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e ses; lui demande qaeon pro te intremem, D'omembrasse, dans in v table ginis liti la-δdecine, 'es, dire is selene des apporta meorps humain avecaeco et qui I entourent et que, de cetis omparesson, iure les consinuenem scientisque qui endecoulent assurant que 'est lacla seula vole la seules inode comme di Platon, qui puisse donne des notions positives surde cor . Tovis la portis de latensemd'Hippocrato est dans son opposition avec la doctrine des philosophes qui vovlaient qu'on Mudiat rhomine e mi, mur en deduire, dans Iescas particulier de lai&leeine les regles de rari Rippocrate s'arrache a cette doctrine et ii demande que Iesialudes, aurate de parti de rhomme, is utissent La diilarence est capitale elle a Dapm Platon Aussici ripete a son tour, qu'il saut iudiera'am dans laus es apporis avecte reste de lanature mur en avoi une conception juste et complete et ii ajouteque ite meshode dolod'autant plus en sutrie kl'ruar dea'ume, que te corps, molns dissicile Leonnatue, ne Mut cependant, a dire dRippocrate, etre, sans elle, ni iudiε convenabi ment, ni eonnu, ni appreciε. M philosophe a appliqu ara psychologie I'idsi prelonde st/tendus acla solique les deciis'εisit satis dea'Mude decla physiologie. Et dans Hippocrate, cela'est pas ne pensee fortuite, eine en passant dans le eourid'untium carie uiserioucentie est une longum lamique conire les philosophes et les mω ein de son temps B me in doctrine en esset, et ron concoit d'autant Meuxinu'elle ne solipas resine ina reue de Platon car esse est landamentale, exprimω aveo graviae, et aeuuton propre Daturer rattention Elle semue lautae dogmatisme qui reposait surda considεr tion de la composition hypothεtique dicorps humain, et dωlare hardiment'u'il faut reno M 14tudierae eorps enaui-mδme; qu'il saut svoir, non uimini de disari maiiun centre, et emine hercia connaissane aussi bien dans l'actio G reste des hoses que dans sapropre constitution. Cest une peniae analogue a celle que amnis exprimεὐ- disant que personne ne peut dicouistra nature d'une ch e dans cetis e se eli meme mais que Iareehercte dest syllendis ades objet plus onεra .u emouire, dans e passage u sentiment proland decla realit des choses, et pareonsεquent, la haine des hypothἡses gratuites. Videmment, Hippocrate a compris que les propriεω du corps vivant ne Ouvalent tre siduites, a priori, des supposition qui avesent εω saltes sur Iaconstitution prisume de ce meme corps mala qu'elles devalentinire trouvωs, experimentalement a posteriori, parri'examen des actions que chaque choseir destinavi. II ne ueut pas que pοur apprendrea mωecine, o apprenne eeriu'est rhominesvivant la direction philosophique dTmpsidocle et des autres; mais il veut que, mur appre dre eo qu'est rhomme on εindie quela sontae rapporta du e ps vivant aveccles alimenta, Ies Missons, et laut te genre de vie et Sest de cette saeon, diNil, qu'on apprendra ce qu'est rhomme, et par quelles causesi subsiste Fermete et rectitude admirabies d'un grand espritqui ne se laisse sωuire par auenne lavsse hypothdie, et qui, aptiu parua contemplationde is nature, recommande de rinterroger, et non de la deviner. J'at piavonu, des le eommenement, en disant que I eitation de Platon n'estias textuelle,
une obieetio que ron est dispos h laire enovant que les expression diphilosopherita nature de Pensemble dea inosea ne se uouvent pas dans te passage dumne de raneienne miseeine anquel inivant mes, te Phtare frit allusion Cest ici te momen d levenis; ear, auioin incla discussion est arrivis, o comprendra sans pesne que Platon calannementelia les propres termesta lippocrate. Bans te Mare, Merate, veta avola dit que raricita devest a supistortia comme orateumauclemn d'Anaxagore, qui ravescentreten des μω nomδnes dea nature riouis queda haut elloquence ne peu guere se passer de la contemplation de res merueines B eompare Mors rari de la parole hac decine, disint que, de mome que la nature du eorps doliratre connue dimεdeein, de mΦmea nature de rame doli rotre de rorate , si run et riuue,evient exerce leur ari avre des lumiares metue es que ne de remptrisme et de la mutine diis i demande , son interi uisur si ron penteomprendrea nature de ramo sans cesse de re emble des hoses on volt quo ses id- semivent, et queete soni Anaxagore et M tela quidui on suggeri son opinion fur resoquenm,
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et pariun enchalnement natures, fur retude de rame Phωretii repon que resude momedicorpsis'est possibi que aprὸLeette meιhode si l'ο en croi Rippocrate. Cest doneune meshode seulement et non ne expression du intit in de cos que Platon cite. -hodequi consiste a ramenera'εtude de tout chos vere te corps humain mur en comprendre lanature. 0 que troiivon nous dans te passage de Aneienne medeeinerisne methode et justemen Ia methode indique par Platon Mnsi te philosophe athesileni'aias empeuntoces mota cla nature dea ensembι des ehosea, , Hippocrate; le texies ne te monue; et Iespropres paroles de Platon, et te sens qu elles renserinent, inut conmuri Mur apporter lata sago du Phὸdre auarait de raneienne medeeine isne dissiculia reste eneore a leve dans Ie passage de Platon Il en est de meherches dela eritique eomme des recherches de la mδdecine legale B lautioine lovincies circonstances; Ies plus petites, les plus insignisantes a premier a es , uicine Ies plus inexplicabies. donnent, si l'on parvient Den determine avec exactitude Iesaenanis et Ieca uti anta deselaries laut a sest inattendues sura, et catasi queri'on esses de dωοuvrir. I'a done pensoque ce qui, dans le texte de Platon, salsait difficultsi devait non seulementis'mpliquer mais encore inurnero a confirmatio domini histolae litteraire que j'aves et Ii plus haut. La disseult o dans es paroles de Platon sola done e qu'Hippomate et a rataonpovrraten dire aurua nature 4 la fuit de quoi, Platon expose commentin doit etvdie lanaturei'un ob et Melconque D ce detest n'estias, textuellement dimoins, dans te traii de raneione medeeine Ἀ'est uisait et tot deae nier, e te constate. Si done es mois annoncent une citation textuelle d'ssippocrate, comme cetis citation ne se trouve ni dans leuatisi de raneienne medeeine ni ailleum, inui coeque 'ai et li tombe, et nous Mons perduIe livr auquet Platon laicallusion Mais je maintiens que ce u'estias ne citation textuine, et e vais te demontre par te passage mδme de Platon. Ilo a dans ce passage uois potnisci 1 la methode d'ssippocrate; 2'I'intention de foumeitroeette msithode auriugement de lalaison 8 Iannonce de ce que diron Hippocrate et laiai son. Ainsi e que on dire Hippocrate et laisaison est e jugement meme porti su lamethode Par la Platon indique que ceχεveloppement qu'il attribue simultansiment a Rippo- erat et Dia resson, n est pas du med in de Cos, mais que c'est tui, Platon qui examine et juge la valeur de Ia proposition 'Hippocrate. est mur repondre a cette peniae de Platon que 'a traduit τοis done ee qumnoerate et Ia aison Ourraten dire aura nature Cette traduction ait senti que ce qui varatredi est, non pas une citation d'Hippocrate, mais undἡveloppement de in pensω. Tous lectraducteum que j'ai consultos Ontiendu autrement ce membre de phrase; ilionimis voice que disen Hippomaι et a raison. Cette traductio ne sipondias a se meme du texte, et donne duclouche a tout te moremu en esset, esse porte a croire que coqui aratre dices texiuellement emprunt a Hippocrate alor il est impossibi de com- Prendre comment Platon, qui veut foumetu uno proposition 'Rippocrate a jugement dola resson, cite Rippoerate lusmεme en arantie.
En esset, o alarulig&une petite observation grammaticale qui auraiti remetue sur Iahonne vote Le Grec ne di pas Tityei Inoreaias te kai o aMιM ιοροι, mais: Ti pote ιwei. IL acla une uance qui n' pacein salsie La particule explative n'est jamat inutile; parisis, ii est urat Ia distinction est si fugitive, qu'une traductio rometua sans ineonu nient, messi'autres scis elle ne peut euelaruligω impuntinent; ici esse donne a la phrasoune signification dubitative doni it lautaeni compte, et queri, indiquε dans, tradu uomen dis tr uois done e qu'Hippoerate et a ueritable alson Ourratent tre aurcia nature Be cetis lason, ce qui varatre di est simplement uidsiveloppement de la propositioid'Hippocrate, une explieation de la methode, explicatio que la rataon approme et confirme Lamuance que e signate ici n'est meme pas ausia Miteat qu'ellerae parat aupremier a M. M esset, dimoment que rattention est appine surine potat On recon it quiuo a ne difficulia inve ue des traduelaues, mais dissiculio risuo, Mur invole comment
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Platon enland wumetire la methodera'Hippoerate avdugement de la reison, out en inv quant simultanementae simoignage 'Rippocrate et decla resson Mettea vota e que diamemnoerate tua raison, Ia dissiculte est palpabie et is sens est tm te, Mettea: voice quepourraten dire Hippoerate elua racion, te sens est net, et laut seme et 8'explique. χ'estias laut te passage de Platon ne devient elai et intelligibi que par te passus
d'Hippoerate. En esset, sicarisnsio in moment te fouveni de la doctrine dimidecin, et considerons e lui-meme te ressonnement diphilosophe B commence par pose qu'on nepeut connatue rame o te corps sanci'htude de rensemble des in es B lautis, ter hcetis pensee, qui est pleine de grande , et Minyer decla comprendre, sanctenis aucuneompte du commentiare quγJoint Platon Le sens te plus naturet qu'elle comporte parastote que rame et te Orps tant des parties 'un gran laut Ia connatisance duriout est indispensabie haceon issane des parites Ces la premiere interpestation qui se presenteu resprit Mais de quelle maniere Platon commente Nilaui eme cette pensee 7 vivant tui, eela eu dire que, our Hudier la natured'une Gose, du corps. dea'sime, par exemple, it laut rectercher si elle est simple ou composis, et quelles sonides actio 'u'esse exercetuqu'elle remit La pensee et is commentiare soni sor oloignes I'un de I,utres eludiera'e senable des chosesiour connatis la nature d'un objet, et nudie les actions que cet o et exerce ou recoit, ne se lentias deux proposition derivees rune de rauue parra enchainement tam Siliat L lude de 'ensemble des choses ne peut signisier I'εtude des actio qu'exerce ο que recoitin objet, qu'autant que cetis doctrine est expliquερ or, rien de plus clair que cella explication dimoment'u'on a tu te livre de raneienne medeeiae Du tempsu'Hippocrate, on pretendat qu'ilis'einitia possidie de connestre la medecine sans invola eo qu talia'homme Hippocrate remit Leeux qui avalent cetis opinionis uiae pense, a com traire, qu'on ne peut savia ceriu'est rhomine sans connatue limedecine. 'homme estis compos d'humeum multiples et d'organes chaque humeur, inaque mane a mn actionis particuliere, et est emouis en relation avee les iussuences tres diverses des alimenta, desi, Boissons et de iovi ce qui enlourea'homme Mnsi iour iannalis la nature dea'homme, eludiea laut e qui Laetio surraui is olla comment Hippocrate enten quea lude ducorps est sondee sv I'etude de rensemble dea nature; voila austi rapprochement Dappant de quelle maniere renten Platon Il est, certes, impossibiei'obteni une plus juste concordanee, et de jeter plus de lumiere fur uirrisonnementieu develop .ae texis d'aere Crate est Iesmeilleur commentatre dilexi de Platon. Ainsi, non seulement j'a expliqueς es difficultes qui naissalent des paroles memes duFhὸdre, mais encore 'at eclairci te texte du philosophe athenien et 'a dissipyl'obscuritaqu' presentes le raisonnement philosophique Les dissiculias se soni donestournees en siclaircissementa nouueaux et inattendus d'un passage de Platon et Sest de inutes Iesidiuves lamellieure peuvetred donner, que 'at rencontree juste en rapportanta'allusion de Platon autriti deraneienne medecine. Sicla pense a laquelle Platon se sisere n'liuitias attribue par tui nominativomen a Hippocrate, on murrait heiater encla retrouvant dans les eortis di decin a freconvalue 'origina que te philosophe athoniel euinous lecyeux Mais Platon est explicite: Sest biendam Hippocrate qu'il a tu que la bonne method mur eludierae corps est d'etudiera' ---le des choses; ori'est a si dans uirerit considero par 'antiquite eorum appariunanta Hippocrate, que nous retrouvons une pensi identique.
Il est possibie 'ari ter quelque remaeque qui completent 'intelligenes des apporis 'acie Iivre de Aneianae me eine ave les doeteines de eo temps Platon dit dans te Sophiste: fons qui dites que te smin et te haud, Oideux agent se labies, constituent Tuniversallia des ch es..., Bans Rippocrate onclit: Teux qui prenneu mur hypotheso, e chaud lari id rhumide ou te see, o inut auis agent, attribuenta cause des mal is dies et dea mort a unisu deux de ces agenta comme Lune cause premiere et toriour Ia meme , ela'insisterat pas surda similitude des expressions, quoiqu'il sui postidie quε
Platon laceat evires dans uiliis quILavait enim les maius; te ne m'auaesierat paca
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d'autres locutions identiques; mais te serat remarque que la polεmique instituis par Hippocrate contre les sophistes et Iecm,lecins est bien visitablement relative aux question quis'agitaient de so temps It combat, O vient de te voir, quelque minis de philosophie γε Platon sat combattreis Socrate dans te Sophiste Be plus il attaque 'application dans lamedecine, des doctrines de recolei'Elee et plus particulierement de Zenon, qui supposaitque toutes choses latent constituem par te chaud le DOid te se et rhumide Le dialogue loSophiste a quelque analogies ave te traitsi de Aneienne mἡdeeine; et e suis porta Ieroire qu'ssippocrate Degie Ici mica contribution par Platon. Banice traiiε, Hippocrate ditisu'il aut explique aux gens ignorant en sidecine tesmaiadies qu'il εprouvent, et qu'ο s'Marte decla rhallia quandis ne mitias se stire comprendrei'eux Cette idε est certainement singuliere. Mais Platon, en plusleurs endrotis deses ouvrages, dicta meme chose uae medecin s'enquδrant upres dimalade et de ses amis, apprenid patient certain desalis, et linstruit surra maladie autant que cela est possi, ble. Illae tui saltine prescription qu'apresa,vοi persuade Μ Αilleurs, i represente lemωecimeonversant ave son malade, aιιant dana secessieations usquacia philosophie. reprenantua maladie vis son origine, et deseιορ an touιeua nature du eorps On volt quee quo te livre de Aneienne medeeine expose lauchant te appori des m&lecin et desmaiades, a son fondement dans des usages sitablis, qui Ont olymentionnesia Platon. L eomparaiso donide viens det foumetire les elementia lecteur prouue ce me semble, que Platon avait en ue te passage pris dans te traiisi de raneienne medeeine et lautine traiiolui sime, torsqu'il citat Hippocrate dans te Phedre B en resulte que ce livre estin des plus authentique que nous poss&lions la citation de Platonitant apporine a m veritable place illae reste plus aucun dout fur uniscrit que te discipi de Socrate a tenu dans sesmains, a tu et a love Platoni, pu en celini se tromper, ni tre trompe. Gmne cremarque que rauisu ducimite de raneienne medeeineci'appuyait dans lautoson argumentation, fur ne doctrine qui admetini des humeurs multiples dans te eorps humain, tellesque 'amer te doux, 'acide, te salsi, 'astringent, et que cette doctrine linit elle d'Alcmeon, philosophe pythagoriete qui a fleuri a molns 70 an avant Hippocrate. Alcmhon, dit Plutisque attribue la conservatio de la sante a melange gal des quallias, ritumide, te chaud te secole DOid, 'amer, te doux, etc. la maladie aria domi nation d'une 'entre viles carrit pense que a preponderance exclusive de rune d'elles, Mruit la sante, , La doctrine et les mola d Alcmeon se retrouvent dans le trestet de raneiensis medeeine chst auriuste mesange de ces qualites que I'auteu de ce trait attribue laconservation decla sania; c'est dans la predominance de line qu'i place la cause des mala- dies hi se fert, comme Alcmeon, du mot Bunamies ourrae denominer. Gruner, qui regatae te traiisi de raneienne medeeine commeis'apparienantias a Bippocrate et commolui Mant tres posterieur volt, dans cet emprunt de doctrine et de langage, laica unisuleuraussi ancien'u'Alcmeon,in moeniri par te pseudo-Hippocrateiour se donnerin vernisd'antiquitsi Mais il linit bien plus naturet de croire qu'un crivat qui empruntai ainst auphilosophe pythagoricien sancte nommer, linit lui-memessor ancien et qu Hippocrate s. torisait 'Alcmeon comme Platon syautorisai d'flippocrate Iunmeme Au reste en dimontrant que Platon mali connite traiia de raneienne mEderine, 'a expliqu&la consormiis qui se imuve entre ce traiis et declivres antis leum, et jequi Misendu in placo entre M mεon et Platon. 4e viens, par de temoimages extrinseques, a milieidesquela domino celui de Platon, do dessendreci'authenticii ducllure de Paneienne medeeine; mais e livre ne donias tris considere isolement illaut maintenant 1'examine duioint de ue direste decla collection; ear, si commerie te emis, lactemoimage que 'at Munis soni asse puissant mur d6cidorla question d'authenticite .ce livre doli, a sonetour, porter des caracteres intrinseques qui lemetient en aceor avecχ'autres livres que 'antiquite a regardes comine εtant verit lementd'Hippocrate.
de ne parierat ita vi de la doctrine decla coetion, ni do esse des erises, ni de celle dea
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jonrs eritiques, doctrines dout rauisu duratur de Aneienne mέdeeine lait Ia base de laseience et qui sonosondamentales dans tout te sysiame 'Hippocrate elles Ont in prosess sdepuis lui par ses discipies Mais j'insisterat fur des connexions plus εtroites. At Lil est dit
dans te livre de raneienne medeeineo me gens qui on l'habitude de laire, te malin unn repas que leur sante exige, iennenbiis Dometue ce repas, iis sontiris rasis que l'heure est pasiae, d'unedsibilite genhrate; lecyeu jaunissent; l'urine devient δpaisse et chaude; la Duche amere; tiraulementa dans Iecentrailles, vertiges mauuais humeur, inhabitetsi auaravati; et avertout cela, quan iis essalent de mange a l'heure du secon repas, tes meis leu paruissent molns agesistes, iis ne peuvent acheve ce qui salsai auparavanti, Ieur secon repas quan iis avalent pris te premier; les alimenta, descendant avec des tranehres et des amouillamenta, echaugentae ventre et te sommeu de Ialauit est Mniblo et plein de rδves agitta et satigandi η aintenant onuit dans te traite du Regime des maladies atquesci Ceux qui onLI'habitudo de salae deo repas dans lariourniae, s'il ne lantias celui du matin, soni sathles disiles et --οuspourisu travail. Iis Ouffront de restomac iis eprouvent des tiraillements d'en trailles; l'urine devient chaude et lanche; Ie ventre se resserre cheg quelques-uns meme la Muche devieni amhre Iesbeux deviennent creux les tempestatiunt, et Ies extrε-ias se refroidissent Lailupari de ceux qui ont Omis leur repas habituet duiatin, ne peuvent. sime mange leur repastu sola; et sIlsae prennent, iis sentent leur estomac chargε, et te sommeil est bien plus pεnible que s'iis avesent mange te malin. Tout dans ces deux passages, est se lable, 'exemple, 'observation, Ies expressions et les Iωῆres disserences qu'on remarque dans les mota prouuent que c'est non pasin homine qui en copi v autre messis auteu qui reprodest, ave laute liberisi de intaction uno pense qui tui appartient. la fuit de eo moremu l,visu du traiia d Regime danacie maladies atques, ditru e telles incommodites furviennent che les gens bie portant mur uichangementis regime qui 'embrasse qu'une demiriournee n e mAme ondit dans raneienne mἐdeeine: Lichangement de r*ime, pour ne seviedourmis, pas meme entiἡre, produit de graves
ce soni la des habitudes de raisonne et de s'exprimer, donta eonformissi est si Dappante,
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'Φvidemment 'est te mine homine qui a crit les traites de raneiennes deeine et dumpima dea maladies atques. II est dit dans is livre de Aneienne mMeetne que les constitutions te plus salbies sonteelles qui se essententae plus de leues caris de rigime queri faible est celui qui se amproche te plus dimalade, et que te malade est eneor plus laible. uis''auten aioute quII est disseile, l'ari ne possedant pas uno exactitudo correspondante, 'atteindre inuiourcio plus haut degre de precision et que cependant, beaucou de cas donici sera paril, norielamentite molns que ce degrsi Ces molao donni aera parιφ, e les avais Iaissis lon temps mmmmune indication incertaine de quelque travati γ'ilinini impossibie de retrouverdans Ia collection hippocratique; mais ariones'huiue ne doute plus qu'iis ne se apportentaurirest du Dima dea masadies atques. Il est, dans e traiia, une phrase qui correspondtou, lai Lee qui est annones dans rAneienne mεdeeine la voici: de ne volsias que las, m&lecim mehent comment ii diu distinguer, dans Ies maladies, Iariathlesse qui provient, decla vacuita des vaisseaux celle qui est caussie par quelque auis irritation cella qui est, te resullat de I soinraneo et de ramite du mal , Cetoint de doetrine est, de ceux mi on occup particulierementa'auisu du tralia dumesim danaues maladias atques, et ilsorme a si IIdie principale dilivre de Paneiennes deeine I semit tro long 'exposeriei tons Ies apporta qui rattachenta'unda'autre ces deux ouvrages de me contenteres done, apessae passages eorrespondant quod'armis inus Iecyeux dilecteur, de dire que ces deuxtralias ne concordentias molas dans ridε Mnεrale qui tes a inspires, que dans res desalis de composition et de rεdaction, et qu'il appartiennent. 1'un et I'autre, a la meme philosophiem eate; de telle sorte que Ieature du Regime dansura maladies atquea est veritablementune application dea grande peniae qui domine toti te livre deaflneienne mEdeeine, et qui est que, mur devenis savant dans la science decla vis, ii importe, non pasi eludier I corpse sol et d'apris une hypothise tello quelle, mais de rechorcher ous les rapporis qu'ilis aveclas ehoses qui renisurent. Il est important de satre remarque ici a quelles concordances la critique arrive, et pareon quent, quelle sumia esse obuent. Β'une pari, en examinant on sol lemure de rAMimne medeeine,cio te rappmehe 'un passage de Platon Ourae philosophe inuoqueri'autorith et Iemmd'Hippoerato et os rapprochement me d&ide Deroire quo Platonis sal allusion a cellure mεme opinio qui ne re se que sume temoignage et qui est independante de inustes rapporis que ce traiin Mut aves ave certains Ouvrages decla collectio hippocratique. B'une mire part je Misole de ce temoignage, et je cherche, par vole de comparaison, quelle opinion oni reait se forme de rauthenticite durarere de raneione medeeine, si la mention satis par Platoni'existaitias, et si roin'avait, pou -oudre eeite question, que re meides analogies que ce line aures avecaecautres livres d'llippocrate or il se uouve quele traiis de Aneienne viderine a Mimites connexion avoci traite doni Pantiquito a admis rauthenticlia Be sorte que deux modes delasitermination, aussi independanis ruidorauis que lectistoignages extrinseques et les rapporta intrinseques, aboutissent au momertiuitat et donnent la mome solution. Ainsi, Qui consideri, e emis ne pas me servis lane expression qui dis se te invitat tenu et qui en e ore la valeur, en disant queri'ai, dans Gue discussion, disnontes que latralia de Paneienne vi eis est d'Rippocrate. Pnommio scinno nage dicitis assure l'authentieit de eo trait4 ΗΦrophile ra eo- menti et eritiqu4 en quaeque minis Une telle autoriis ne peu laisse aucun douis me laserit te origino si Pronostis A resis, 'antiquit inut entiare et les eritique moderneson εω σae in murilaee ce lium amran des lagitime productions dictes de romis do cos. Amon sum B Uest pasiemin de diro que laute antiquissi a reconnu e livre mmmo authentique; et, dans eo motχ'antiquito, te comprend non seulament Palladius, Galien et grotien, mala les premiore eommentateum. Glaucias et Baechius. D eollection des Ay-risme remonis done Dune voque qui metae les plus anciens eritique decla lit auro
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I nom,'nippocrateo est citsi et u aphorisme combaltu, est d, ord ave uni suo molns explicite de Galien Celvi-ci en commentant Paphorisme en question, ouinci Lo, eontraire est fouten par Biocles et para'auteue ducitur de Semaines Ces erivians pensent que les maladies sont aggraveos a les circonstances semblabies amoindries par, es circonstanees contraires, d'autant plus quBippocrate a dictui-meme que les contraires
seguerissent par te contraires. Ita pensent que is fidire ardente qui nas dana Phiser est psua faeis a queri que eeιι qui nai dans Peιε η Le traiiades Semainea doni j'aimhumjune vieille traductio latine, et donti stagnient est inselae dans te livre pinenduhippocratique des Dura eritiques p. 888, M. Frob. . cetio phrase: Iesigne te plus impo
. tant de usirison est que laievre ardente, ainst que les autres maladies, ne Mitias Gntron a nature rae secon , 'est questa salson eli meme concourre a combatis la maladio , car, en gεnεral, la constitution de rhonune ne surmonio pas latuissane dea'ensemias, des choses.
L'aphorismoe question, qui est te 88 de tam section est ainst con Bans es, . Iadies le dange est molns grandiour ceucchea qui la maladie ades consormites aveo la nature dia corps avectige, avecta constitution, avec lasaison, que our ceu cher qui la maladiei'a aucune conformit de cegenre η Bancla proposition 'Hippocrate, tin'ostpas question de fiἡvre ardente mai Galien nous apprend que dans te trait des Semainea, rexemple de lassiisre ardente init eite; Iemoreeau querie rapporte de ce treste montre quo Galienis fidiaement rapporta te sens de autev d livre des Semaines; et, sol ditenta sant alaphorisme Bippocrate fert alien comprendre u mot deceature des Semaines on ureait douter duciens prsicis qu'il laudrait donne au mot phusis lis offit est dit que te signo Ie plus important est que laievre ardente ne sottias contre la nature; malila significatione est deserminee par 'aphorisme, o phusia signisie clatrement nature du corps. B'unautre coth Galien non apprend encore que iocles, en visant te contraire doraphorisme en question , avait aussi rapporte 'exemple de is sievre ardente gesti quisnreuouve en esset dans la citatum d'gliennes et meme ii estividentia cetis citation quo , Israque Galien a dii quod'auisu ducllure des Seminea et Diocles pensatent que laraeum ardente se guerissest ieux dans Ilaive que dans trisi, ilis' eu pinent lia' pri que les expression de Bineses ear il est question dea'hi ver et de εω , non dans Io livre des S maines , mala dans te passage si medecin de Caryste. Beria Multe laureuve que les Aphorismecontrat publisis antiri eurement a loeus. Cela Mabli, inutioris Deroire quais Outrate crita par Rippoerate, et qu'il ne soni pa unerarait de se aeuures saltiarum tre, comme quelque modernes I'on penis. Les Aphorismea ut εω divissi, par alien et probabismen long-temps avant Iut ensept sections par Rusus en quatre, et par Soranus en uois Mauro ces eou resdissere es, rotare des proposition aphoristiques,'en alas molns inuio fraterae meme, ainst que iolla sat voi dans Io etapitre consaersi h l. rie des commentateum cependant, e lium, que 'antiquit a tantistimε n' in ectapD a des alterations au molns dans la rida tion et la disposition istinations qui remontent jumu' repoque des premiera eorumenta- taure, tela que Bacchius Galien en cite umbonio re.
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Minultihme sectioique pr&entent quelque manuscriis et quesque imprimει, est une addition recente Ces pretendus aphorismes soni des fragmenis ducitur de Semaines cie Ie prouuerat en partant de ce traite. ΕpIBEMIE I et III. Les Gi mies onde sali soni compostes de sepi livres cetis disposition remonte de Ilai sal voi dans te chapitre i jus tu'au temps de Bacchius et rexemplaire uouvε , comme te dit Apollonius Biblas, dans la bibliothδque royale,'Alexandrie, lecavait laus les sep dans te intine ordre Dipeutri'autant plus furement pense que cetis divisionen sep tivres et l'otare dans tequel ces Ilures se svivent, sonide lait de la publicatio primitive , que les critiques anciens se sont eleves contre uniarei arrangement, sans jamala pendant signater te momentisv il se seres lait, 'it 'etait saltis serieurementis lair mlare publication. En esset, alien, apportant les opinion diverses surrae auteum dessep tivres , di que presque laus conviennent que te premieret te troistiane sontra grandRippocrate Les biblioth, aires d'Alexandri en avalent e la me idω, et iis valent inscritae premier et te troisiam fous leuitre de Ilures decla petite lable on volt par es delatis qu'en siunissant te premier et te troisthme, si je contredis rarrangement dipublic leur primitis des aeuises hippocratiques, e me consorme ad'opinio de invisa'antiquiti, qui a torioum admis que te troisium I vre est la suile du premier. II est mδme probabie quo de manuscrit leton pr&entes dans cecordee: en esset demere a deja ait remisquerque tela IId de la bibliothtitue myale a , acla fuit du premier livre les premiere motadu troisitine. Le contexte de res deux Ilures est si semblabies, qu'il est impossiste, en tesiisant, de ne paceire persuad4'u'iis sontua fuit l'un de l'autre. Cest don te consentemen des critique dera'antiquit qui,' dite intra'un collis admetire que ces deuclivres proviennent 'Hippocrate lui eme 'un auire cote a les separe des cin qui portent te meme titres, et his latre unisuvrage a pari. Mais il laut Outer que les temoignages en saveu deri,uthenticite de ces livres ne vont pas a dela de Bacchius et des bibliothecaires d'Alexandrie dansi intervalle des temps anterieuri, aucunemention n'est salie ni de I'unisi dea'autre Cependant e crois que 'antiquit ne s'est pastromyee, et qu'ο peu Ies compter parmi te plus authentiques. En esset, litiennent par lectiens Ies plus troiis . au plus essentielles parties de la-δdecine dBippocrate, et, 'il est mi ce qui ne eul pas etrerεvo tu en doute , querae Pronosιie estis eliet de recole de Coc te premier et te imisiἡme Iivre des pidem te ne peuventias ne pastui apparinni ; carci'histoire particuliere des maladeso est exposee 'apres la doctrine quieonstituerae Pronoatis. Ces iures n'ontias chapp aux alterations qui on Dappytant 'autres traitis de laeo etiο hippocratique, et qui soni inutes 'at sol de te rema uer a chaque lais te ait de la publieation primitive viae ne stis, dit Gauen. quel matheu est arriv a es, livre te misi-H, comme a plusteum auum dBippocrate. Oud'on remarque tantot des dirangemenis dans leur ordre, tanto des addition 1 e qu4 avait IuLmsime crit. Cesi a propos de Caraetises donii'ai deja parte , que Galien ses cetis observation, et u ouinci aes caracteres on san Ouin εω inscrit par quel lu'un qui, our so instrue- tion, a rεsumydea sorte les resultat de chaque histoire , Ces caractores existaient dans I'exemplaire primitis que possidat la bibliothἡque royalei'Alexandries iis auroni in enesset, inscrtis, comme te pense Galien, par quelqu'un desinthves ou des descendant d'Rippocrate mur son instruetion. sne aureo altisation plus considεrable iitsi signalae par Bioscoride, et reconnue commoreesse par Gallem; est te dεplaeement d'un asse long passage qui, dans inus Ies anciens manuscriis, linit plata a lain dura nure, et que Bioseoride, mi manta'histoire des selaodernier malades malien adopte ceti transposition laut en pensant que te morem enquestion n'est pas 'Hippocrate , mali εω πιοut par quelqu'autre. Bua GINE DAn LM HALABIM AIcura. - Εxaminons 'abor les thmoignages relatis Lee ivre Galien te regatae eorum etant d'flippoerate, excepte I si donicit dit e qui fuit r. a declivre durauime, bo nombre de m&lecins Ont Mupςonne, non sans minis, quo
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, et 1'exactitude des preceptes soni de beaucou inserieures a resten cependant rauires on et determine a attribue ce passage a Rippocrate lui-niel me attendique tanto la pensemen est consorme a sa doctrine, de sorte qu'on murrai cmire qu'il est l'ceuvre do, quel lu'un de ses disciples, et tanto la redactio et Ia pense' soni tellement irreprocha, bles qu'elles se lent venird'Hippocrate, qui se preparat a composer u livre ou common ita' promis dans te courant de cet ouvrage meme it parterestra traiiemen de chaquo maladie en particulier Mais sividemment e morcea contient des phrases qui ne sont pas dignes''Hippocrate, et ii saut croire qu'elles on site outees ara fies, comme cela est arrivsilourdes Aphoriamea car Iececriis dimedecin de Cos tant dans la memoire de beaucou dhommes , ceu qui ontriti des additioni, les Ont saltes a lamn , spolienregarde ce livre comme4tant duippocrate, et ii ne sest aucune distinction Athenee assumque plusteum en regardaten ta molti comme illegitime, et quelques-uns meme te tout. Bacchius en avait explique des mota dans son lexique par consequent, des lor , e traiieotali considere comme hippocratique mais, peu remonter encore plus haut En esset, Gallem, pariant de la parti qu'i regarde comme illegitime, dit: si Silae morceavi'est pas
des maladies atques, 'est comment Galien enteiid qu'srasistrate en a ait Ia critique do ais metu sous Iesbeu duraeeteu les passages a ce relatis , asin qu'it puisse controierlui eme les consεquences que 'en ire: Les sectateum d'grasistrate accusent Hippocrate de stire mouri ses malades d'inanition; carie qaegrasistrate di dans son premier livre des Fidires contre Apollonius et Berippe, discipies dimedecin de Cos, ait remonte jusqu' Hippocrate tui sim Ie reprochon 'une ssivisite excessive dans la diete. Erasistrate, dans sonoratae surdes thres , altaque ippocrate ave malveillance η accusant, I est,rai, se discipies Apollonius et exippe, qu i di avoi sal labriquer des vases dea contenance de la sicem parti d'une Otyle , et dela'en avoi accorde qu'unisu deu au malades Pour consondrecia malveillance qui cite Apollonius etu exippe sans avol umecrit d'eux Dinonire , et qui n'ecoute pas ippocrate lui-meme, it sussit de citer quelque phrases duaraite dumegime dans les muladies atques is aefixiemei'une cotyle est ume3aιhe, kuaιhos , et represente ,045 ducllire Vob ea eige , Metrologie, ages.). Bans Ia pharmacie , ne cuillere a Mucii representant ne demi-once de liquide Ga statem parti d'une cotyle equivaudra ala peti molns de trois cuil- Iersiesin. La derniere portio de e traii estisne composition ancienne car, des le tempsis 'grasistrate elle etait 4uni a la premiere, qui est authentique o ne evi dono conceves commentarasi strate, αε se moquer 'Apollonius et de Berippe, et deleum vases de cires T. V. p. 80). Ces passages seresent sans douterior claire, si nous avions fous les eu ceu du iuro rhasistrate auxqueis iis son allusion Mais , Ies oeuvres, medecin 'Alexandri etant Perdum iis deviennent tres obscurs ea iis sont mur nous ce qu'est une conversationdontis Ueniendisu'un des interlocula D, rauis Mant hors de la poriae de nouo
qui remorides citations pre Mentes, 'est que Galien accusant grasistrate d'avolanitin reproche injustera Hippocrate, ne rapporte les reproches que comm adressta a Apollonius et a Bexippe. Si grasistrate n'avait parisi que de ces deu medetans, comment Galien se feraiicli imagine que es deis norus,'etaient qu'un Ouvert ous equesI'illustre medeein d'Alexandrie dirigeat se attaque contre Hippocrates Et non seulement Galien aves Mite opinion, mais esse etait partage par les erasistrassiens et par ceux quidisaient γ'llippocrate salinit mouris se malades de sata. viderumental navait, dans le
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traiia surtes Flores, quesque chos de plus que la montion dApollonius et de Berippe. Hippocrate ra due edesignε nominativement, ainst queletraite dumisime naues maladies atques Volci comment e concolique cette designation, linit exprimee grasistrate, passantenrevue les msidecin qui, dans te sevres, valent consessi las regimes lea plus oppossis, depuis ceux qui condamnatent leur malades Lune abstinence complete, jusquἘPetronus, qui ius orgeat de vi et de viande, a si dires, en pariant 'Apollonius et de Boippe inu'iis talentae discipies d'ssippocrate et imbus des preeeptes contenus dans letraite dumegime dans se maladies atques cilla rioute quila sessalent mouri leurs maladesd'inanition , et s'est moqusi des petites mesuresqu'iis avalent imaginem , et qu'ila preseri-xalent si parcimonteusement dans las assections ebriles Cest insi que alien a pu direqu'Erasistrate, tout en attaquant Apollonius et Dexippe Mait Mellement altaque Hippocrate Iut vine, et Iearaite dumegit ne danaues maladies atquea Cest alnia que les eis istrat Monti accuser te medeein de Cos de tourmenter ses malades par uno abstinenc tro dure. Ave cetis explication , out devient clair grasistrate dεnigre Hippocrate , mais illae sest de reproche directisu' Apollonius et a Boippe ilis' aucun ure de ces medecin amontrer, et cependant ii tes represente commedes discipies sideles de leur mattre, et ridiaeulis leur pratique Α lieu desciter Hippocrate tui .me, it les cito, et ita Galien riovisqu'il sussit, ourrae consondre . de recouri auaraitsi memet'Hippocrate ce qui n'aurait aucu sens , si e traiisi et Hippocrateis'etaientia compris, d'une lacon ou 'autre, dans Ia censum dirigsie contre les deux discipies. Plus lolii it remarque queri sin apocryphosvivant tui, id livreta Regime danaies maladies atque , init, duoemps,'Erasistrate, joint acla partie authentique, et apres celte remarque it 'ecrie: On ne eu concepοirravdae dioerasiaιrate qui se nioque despetites meaures 'Aροιιonius e de Beaeippe. Quello Ilaison fa-υil entre ces deux phrases a mollis qu'on ne suppose , comm j l'ai ait plus haut u passage d'grasistrate ou i etai di que es deux medeeius obsorvalent Iecmaxime duaraite du)-ime dana te malauies atques. lors Galienis aison 'accuser de mauuais sol grasistrate , qui s'obstinaita salae remonte a Rippocrate la responsabilita dola pratique de deux discipies , et ne uoulait pas discuter te texie meme du med in de Cos. Quoi qu'il e sotta Megar , i demoure constate que non seulement e traitea inconnu comme hippocratique par Bacchius . ais encore qu'inexistat a Alexandri des letemps d'trasistrate , et quem mindecin 1'avait critique,'une laconisu d'autre Les Minoia Mages antelaieum manquent, I est,rai mais ceci admis, assons plus loin. 'autev dece traiieς ne combaNilias es medecins nidiens qui donnenti nom de maladie a chaque symptome ' i'auteu du Pronosιie ne declar t-ilias sormellement4'absteni d enumerer desnomide maladie, disant que les signes generanx de pronostic sumisent a sonauta,'es copas une potesnique cache contre les Cnidiensa et les deu livresi'appartiennent-us pacata meme pense et ad meme mainais' Nil pas, comme jeri'ai remarque a sujet utraite deaAneienne medeeine, des consormites Dappantes enire ceraure et celati Regime naues maladies atques Iout cela ne form bilias u corps de doctrine, utense te ociles choses se tiennent, et qui s'appuyant, par te livre de Aneienne medeeine, sur Platon, acquieri, de la sorte Ia plus incontestable authenticite' quanta la partimque alien juge apocryphe, i sau aussi i considerer, sinon commistine , d molns comme des notes non redigem Banctous Iesias, ces deux portious, unies ensemble depulsine si haute antiqvite, ne peuvent pas is separees et je les publierat eommeinde uouve dans inutes Ieciditions. B AEIR , Mawx ET DE LIEux Ayant montia par tant de temoignages cone tantaque les Aphorismea, te Pronosties, et te 2 et Iea livre des Epide ea soni des livreavraiment hippocratique .cihi tabli unioint de depist fixe u torme de comparesso qui nous donnera plus de certitude Ia ou es re eignementa serent plus vagum is traiia desaira, dea Eauae et des Lisu est dans emeas; tonterantiquite te mconnati mur authentiqum salien et grotien 'amrment; et eomme Eptelas, abriviaisur de Baechius, en ex quis inmot, eiure a sit eonnu a si des plus ancien eritique,d'Alexandrie mica eo termo