s'il en arrivati une partie dans letoumon nous penson qn'il ne suos rati que biente de temps , no a entre te passaget de Ι'auteur hippocratique et celu d'gratistrate, une resse lance evidente, qui ne me parallias polivoi teni Dune coincidenee la tuite et, comme les livres que je considere enis moment, oiat te attribues par 'antiquite a Hippocrate O a Polybe, et par conssiquent, plaehid'un communiceordaten avant prasi . traim, it aut admetire que te medecin alexandrinis e muscies eucles livres dea'auteur hippocratique. Le question qui inuehent acla eritique litteraire des mures dites 'Hippocrate, sont

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onvelop s de tant d'obscuritas et de doutes queri ne niglige aucune occasio de sales

remarque lautine qui par des concordances tout4-sait inattendues donne unaaut degrede fureti auxi6terminations essentielles de monaravati or ce rapprochement aegrasistrato avec ravisur hippocratique Murni delix de ces concordances importantes. En premier lieu, 'at observe que hien que te . Iivre des Naιadies ne sui mentio ε ni parsalien ii par gr tien, ni par aucun critique anterieur, et bien querie premier qui te citat sui Bemsilrius Psipag mene, qui apparuent auxias fleetes cependant ii silai constant par des preuves intrins ques, que eo livre apparienes h la collectio hippocratique et maintenant on volt cespreuves recevola duri&noignage d'grasistrate une confirmation irrefragabie. En seconduieu.j'ai montes et c'est uides plus imporianis inultata de mon travest queri certitude derexi tene decla collectio hippocratique, dans son ensemble, remoniait, par les anciens critiques, usqu*arasistrate et Herophile Galien avait dit jeci'ai rappete, que desae tempsd'grasistrate, a derniere partie du tralia dura*ime danaues maladies atques etait jointe ala premiere; et maintenant, en confirmation deteriu'avait dit Galien en confirmatio de coque 'avais tabli moi eme, e trouve la trace deda connaissance qu'trasistrate a ue ffundes livres de cetis meme collection hippocratique Ce soni la des concordane 'u'it 'impo tait de ne paclaisse inaper es. L,uteu declivres de cetis Sisthme ιasae annone en deo endrotis disserenis qu'il atratae des malacies de jeunes silles. Comine eeriu'i en annonce ne se uouve pas dans lepetit morem qui, dans nos ditions porte lestiue de Peri parιhenion, et que ce moremum iridemmenotronqu4, inutioris 1 croire que c'estin fragmen et te commenoemen d'untralia tendu sur cetis mauise. t auisur aves ausia saltis travat surcia pεripneumonte B di dans Iera livre dos naiadiesci de me suis mieu explique dans la peripneumonte i Bo revient encore dansleri' livre des Massidie des femmes Cerimit&s'est perdiavant te temps de plus anciens

eriliques.

Telles sora les seules notion queu'at puitanis sura,visu inconnides lines qui is menta fixieme classe. D separe du reste decla collection hippocratiquein fragmen asse mal elotare qui peutoue attribu a Leophanes, o qui dimoinsienserme des opinion prosesiae par e Pereo nage. 4ophanta a pr&ed Aristote; 'est our cela que i intercale ici I'opuscule enquestion.

B LAIuν--TATION ce traiia,'est esse par aucun des anciens seulament Mercuriali asait remarque qu'ummo expliquo par Galien dans sonitosaaire se rapporte ista probablement a ce livre Ceile citation sat remonte leuiure decla Superferuιionice questa redactionet a contexture indiquent assea Dune εγque ancienne quant a rauisur inui reste dans levague, en I'absetice de renseignementa procis Cependant i cmisiouvoir hasarde ici uno conjecture Nous favons que beaucou de iures ontiori avant is sormation des grandes hibliothinum SAlexandri Lainsi, murrae rappete qu'un exemple pris dans la sidecine, nul dansa'antiquit n' cite, apes Aristote, les crit dimedeein Syennesis de chypre, et Ies quaeque lignes qu'en a conservies le philosophe sont laut e qui rosis de se res. Melies qu'elles aientisia, de cetractivain. siauis auisur, modeci ou philosopho, est nommi par Aristote, Cest inphanes, surci vel nousi'avons, j cmis, aucumauis ditau. Aristote inuis Popinion de Gux qui prεtendent que lessu tus male est toriour place . droiis dans la matrie et te istus semelle a aucte opinio qui, a reste, est plusteum sol λ dans la colloetion hippocratique, et uisiouis: Cesi par une inme analogie que quaeque n uns pretendent questa ligatureis testicule droit ou du testicule gauis ditemine lam procristion d'ensant male ou d'ensant semelle, 'est du moin sine querulophanhca dit. Je n. pasimoin de Iaire remariue que les mola dans la phrase dAristote soni mal arran-

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de la Generation. '

a natura humana.

seneris humani.

6 Commerataria Aparismorum.

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, uit. A parti de la commenceda vieillesse. Volei maintenant te textela manuscrit 7027 Si autem et in hominis natura septem tempora sunt, aetates appellantur: puerulus, puer, adulescens, iuvenis vir, junior sen . in laut Iire iunior senex, senex te traducteuri'aias su endre autrement reabuias ger/n). Haec sunt sic puerulus usque ad septem annos in dentium immutationem; puer autem usque ad seminis emissionem, quatuor decim annorum, ad his septem. Aduleseens autem usque ad barbas, unum et viginti annorum , ad te septem usque ad erementum eorporis Iuvenis autem consummatus in XXXV annorum, quinque septenos;

vir autem usque ad XL et VIIII ad septies septem; iunior ero senex LX et III et in VIIII, ebdomadis. Exinde senex.

Pollux, qui cite e morem , 'εloigne galement de la traduetion latinoque je viens dorapporter, et decla citation de Philon. Pollux vives Mus commode et init hie με mn- temporain de Galien nise reproduit pacle texte hippocratique Lil en donne eulement ictsens Indit que svivant Hippoerate, te cinquieme age est de 284 35 le si 4me de 334 43; Ie septilane, deo raras Onomast. II. I. Ce qui, dans la citatio de Philon est appellpresbutti est appete gerd dans Pollux, et vies versa Au reste, ii est vident que codernier a mal rapporia les paroles de l'auteur hippocratique carda vieillesse ne mut eomnae ere 14 42 annεe, ainst que Pollux te sat dire, par son arrangement Drauinis durimitodes Semaines.

Galien pensait queas traitydes Semaineam'appartenait paca Hippocrate cependant ii locite plutiendi Dis Myons sicles citations de Galien se retrouvent dans te traducten latinis i ceu qui paringentalanne en sep salsons, di te mhdeci de Pergame, tendent ritis, usqu'au leve de Sirius, et, de Iadusqu'a leve d'Αreturus iis sontra salson des fruita. Les momes anteum divisent niive en imis parties la partie interm&liaire ensermo lo, solstice; en dena serimuve te temps de l'ensemeneement au-dela celui de la plantation e carice sonta Iecnom qu'us donnent Lia premiere et a la troisieme parties de rhiver. Bans Io traiia des Semaines, qui est attribu& Hippoerate, o trouve I'annie partagee en , sepi; rautomne et te printempsilant subi aucune division malil'hive est upe en uois, et rhia en deux. O lit dansae mannserit 702 Tempora autem annualia septimari sunt autem haec, sementatio, hiems, plantatio, vera estas, autumnus, post autumnus. η Ce tot se apportolvideminent acla division dea'annsio en septiarum, doni parte Gallen. ais deux lautes. dum l'une a copiste, rauste a traducteur robscureissent. ΙΙ fautrae restituer. B, Μ il est elair qu,ille de vera estas, o donatre uer aestas Cestes une laute de copiste. quant a traducteur, olei ce qui Ila embarrassici dans cetis division de ranni e sept. rlia sitai parino enim salsons Galienis di te nom de es deo salsons dans te passamque je viens de citer, et Oile trouve aussi dans la fuit du traiia des Semaines que Iomanuscrit 702 convehi. Elles4'appetaient te et salson de fruit , heros, pora. or Ilautomne se dicen proe phthisvdron. Cette coincidences embarrasse te traducteur qui amis grossiΦrement autumnus, post autumnus Baaut doncire laut e passage de limanthinanivantes ussi'annω est divisis en sep parties, qui soni rensemencement, 'hiver, la Han-

, talion, te printemps.' il la salso des fruit et i,utomne n e qui est, eminutioint, eoneordant avecti passage elia plus haut de Gallen.

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