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remedeae pIus sum et te plus sivident, c'est de changeres genre de vie donicit usait, de luidonne duisain au lie de bl&, des viandes euites a lie de viandes erues, et du in aboire apria son repas Meesce changement ilest impossibi qu'i ne se Mabiisse pas,
qualites agit surde corps et te modisie de telleo telIe lason; et e'est delaque dipendiout lavie pendant Ia sania, pendant Ia eonvalescence et Ia maladie. Rien dono ne serat plus utile, plus necessalae a savoir Les premiere inVenisurs, qui sisent, dans leum recherches,d'une bonne mεthod et d'un juste aisonn ment, yantis approprie ces dis ences a lanature humatne penshrent qu'un te artis
est consacree. Εstimant que cela'est ni disec
en un motrae summum de chacune carciis virent et qu)elles existent dans l'homine et qu'elles nuisent a thomine Banile corps, en esset, se trouventes ames, te sala, te do Μ,l'acide, 'acerbe, I insipide, et mille auum doniles propri/tta varient ad'infini parda quantissiet parda sorce Ces choses molles ensemble et
elle devient visibi et cause de la douleur. Ile est de meme des aliment qui ne sontias propres a I'homine et donia'ingestion te rendmalade chacun 'euca ne qualit qui n'apas temp/rεe ou amδre, ou salsie, ou acide, ou laute auire qualit intempsi e et sorte; c'est Ourquo votre sant en est troubiis,aussi biemque par te qualitis qui s'isolent
dans notre corps Mais tes alimenta et les Mi sons habituelles videmment ne rensemeront pas de telles humeum intempsi es et excessi-ves; teis soni letaim, a pate 'Orge . et les autres substances de semblable nature, donion se oujour et te plus a ndaminent, et doni j'excepte les meis prsipatas et assaisonnespou nalter te palais e la sensualito ces alimenta salutatres, dontis pren te plus, ne Odvisent ni trouble ni dMunion des qualites cachhes dans l'economio mai ilair uisent vigueur, accroisseruent, nutrition, par aucune
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mis comment iis uesteronides malades en consormite avec leur principes Carrilsi'on pastrouγε, impense, quelque chose qui sol chavd. sevid, se ou humide, en sol, et sans melanged'aueune uire qualite et, san doute, iis contias heseu dispositio d'autres boissons et d'autres alimentique ceu dont nous usonS
re uri a quelqu'une des substances connues. 8'il arrive M'une substance haud sol ennittine temps acerbe, ne utre substanceehaude insipide, uno autre perturbatrice et ilra ne laute de substanees haudes qui ont mmumd autres qualissis opposeesin il laudra hien donne I substance haud qui est acerbe olla substance haud qui est insi-pide, o la substance Doide carcit en est detellos qui est acerbe, o la substanc Ooide qui est insipide Mais il est certainque rune et
surde cuir, surae bois, corps bien plus insensium casceis'estias te chaud qui ad plus grando puissane . mai Cest racerbe, 'esta insipide; ce sont oute les qualites que thionumerem dansa'homme et hors de rhomine, dans e qu'il mange et dans e qu'il boit, dansles substances ave lesquelles i se ait deshactions et dans cellas qu'ii tui arrive d'appli
dis sol plus brutant et plus εtousse que celui qui ne satorie de tout cela Volci un exemple encore plus rappant les gens qui marcham
ilatas, anuit, quandriis soni abriae et places dans uitieu chaud par rardevr et les d.man-gmison a quelles iis sontis prole Parioisil Ieu furvient de phlyctene commo cusavalent ite brutes par te sei et iis ne resse tent pasees douleum a vant de coire rechansses; tant est grande lauacilite ove laquelle lochaud et te mi se emplacent alternalix menti Iolourmis citer mille autres obsere tions semia les quant aux malades, n' Neepas che eeux qui sontiris dearisson que cablume lauievre la plus ardente' mais esse nhiasune grande larce, vile cesse ense de temps, et elle est innocente te plus ouvent; tantqu'elle dure, ello donne une chaleur gentrale, et, parcourant laut te corps, elle finit surtout
dans les piods, oiisse Disson et te smid ont eulo plus Sintensite et Ont persiste te plus long-temps Etan, quand apres la sue , Iaaevres'enia, te malade a pius smi que cili'avait pasis Iarahure Puis done que les deuceontraires se sue dent avec tant de rapidi et se neutralisent spontantinent, qu'en attendredo gran et de uissant, et qu'esbi hesoin de
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beau u de Memps eontro rumali aut 'fr o obieetera que dans les sioures a dentes, te inipneumontes et les autres mal dies graves, Icehaleur ne disparaitias promintement et que in Ierimi et te ebaudis'alte nent plus δ' erois justemen uouve la plus grande preuve que la sevreis'estias produite simplement paruo chaud, et qu'illa'estias lacause seule de la maladie; mais qu'ilo amnehaud amer, uichaud acide 4n chaud sale, et mille autres, pulsin Oid ave autant de qualites differentes se sontia les vrates causes dimal le chaud sans doute est present avecta force'u'il possede, dirigeant, activant, auxmentant la qualit joint a tui, mais it 'a aucune vertu plus grande que elle qui tui appartient.18. queles ehoses se comporient ainsi o'esto que prouuent les signes fulvans χ'abor ile est de tris vident doni nous avons erasait laus et ferens eneor rexpδrienco. Quando est asseetera'un eo a et qu'illas ait un-ulement par ea narines, Mite bumeur,
devenue beau up plus aere que oelis qui initisendu auparavant et quo te ne lauruitoliaque lour, lemit ense et excite uno ha-leur excessive et u sentimoni do brutum etsi ona porte fouvant la main et uerae fluxpersiste long-temps, Ia partie quoique sἡche
et ps ohamue, 'exeorie. I.'inflammation duneis, ise, non pactant que dure te catarrho
et quod phlegmaste existe, mai quand thu--ur devient plus prisse , moin acre, et quand parda molion, elle se mole davantagoau liquido primitit Hors seulement rinstam
mala inutis que te dis ire produit parassaepotes et les intemperias des humeum, renire dans Io ealmed'une meme maniore, Hesvadire par te melango et la molion. 1s. Autre exemple les fluxion qui se is tent fur lecyeux vant de aere 4s violentes et diverses, ulcerent les paupieres, ex rient, eheg quelque uns, lascione , te desso Horasu et inute les parile ou euecs'epanehent, percent mὁme et Oorrodentes membrans autour dea prunelle. Douleum, instammation chaleur extreme laut cela dure, usquaquand jusqu'au momentiu la fluxiois pess- sit par te ravati decla coction, et ou l'humeurqvi,'ἡcoulo devient chassieuse Avoi subi lacoction, 'est, our es humeum, avole situmεlangees temper sues unos par locautres. et uites ensemble quant avx fluxions surda gorge, qui produisent les enrouementa , Iesangines, te instammations las peripneumontes , tuuiesciettent d'abord des humeurs -- lem, aqueuses et acres, et 'est alore que emitia maladie; mais quandum humeurs cepai sissent parua coctio et perdent leur acressi. Mors se εsolvent los suures et Out e qui amigo te malade Carcit saut sans douis consi-dsirer, mmme cause de cliaque maladie, deschoses telles que cetio lason d'otro existe aveo leurpinence, et cesse avec leur transformationen unauis melange Bonc, si tout eo qui pro-
douleue et laievre. Et quand4I se deveIoppodos adidites aeres et 4rugineuses, quelles irritations furiisses, quellas douleum mordante dana les visceres et la potuine, quelles auges ses Ces accidentane prennent sin que orsquoles aeidit intinia pureos ea - , - - λει parcio reste La coction, te evangement ratianuation et r.esssissementauriu' lamqdhumeum 'operent de Husteum anthres differentes. Ausa les crisos et is calcul desioursint, en oeci, une grande puissance Certe
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qui bu en grande quantiti cietis rhomme
s mage pilisque je me suis dia servi de cetexemple ne nuitias Disu te mondo; il est
de gens qui euvent 'en assaster sancte moindre inconvεnient, et niεmerii sortisi medivellieusement ceuca qui it convient; il en est, a contraire, qui ne te digδrent que difficilement Les constitutions desin et de auum different done et ellas disserent en ceci asavoi queri'humeu qui, dans te corps, ne compati pas avecte Domage est Meillle et
mise en mouvement par cetis substance Lesnatures che lesquelles une parente humeures surabondante et predominante, dolvent naturellement fougri davantage de et aliment mai s'il init mallaisant Mures con titution humaine laut enuhre, illauiraic totistes hommes Bone connatue ces propriῆtes diverses, e semit invol se pr&erve desmaux'u'elles causent. 21. Bans les convalescences et dans Ies -- ladies qui durent long4emps, it furvient desperturbation issiquentes, les unes spontan ment, te austes par des choses sortuitementadministrem. Si leuour meme de ces pertu bations te hasard ueut qu'ilo ait eu quelque innovation, par exemple u Min, une Pr menade,in meis disserent, lovies choses qu'sivaut mielix avoi saties quei'aves pas saltes,
ne connaltra a comment chacune de ceschoses se comporte a 'ruar de 'homine. n'en connaitra ni les esset ni rusage conve-
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voi quelles malassim dirivent desinissances et des figures Quo eux4e dire parcia I'appelle puissances las proprietes extremes et Iessorees des humeum, j'appelle figures la conso
Me donnees hcla vessie a litote et a ruthrus. Et manifestemen ce sonides parties qui aspirent te plus, et elles soni toriour pleines d'unliquid qu'elles Ont attire, aes manes creuxet dεplota recturalent Meu que out auire Iechume kamuentes; mais iis ne murratentaturer aussi bien Les organes solides et arrondis,'attirent ni ne recolvent ea te liquide uIerest inui autour, san trouver de lieu qui Parreiat et Ie retini Les organes spongieux et laches, teis que la rate, letoumon et les ma- mel es, platas pres des liquides, te absorberatent, et ce soni furtout es parties qui se durciralent et se onstertient parci'amux deshumeum; a les humeur ne seresent pasdans la rate comme dans viviscere creux qui Iecrense erat dans sa capacissi mome et les
ovacuerat chaque οὐ Mais, oraque la rate aures absorti et reo dans son inteiste deliquide te vides, les spongiositta et les petits interstices se trouveratent remplis, et dei reuse et de molle qu'esse'isit elle deviendrait duro et dense casello,'est apte ni h la eo tion nida'simission des humeurs or, cela lui arrive a cause de s figure Tout ce qui est
cause queri'airis'engendre et tournote dans lemrps produit naturenement duaruit et des murmures dans Ies parties crevses et spacteu-ses, telles que te ventre et la potirine Car, Iorso'il ne te remptitias de maniere a dev nir immobile et qu'ila de respace pourchan-ger et se mouVoir il laut necessatrement queles mouvementa et te bruit se volent et s'en- tendent Parcia meme cause les organes quisoni charnus et mous, prouVent de stupeum et des obstructions comme ii arrive dans Iesamplexies quanda'air inteisleur rencontre surson passage unimane large et vient s'y heu ter et quan cetis partie, 'ayant naturess mentis asse de ore mur resister a Iavioleneo et Uen Muffri aucun dommage viasse de mollesse et de laxitsi ou cede albi et obet in choc est, a contraire, te dre, serrἡe pleine de su et de sang, commele sole, alors, a cause de s largeur et de sontissu seresi, esse risiste, tot deceder. 'air intἡrieur, 'augmentant et se sortifiant parda resistance, ait principalement effori contrei'obstacte. A cause de s mollesse et du sang
aussi est-il exposl aux douleursam plus algues et Iesplus intenses, avec suppurations et lautes sortes 'abcδs Ces mou venient se soni aussiressenti a diaphragme Vec larce, mess
24. quant aux qualites des humeum et arexamen des actions que chaeune d'elles mutexercer surrae corys, it en a dia eie parte.
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alns quo des amnites qu'elles Ont les unespoue es autres Sur quot de demandes si unsu doux se mltamorphose en ut auire, non pariun mesange accidentel mais pariun chan- gement spontani, que deviendra-Nilla'abord Sera-Nil ameri salsi, viseerhe, o acide 'Io penseriuri deviendra acide sone, de ovies qui se murrat administrer, te sue acide semit is plus mauisis dans la eas ou is suedoux serati, de inus, is plus convenabis. Ainsieelui qui, par secreehere es, murrat eo natim la nature des choses exterieures pou
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Ce traiia, pasamoin run long argument; ear il est destin a expose des observations et des theories qui, murintre antiques, n'en sontias molas rosiaes intelligibies et familiares
Quatre minis principaucon appella'attention d'llippocrater 1 B eherche queste est surde maintien de la sania et Ia production das malassies, ri suene dea'exposition des villas par rappor au solosi et aux venis, v I examine quelles sonides pro latea deceaux honnes ou mauusses.s It cessore de signate les maladies qui priHominent fulvant les Misons, e svivant les alternativos que chacune d'elles prouue. 4'Infin il compare inurope et l'Asie, et ii ratisine las ditironees physique et morales qui eissiparent les habitanis, anx digerinees du sol et du elimax. Tenes sonides quatre importantes questio 'u'Rippocrate traiis dans eo livm Nies sontposeis avre nettete Uecta par de veriως que ehaeune aeviles renserine, est quisse a grandstratis, mais, te dois te dire, esquissis seulomoni. Hippocrate se contento d'εnonee te resultat de ses observations illa'explique pas e-ment ces inultationi est istenus, ni par consequent, Uraide de mel moyens on murrantes serisser. Lorriu'il considere uno exposition par exempla rexposition au nord, it dit quoles maladies qui regnent ordinatrement dans une villa ainsi exposle sonides pleurtiles, oten generat les affections appelles algusis que is moindre cause sumtiour occasionne des suppurations au povmons que les ophthalmieso sontiares mais que cellas qu'ον ren-mntre sont shches, violentes, et produisent sonuent lamnis des yeux Lotan quo Ios indi- idus auinessous de tronis ansa soni suieta pendantilia, a de sortes εμstaris. Tollea soniles assertio χ'flippocrate, et te est mn mode σε oignement dans eo sine Arioues' ioni cedemit autrement et ron uoudrait qu uno statistique Mininis et prolonge. pendant plurieurs annεes , tabili su des satis partieuliere la virlia intrale'u'il renserinent. Neanmians, it saut remaeque que les id a consignem dans es traiia constituent unis se te digne de laute notre attention et queda doctrine qui rest dεvelappho est unde plus aucheritages queda selenee moderne ait recus de is sciene antique lassuence de rexposition et des venis surda production des malinies, insuevce do eauidout o sat usus, influence des salsons, enfin insuenee des climat surda eonformation physique et surdos dispositioncmorales des horum , Ees la unis omias 'aetions doni lataison est plia d'enseignementa celis tude a resu, inuis proportio gardis mesns de dMeiuppementa
parmides modernes qu esse Uen a viam locaneiens Le globe terrestre nous est Meuxeonnu, et bien plus accessiNe les situations ouae uouventae homines soni plus diversos; en ummot rexpelaimentation quant au'exposition quant a rusage de eaux, quant auisai--ns, quant aux climais, se sat surrane plus vasis chelle, mala elle se sal sans que nous an
prositions et Iearatia des Atra dea Eauae et de Lisuae, par nippocrate 'Omγω mur unhorizon hien limiti, devini ariourd'hni ore relati fur de plus grandes dimensisas, et do ner, par mnsinuent, des inultata plus variis et plus eoinpr4hensus. La doestino de influene des elimat fur is earactere les disposivons et les mssum des uples, doctrine netlement etahlie par dippoerate, a saltaurinne, et de grand espriis rontaceepiae sana restriction it sufficiei de nomme sontesquieu. Mais esse ne destias iner
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juriu' une complete abstraetio de lautes le autres circonstances. Sans doute, te elimat exerce ne action inergique surdes euples et Hippocrates euiemini'une observationaiientive et d'une philosophie prosonde pou reconnaitre que rhomme, ire inconstant, v riable et ce semble, indipendant par cela lane est neanmoin modissi pardes influenees Permanentes du sol deri'atmosphere et de la tempe, aiure car, a premier a es, et urainst dire a priori, que rapportarouver entre les lacultas de resprit et les conditions elima-tologiques AEn rappor existe cependant; et ilis et donni a rantique science de te satiar dans sa realite Mais i apparitent acla scienco moderne deae circonscrire dans de justes limites et l'hisinire s'est charge de cessoin Hippocrate di que c' tria nature du climat quiren tes urο ns plus belliqueu que les Asiatiques or il est arrivsi dans te mure dutemps que les Perses, si facilementisaincus par les Greus, ont et plus tar invincitiles murtes Romains que les Greecon et trouves laibles ara'heure de leur demdence, et que les Arabes Ont eu a leur Our Ia palme decla valeur guerriere. De tela exemples suaesentiour montremque la vertu militatre n'est attachre a aucun climat. Hippocrate lui-mδme apporte his doctrine une certaine restriction, quandri di que les institutions politiques modifient notablement te morat des peuples et ii riout que les nations astatiques foumises a despotisme . son molns belliqueuses que les nation eur Mennes Muvernees par leum propres lola.de sera ici la meme reinarque que j'ai satis plus haut Hest questa vertu militaire ne dependia plus des institutions politique qu'vile nodsi iid du elimat elle depend de la discipline et de la science de liguerre. Rippocrate a eruque la superiorit4 des Grees, en isti de uerre, tenti furtout a climat et aux institutions; it 'est irompe elle tenvit hisne mellieure discipline, et a plus de science Arioues'huinadine, it sussit de teterin mumd'cei fur e qui se passe autour de nous Our nous co vaincre declivisite de cetis observation des Russes, sans discipline et sans science militaire, furent vianeus et dispersis a Pulta a par ne mune de Sutilois disciplines et instruits iis uennent tete aux mellisures troupes de Europe; les Anglaiconi formε avec les Indo d'excellent soldais et ense d'ann4 ,''Mypte moderne a eumne sortionne armee onte volt te elimat et les institutions sontie de chos pou la valeur militiare la disciplino et la selence soni inut.
Ea pariant des Scythes et des Myptiens Hippocrate remaeque que les individus de cesdeux nations on respectivement entre eucia plus grande resse lance et ii attribue cetis .unilitude auxisset d'un elimat et d uiso qui ne presentent queseu d'accidenta. Ainsi, sui an tui, d'une pari testeuples different entre eux, parce qu'ila soni places en des compartimonis du globe distincta par 'aspeet, a configuratiqn et la tempeisature et d'autre part les individus dyun meme penple, qui xit dans une contes partout se lable Deli niuine, nisnt entre eucque des differene te considerabies; ces deux proposition appa Mennent uua -- doeteine anthropologique a fauoi que les hommes soni prolandement modisiis par tela 'v'iis habitent nippocrate se iniciei surdes races, doni les modernes sownt, dans ces derniere temps, Mupes exclusivement et ii rapporte laut aux inegalites deshabitations. 4ue mini de ue hippocratique merit une attention particuliere et M. G Moy-Minlinilaire, a raritele Bomeraleatisn Eneyeιopedie nouvelle, publie fous la direction de M. Lemux et Reynaud Paris i 888 a monire que les animaux domestique qui Parin nous, Presentalent entreeuctant de disse lances,'es devalent aux conditions diverses auxquelles la Olonia humatne os foumetinit, et que ces dissemblane 4'essacalent par te reto 44'etat Muvage, ainsiriu'onae volt parmi ius biens et les hevaux Muvages dea'Amerique, qui Proviennent d'animaux originalaement domestiques. I Houteri Ioux Ies races humaines comine Oufles animaucaomestiques, les modis eateum soni torio cles circonstances locales, notammunia'habitation, te genre de te, et Ie regime dietetique les esseis des Variations d'abord dans la inisse H dans la couleur, puis dans la proportio et dans la sorine des organes. La doctrine d'Hippocrate, surde disserences des hommes, a bea--u de minis de contae avec cesse de M. GeoMoy ainNGaire, surdes differences des ani--ux domestiquos et si d'une pari, fulvant te naturaliste ransais, te nombre et te degre
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des variωε dans es animaux exprimentae nombre et is degre des influences diverses uxquelles ilioni etsi mumis, d'antre pari, fulvant te mεdecimum les dissemblanem enim es peuples representemient les dissemblances du sol et du climat et les similitudes enim es individus d'une meme nation monueratent que ces individus soni Oumis sumune grando echelle, aux momes innuences soli par esset d'un at demi-barbare commodes S ines, sol par reget des castes, comme les Myptiens. Hippocrate dΦcrit une malini singuliare qui regnat parmi les Scythes Elle les Dappait d impuissance, et les hommes atteinis de cetis affectio se condamnatent auctravanx dessemmes, se comportalent absolumen comme elles, et en imitatent momeria voice te lan-gage. ηεrodote unie plus vieux'u'ssippocrate, dii aussi que les Scythes laieni frieis hune maladi particuliἡ 'u'il Migne fous temo de matadie feminineri u Venus innigea auc8eythes qui pillἡrent son templed'Ascalon, et a leum descendanis clama adie feminine, Hest du molns a cette cavse qu'il attribuent leur malaiae et les,oyageum qui ont en Mythie pelivent voi comment soni affectis ces malades que les Scythes appellent Enarres . On a Muvent demand emque pouvait eis cetis maladie feminine, et les rεponses out lintres diverses. s. te docteu C. G. starek, dans une dissertation, Dessay de monuer que tis maladia Minine init elle doni Hippocrate a dii que les' thesintaient amigsis. Jopartam complMement cetis maniare de voir Les expression d'nsirodote annoncent que cetis maladi se reconnaissait a raspret sent des malades, et evia eclucide inuid ait avecti de eription 'flippoerate. Bes Uyageur modernes ont, ate prM dans les momes contrees, uouis des phenomhnes semblables . Quand dit Mineres, en pariant des Tartares Nogais. une d4bilii incurabie esset sol de limatadie sol dea'age, furvient che les homines, lay ea de tout te corps se ride, iis perdent leto de barbe qu'ilconi, iis deviennent inha- biles a cest, et laus leurs sentimenta et leum actions cessent d'etre des sentiment et des actions,'un homme. En et hiat, iis fluenta socilia masculine, demeurent parmides semines, et en rennent les habillementa , Iules dealaproth signate ausiad'existence. parmi les Nogais, d'une maladie pareille, qu'i compare aveo rassection indiquis parasir dote et dicrito par Hippocrate. Hippoerate recommande de ne donneraucunturgatis, de ne laire aucuneisldication grave et importante a momentis te salsons .muvent des changemenis consi rabies , par exemple aux solatices et aucoquinoxes Ces observations on do tiro inspirem par des climat Oudes changementa de salso soni plus tranches quo dans nos Mys. Τοrioum MNil qu'en France, ou ratmosphsire est si inconstante, Iecmεdecius praticiens ne soni guἡre attention a ce prωepte Cependant i est des circonstanees ou iliis sitreio de s'en sοuveni :tet est lo casisu furvient, dans nos contrees une maladie .idimique angemuse te chο-lεra nous en a laurniin exemple et je pense que, dans uisitat avssi extraordinatre et a si ignor que celui qui engendreues grandes pidinies, inutisidecin Oigneux de metire saresponsabilita a convert, sera Ne de s' stenis, limians de necessissi urgente, d'une mἡdieation quelque peiactive. Onamuve dans ce traiia quelques observations de physi sciLes eauidi runt non-seulement parda saveur, mais encore par is polds; Explication dela sormation de is plute Ueau ayant Mε vaporisδe la partie la plus troubisse separe et forme Ies brumes et Iesar illaess. La partie la plus εghre se porte veriles region supεrieures dolair; et, si des venis d'une direction oppos& viennent foudati larassembler quelque part Mors cet amas creve du coli ou il se trouve te plus condensi; est Ia larce de Ia etaleur qui produit les eaux thermales, les mines de ser de cuine d'argent, d'or, de fouise d'alun, de bitumetu de nitre; Le sella'est que le)εsidula'une ea salsi qui 'evapore; Le soleil eniδve a ous es corps leur humidiin Si this'expose, habilia a soleti, es partim couvertes s'humectent de sueur, les parites Dappem des myons solaires ne se mouillentias, Parce querie soleti absorbe la sueur a su et
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temps ou rivati mppocrate. 8vivant tui, aucune Uest plus divine que 'autre, lautes sontigalement divines, Hes, dire que iovisa sonoresset deceauae naturaιtia ce mini de me est delui auquel Mnt arrivles la selenee moderne eta philosophie Les anciens admetinient sans pelamque Bieu intervenait Lehaque instant dansae monde, et en interro ait les Iois par des acies ex piumness, qaeon appetiat miraeles Le grand eta ternes miracla, Cest rexi teneo des ehoses, Sest leu sueeession Sest renchainement de phε-mhnoa et Sest eoqu'sippocrate exprime dansa'ordre des με mines pathologiques, DraFII di M'us sontisus rualement de muse divino. La - de que raute de eo traiia applique est laicine que cella que prosesse Ilautourdu traiia de raneienne m eius Bance demierarum, Hippocrate recommandera'εtudior Ies apporis de rhommo avec inui co qui renisure, et ii assumque e'estae sevi eheminioue aeriue Lia conmissaneo si mrps humain; dans te line des Atra, des Eauae et des Limae. Biasse en remeare inguenem de rexposition des salsons des eaux et des climata, et uindique les effetaque sangue es produisent gest bim, des deuicti&, laistine m&hodo; et e est ausia uno minode qui devest moner, eorum si ravait annones 4 des notions posiatives et prosondes me retro humala. En eget, ques de plus positis, et en misio temps quoi de plus prolan quo res apersus su raetion decemses onεrales, et surdes relations ine-- testatim qui vent rhomme ames es in enoeceosisque '