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, agi ment mal je Ues jamaismen administra sans avola pris arde a ne pascivi nuire, dans te eas offla prescription man emit sonivi quesque videcins se labies Leeux, qui laneent les dia, preserivent des traiiemenis qui, cus houent, soni tres funestes auxis malades ceu qui commencenta Mude dea m6deeine croirent, 'en suis certain comme, hi eruciadis, quo e conseit,atre utiis ou du mina ne pas nutre est indigne 'Hippo erate; maicies praticiens, tela'en suis Pas molns suae, en comprendroni laute la portle, et, si amessit lene arrive de iure dimal a leum malades para'administration intempes, live de quesque remine actis, ce sera surisu Mors qu'Ac neeuron te sens et la gravise dea'avertissement qu'Hippocrate leur a log . - eho dea'oecie de cos appelle inuemment a I mcinoire des Meel cles devotraquIlion a romptir, et les rules d'aitention de scin de prudenemque leur impose leue profession 1 l'ruar des malades Ilis eoinplesement exposymn sentiment suscet importantis et emeeseu de mota Uari molimia imis termes resa malassio, te malade et te mldeein. M -leela est te servitis de rari et, ave te mldeein, Ie malade dest eo attre la, malassis , Ailleum ii dii: Ia premiure considiuration a aves dans laute I msideeine, est, de misi la maladie. Ce sentiment est naturet dans uihomme qui almeis prosemion, qui in sent Ia valeur, et par eon quent les Obligations et la responsabilitε morales. L'amoue a professioni cale est manis in par Rippocrate en ne laute de passages Le motdonta se sertiour Migne Iairofession est rari Tout ce qui murrai la comprometue ouon diminuerae σεdit danil'opinion dipublie, te Nesse; ibiles yeuceonstamment fixis sureo piant, et si is signate aveo laree a se eonfr/res. Quandam moleein de cetis lpoquo reculae se contredimient dans leues prescriptions et leum conseiis, ippocrate leur di γ'ilsdsierirent is profession a piant de stire mire qui Una pas de mestreine, et quo de lasorte iis esse lent aux devin doni chacu interprese en sens contraire te vol, Ddmite ova gauche, decesseaux; et, en cherinant a Mabii fur de solides sondementaria doctrine duris me dans es masadies atques, it a mur but de privenis, suae uniolat essenties, dea divergences contraires a rhonneu dea'arc dicat. Une des aisons mur tesqueves ii ree-- mande auc decins de se familiariser aveo ritude des signes prognostiques, Cest que parta iis caeqnerroni auantam a consane d malade, et letalcidemn h se remetire intro Mure mains. Αussi Galien emisit la rema uer u Hippocrate ' cupe non eulement des malades, maiie ore dimed in a 'u'il scit toriour irreprehensibi dans latratique a de so ari, et qu'u obuenne considωation et res e sam recommandations de ce genre qui se trouvent frequeminent rimiles dans les aeuures dmippocrate, soni teIIement d'aeeordavec te Serment, qu'elles lamentis nouve argument en saveur de I'authenticita desesiis Piδω. Le meme esprito respire; te meme sentimento domine; et, si Iesiaisonnementa quei'ai appori plus haut murmire admetire la truitimit du Serment, 'ontias ovis Iarigum qu'om ut disirer, iis acquiδrent, ce me semble, beau u de larce quandis a , -- lecyeux, Muni en uiseul salaceau inutimque Hire rate a disssimini dans se ouis se surdes devotrides moletans et surda consideration qu'u leur imporis, en pratiquant eis devolas, dyature a leur profession. Celse a vania la probita scientisique 'mpmerato, dans une phrase brillante qui est gravis dans tous Iecsouvenire Ie ne mlautoriserat pas de ce temoignage; carde lait que Celse inv que est dans lem livre des GidEmies; et cetur sorme uide ces recueus de notes qu'onoe mutias attribue a Hippocrate avee quotque fureto. ais la liste mε me des observations qu'il nous a transmises dans le et Iea Ilures, prouue'u'ula' pas tenta caeher se revere, et a ne citer que se suceia; illa enregistia avec cande des matheum qui tui soni arrives;
I nombre des moris qu'il rapporto en ait lai Cest les me sentiment de probitε qui tui inspire la plus vive repugnanee murriout e qui sentcie harlatanisme Cette reprobation late dans une laute de passages Isi'en citeria qu'un parco'u'u deme e applicabie a lausis temps et Linus les Dys Hippocrate, apes Moi di quea'intorsit dimalade doli passeravant inuis is e. ajouinci . Quin il existe plurieursir ω4s il laut emptore colui qui
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don it fortati, mur aves des presentions plus hautes que cesses γ'Hippocrato Iui attrihue; et e m/deein avait resprit tro iudicieu mur' arde commmun uide suae lis viationphysiologique qui Meum in des philosophes de so temps, et mur sedete clausae inampride des hypothises. cesse a dii qumippoerate, te premier, separa limodeeine desta philosophie Llassortion derauisu latin misito uno reetification Co quede vis de dire de la tendanee essentiellementpratique et m&liealo qui se reviste dans lecteriuri'llippoerato, est 4ritablement eo me aux dires de Celse. Cependant, si diu rema uer quo levium dos Sentenera miniones satauinisu au intit in do Cos, et quo G livro biendoin de salae de laicit inerine Manehe
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de la philosophis, Haliachaica diviser, en Husteum es em chaque maladio fulvant uno methode'u'llippocratem approuue pM mais qui deviat eis iras oloigno des grand sysi mos de physiologio philosophique, temps. insicla me cine et Ia philosophie,'Maient
pas consondum par Euryphon. 'un auis eois Merate, un e plus leo quo te med inde Cos, Mait nouement separe la philosophie de la insidecine, qu'i regardait aure les mathematiques, comme inutile aran philosopho Bellus, dans aucu eerit d'llippoerate o notrouve ceti separation inprimis Ormenement et i saut admetire qu olle s'est salte sansessuri a uneramque ou los sciences naturelles se disag imite a peides antique phil sophis qui les malent inutes absorbem dans leu sein, et ou la philosophie elle--ine, paela voix de Merato, elaeo eri ait avo Hus de Musirita soni pro domine. Galien dicen pluiaeues endroit qu'Hippocrate est, dans la plupari do ses criis, 'uno excessive helevete. Cette remisque, our etro Vrate, doli sitre restreinto auctivres teliquolo traiia desinu euis, is imite de rAιimant, te traitsi de risisine du ed in et quelques autres qui ne sont, a vini dire, qu'un recussit de notes non redigoes Les vἡritablos oeriisd'llippocrate, eoux sura messis,ce dent lausum temo nages, par exempleae Pro alie, laci et lea ivro des Gidemies le traiin des Atro, des Eauae et des Lienae, n'on a te docetis ex Mive brievote don o a fatoque uescis uiattribuod'Rippoerate is developpo ment, au contraire. est ample et complet. Certains eritique blamarunt Hippocrate Savoi soro des mola dissiciles Leomprendrea Si, reponimum, ii etaicis seul ou te premier qui eut sat des mois, on tui repr hemit Peut ire ave mison eoue affectation mala les anciens aviasni rhabitudo de telles eos positions alasi qulando volt dans las auteum dea Comedio antique, dans Minoerite, pourn es philosophos, dans Thucydide et Meodois, pοuram historiens et dans presque inute lai sorte des vim terives . o quoi done reprende dans nippocrate eo qui est autoris4 dans laus Ius auires 'm'autant plus qu'il arat homerique dans siphrase, habile a com- se des mota, savant dans thri de rendre in pensee et de e lair les termes les plus eo η venablos parmi eon quo 'usage a consaeris. L'antiquite a Maueis admiro Io styles'Hippocrate Los grammatriens les plus distinguisoni commento se aeuuras, et las anmens eritiques Iu ont accord4 on te volt, qu'i possωait Mn inur et une phrase homeriques. Je ne eonis ira pas en et les anciens, qui ont inuio svoulu rattae r a Minoae eo qui eruit granditioin dans leur litterature mais 'riouieratquesque considieations qui me paruissent plus directoment applicabies au styled'Rippocrate. Pour muriu'on''occupo d'Mudes litteratres, on recon it combion lecterivatas d'une momefmque, quelque frieisqu3la traiiunt, portent unair de rememblance et de confraternit :fue ea non omaeibus una, me diversa inmen. I nous reste les erit Suides plus illustres conismporains 'llippoerate, ouda iust se de Mite observation me se te inuta sest veris . Thucydide a vem, Leerit ei me temps que te medeein domos plus j a mωul surdos in dori'un et de rautro, et chorini Dei nitrer las procodia I sorme et te sentiment, plus ausside me suis convalueuisu'il existat entre es 4erivain uno limite assinite qui dorivati de eotis lai, que les autoum d'un meme temps pulsent tuus a la muro commune dotem es,''expression et destyle, qui abreuve inuis une opoque Aussi es, a Thundidoqu'il saut eompare Rippoerate et de douccoth u langue grave, uistyle plein de neris,une phrase qui dit Maneoup, et unis e de is langue, qui Neique tria traxatilε, est cependant molns assoupli que dans Platon Hippocrate, quoique maintonu dans une exposition medicat parietis rectitude dimat re qui ne manque jamais 'approprie les mois auxis es, mi donne si ines et de lichiaeue a se Mintures Ces morites de sine cellaeent dans une traduction; mala ceuca qui laclangue meque est familiere, se complairont a lin-dior eo antique et pur modele, sentirent commenta'Ionten, sottant et nvis dans ni dote, est devonu grave et preeis dans llippocrate, admisomni in phrase elatre bim que pressee, ornes Bion quo Musire, simple Ne quχlaganis, et se persuaderent par rexemple meme du peredes la meo ine queae langue deda scien a se regius et ses aulas qui meum aux aeuures linitientes le deruier trait de rexcellenee.
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Oma heaveo apierit fur Hippocrais isti murra encore Maumumterire Les compositions eapitales que 'antiquis nous a lεγεω, Ont cela de Graciaristique quea'linde ne cenisvis jamais, et queri scien . a chaque proges qu'elle sali, lecape Oit Fun nouueau in de me et musin autredour. Lectra ux de nos predωesseum suries Heux monument ne nous dispensentias de les examine Mur noue propre compte ear mur nous iLyada aussi une abondante Molis de satis, de pens , dIndications qui nou seron utiles uriteux comprendre note mldecine actuelle. I Mimporte de inumeraci eiquetques mota ce que j'ai disperse dans te murant de eetis Introduetion, et de rappeteririΦvementies principaux vaniuges que procure l'itude de vieux maitres dea'art. Bemander Leetissitude uiresultat immεdiat, pratique, palpabie, si impuls Mexprimer insi, comme eelui quae procure uitium moderne surael ou telioint dea selenee, ee semit lui demander laut aulaeeh e qum 'u'elle peu donner e serat en -onnatue la viritabis utiliti on noravit pas alter, lis apprende la Mecine; mala, quand On est muruid'une instruction sorte et solide, it sauc chercheri eompilanent qui grandisse resprit, affermisseae jugement et monue, dans la tradition decla science, te travati des intrations successives, leues erreum et leum succis leu laiblesse et leur laree ono pulse recon issane pou Ies efforis denos devanciem, assurance dans les efforis aetaeis; ear, Sest furtout alore quo ron sent quela science,'est iamias viis Duit spontan , ni la cristion d'une isoque ou dlan homine, messi herilage que nous avon resu et que nous transmeum . ux Goses suriunt sontis eo idore quan illa'agit de recommander ritnde des viso iures et des vleuctemps us fouenissent acla solides iniis et des doctrines di des saltim I queis 'ense nement semit incomplet, des doctrines sanctesquelles nous n. io 'u'unctuve lavsse dea culture de la science Mi est,rai que les malassies changent fulvant les eli--ls; si ees modifications Dappen de plus en plus les evriis par leue importanee pratiquo et doeirinale a mesure que la civilisation citen in tes minis las plus diversi globe, un'estias molas urat que les sitives pinentent ausia de grandes distrenoes dans leur physi nomi pathologique et quo certaines affections cenioni, tandis que de nouvenes arriventsu la stane duionde is cholara indien nous en adait satre a nou momes uno rude et Meente experience Hippocrate dans son large et inmiteu sysisne a compar les ages de lavi humatne avx salsons de ranule. Si j'omis rimiter, e comparerescies ages dea'hisistro de rhumantia aux elimat de la terre Lecuns comme les intres ori laure malassim propres, leu pathologi s tale or eo n'est que dans las auisura, viso iamians de ces Minomines passes qui ne dolvent peut ire plus se reprodiare, eo Κest que dans lectivres AEdhles d. silaires de ces antiques observations que te m&leein Mut les chercher, les indier et arri- vera con volain ense te do is pathologie doniae petit horigon qu'il embrasse ne tui do nerest qu'une sathlo idie. Si para lude te mldocin doli se stire eosmopolite, para inde udoit austi se stire eontemporain de inus les ages. La iliren eonnaissanee de mille iniis qui, sans cela, tui semient adamais inconnus; et eo οyage dans le temps nequi seri pas molasque ne tui serrimit unooyage a travere les eontinent et les mers. Volt, murrios satis; voletio da doctrines rhomine qui riMehit surdui- me et fur samnduite pasiae trouverun grandis eignement Mur a mnduite futuro, et dans eo quI nisi do bien et dans eo qu'il a dii de mal Be meme la mωoeine ne peu reveni sur sonpasia sansa recurilli desci on mur son avenis colui qui explorem avo des lumiores sussisantes rhistoire des inωries et docia pratique de nos pridiemseurs reneontrem des murem condes de savoir L'Mude dea'antiquissi ne doli lue ahordω'u'ave des eo ais-sances telles qu'omen proste M l'ordeo Iogique est de commenere non par 'uli Dido plus vieux, messia ce qu'uo a de plus iacent quan on cest Mnευε de la scienco eo temporaine, alor il est temps de seriouener vers la scieneo passω men ne sortis plus is jugement que cetis comparaison. 'impartialita dea'espritis, diveloppe 'incertitude legusium is, manifeste: l'autoriis des satis 'neonfirmo, et thid uise, dans renae in umenchainement philosophique qui est en soli deson. Eid'autres terines, on apprendinconnatue a comprendre a juger.
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nembre de Insilivi Aeadeini des inscription et Belles-Letires ei de la MeiMε 'histoire naturelle de ualle.