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des cartilages dea'Meille. Beviation de l'epine. Contusion decla potuine. Luxation de licuisse. Luxation con itale de Ia euisse. Luxation dipted.
des phalanges avec issue des M. Sectio dans les articulations ou dansis eo tinuite des os.
Reduction decla cuisse Ioee. Reduetion des dolos.
tableau sussit mur satre faves quea'ωω - -- pas dans las mallopes qui must tuent te livre de Artieuιations que, dans, trait O it 'agit furtout de luxations,l'histoire de certaines fractures est interealee que les diverses luxations ne se suiuentias Sapres u arrangement regulier Tout celaratait alas dans io traiis de Artiolationa tesque Galiena' commenia tel que Philinus et Bacchiusa'Ont connu Au contraire, 'arrangm ment est beaucou plus msithodique dans te livre des Instrumenta de ridaetion Ie ponso dono γ'a momentis reximit qui porte, utre a te lait, is ueste des Artieulauo existat sons une sorme beaucon meilleum, qu'il a lia eo idis lament d4rano plus tardda des maius de eo qui te conservatent, et que Eest dans e desorde desiniti 'u'il a
Fraotures et celui des Arιὰuιationa, ne malent,utin Mul traiis eoupyen deo . . tori, par te premiere editeum decla Collection hippocratique Ie pense, en esset, que es deo traiis. sonti fragmen eonsiderable d'un grandatum ou ectis partie dea inirurgio inittratine aveo aulant de developpement que de talent. Maraitydes Insιrumenta de riuuetion est, oivient de Io voir nn resummis avr εdu traiia des Artieuιations Suppofons matrimant quo te trait des artiolaιωπι ne hapas arrive jusqu' nous et que relui des Dareumenta de riuuetio sat s Lentre nos maius. tridemment, nous signalerio a singularite d'unatur on des in es si savantes semient dites en extrait seulement nous sentirions qu'une telis sorme est eontraire . tomes is lolde la compositio litteraire, et non serion laut naturellament amenes a Mupeonner laverite, a fauoi que te traiia des Instrumenis de redueι .n'est aeu raceo ei de quelque grande aeuum.
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, de conrevoi de que pricis ante est ourdes hommes, doli aves se secouris dans ses maladies par so propre jugement i, cistam phrasesi'ont, comme n Volt, aucunrapport enim esses; la premiδre dωrit une certaine affectioid cerveau la seconde conuentun consei aux gens clatres surda ndcessit Sapprendre a se donne eu memes que uessemum dans leum maladies Ces deux phrases n'Ont aucun appori, non plus avec ce qui Ies preelde, et esses terminent alnia brusquementiopuscule dumsime dea gens en sanis Galien quit' commente, arrivi a celassage dit uon asoupeonnsi, avectaison,''authenticiis de ces deux phrases queique uns meme les condamnent absolument, et assurent qu'elles ne sontias de Polybe, et encore molns σssippocrate Le commencement, Ouci'auisu dit, que les maladies qui proviennent descerveau amἡnent l'engourdissemen et la strangurie, est laut a sest consus Celae semitias plusveritable quandissime l'on penserat qu'it 'agit. non de laute les malacies descerum , mais de celles-la seules qu'un ωοulement 'mu, et de phlegme par les oreisses et les narines semit cesser. Car celais'arrive ni torioum , ni meme te plus fouvent i, 'ai rapporte te commentatre de Galieniour montremque cesdeux phrases inuetque incoho'entes qu'elles solent, Ont a meme place et Iaissime redactioudepuis la plus haut antiquite C. Gallem, en e signatant Ies vices , nedit pasin uelles solent une interpolation salte depulsae commendement de commentatres surra Collectionhippocratique Ules existaient dans Ies mentes termes des le temps de Bacchius. 'a encore
rapportele passage de Galieniour unautremotis, 'est pou salae uoi quilis'aias indiquela particularissi Ia plus remarquabie de ces deux phrases. La premiἡre se uouve textuellement dans rintsirieu dura livre des Maladies; et, coqui pronveriu'elle a etsi copi surde I livre des Hasadies, 'est que, dans ceriture , elle est fulvi d.utres phrases qui complatentae tablea decla malacie en question. La seconde, qui commence paries mola: 'homme qui es eapabie, etc., est la premiἡre phrase diualia des Apet M. Ainia voila deo phrases sanctialsona'une avecti'autre, sans liaison ave ce qui Iesir elde, e velles se imuvent apparieni adeu traites disserenis Comment explique uno teste singularite 'asNce te commencement d'une table ou I'on indiquat les Ouvrages parteum premieres lignes' celarieutrit dire que te 2 livre des Μαιadies et te imite des Asse ιions soni dimem auisur queropuscule fur te Resime dea gens enisante 'i' laut-il voirm'un indice de cette opinion qui se confirme de plus en plus dans molesprit, a fauoi que nouin'avons dans la collectio hippocratique , a pari quelques livres bien conserves, quedes disris, des extralis, des fragmenta de granditravaux surda mωecineyLe deuritineature des Baladies aran do te commen ment. Apros une exposition illaneertain nombre de maladies dela tete , te mlane frie est repris ave Ie utres Aasadies qui natasen de ιa te hie pias dans Iecmemes termes mais avec unte plus de deVeloppement et 'est auχἡbut de ce Meon commencement que se uouve la phrase qui est placoe a lacinieci'opusculo du Resime des gens enisante. 'essem pacta encore ne pr Vedeces destructions que j'ai signalees. un reste deces mines devant lesquelles j suis nieure blandes heures en contemplation assidue, esphrant qu'unisitaurinaperς me revel resta'ordon Me dea'edifice auquel elles Ont apparisnu. Je ne parierat pascici des norubreux passages qui soni simultanesnent repeias ave les
momes termes dans les different livres de Epidemies j ne parierat pa non plus do
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plutions analogues mais molns nombreus , qui sonventre ces inmes livres des demies et es Prenοιiona de cos. Ie me bomerat . quelque exemples. Il est dit dansae traiia de la Nature de thomme: aes maladi inirengendre la planitude sontgueries para'evacuation celles qu'engendre I'εvacuation, par la plenitude Cela set uve aure les momes termes dans les Aphorismea, ' section. Bans te mor atqui, portant autresol le utre de Per phιebon salsait partie du traiiades Instrumenta de reduetion et est, dans les editioncmodernes, lactis lari decla compilation intitulee deda Nature de os in licen pariant des vetnesci Bansin cercle traee, commencement ne se peu uouver is a meme phrase est dans te traiia desaleuae dans homme. Il est dit dans te traiisi des ira dea Fauae et des Lleuae: Ie spem provient de inules le parites du corps sat des partim saines, malade des parties malades. v Cette phraseest textuellement reproduite dans te livre decla πιιadie sacree. O lit dans ropuscule sura Usage des liquideari L au chaude a les inconvenient sui Vant pour ceu qui enissent Muvent elle produit te relachement des chairs, imput i, sance des ligamenta, 'engourdissemen decla pensεe, des emorrhagies, des syncopes; et ces accidenta on jus tu'acla mort l'mispoide produit de convulsions de tetanos is declividites et des Dissons sebriles ., out cela se trouve dans les Aphoriamea section V. Be mente On lit sigalement dans''opuscule suraGage des liqvides et dans la meme sectiondes Aphorismes les lignes fulvantes uae DOid est l'ennemi des os, des denis, des tendons, d cerveaia, de limoelle epiniere; te chavd en est rami. η Bans les tumeum des articulations dans lectumeurs Outienses sans Hales, et la Hu- η pari des convulsions spasmodiques M'eau froide eine en abondanc sat suer atianue et i endor la douleur unisngourdissement lege estin remede ad douleur i, Cela se uouvedansa'opuscule de rGage des humides p. 13, et dans Ies Aphorioines, sect V, p. 896. Tovincla sin de ce msime opuscule, a parides deux dernieres lignes p. 114ὶ, se uouve dansles Aphorismea Sect V, p. 896. Un longiorceau commeneant paries mota Toisin en ἔsi periodoisi, et finissant parceux- Ra pher euphorda se trouve dans te trait de Humeurs p. 115,ad Frob.), et dans legraphorismes, p. 890. Γ long passage commencant pari aimorroidas echontes, est textuellement copisi dansles Gidemies, lib. vi p. 346 et dans te livre desium ra, p. 117. Ce qu'ilo a de singulier, c'est qu'au mille de ce passage, qui est continu dans te traii des Bumeura, tombe lasectionciv dum livre des 2 identies. re es venti tu midi rendent I'oui obtuse latue troubie la tote pesante, te corps lent, et soni dissolvanta quand ce vent regne des accident analogues dolvent tre attendusi, dans Iecmaladios. Quand te vent dii nor domines, i regne des oux de angines . deSi constipations des dysuries ave Dissons, des douleurs de coisi de potirine. , out celam dans te traite desivmeura, p. 116, et dans les Aphorismes p. 892. sne particularitsi est a relevor dans te traite desiumevra ea elle pent nous instruire dela maniere doni cet opuscule a sitsi compossi Ilo est dii, p. 116, iique te venti midii produit certains accidenis que te venti hord en produlii'autres que, si e veni pre- η domine encore clavantage Iecshures suivent les chalcur et les pluies , Cela est sividem- mentia arrangsi; les sevres ne euvent future les chaleurs et les plutes qu'autant que te Vent dimidi rogne, et non te vent dinota οὐ la cles de res erreum si I'on se reporte auxaphoria mea, p. 892 La, en esset, est dhiniit e qui 'est qu'en extrait dans te trait des Humeura; et Ι'ono troux l'exposition nette des disserent venis Galien , dans son commentatre surcle ueste de Humeura remarque de son coisi, que la chos est Meuidans les
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tielia de et ouael herit hippocratique, mais nouin'avons pacleum motiss. Neanmoins, dans e murant de la discussion se soni presensseertain fatis qui, 'eu,mmes . soni Venus concorde ave ces meines jugementa, et qui norattachyrune Drautre ancienne et lamoderne critique Ici encore te mδme fisultat est obtenu, et les recherches consignεes dans e chapitre expliquent les pinionides commentateum de rantiquite su quelque uns des ivres hippoeratiques Le traiia desiumeura avest in absolument dete par Heraclide de Tarente et par Zeuxis attribue Dun Hippocrate par Glaucias orci est evident, 'apris Iaeomparesso queri'ai abite, que e traithienserme des passages textuellement copiM surdhutres ouvrages, et que, par consequent, it a tyr&lig apres ces momes Ouvrages. Dis, pas expora te detest des passages qui soni identiques dans lea'divre des Gidemies et Ies au tres; mais cessassages soni extremement nombreux Galien a doneseu touis aison de dire que e Pature est manifestemen denue 'authenucitsi, d'une date postἡrieure, et compossi de places et de morceau. B est possibie et Cest uti des Multala de ce chapitre d'et tir, enuein certain no red'lerit hippocratiques imis classesci la premiure comprend de Ilures qui soni aniarisum aux criis apparienant a Hippocrate tui sime; la seconde des ouvrages qui soni Milementde ee mldecin his troisiδme, des opuscules qui soni postεrieura, puisque, en grande partie, ee soni des extralis et des coptes. L'examen de ces particularitis nous reporte au'sipoque mΦme qui a pricolyta publicationdea collection hippocratique Car, ainsi queueri'ai remamve a diverses reprises, out cela existat dis les premier temps; extralis, fragments notes, passages copies, laut cela Setrouvat dis les plus anciens trauaux de Bacchius, de Philinus, deasinocrite Mnsi, quandnous οyons que des livres soni des extralis Iesin des au tres, nousiouvοns admetire que s extraitioni siti satis, que ces notes ont εω compilsies, aprsis Hippocrate, ii est,res, mais avant les premiers trauaux de ecoles alexandrines; 'autant plus que es extralis representent quelquelais une intaction plus reguliἡre in Mat plus complet declivres memet'ouila proviennent ei que nous possedontencore. Te est te a ducllure de Instrumenta de reduetion par apportisu livre de Artieulationa Nous assistons, mur alnia dire, a larao mation decla collection hippocratique et, comparant tout ceriue les hippocratiques malentisit avec lete qui nous reste d'eux nous ποns cette masse de livres camoindris, se dεω-riorer, se inlcire en extralis et e notes, juriu'a momenti Ia publicise des grandes hi-hliothinum commence, et ou les lines hippocratiques se trouvent irrεvocabiemen sauvis, mala sauvia aveo lautes Iesaraces de dommages resiparabies. Je ne eu pas entre dans rexamen particulis de chaeu des eortis hippocratique sans nisere quelque pages a recherche de quelle maniare nieu concevoi questa colle tion entiise s'est somω on a m dans Ies chapitres prεcidenis, qu'elle a des ineohis ences duχωousu, des salsifications dans les nomid'auteurs, des negligetices deiddaction qui ne permetient de reconnalis ni roeuvre d'un seu homine nida productio d'une seulo ep
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que, ni la publication volontaire et soignee d'un crives qui aehevo et polit ses livem avant de te metire a jour La est une dissiculiariu'i savi essuer de rMoudre, sinon par descertitudes absolues, a molas par de conjectures uos probabies. I s'agit de eomprendeo eomment des fragmenta, comment de simples notes on site insores dans uno cosseetio quieontient des parties si excellentes, si travaissees, si achevees il4'agit 'explique commentdes nomsint εω chanos, et comment e qui Malilaeuure de Polybe par exemple La εω introduit scus te titre d'oeuvre duippocrate. Ce soni des question que les critiques n'Ont jamaicabordees eae profeMO.on ne peut en espere la solutio que dea'examen de tous Ies caracteres que la collaetion hippocratique pr&ente en tant que collection. 0r, huit circonstances principales ' sont
1 La collectio hippocratique,'existe 'une maniδre authentique que depulsae tempsd'Herophile et de sesithves, Philinus et Bacchius. 2 Elle rense e des portions qui Oile saltiar des temoimage posisse apparuennent a
8'alle contient des recueus de notes qu'un εcrivaini, ait iamia publiti tu, me dansee sita d'imperfection. 4'asse contient des compilation qui Mnt Oides analyses, o des extraiis textuellement pita d,utres livres qui existent encore autourd'hui dans cetis mcine collection. 5 Lesamissis quia composent, de mδme M'ila ne sontias d'u seu austur, ne sontias non Huid'une seule epinue; il en est de plus recent Iecuns que Iecautres. 6 Ouo volt latreuve que les Hippocratique avalent compose ne laute dχuvrages quisoni perdus, et quia'etaient dἡsae moment de Ia publication decla collection. 7 Les plus anciens critiques Ont 8sul et varii torsqu'il ont oulu determine a Messauieum it saltat attribue les ouvrages qui sorment la collectio hippocratique. 8 IL aut excepter unieti non rela'ecrit fur tesqueis, a uitiue ou ais auue les eritique anciens se soni accordsis unanimement mur en regatae Hippocrate ui tino
venon sur chacune de es huit circonstances caracteristiques, et examinonstes co elusion qui en demulent natureuement.
En preMer eu la collectio hippocratique 'existe 'une mantem authentique que depulso temps 'llerophile et de se Mδves, Philinus et Baechius t 'ostin est queri'aidesnontro des commentiares et les rense nomenis carretent latourda collectio en loc; dans I'opoque anterieure o ne uouve la mention que,'un tias petit nombreta'lerita. nos autoris. a coneture de cedat queda collectionis' eth so et publi qu'a ce moment. et qu'inparavant illa'sa lenis de se lable a recueil qui a si connullus tae mus lotitre commuid'seuvres d'Hippocrate. En secondatin il est constant qu'un passage de Polybe se uouve dans la collection hippocratique Maminon attenu ement cette circonstance Aristote a dans in bibliotheque, les sive niεdeein Polybe; ii nemprunt uilong moremiqu'il apporte textuinement; voilli unireniter sati positis Mais voles umsecondetait qui est singulis et qui, stias moina positis, c'est que te moroeau rappori par Aristote se trouve tout a long dans loture de lassature de rhomme non plus Mus te nom de Polybe, malimus elui d'Hippocrate. -- mentis est salte cetis insitamorphose 'inis, passu, e I'ai dei dit transporter te moreeauen question des aeuises d'Aristote dans celles d'Hippocrate carda publication decla eoue tion aristotclique est postarie e a cesse de Ia collectio hippocratique. 'un auis eoia, Iesmures de Polybei'ontiu non plus, te lauriar eis, si ces livres avesent existi in momento Ia eouection hippocratique fui publiee les premiers commentateum qui ontaravaille surtes oeuises 'Hippocrate auraient signate 'emprunt, et nuLd'entre eo n'a paria declive
de Polybe, qui, dans teriait, malent dos lora Dri. Ainstin livre de Polybe carin celade temoimage dAristote est decisis se trouve post4
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d'un ouilusteur Ouvrages Cet extrait alu,par cette raison n'avoir plus de nomQ,uteur, et 1'inscription dinum d'Hippocrates etsi molns une fraude qu'une erreur. Ceriait prouis irrefragablement 1 que la publication decla collectionis posterieure non seulement a Hippocrate, mais a Polybe 2 que duciemps d'Aristote les livres de Polybo existaient avec te no de cetinuisuris que, comine, dans la collection hippocratique, cestiurecon perdite nom de leur veritalae auteur, et ne soni plus qu'en extralis tres mutiles, Ia publication decla collection hippocratique ne petitias ne pas tre posterieureis Aristote. J'ai doneseu resson de regardefla cessation des commentatres et desienseignement vera I temps''sssirophile et de ses εloves commmune preuve questa publication decla collectionitativolsine de leuripoque. En trossieme Iie , a collectio hippocratique contient des recuetis de notes qu'unierivatin'aurai jamai publies lui-meme dans uniarei etat d'imperfection. Cette verit a in sentie par tous las critiques dea'antiquite aussi onNils regarde comine posthumeria publication de ces notes de rappellerici ce genre de considerations non pactant ou demontrerque la collectio hippocratique est ne publication posterieured Hippocrate cela est elabiid'ailleurid'une maniere incontestable que our montremque les livres hippocratiques, tela qu'ontes aeus depuis Herophile jus tu a nos jours, proxenaient, en partie, moins, de papiere long-temps ardes dans une lamille ou une cole ni Silicate. est ceries ressor encore plus evideminent du quatrieme ait, a fauoi que la collectionhippocratique ensem plusleur morceaux qui sontium recueil de passages textueli ment coples, ou une analyse abregoe, salie suries traites encore existants dans Ia collection. En esset, On assiste, la, auaravail meme qui a produit e grandisombre de pieces decla collection hippocratique; on volt que de morceaucon et copius a et la dansd'autres iure hippocratiques, parce que celui qui les copiait Iesioulaico conserver, o arrange dans unauue ordi epon volt encore que d'autres livres on etsi abreges et analyses dans unaut scitd'εtude, mi d'enseignement et ces fragmen's, ces optes ces analyses ni etsi gardes et publiM dans Ia collection, ave les pieces Originales; ce qui est latreuve la plus manifestoque les livres hippocratiques soni long-temps demeures enire de main medicales qui tesoni Ruilletes, transcriis, abreges, ses, perdus et c'est e reste qui tardivement publie, a constitue la collectio hippocratiques denomination 'aille sterilee carcia presence, dans cette collection de Ilures qui soni raiment 'Hippocrate, et d'extralis satis suris Ilures, monueriu'elle est provenue, ou de descendanis d'nippocrate meme ο de gens qui latenatent de ces descendanis.
J'ai apporto dans te hapitre precedent, que deo phrases sans liaison entre viles et avecie qui les precἡde lesquelles terminent''opuscule ducllegime dessens en sante se uouvent, l'une dans l'interieu dura livre des alauies, l'autre a debui ducitur desageetions s paret desordre prouue que loreque la collectio hippocratique a die mise encirculation, o a publi pel mele laus te papiere je me sere de ce mot moderne qui provenalent de la bibliotheque ou d'un medecin, ou 'une famille de medecius B saut endire auiant de ce doubie reambule te premier ei rege, I seconditus etendu qui se trouve a commenoement duri livre des Baladies. En inquiemeleu, parmiam traiies qui forment la collection, i en, est de plus inenta. les unxque les autres Cela est en remn argument en saveu dea'opinion qui admet quo in Collection est resine, avant in publication, entre les mainid'une famille ou d'une cole medi- eale Car, autrement comment concevoi que des traitεid'epoque ditarentes eussent Moreunis en a sevi corps ' Mais ela se consοit, dimoment que ron suppos que es Ilisoa
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se soncaeeumules pendantis Ion intervalle de temps, dans une famillo ou uno leola. Remarquoncentulae qu'il a du exister des motissiour que ces livres tussent diis hippocratiques; ces motiss soni 1' que ces livres etaient restes ignores despublic m&lices, ignoraneo qui a permis de leur donne te nom 'Hippocrate, e qui n'aurai puras salae s'iis avalentdria circule fousin aure nom et en esset les ouvrages de Praxagore, de Dioeles et dTuryphon, compose pendant te meme lapide temps nχntioincessi appelM hippocratiques; Ieu publici eut rendu impossibi laut Gangement de ce genre 2 que ces livrecontd'autant plus naturellement poria te nom Sssippocrate qu'iis sortent d'une fource hippo-eratique , 'est- dire de mains de gens qui lecavalent requs , par herilage o tradition derivetque famille Alicate ayant des liaisons avec celle dii csilἡbre m&1ecin de Cos. Et ieiunisapprochement me Dappe χ'est que , parta les livres hippocratiques 'epoque diverses,les plus recenta atteignent seulement te temps 'Aristote et de Praxagore pas u ne vajusqu' grasistrate et Herophile l'ai montre dans lethapitre consacre au'examen de queι-ques Ointa de hronologie medieale Lexamen intrinseque de la Collectioin'est donc nullo parte contradiction avecreramen extrins&Iue carsi d'une part les renseignementa eri rieum surcia Collectionis remontent pas auineta d'Herophile, d'autre part Ia date des compositions Ies Ius modernes de ce recueti ne descendias audet d'Aristote et de Praxagore. Ilo mentre ces deo ε quesin intervalle dans tequela Collectioia typubliee Lesbippocratiques Ont travaill jusqu'acia premi ere emque puis leur famille s'est teinte; leur herilage est passe a d'intres mains; et, peu de temps prῆ , I'ouverture de la biblio insique de Ptolamee Lagus sollicitant la vente de Ilures, e qui resinit de leur aeuures a εω mis au ou solis te nom duilus celebre d'entre eux, et sans indice qui put salae connaltroles vεritatiles auteum de cetis masse d'εcrita C est de cetie lason queri'extrait qui subsistati seu encore ducllure de Polybe, gendres'Hippocrate et apparienant par consinuent a cette fanulle, a te publie dans la Collectio avec lenomi'Rippocrate Le livre de Polybe avaitote dans cette bibliothδque ito avait pisi, et latonae ili'en demeurat plus qu'un extrait; il avait διε aussi dans la bibliotheque Aristote ilis avait galement peri et Ia sevietrace qu'i fait Iaiss la citation conservee dans I Histoire de animauae. En fixieme lieu la Collectio hippocratique renserme la mention d'une laute de livres composε par les hippocratique , iures qui soni perducet qui l'sitaient dis te momen dola publication decla Collectio esse-mdine Cette mentio est trδs importanteries en esset, j' volita meilleum preuve qui se uisse donner, que les premier publicainum de la CODIection hippocratiqueintrate non potnides saussaires qui auraient composo de lautes piae Iesivres, mais de gens qui eu memes, valent perdura notion exacte des volumes qu'il possedatent, et qui se destrent de laut sans plus s'en inquiater Car, aut ment comment trouveresNon, dans la Collectio hippocratique es'indication declines dia perdus quanda premiere publication4'en opsimita silausinire n'auraitias manquε de compliarela colleetion is pluto illa aurait jamais mis ces renuolsis des uestes perdus Au reste Eest reveni hine dimonstrauon qu'on obuent par ne autre vole, a savola γ'uisa salaen'auraiidamai publie des notes sanisormes, san r&1action , ans cohisen .est aures plus Migne ee'u'il uoulait vendre Men ne me parat Meucetabit que es deux satis conis dictoires au premier a est ' que dans Ia Couection hippocratique entre Mino re de uises qui ne soni pas 'Rippocrate a que es vres soni trta incores, en e sensetu'iis sonta' euise de misiecin qui on vicu depulsae temps 'Hippocrate usqu' celui de clandation des bibliothinum Ii aut admetire ensemble ces deux salti et Ieur admission simultaneerietis undour laut nouum surde mode de sormation de la collection hippocratique eli meme Vcetteramque Ies monument littεratres talent acilement anεanus. Bes livres renser s dans une maison particuliore, et doni uis' aves peutratre qu'uno Mute copio 4taient sinet a une laute de chauces de destruction Aussi onbus psiri in grandiso re. Et celais'estias arriv seulement aux euvres hippoeratiques Aristote
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etendue, avant d'etre depos dans es bibliotheque publiques quan done elles 'onvrirent quandilles Ogrirent unirix eleve aux vendeura , ceu qui se trouvalent Ies demieranantis de tons es monuments medicalix, es esse terent et les porterent en Noe .eeux qui recherchatent cette marchandise. ais des lora iis n'avalent plus que des debeis de inus les ravaux des hippocratiques une portio tres considerable emeruit aneantie. u es autevrs, dit Galien, 'ontias publieaeur ecrita de leu vivant, et, pres leur mori, ille resinit pIus qu'une u deo copies, qui ni peri. 'autres Mis, des erita Ont eu de aveum is ne les recopi pIus, et iis disparaissent Ens it a des gens qui par pure alοuste, cachen et detruisent Ies iures de anciens; 'autres ensin en, sont aulant pour 'approprie ce qui arate dit i Independammen des causes que signate Galien, cette perte des livres a te particulierement considerable dans intervalle qui a precede l'etablissemen des grandes bibliotheques publiques Cela aduratre; car, dans cetio periode deci'antique libratri , te papyrus n initias avssi communinu'il te ut pres laeonquet deri'sgypte parrae Grees, et te parcheminis'etait pas invente. I etait donosor difficile de se procurer de matteres propres h copter Iesaivres , et I nombre Sexemplaires ne pοuvait'u'etre extremement restreint on cito 4 cetis epoque tant iis sontiarest les partieulier et les princes qui ont e des bibliotheques. Aristote ut a nombre de ceu qui se sirent une bibliotheque , et, Demiuge par Iesauleurs qui cite dans ses ouisages, i est certaininu'il ut richeis livres. ais quiconque lira es seuVres ave quelque attention verra que, armi es Ilures qu'il cite, beau- coupn'on plus te cites par personne Ilioni peri avant de recooirine publicite verit te, et d'etre inscrtis a catalogue des grandes bibliotheques qui se fonderent plus tardi tgypte, a Pergam et ailleum quelque hommes jaloux de Ia gloire d'Aristote Ont, dans I'antiquiti, pretendu'u'il avai dsitruit volontairement les livres qu'il avait ramasses, asini'augmenterses merites, et de cattribue des trauaux, des decouvertes et une ψοire qui auraient duappartentra 'autres de ne donne aucun credit a cette calomnie et cependant je emisqu'ilo a quelque chos de lando ente bruit, qui a Ouru dans es temps anciens; e croisqu'Aristote alte la cause, non pas volontaire, mais innocente, de la destructio de beau- cou de livres sa bibliotheque passa dans te main de heophraste, de la dans celles de Nedee, uis des eritiem de Nelee, gens ignorant qui enlauirent les livres, et les laisserent lota temps expose a humidite et licia moisissure Cest dans cetis transmi sion que declivres doni fouvent Aristote possedait 'uhique exemplaire, se detruisirent rc'est insi, Our rester dans mon sujet, que perit te livre de Polybe, qu'Aristote avest dans sa bibliotheque , et donides hippocratique , ne conser erent qu'un extrait. En general, n oureait dire que les collecleur de Ilures , avant lateri e alexandrinosi storissante pou la libratri ontique, ni et des artisans dea perte declivres . 'est4dire pendant iovi te tempsisu les materiauxiour copter Ont et rares, et les exemplaires de chaque ouvrage ueste no reux Ila Ies achetaient ori cher, retiratent de mainades detenteum la seule copi qui ouvent en existat i ne 'en salsait plus de tran
eription ; et, si quelque mathev happaltria bibliotheque te iure etait perdu sana
Cest de eite maniere qu'on pent eoneevola aussi que Maumn de nures de hippocratique Ont dispare cestiures se soni accumules dans te sein Fune famille ilioni pe cireuina dehors, ilion forme une bibliotheque privee I destructionis agi la comme ailleum et une multitude d'οuvrages etait detruite, o reduite a des fragment a momentiu Ioalmmenses depota 'Alexandri te recurillirent. salien apportera exemple curieux qui prouue a Ia sol quelle passion Ptolemee Ev-get avaitiourram vieux Ilures, quesse munificene ii deplοyait mur 'en procurer aeteombifiles exemplaires des plus famevx uisages etaient e multiplies Ptolemeela' ait
sans doute dans sa bibliotheque que des copies, neompletes ou infideles, des tragedi χ' - ehyle de Sophocle et dTuripide cil demanda aux Atheniens I'exemplaire qu'iis possedatent decem res de em poetes, asin 'en Iaire prendis seulement copio, premetiant de te le-
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Apres avoi sal copter lectramlies ave luxe, surde plus beau papyrus, ii retintd'ancienexemplaire et nvo aux Ααεnienses nouumu, leur disant qu'iis navalent'u' garderi'argent en compensation de ce que tui gardait a copi consi . . quandissime, di Galien, i aures reten I'encie exemplaire sans en remetire unnouueau les Assisiniens, qui, valent res Ierasipol Sargent a condition de se rapproprie si te mi ne leur rendati palles livres de leum p tes. n'auraient rien eu de mieuca latre Aussi iis prirent lariche copi satis parci'ordre de Ptolemsie, et iis garderent Ies quinge talenta. . 'on volt, parce recit, combie les Ilures etaientie repandus; la bibliothinued'Alexandri n'avait pason exemplaire authentique des trois tragique grecs ilis' en avait de copi ce inine qu' Athhnes, et, si uncincendi avait dεvor Ierale oudes Atheniens conservatemees monumenta du εnie de laur concitoyens, a perte ut mut-etre sit irreparabis userat arriv aux grand tragiques Athenes e que alien nous apprendistre arrisera plusisur poties omiques et tragiques: in t uve, di it checles Athsiniens, te nom de poeses coinique et tragique qui on glorieusemen remporia te pri du thlure et donicies pikes on ri , approchon cessest d'un auire sest plus ancien il est res,mais galemeat significatis Les insiniens pris dans la matheureus expedition de Siciis et roluit ei clavage, adoucirent singuliarement Ieu sortis riserunt des Dagmenta de laure grand γδtes a leum mattres, qui, musta'une aussi esse potate, aliεorem te chaines des captiss. Mais cela me monue que les vers de Sophocle et, Euripide etaient nouueau murrae Siciliens, que les cevvres de eos tragiques n'linient connuesque par es representations sceniques, et que les exemplaires 'en circulatent que eudans a Groce. En sepuἡme lieu les plus anciens eritiques Oniasisite mur dεcide . quela aute condeviat attribue les ouvrages qui sorinent is collection hippocratique. Illae lautias mire en esset que 'impossibilite de reporter ceu collection vinela d temps de Philinus eid'flerophile,'existe que ou nous eritiques modernes qui examinon eo minod'hisinire litteratre privλχ'une laute de documenta de pisices et de livres qui abondalent dans ra liquite Galienis' alacre si et lautos Iecsois qu'i se trouve en face des dissicultis que Mente 'explication decla collectio hippocratique i hesiis, it attribue a gendre, auxsus aux petii sits 'Hippocrate Iesamitos qui, 4videmment, ne peuvent apparieni a Bipp erate lui me ii assure que eo qui anquent de laui Hre, de laute rεdaction, Ont Publius apris sa mori par se descendanis, ausu'etat ou i les avia Iaissos mala nulle par il-'articule aucumisit positis aueu temo nage qui prouuent que ceti collectionexistat avantes'εpoque queri'ai indiquis. I importe de se reppeIer e meme temps que, des ceu isoque ausia esse aves lautes le incohεrences, lautae defordre qui non eis remamve plus tard. Un recit conserve par Galien servira a comprendre comment les plus anciens critiquesi'ontiu alter audeta duae einxsi plus haut. ne Ptolem lavat donne thesre'u'on demandata inus Ies marchandiet navigateurs qui assivalent a Alexandris testures qu'ils avalent aveo eux omen prenai copie o rem it vite copi a possesseur, et l'Original sitiat depos dans la Bibliotheque ave cetis inscription Lime dea navi rea. On y jouisitae nom de celes qui I'avait apporto. Ces detriis cappliquent immoliatemen a uides vres decla collection hippocratique. Certaines histoires de malades, dans lea livre des Epidemies, soni terminεes par de earuο- rore doni rinterpretation et l'origine ono auoou exeresides commentateum anciens; je nem'occuperes ici que de ilarigine Lecum pestendatent que lora Iture des Gidemies avrit - apporin par nemon de Sida en Pamphylis medeein attachsi a la doctrine de Clωphante, aveccles earaeiares iis disaient que cet exemplaire portaticla suscription de Liora dea navi-rea sum ι eorreeιion de Haemon; messi favia divergenee a cet vata, et quaeques-uns assuratent que te nom seul de Mnemon ait inserit sue is livre svivantes'usas funale
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mi a Rome sol a Pergame, qui eument plus de troileents ans de date. Apollonius Biblas nous apprendiarie peu de mota que dans la bibliothinued'Alexandris iliouvat ramrr, Murde meme ouuram deux sortes d'exemplaires a'un venu directement I'autre venu ardes Navires. En esset, I bibliothδque sondsie par Piniame sis de Lagus et agrandi par Ptolεmε Philadelphe, son successeur contenaitida uigrandisombre dolivres, avant que Ptolεmω quemδte, qui latae troisilane mi ree dea'Mypte, ut eues'id daniaresse a sonioni Ies navigateum qui abordalenti Alexandrie; et c'εtaient ces premiere Iivres qui avsent lamiae son decla bibliothinue alexandrine, et donicies doubles avalent sonuent εω apporiis par les Nauires quant acla collectio hippocratique, te ait est hiablimur lea livre des Epidἡmies une copi provenai des Navires une autrei'en proventit pas Ilo a plusci ceu collection existat dans la bibliothδque avant rarrivge de Ilures des uires 'ar Bacchius et Philinus, discipies 'Herophile, et unie anterieum a Ptolem/otverote en avalent expliqui tes mota dissiciles, sans parier 'filmphile, qui avait commento Ie Pronosιie sans parier de sinocrite, qui avant Bacchius, avait explique certains mois hippocratiques; sans rappeter que lipartie duciture dum0ime danaues masadies atque quo Galieni arde comme Mouiae par une mainintranore auraivre dBippocrate, Letalliduni dis te temps detrasistrate. Ainsi ii est mi de dire questa collection hippocratique est antorienes a Ptoli e Meroto et a rarri- des livres des Nanire dans a bibliothequod Alexandrie. Le init queri'ai transerit plus aut nous lauriat done quelque notions surrae plus aneiens manuscriis connus dura livre des Di mies. 8LI'on me de eot I'εdition de Bae- inius on volt que Ia Bibliothinue myale en avait deux exemplaires Ceriait est important rin esset, s'illa'faves eu dura I iure des Diiamies que 'exemplaire appori par finesnon, Oniourrat suppose que les si auum livres existaient isolement et que des arrangeum post eurs ron intereale acla placeriu'il occupe encore ario d'hui mais si, Iecsicautres Ilures de Midemie existant dria, celui que nous appeto dea eut εω intercale posterieu- rement, Ies commentate caveaient signala uno eirconstanee avssi singulici e touchan IeaGMEmies, qui, ne comptant labor que siclivres, auraient ityporines aino re de sepi, et cela par nne interealation entre Ieri et tera livre. insi te de plus certain, par cetis