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En salsant Ia eritique de eux qui, de sonetemps, pinendatent ramene aisne ola deuxeauses l'origine de lautes les malassies , Hippocrate a condamn d'avanceriouites syssemes qui reposent fur ne base semNable. 8es arguments dirighieontre des msidecin discipies de Ia philosophie,'nω, portent, dans la46rie desistocles, contre les neumatiques, quipla tent les maladies dans le pneuma contre les εthodiques, quides attribuaten au laxum et au strictum contre les Iatrochimistes, qui en accusatent olla sermentation, Oil'alcatinith, ouameiditi contre mucensin qui tes imputatenti ritieitabilit&oiha'irritation Bans totisees sysiames, en eget, On part d'une hypothtae r Sest qu'il ' a dans te corps sine a propri&δη'apes lamelle on systεmausea teda pathologie; or, hypothἡse est trompeiis .dit Hippocrate esse Moigne des Mallisis, et irri te qu'esse est momo inutile dans uno sciencoqui a des latis our Oint de Apart. Stahi a repsit avec ne grande justesse, prἡs Hippocrate γα Bebet ante omnia modica patho i occupari circa res veras quae Vere sunt et existunc Stahi, p. 4423. La meshoded'Hippocrate essori imm6dia ement de sipolεmique Cavant toni, ii eut quela vid ine4'εtate surdes observations surdes satis, sume qu i appelle lirtalitε, mais cen est pas out et la ne seborne pascia δέ qu'il impose Les observations, es satis, larealita soni bien sans dout es que chacun volt et ismuve; mais e domatne en est en replus tendu et la tradition decla selene murni des observations de satis, uno sialiihm'il aut prendre en considiration et Melopperiar un sage emplo du ais mement; certes, ii est impossibi d'avoi uno me plus neue et plus tendue dea'Mude de la m&lmine. olla la,Mhodod'Hippocrate; voles son systhme. II vit, dans te corps humain, pendantia sania et pendant la maladie, es humeum se modisse et selier, par leum modifications momes, aux conditionide ces deux linis Ili conelut quod sani est maintenue par eiuste mllange des humeum, et que la maladie est produite parraeum inδgallias. I admit mre, attendite Gangement de ces humeum, qu'elles subissent uno coctio qui les saltrenue dans leum justes limites. Enfin Ie tempsistant une condition 6cessatre didΦv Ioppement pathologique ii ossaya de constate la δέ des crises et des jοur critiques. Tel est son sysium Lmais, remarquonscle bien, ilis' cru, dans inut cela, salae aucune
hypothtae; ear il appello hypoth/se eo qui est une pure conception de resprit, sans disnon tration possibis et tui, it cappulo su des satis et des observations donici pense salae unligitime Mage. 'emps, qui a pam fur a m odo sans alterer, 'a pas respecto son systine.
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marmo 'u'ssippoerate cessam 'aiouter a m doeisine des humeum, quiaque nouo sne rinfluence deda structure des organes. ais I rimperlaetion des eo alasanees de sontemps ne tui a pas permis de s'eleveri de eonia rations tendues et, en comparant lapsu qu'il on dit, avecae long detalla qwil donne surdos monomonis des humeum, o miι combiena servation de ces mouvemenis avait 4tε plus eui te par les anciens modoeiusque l'observation des organes. J'ai recherched quel sysiarum anterieursiouus se rattacher I systisne aerippoerais, et iI Ma semN4 que rides landamentalo provienti'Me on et par oonsoquent derivo Aunesoure pythagoricienno. En esset, avant qu'Hippocrate ne pretondit que is justo mMange desqualites, est Ia ea e decla sania, et leur derangemen ta eauso de la malassis, ΑΙ-- avait dit: uine qui maintientda sania, Cesti'-ala ripartition des qualitos, do rhumido, dichaud, d seo, dismid, de ramer, du doux et des autres la dominauon 'une sevis Fonte'ellos produitios maladios, et vite domination stra-- 13. systimo est exactementeelui d'Hippocrate; te sens et tine las expressions soni se lables. Lo justo melangs, iactase risonomie, Ia symotrie et Pharmonis, elatent, dans te land des doctrines pythagor ciennes Philolaus, utro pythagoricion, avai di de Iamson latius generale, quo les principes des ehoseinlatant ni semblabis ni homogones il linit impossinio γ'ila lassent ordo es, si l'harmonis nodes p4Mtrait de meique maniare que eo fui sis principe, dans son application particulici e a rorganisation du eorps, 'est traduit par Pharmonis, par lasymetrie parte juste mesange dea humeum. L'harmonie, dans te lansam Pythagoricien .etait synonyme de symetrie. Bu moment queda doctrine d'nippoerate est aris ranaehee avn philosophe pythagoricien illa'est plus 4tonnant d'Luouvet Iecna res iovissant d'uno grande importance Be lacla recherche attentive des ours-eritiques, et is calcula qumi pocrate en diveriendroita de son line, clandis sum tis considωation Galien assuro quo Ia priorite dela doctrine dela cras apparuenti Hippocrate en iaci se trorum, nous venonide te voir maisi Moute que cetis doetein distingue Rippoorate 'Emperi te, et que ce demier, attribuant, ii est vini, la composition de notre corps et de laus te oorps situsis autour decla terre auc-nes quatro iamenta, 'attribue, non a m Me de emhl-enis, mais 1 leur juxtaposition dans leues partim les plus tenues 23. Hippocrate diffinitdonSd'Εmp6d te emuntiant essentiet De la vient latisrobation doni ila' seappe dans uno phraso du traiia de raneianne Medeoine, puras qui manque dans totis te imprimis, et doni j dois Imporiante restitution hin manuscrit. est dans I eoum de rexpositio do son systhmo que, Interrompant ou Do P, ilconsigne une grande pensis, qui est te resumi de lauis in philosophie surda scienos do lavie, o savola, quo mur εindier te corps humain il lauta'etudio dans se rapporis Meetout chose Cette pensω araia relevis et citis par Platon, et 'est mus iaspirauon duphilosophe et di decimque Pascat a dit . ias parties dimonde on to es unae rapportet uitet enchainementa'une aveo rautre, quedo emis impossibis de eonnatue l'une mas rautre et sancte laut nLes philosophes et nitastans eo allus par si oerate, Mudiam Io Meps humata enises,Mduisaient laus lacchangement M'il subit deaceo idis alio Fune sevis propriael; ecustiralent mite deduction in vertula'une doctrine asse semia Ie Doelio de certain m4detans de nos Dur qui ont expliqu&tout des malinies par les Iesions anatomimos. Au contraire, Hippocrate regatae te eoeps vivant commemne substanee doni les propriaias ne minent ευε determinees atriori, ni e veris lisaibibalore, decla composition die ud, si Mid, da see ou deI'humide, ni e veris, aurait4 di de noscisum, de la textum des parties Leschercher de celis lason, Sest les chercher par ne mauvias rouisa et oes propri&ω ne solaissent MMiser que par ne minimentalion intrat qui eo in e uel egetaria sub
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tanes vivanteis est de inaque inose L eonnaissanoe de ees esset constitue Ia connaissaneed eo chmaain. Cest iamque j'appelleres le vitaιisme aenippocrate, vitalisme qui, prenantia vie commorane inose positive et rεtre vivant eouuno ne substance, en echerche les rapporis d'aetion et de Haesion avredes divere ob et de la nature vitalisme qui resteraetervellament nai h eoia de laus Iesarauaux qui ont mur but et Ont eu il laut ηοuter murr vita de jeter pae rexamen declariorme et decla texturo, ne grande lumiare sue certainspM mises de romanisme Α, ure que 'explicatio avance, la vieremte, esse ζωhappe, et aiamai demeurem inmisissablendo sorte que nous mons torioum considerer aerem'elle animo, comine uniorpidoul de propri6- γ'it 'agit σεtudier par 'ex rienee,eο- unior 'muel il laut apprendis, ainst quo te dit Hippoerate, comment it se eo- porteat'4gain doctaque Gose or, Sest ce quo rien au mondo ne murrai faire devine a priori qui, our me servis d'un exemple christia Hippocrate lui ome, auraitirem, en meherchanta'organisation du cervinu, quo te vimen derange les sonetions Et a qui enmes la conmissance anatomique si mrps humain auraitisne appris que les Masines mar Mux produisent uno sisvre intermittente Cest iei Isaio do remaequeri carissim rate lui-δme me eonduit Leetis remisque, qui ne me semiae pas sans importanee me la physiologie se eompose de trois parties essentiessest Iairoiniis est rεtude du developpement dea'oire depulsa iam alion usqu'. la mori; laseeonde est resude du Manisme des lanctions la troisilme est Ι'Mude des esset quo romanisme, extant que substance vivante, prouue de inutes le choses auec tesquenes ilserimuve en appori. Ces trias parties on sit tris insegalement traiiam; en maerat, lasmodernes on donni une attention partieuliis a Ia seeonde Les recherches anatomique et les exserie e physiologique Ont produit de tres grands Multat et elair te e dopluiae clanctions qui talent restεe nn mystore mur nos predi meum. La premiἡre partie, c'es, dire te dὐveloppemen dea'individu depulsae commendement iusqu'a lassi dela vie, a commencya Otre traiiae avertout te soliqu'esse mεrite, et elle forme ne longue et admirable sectioid grandinuisage de M. Burdae si in Mais a troistem partieis' pasen re obtentantant de consideration elle apparuent plus directement a I'hyψδne et a lapathologie et esse a appellitus que les autres l'attentioni'ssippocrate et de anciens enmio al. divro deTAMimne maeeine, si remarquatile par la rectitude u jugement et par laprosonde des pensωs, ne I'estias moin par libeaut et l'excellenee du style; lacla sorme est emtout digne duriond. Les46riodes, glneralement longues, soni construites avec ne regularito parisite les membres de phrase ' halancent et s' complotent de maniare a satisfaire anssi bien threisse queresprit; 'expression pleine de iustesse et de claria est lariour grave et serme et cependant esse se colore d'intervasse en intervalle, de lason qu'on reconnali recrivatiqui malire de son sinet et de Iubm4me, cariste aniles limites tracωs par unaout naturet Cest certainement umbeau morceau de laitiaratur grecque; et ee traiia est unis hie aehevi de la discussion scientisque surdes minis 4nεraua et 4levis de la m&lecine. Peut ueratait4I dissicile de reeonnatus es mirites dans Ies preetilentes εditions tesses m esses donnent e traiia de Aneienne Ederine Le'est un des vres qui ontra plus fouffert de laχε gene des copistes, et Sest aussi uides Mures ou la collation des manu erus Ma permis Sapporte les changements les plus considis les, et j'ose dire, es plus
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re init qu'en ait, cela init en ontradietionisve re Helenee, D'en principe uno hypothtae linit suspeet et stirile et .'il''navait de sarei que dans resude des laus et
dans la tradition do is selence nio ramtae. insi, quatre cenis an avant .M. Onesmyait de rattacher inuincla msidetane aisne seule propri6t hypothesique, mmmmon ra Myε de nos joum; mais cetis propries Mait o I ehaud in te timid, o rhumide, o lesec. Quatre cenis ans avant I.C. un espriossivore Minclaiin combatisit de tenes opinion aunom de l'ex rience montrait que les causes des maladies ne Duvant pas se ramener Aune seule, te obam decla pathologie sinerale Mait hie plus vasis γ'ο ne crvait et sormulati co qued'observation tu avait permis de eoneture mala in eonesusion 'embrasso γδre que leamubie dans te mesange des humeum, que leu metion et leum cris . epuis lare, a meshod de elix qu'ssippocrate avait combattus, et Ia,Mhodera'Bippocrate, I'hypothis et robservatio se soni permuωs ainst que te tomo ne rhistolae de limio eine malice ne sont pinsitu'ancienne hypothisse, ni I'ancienne observation. II est certainement instructis d eludier, dans te murata temps les probidines tela'u'ilsoni vi posis, et les discussion qu'il ont mulevem on e volt, a science antique a degrandes resfemblances avec la selence moderne dos I'ἡpoque que nou sommes fore de regarde eomme l'aurore de lim&lecine, Miles premiere monuments que nous possislons Ies questions sondamentales soni d. tiues et les limites deri' phit humata Mnt inuehem. ais en dedans de ces limites Ia scienes trouve, dans une immensite invulsabie de eo i- isons, les materiau quida soni grandie; et ii est impossibis de ne pas Monnatire que surran sol aveocles alimentique tui lauriassent lacchoses et rexperien , elle se de eloppo e vertid'un principe interne de vis, qui rosido dans rene inement nωessalae de sondevelopperient suecessu.
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tant dans te siἡcles pass&, e pense que le
avait purae contenter de ce qui suffit auloeus, a chevat, et a totis Ies tres en dehors deI'humaniti, a fauoi des simples productio de la terre, des lautis, des herbes et dilain.
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Les animaucs'en Murrissent, cen acervissent, et vivent ansiue incommode et an avolehemiiud'aucune autre alimentation. 8a doute,
dans te premier temps rhomme Ueu pasd'antre nourriture et cesse doni o se fert denos joum me semiae une inventio qui 'estes Oese dans te long mure decans Mais d'une alimentatio sorte et agreste missatent uno lavi de Muciances violentes, telles aeontes prouuerat e ore ario d'hui par amem cause chea ceu qui se sustentalentave ces matteres crues, indigestes et pleines d'activiti, furvenalent des douleur intenses,les malacies et une prompte mori Les homines d'Mors en muginient molns sans douis, a cause
dea'habitudo cependant te mal linit grandinem po sux et Ia lupari, surisu ceuxqui linient Iuno constitution plus albis p risinient; les natures le plus vigourouses misinient davant e. Cestisinsi que de nosioura ieiuns digerent, avec sacilito, des albineutid'une grande orce, et Ies intres Ventriomphent qu'ave beauco de Mine et dedouleur Tellemit, e me se te, I cause qui
en mades homines a chercher uneno riture en harmoni aveo noue nature, et iis trou- verent celle qui est en sage mainte m. n
glant eminute chos surda nature et Iesaisces dea'homine caesiis peniarent querae sub lances qui seratent tro sortes Ouriouvolaotre sumontem par la nature, produiralent,
si esses talent ingissim, de soinrances, lamatadie et i inori qu'm contraire, out eo qui serat digestibi contribuerest ad nutrition. llammissement et xl sania. A de tellas recherches, a de tolles inventions que nomdonne plus juste et plus convenable quo celui de insidecine insidecineri uiae Murda sania, po da nourriture Murae sala dea'homme, Gangement de ce rigime qui ne iuravest caussique ougrance, maladie et mori'
ait d'artisies. Et cependant inui cela forme une inventio importante et pleine 'ari eid'observation. Encore ario d'hui, eo quis'occupent de la gymnasiique et duratvelop-pement des larces, rioutent sans cesse quelque nouisau persectio ement, eherchant, 'apres
lamines inode, quelles Oisson et quela alimenta diores le Meux, Meroissent te plus
5. Mais examinon Ia,εdeeine proprementdite, eello qui a sit,inveniae mur les malades, evile qui arua nom et des artistes; vons si esse se pro se quaequ'undes momes objeta, etd'ou esse a pu prendre son origine Nul j I'aidia dit audebui, waurait cherchela insidecine, si te vim regime ea convenu ada maladie et fida sanie. Be nos jour insime les Peuplessans medecia, et quelques; des Grem vivent,
malades, comine 'sis se portalent hien, ne consultant que leur plaula, ne s' stenant derien de eo qui leur agine, et ne se Mumettanta aucune restriction. Mais Ies homines qui out cherchε et trou sili decine, vant Iecmsimes
ae ord, te pense retranchsi quaeque chose dela nourriture habituelle, et aurate de laissee mange beau up Κοnt Iaisse mange quepeu. II arriva que e regime leu sinit murquesque malades, qui, evideminent, en retirerent du Musifice non tous cependant; et quesquefmns talent dansu tes lint, .lilan uveseu uiompher vim ffune petite quantit de noueriture on erat devola laurdonne quelque hos de pius athle, et ron inventa Iechouillius Maon maeeie de suri. tance a beaucoujd'eau et o ron enlove coqu'ix a de substantie par lange et laeuisson.Εnfin Leeux meme qui nes uvalent supporter las bouillies, o les supprima, et I'on se horna aux simples Missons, yant sotad'en rogis liquantila et te tem rament, et da Cen domerii trop, ut Peu, ni de tro int--μries. e. II sint involainaei est de malades h quites bovillies ne conriennent pas, et che qui, cilienissent, iussione et les Muleum s. omissentirideminent; de sorte γ'indubitarum men ta substance pris est devenue mur a malassi aliment et ademissement, murraeeorps ea e de saliaesse et de siperisseruent.
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si a des hommes plaeta dans de telles eondi-uoncon aecorde une nourriture solide, de lapate 'orge ou du pala meme en ista petiis quantissi, iis e foustrent dissola plus, et d'una inaniare bien plus manifeste que sIis ψεtaient restreinis auxiouillies par cela seul que ratiment est tru substanties murda disposition Oulis se trouvent. 'un auire coit Iesmaiade quipeut prendre des bovillies, inais non manger, sera s'il mange beaucoup, die plus incommod&que cil mange peu; mala, m&ne en man-geant pen il soumira encore τοutes ces causes de fougrances reviennent a unishme potnt,e'est que les alimenta les plus orta nuisentia plus et de la maniare la plus manifeste. 7. Celui done qui es appell,ldecin celui qui dea'ave de inus, possederimari, et qui adω-veri te regime et I'alimentation des ma- ades, sembi t4 avoirsuivi une auire routeque celui qui, ehangeant, a l'Origine te genre de vi sauvage et bruta des hommes, Iesamona li a nourriture qui est arioves'hui Ianove 'IMon inoi la,sithod est Ia mome, ladocouverte est identique. L'un a travallisi hi trancher e qui a cause de qualitsi intemp
roes et agrestes, Mait au-dessus de forces de 'fleonomi humatne en sania; rautre, oui ceqvi etaicandessus des larces decla constitution eans dea'sitat accidentel ou elle se troiavest. Ia differene entre ces deu recherches, si ρεχ'est que la seconde a plus de taces, est
plus mersissee, exige plus 'industrie mala quo lairemthreis et te mini de d4party8. 'alimentatis de malades compareo a IIedes gens hie portant ne parallias plusnvisibie que talimentation des gens bienio tint eomparsie . eelle desbsites sanuages et des
ni dans unioid ni dans uino reis v spuissie rapporter et visiser vos apprietatio ;elle siside uniquement dans ia sensation ducorps Cestinaravati que d'acquiri assea deprεcision dans le jugementiour ne se tromperque peu nin Loesoninela et je suis pleind'admiration cur te medeci qui ne commetque de Isigἡres erreum. ais une habilete con- sommsi se volt rarement Lailupari des -- decincressemblent aux mauvat pilotes rantque te catae regne, leurisausses manceuvres ne soni pa apparentes mais iennent unviolent Orage et un vent impetue , iis laisseni ri te timent, et ili'est personne qui ns reconnaisse, dans te d&astre leur maladresso et leur ignorance. Π en est de meme des mau-vais medecius, qui tormentae plus grand nom-breri iant uliis imitent de maladies eu graves, o ius laute les plus grossiares ne urratent produire de serieucaeeidenis et ill ut savoisque les maladies legeres soni plus Irequentes que les malassies dangere eq.leurabemes ne sontias visibius pou le vulgaire;
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mais γ'u leur linoi une affection grave vi Iente redoutable, alor leur salix pas se volent; leur inhabilei se manifeste caresa punition des lautes duillote et dimωeci ne se saltias aliendre, elle vient aussitat.
maladie serieuse et ii leur a sum de prendredeux sola et ien de plus les momes alimentaqu'ordinatrement iis ne prenaient qu'une lais. Les aureos, qui onclinabitude de laire, te ma-tin, un repas, que leur anti exige, Viennent-ilsa metue e repas, iis soni pris, de quel'heure est passee, d'une debilit generale; lesyeu jaunissent rurine devient palmo et ehaude Ia Mucho amδre; iraillement dans Iecentrailles, vertiges mauuais humeur, inhabitet auaravati; et avec laut cela, quandit essalent de mange ara'heure u secondrepas, les meis leuriaraissent molns amabies; iis ne peuvent acheveris qui salsai auparavant leur secon repas quan iis avalent prisleu premier; les alimenta, descendant avecdes tranehωs et des amouissementa, ochaus-sent te ventre et te sommei de la nuit est pinibi et plei de reves agites et satiguinis. 8οuvent encore, Mur ceu la, c'est te mini de deparod'une maladie. 11. Maminons par quelles causes ces incommoditta soni produites cle premier, eclui quia l'habitude d'un seul repas χ'aias attendu, je pense, te temps sussisantiour que 1'abdomen ait eu plei ne jouissance des aliments ingsiros laveille, en ait uiomphe, et sol rentri dans Ierelachement et te repos mais, tandis que les organes digestistrataient encore dans la cha-Ieur et dans la sermentation il les a remplis de nouueau de teis estomac digerent bienplus lentement, et Ont Moin de plus onyintervalles 'inaciton et de tranquillit6. Lesecond au contraire, celui qui a l'habitude dolaire deo repas, n'aias, des que te corps arietam de Ia nourriture,ita que te repas pro-esident arat digsire, et qu'i n'est plus tenrestya consommer, aussito don a son est mac de nouueaux alimenta; c'estri faim quile travaille et qui 'δpulse Car, inus Ies accident querie iensi'εnum rer, te les attribue la aim; et certes, tout autre homine qui .
bie portant, restera deux outroisiouessans manger. prou vera des fougrances analogues
Leelles doni j'ai parisi checl'homine, usant de regime qui a omis son premier repas. 12. Selon moi, les constitutions qui se res- sentent promptemen et sortemen de leum sicaris, soni plus saltiles que les autres le sal-ble est celui qui se rapprocheae plus dima-lade; et te malade est encore plus saltile; ausia dolNil sougri plus que iniit autre, des lautes du regime Ii est difficile, l'ar ne possidant pas une exactitude correspondante, d'atteindretorioursae plus haut degr de prsicision et cependant beaucou de cas donici sera que uolailleurs, ne reclamentite de molns quece degre certes, die totide contester ad'artaneten sa realissi et Ia boni de s mlinode, et de te condamneriour,'avola pas ne certitude surriout chose, je maintiens qu'il saut te Ioueri'sitre dans une vole ou par te misοnn ment, ii peut encore, impense, arrive pro dol'extrome exactitude, et admirer comment duseiid'une prosonde ignorance soni sorti aes decοuvertes, par ne belle et savante recte che, et non parae hasard. 48. Ie reviens a ceu qui suiuanta nou-