Oeuvres

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LiSTES DES CRIT HIPPOCRATIQUES.

Galien, ne nous apprendraient Hen de plus que ce que nous apprendinet terivalitui Φme. je me hornera Desunt les mentions que te medeci de Pergame a saltes declivres hippoer liques. Illavait consacra unisuvrage psiciat a la eritique de ces livres, uvrage qui a mauheureusementisiri, et dontrien ne peu compense la perte no aves sans nul dout donni Ie catalogue de inus les imites qui figuratent dans la Collectio hippocratique a uestiue ou A un antre Bans 'absence de ce catalogue de Vais reunt tout ce qui, dans te volumineuxeerita de Galien se rapporte aux recherches doniciem' cupe e ce e pitre. B est inutilesque te repete a propos de Galien ta liste donnsie par trotien cie me eontenterat, our abrεger de signate les disserenoes Galien a citε laus te livres inume γε dans Ie eataloguela'grotien, ad'exception d'uiseul, qui est celui surdes Blassurea et surdea traita. Illa enisus et c'est sans doute te meme fous mautre nomhil a en sus ultralia surdes Bis aures dataereuaes It a nominε de plus que tui Ies PrEnotion de Coa , que des eritiquesanterieum a rotien nomentionnees, mais que elui-ei a excives de s liste te imite des Ageetion internec te imite des Detiona rae traiia des Chatra Oides Prineipea Ie traitides Seminea te traito du Coeum, ainst que cela resultei'une eitationis illa'en apportopas te titre, mais oucilo emprunt v long passum te traiinh de Glandes inaei declare apocryphe les opuscules surda Naiarane is επι moi et a finit mota cle traiia dumesime; te traite des Songea Erotie n adine dans s liste que deo livres de Naiadies, qui sonile secon et e troisieme de ceu qui portent ce utre dans noue milection Galien, qui nous apprendinue ce nom avai sit donne aussi auctraites surcies petiona, emetis trois qui rhpondent a premier, a second, a troistome de ceu que nous possedons. Je 'a tmuvidans Galien aucune trace de celui que nos edition appellent te quatrieme. En revanehe , ilnomme a diverses reprises unamite γ'i diaigne Mus te utre de livre des Haladies,ae petiι et que nous avons tout a sat perdu.on volt, parie rapprochement, combiendes avisura dans i antiquit Ont varii surcle eatalogue declivres hippocratiques. Si nous avions conserv&un plus grandisOmbre de ces commentatres, nous aurions sans aucun doute, a constate bien plus de divergences se queris viens de monuer sussit mur attester inutes Ies dissieultes qui enisurentes'histoire de la collection dite des aeuures d'Rippocrate Dotieiune nous donne nulla part les motis de ses jug menta surdes disserenis Mures de s liste; alien est unie plus explicite; rependant ili'entre jamais avre detest dans la discussion de thuthenticit de telis te livre quesquesola et cela est dri preeieux it constate runanimila des eritique a admetire unisuvrage commelsigitime oui te rejeter comme illegitime Plus sinuent si rapporte les assertionides eritiques, auxquelles it oin tes siennes, mais ans motive aveo quesque mi les unes et les autres. Les indications de Galien rapproeMes de lauiste detrouen, et placles en regis des smymenis recueillis dans te aeuures, ariourd'hui perdues, des critique anterieura, eis quo Zeuxis, Heraclide de Tarente, Glaucias et Baechius in dimoin celata,vantageo'u'elles reportent, inutes la diffusion declivres hippocratiques 14'εpoque queri, deua fixee chsNDdire a celle ou te gele de lχjudition se developpa a Alexandri mee lamndation des bibli theques B est meme possibi de retrouver, dans les critique posterieurs de traces qui prouuent que les critiques anterieurcon aussi conniles sicrit retere id canon hippocratique d'smuen Mnsi e demier a admis, dans son Glossaire, des motiqui''appartiennentu aucun des traites inscrit dans sa liste, et qui se trouvent dans d'autres trestes qu'il emaocartes Leto iehthu/n qui se lit dans te fragmen sura seetion du foetus est dans lossessaire et deux mota donici'un est duarait des petion inιernea, et l'autre de notis 1 livre des Maladiea, rson expliquεs, quoique te catalogue det lien ne lasse mentio nidifragmen sura seetion du foetus, ni duriture des petions internea ni de ce premierlivre des Hasadira Cela s'explique Erotieniuisa largement dans Ies ouvrages de se devan- ciere Sest de ces uvrages que se son glissees dans son Glossaire, des explications qui apparuennent a des traites auxquescit a refusile droit de Murgeoisie dans son catalogue. mais qui figuratent dans te catalogueta'autres critiques, uiriu'eu malent cru devola eninterpreter certaines expression dissiciles.

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Ainsi toni dola cappulo νω squameat; les commentateum se iennent et a partae traiis

dos Glandes, que Galien assure nχtroelia par aucun critique, par aucune table, et que cepe dant u attribuo auchippoeratique posterieum, inus soni acceptes comme transmisia latradition, et oscortis, dialorigine que j'indique, de laus lectemoignages nMessalam Cestinoetis masse σωriis, venant tous dlane mure obscure doni o perda tracmen enuant dans las tomps antis leurcha'sitablissemen des Molesta'Alexandrie, Cestra evite masse d'εcrus, disrie, qu'ensuit la eritique 'applique, et surra'authenticit desquela esse porte des jugemonis tria disiarenis. De la les divergenem dans lectistes. 4'insiste ave scin fur rette do locirconstanc que, d'une part les critiques dea'antiquissi lacuns parae auises, ut remonterrenis loris la collection hippocratique jusqu'ha'intervalle qui prsicode lesincia M'Alexandrie, et que deI'autre part iis no cen divisentias molns fur rarret particulier qu4 con-vient de reno concernant cham do oscitur .avideminent iis elatent placta, a sond,

dans lamoine siluation quo te critique qui vient si long-temps με eux lane dansae momoehamp. Ita reconnaissaloni Uen quo la collection hippocratique apparienait a rintervalla dotemps queri'appellerat ant alexandrinimais quan ircagissest de se prononcer sura,uine liciti de inaquo trait en particulier, claruit fur ae tres motis qu'us se dωidatent; ce sonta si d'autres motis qu'il saut chorcher Mur no χἡcide dans la mine question. Apin salien tes commentatour et Iecthmoignages perdent beaueou de leur intorii Palladius et tuenne, commentant, runae traiie dos Fraetures, rautredo Pronostio, d&ignent pluste cleriis γ'us' ardent mmmo itant d'llippocrate; mais iis Moutent quila ne favent de que aere rate, qu'il ne a su quatro, Ilancius de Gnosidicus, rautre fila d mmclido. ravus fila de Bracm, raulae fila de Thessalus. II ast disseilo de se latro uno idω decla maniam doni Ia ollectio hippoeratique Mait distribulo ditemps de Midas. Viae Ies paroles de retra ives satures dBippocraten soni eonnus de inus oeux qui coccupent de misiecine. . . Nous citeron ius principaux Lo promter est te Sarment; Ie secon enseigne te Pron ιie te troisilano contientdes Aph α riamo, qui εpassent la portω de resprit humain; lo quatrihme est Reaeaeonιabibisa, appes4 ainsi par 'u'il est composε de sociante livres; ouvrage a si tal4bre qu'admira- , his, et qui embrasse laute la science et laute la sagosso intilicates s de ne sala a quoi repond in iuste cetimaeonιabibisa Musis utre soni compris sans doute la plupari Ma

sne indication plus prMeus est Durni par ninius Pisammtae dans son petit traiio de la Guιis sty este des passages diliis que nous appelοns da nos siditio de ovaιriri des maιadies, et qui exesu decla liste d'grotien, n'est pas non plus mentisnnypar Gallen. II ne me reste plus, Mur termine ce travali, qu' comparor avec ces ditarentes indie tions lauriae par les inciensae canon hippocratique te qu'd se uouvo dans nos livres impriamis. Nous avons plus et nous mons moinique ce listes, c'es, dire que des traiias qui νson Mnom s ne sontias parvenus juriu' nous, et queri'autres traiias qui figurent dana tres vocuoin' Mutias indiques. Nous mons de molnsilaut cela sera prouul dansa'examen particulier de evacun declivres hippocra ues la traiia des sessure et de traiis Io traiia de Platea davereusea, ictualia appete par salienae livro des Maladies ae peιit ensin te imite des Semainea Cest Iatout oe qui nous manque; et encore 'ai rendu a laesumiare uno traduction latine de ce de nier traiia, laquese murra, juriu'. uncertain mini, supplae a lateris de rorigi I. Nous avons en plus: 'opuscule umdeein cela suri aeneur rara Pree tes; lolium

eamenta purgaιψε co Uest pas une petite singularissi que d'avia plus de traiias hippocratique quela'en a connu ranuquite. ' reviendrai ailleum te dira seulementi'avane que lacum soni de Oaginent σοuvrages virit lement anciens doniae auisur soni isu Misit in mus, et que les autem ne soni quo des centon satis avecam lines hippoeratique, uno

Moque eomparativomentaris moderne.

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ta evilection hippocratique yantirma tant de divergenoes dans les jugement que les

eritiquos en ont porias, illa' pu non plus, y avola de δgle fixe pou rarrangement dontehacuit' crue susceptibie Cela devait Otre et cela est en esset Mais ces di rences se sontllendues auctraites eu memes en particulier et Iconi et diversement coupes et reunis dans les editions qu'en on donn scies eritiques de rantiquiisi Galien nous apprendisu'auisaite de la Natura de Phommea plupari des iiions joignatent, opuscule surrae Regimede gens en sunte; et dans son commentatre it se conforme a cet ordre. II est inui a sestir habiesque, dans laesisteri'Erotien Mus leuitre de la Nature de homine i saut aussi entem dreae momea surdo Regimedes gens en sanιs Mais dans iovies nos editions et elles Ont eudes manuscrita pοur modδles ces deux sicrita sont iaparsis run de l'autre. En rapportant plus

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ditarent nomideatur gran des Apeliona livre aureses eoιιretiona purulentes de Ia νομtrine devaeiὸmeature, te plus grana, auraeo Hasadies Au reste, es designations talent fruariabies et si confuses que, ouries traiias, Galien transcrit fouvent la premiἡre ligne asinqu'on sache positivement celui'u'il cite. Learat te duraegime danauea maiadis atque est appel par grouen iure surda Tisana; par 'autres, livre eontre es Senιenees enidiennes par 'auires, livre su le Risim Ou, eomme dit Coelius Aurelianus, Bioetetieus Learatisi que nous appeIons surde Bestime portati, dans l'antiquith, deuctitres disserenis, fulvant qu'on en considerat Lia latiles trois livres Ouseulement les deux derniers dans te pre e cas, it init intitule Iiure surcia μι ure de Phomme et avrae Regime, et, dans te secon cas, livre surae Regime. La division e chapitres omen livres est a siroeuvre des εdileurs et non des auteum eu m&nes Rusus avait divis les Aphorismes en trois sections , Soranus en quatre Galien a suivida division e sepi, qui etait probablement latius ancienne glienne nous apprend quo Cest Galien qui a partagsile Pronostie en trois sections Apollonius de Cittium avait partam e trai te des Artieulationsen trois parties; Galiena a partage en quatre. Lesanciens iures, teis qu'iis talent sortis des mains des autevrs, ne portalent aucune de ces divisions illa' avait. eomine dit Palladius , que celles qui rhsultent du sens et du passage d'un svjet a minutre. 8 lectitres des traites eux-momes ne viennentias des crivaliis originaux, a plus sorte raisondes intitulsis des ehapitres et des division ne sontias non plus leur ouvrage Galien arrivant, dans soleommentatre surdea livre des idemies au passage ou Hippocraterasicritnne eonstitution pestilentielle, di que plusleurs manuscrita portalent en titre sevlementconstiιuιian; que Dioscoride avait mis dans son edition Constitution ehavde et humide et que d'autres exemplairesi'avalent aucunes pἡγχ'inti tule. Tous cecdsitatis , que j'ai reunis ave soli, montrent que la collectio hippocratique, Drsqu'elle ut iure a public, 'avait ni u ordro tabli, ni desciitres fixes, ni des division incontestabies , que eo iurent les siditeum qui successivement arranghrent et lassistribuδrent fulvant leur propre jugement et que, dἡs lors elle manquait 'uno authenticite sumsant Ροur que is main des arrangeur ne s' immissa pas, Vec resson, Me utilita sans dou te, mais fouvent aussi avec arbitraire Les commentateum des aeuures hippocratique ne remontentias, civient dele voles, plus haut que te commencement des ecoles a Alexandrie, plus haut queasinocrite et His phile Avant eu , ili' a que des temoignages rares, sol surru petit nombre d'sicritata ticuliere d'Hippocrate, solita'une maniere generale surdes trauaux de celsidecin commeecrivain et professeur Cependant les critique anciens, platas devant cetis masse consus dolivres qui est la Collection hippocratique se soni efforere de triercle urat dilaux, et de latrola part Bippocrate et des autres medeeins doni Ies aeuures sont cachees dans cetis Collection. Π importo done d'examine queis el&nenis de eritique iis poss&latentiouri noncer

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vii deles jugement , et te ne puis te latre avec sureia'u'autant que 'aura determinέχ' vance quelle valeur ilioni, quelle consance iis meritent. Si de cet examen i resulteriu'ilsoni manqusi de bases, et qu'iis ne reposent que fur des conjectures sans consistance, i ne laudraias Lattacher plus 'importauce qu' des hypotheses qui laissent une pleine liberinaux appr&iations decla critique moderne. Si a contraire . il est positis que nos devanciers, Grect et Latins Ont possede des documenis maintenant perdus, propres a jeter decla lumierosurilvsievrs dissicullsis qui nous enabarrassent ariouru'hui, it laudra accorde a leur opinion une grande attentio Je montrerat en rapportant thistoire dura livre des Gidemies que decies temps les plus anciens Ies commentateursi'avalent plus aucune lumiere a lire de l'examen des manus-crita touehant la legitimite ouillegitimite des disserentes parties de la Collectio hippocratique Il n'favait plus aucun autographe a consulter. a Couection, en loc, init dans laeireulation et i ne resinit plus de caracteres d'authenticite que our es livres qued'onsavait, de science certaine par une voleis par ne auire, avoi ete publies do I temps memeta lippocrate. Tout te reste etait livm h la discussion des critiques. Les discussions, en esset, n'ontias anque , mal le temps nous te a outes enlevsies. Erotien avai discute lauthenticito des Prorrhetiques, et o peu croire qu'il avait traite dochaeuidesierit hippocratique en particulier C est du molnsine que donnent Dentenctequelques mota de s preface , par lasquelli renuole te lecteur a se expliea ιiona de eliaque partie surtout si I'on rapproche ees mota de ceriu'il avait promis surcle Prorrheιique , et furun au treioin que 'ai cite plus hau Cei te dissertation seruit mur nous tria interessante,

mais illa'en existe plus aucune trace.

Galien avait composein livre specialis it examinat lectitres 'authenticit de hacundes sicrita dea Collection hippocratique C livre a complatenient peri Baiis ceu de seseommentatres qui nous out te conserves, il4'occupe uniquementi cotε medical declivres hippocratiques, et cela'est qu'en passant qu'il nous parte de doutes exprimes surael ou tellivre, et de rorigine qu'on attribuat a telle ou telle production Son Ouvrage de critique litteratre surcia Collection hippocratique serat mur nous ariourd'hui une mine prsicieus dorenseignementa Sa riche siruditionis, serat repandue ave abondance et, dans les casmomes oua critique moderne ne pοurrat en adopter tous les jugementa , elle trouverait, dans ce livre, des recherches des citations des documenta quies'eclaireraten et tui permet- traientilavoirine opinion independante de celle de I'illustre medecin de Pergame. L'histoiro de la Collection hippocratiquei'aias lait de perte plus sensibie. Ainsi inui coeque 'antiquit&avait compose eae-professo surda critique des oeuvreid'ssippocrate a disparu Ce qu'il aut maintenant, 'est rechercher, utant qu'il est possibi , Iesel εmentsinu'elle avai asa disposition Bansues crita des commentateurs, nou rei controns des jugement nombreux, fouvent sori disserenis; mais ces jugementa ne soni jamai motivsis, O iis ne te sontinue tres-insumsamment. Ces motiti, que nous ne lison nulle pari, nous en de uvriron les principales bases, si nous particularisons les documents que les anciensontiu et du consulteriour se satre une opinion surda legitimit cura'illegitimite de traiisis qui constituentu Collectio hippocratique. Ces documents peuvent, en ceriu'ilconi d'essentiet, δue rapportes a trois cheis te pre- anter est l'existence, sol de traditioni, sol de quelques monumenta qui constatalenta'exis- tene dessiis et des elδvesd'Hippocrate, et leur qualite 'auteum insidicaux te secon estia masse de livres relatia a la medecine aniεrieurs et postsirieurca Hippocrate cle troisieme est unisuvrage dans teque u discipleta ristote avestissisum l'histoire,sidicale jusqu'ason poque. Au temps de plus anciens auteurs qui ont commenesi hecrire surdes aeuuresd'Hippocrate, ii restat certainement des traditionc vagues II est,rai, et incertaines, surrae mederins qui avalent contribu a former cette Collection on ne peu guἡre explique auirementietis concordance des critique a donne eomme autevrcd'unceriain no re detraitis, es ms, ouies petitsciis, ou leuendre''nippocrate Les noms des silid'llippocrate et de se descendanis,

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que suidas et Saulem rapportent avre rindicatio peu pineisem'ns avalent terit ne is, decine, on Mypris sans dolite dans la liste d'gratosthhne mi gratosth/no lui-ε- , oules tenait de la tradition Oiles avait puis6s dans quesque documen auiourir i Mruit. Quant aucrenseimementa surda olla ration des siliet des descendant d'Hippocrate ciene uicies attribuer'u' de tradition qui celatent conservis dans les anciennes Molosmεdieales anthrieures h elles 'Alexandrie et de Pergame ear onm'en rencontre aueuno erae eerite is manuscrit latin queri'ai H eiae, di que parmi les descendanis dllippocrate iij ut Thessalus , rami, Hippocraterae jeune , desquela les iures 'on pasese connus cela est tris res nulle part les critiques 'appulent leum dires sur des ramoignages, des citations ou declivres de ces hippocratiques et oujοurcus se ornent ades allegationsinteit rapportent Mucia sorme de Oubdires le pense done γ'it 'agit dans laut cela, non pas de documents hcriti, niais de traditions qui s'εtaient transmises auxilus anciens commentateurs et que leur successe savalent e egistrω vaguement telles qu'iis

Ies valent recum.

Une remarque sortisse singulihrement cette maniἡre de voir: 'est'u'en esset it se tronve dans Ia Collectio hippocratique , n Orceau qui, ainst que nousa' appris Aristote, est vhritablement de Polybe .gendres'Hippocrate; et cependant les critiques et Galienavi-msime qui attribuent certainsierit a Polybe .n'arguent amat de la itatio parsaltement positived Aristote, et semblenta'ignore Oin'en passaire compte de sorte que e'est, Durai dire independamment de l'autoriia diches desperipatεtismeriu'il assignent une certaine eoliab ration dans la collection hippocratique a Polybe Peut ire meme au moment ou Xenoerito et Bacchius tenaient la collectio hippocratique et te livre de la Nature de Γhomme qui portele nomd'flippocrate , et qui est de Polybe peut ire , disrie , a ce moment, maιοire des animaui ou Aristote apporte la citation de Polybe, n'einitias encore parvenue a Alexandrie ear a collection des oeuvres du philosopheis'a te publine que par Apellico . posti xleurement an temps de premiere commentateum hippocratiques Cette dεmonstration ainsido te par unasimoimage vident Ourin crit et pοur nn auteus, sortifieare autres asse iions ouchantua eoopsiration desiis et des petits-fils 'Hippocrate, et porte a croirerine les traditions d'apres tesquelle les commentateursint paria , reposent fur unaait tres-vεrit losans siriterieulintre, dans te desail, une grande confiance Ierieux dire qu'o pent admetire aveo surete que des descendant et des 8Iδves d'Hippocrate on certaines de lenm sevises eaehees fous te nom de leur maitreisu milieu de la Collection, ais qu'o ne petit de memoadmetire que telis inlinerit apparuent plus particuliΦrement a Bracon, a Thessalus, ouitout auire membre de laetamille.

Les anciens critique ontinis des opinion uti diverses fur rattribution 1 te o te filao descendant d'Hippocrate, des disserenis sicrita qu'ilconi supposeis'δtre pas de cemsideein. Je erois utile de rapporter leur principaux dires a celariet; car il est certaininu'au molnsu de ees hippocratique Polybe a uide ses livres caches dans la collection, et i est exir mement probabie γ'il en est de meineiour plusleurs avtres mεdeein de laidine famille et de la meine cole. 8vivant Galien, lem line des EpidEmies est, non ducεlΦbre Hippocrate sis d'Beraclide, messi'un Hippocrate plus recent silide Braeon , te, Iera et te 6 fonte diNil, 'aprε les uns , de Thessalus , 'aprἡ les autres, d grand Hippocrate lui-meme, mais seulement uirecuei de notes non redigsies, que Thessalus , volitant que rien ne se pedidit 4εunit inutes ense les, et publia prhil mort de soniΦre. Suivant Dioscoride I'autcur duriture des Maladies qui dans nos ditions porterae siue de Premier, apparienaici Hippocrate , sis de Thessalus. Le traiie do la Nature de enfanc etsi attribusi a Polybe, disciple 'Hippocrate. Uopuscule dumegime de gens e sanι ait attribusi a Polybe, a Euryphon , a Phaon , a Philistio , a Ariston, et a Pherecyde, tous auisura ou plus anciens qu'ssippocrateis ses

M traiie dumesime en uolsatures hiat resust a Hippocrate , et attribu aux momes, Philiston , Ariston Jhεrecyde, et en re a Philotas.

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diure des Detions linit, fulvant quesque - , non dNipp rate, mais de Polybe, son disciple. Glaucias, et Ariamidore Capiton pensatent que te traiin desivmeura inumiraesideras Tarente et Zeuxis delatent completemen dicatalogue des aeuures hippocratiques, initd'un des Hippocrates posserieum. Les anciens commentateur on admis que parmides sicrita dea collection hippoeratique, Iesins soni des recuetis de notes pris para'auteuraui laneiour son instruction o pouria preparation d'autres Ouisages , et que Ies aurem soni des livres achevh et destines a Iapublication Galien diten disserenis endroita querae notes te livres hypomnematiques. Dur me servi deI'expression ancienne ayantis rouves pres la mort 'Hippocrate parson sis Thessalus, elui-ci les siunit, te coordonna , et Ies publia ena Houtant du sten. que certains 1lures solentin recueti de notes , de fouvenir non destin/s acla publication, c'est e que pro est'examen te plus superficiet de la Collection hippocratique; quant a sest cla publicationia Thessalus, filkd'Hippocrate, es comune supposition des commentaleuramur expliquercetis publication, ouune traditio conservee Galienis non cette Opinion particuliδrement a propos diu livre des Didemie , du vi'. et destreste de Ostiein dumedeein et rencontrant, dans ce dernier livre la repetition 'un passage, i remisqueque cedivre a te publie pres la mori dea'auteur, et que les opistes on l'habitudo de transcrire, dans te corps dea'ouvrage me ri titions queri'aute χ'avait sicrites que murexamine laqueue des dein lasons de dire it presererest quandrit en viendrait Lune inlaetiond/finitiVe. Par mes meherches surdes commentateum anciens, te suis arrivi a monuer aeune manilreir-usable questa Collection hippocratique existat dM le temps''llerophile, et qu'il fallait par conssiquent reporter auineta de cetis poque meme la composition des divers ouvrages qui en soni partie Ie suis bien aise, puisque rOccasion4'en prsisente ici, de rappete quo telle a lil aussia'opinio de Galien et des autres critique de l'antiquita Mnsi, Iesmialeeinde Pergame, annoneant qu'il examinera e qui est dit surda dyspnee dans lectivrochim cratiques, declare qu'illa'exclura pas de cet examen tes Ouvrages qui 'apparuennentias hssippocrate, attendu que ceu la momes soni, o de Thessalus, ou de Olybe, ou d'Εur phon inus auteum qui ne soni εloignes ni du tempsit de Ira te hippocratiques Cest Deo resultat en esset γ' outissent in des dires des critique de rantiquiti uiliis γ'ilsis fusent a Bippocrate tui lane est torioursattribue , quelqu'un plus anciemque I sontationdes Moles a Alexandrie. Soranus de Cos, nous di te biographo Hippocrate, avait ouili les bibliothinues do tisule mura cherche des documentis aluustre medocindon it aves iaricla vie Ilo trouva la date precise de s naissance de rappelle ce ait uniquementiour monuerriu'Hmuvat favolesta encore quelque traces , soli 'Hippocrate tui lane sol de sariamillo, qui aves occup unaan si honorabie dans cos, et qui appari ait a servie du templed' cula . ais Mus savons Mulement que Soranus yarouva une date. nisuis krivata adu Murni des renseignemenis su Hippocrate , in famille et ses ouvrages Cest Macaroe navali compost une histolae de Cos, qu'Athisis mentionne a diverses reprises Meuiauisur

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LVIII

Iui me or dans son do tineatur il avait, en partant des medecim de Cos et de Cnide, expliγε comment iis elatent asclepiades, et comment les premier descendanis de Podaliro linient venus deSyrnos Cette indication interessante mur histoire dela familled'Hippocrate, montre que ligentillogie copiee pararatosthene reposait fur des documents empru 1ε a des εerivain quietatent bien plus volsins de l'epoque dimedeci de Cos , et par consequent plus furement insormes. La mention des modeein de Cos et de Cnide satis dans uno grande histoire comine cello de Thopompe , temoigne dea'importance'u'avalent prise, et ces elabiissemenis medicaux, et Iechommes qui iresidalent. Ie regatae ce utro d'un chapitre de Theopompe comme capital dans l'hisloired'llippoerate. Voyecen esset commea te ceti histoire s'enchaine Platon, discipla de Socrate, designant nippocrate, 'appelle fit des asclepiades de οὐ Theopompe , historien contem minil'Aristote, traiis, dans uniaragraphe species, des asclepiades, m&lecin de Cos et de

Cnide Ctesias. deein de Cos, aselepiade aussi, est connud'ailleum; de telle sorteque Platon, Ciasias et Theopompe formentine chaine, san interruption de temoignages qui , -- mencant a Hippocrate lui--me Ont juriu'h Alexandrede-Grand et certi sient, mur inuiscetis periode .l'existence des aselepiades, medecim de Cos, et Ia place qu' cupo ipp erat dans retis famille. Les plus anciens manuscriis doni Ies commentateurs lassent mention , soni ceu queren-sermes la Bibliotheque myale d'Alexandrie Galien , malM toutes se recherches, 'en alamat pu trouve qui remoniassent a cetis epoque encore Oinc boni vola es mem- Manes, es euiues de papyrus , o ceci lettes , fur tesqueves on a pressenduinu'Ripp crate avest εγω se pensem, et lesquelles , -Non dit, larent livrω acla publicite parses descendanis.

on montrait, duriemps de Pausanias, dans le temples'Apollo a Belphes une statue enheonge representanti cadave humain dia anciem, enti.rement deponille delahairs et ou illae resinit plus que les os cies Belphiens dimient quela'eiai une offrande d'Rippocratele Mecin Au reste , ette statue testate plus ancienne que Pausanias car ellerioue uirole dans histolae decla guerre sacrω, ou Philippe, perera'Alexandre, s'immisca.

Une auire mure de renseignement precieux venati des crit medicaucantorieurs ouimmediatemen posterieur a Hippocrate Les crit anterieur soni ceucd'Alcmeon , de Biogene 'Apollonie, de Blmocrites, de prodicus, d'spicharme d'Euryphon. Toute cetis libterature est aneantie; mais si nou I'avions encor , 'il nous hiat possibi d'etudier e monuments plus anciensinu Hippocrate lui eme, nous y tr verions tres certainement destermes de eomparaison et des rapprochementa , nous comprendrions ce qui a et imite partes hippocratiques, et nous arriverions a fixe ave beaucou de precision une genealogio des observations et des theories medicales telles qu'elles se comportent dans a collection. intenant, suppofons que nous possedous inus les criis composes dans age qui a suivi immodiatement Hippocrate, Cest- dire les livres de Diocles, de Praxagore, de Philotimus de Bieuehes Nous trouverons , dans cette nouvelle strie de production, des termes de comparesso , des rapprochementa, mais qui seront dans umotare inverse de ceux don illa linquestion pou rautre serie,''es, direque les comparaisons et les rapprochementa, auuieude descendre vers Hippocrate, remontemni vers tui Be cetie lacon, On enfermerait, entre deo limites fixes et rapprochδes, lautes Ies oeuvres dites hippocratiques, et o parviendrait, en union nombre de cas, a porter un jugementaria precis alaide des lumieres qui horderatentlas deux cotes decla voi ou 'on passerat e revue les crit hippocratiques Tour a inurimitateor et imites , emprunteum et preseum, cesmures se troiiveratent naturenement misa leu place et tout e qui, dans cetis collection . echapperai aTune u DI'autre de cesumites, serest dἡs lora Dappe d'un caractore incontestabie d'illegitimite. Nous Uavons aucune preuve que les critiques et commentateur anciens se solent livris hoetis meshode de rocherches et de comparaisons avec laute la rigueu doni esse est susce

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tent a collectiomen arriare et en avant, tant unaait incontestabie, avisi exercer dea'inssuen surcles jugementa qu'ilconi portes. Quandiem iis,'auraientias ludi avertout I soin possibi les termes de comparaison qui etaient a leur disposition ces termes existaient, et donnatent aux opinionides critiques une directio qui poli sitre irrεssechie, n'en alas etemolnsisielle Cette direction nous manque completement vita perte que nous avoncisi te detant de monnmenis medimux c'est une aiso de plus pou peser avec attention les jugement de anciens commentateum; a nous retrouvon , dans te consideration quo jeviens de appeter latreuve que leur dires n'on mini t dinusis 'autoritM. Be es autoritas rien ne nous reste, sinones certitude qu'elles ni exist pone elix, qu'elles on δε consultem par ux, et welles Ont instu plus O molns directemen surdes opinion qn'iisse soni form6es dea'authenticit de telis te livre hippocratique Cela sumtiour assuris grandement a son Our la critique moderne, qui ait alor qu'elle Mut a molns dans doeertaines limites, accorde crεance a son ainee. I ne me reste plus qu'a mentionneri seu livre Mais e seul 1iure est par in date et par son sinet, te complisnent te plus prficieiis et te plus utile mura'histoire decla collectionhippocratique qu'aient piavοi Iecrenseignemenis divere que j'ai numεrd plus haut Illa Me possede par antiquite, et, si nous te possedions cesserati nn trisO d'eclaircissemenis concernant les livres qui portent te nom-'Hippocrate Galien ne nous en a consere quot'indication maiieette simple indication merite d'otre examin avec soin. Ii vous oulegi, connalire les opinionides anciens medecins dit alien uousis'ave qu' lire te livres de, Deοιιeeιion medieale attributa a Aristote, mais qui soni reconnus our avoirint compο- η se par Menon, o disciple; aussi quelques-uns leur donnen iis te nom de Liores menon niens Il est evident que ce Menon,inyant recherchsi avec sol le aneiens livres msidicauxi, conservsis de son tempso a pulse les Opinions de leum autevrs, mais illa' pu consigner, , dans sonisuvrage, Ies doctrines enserinsies en declivres qui avalent etydesruits o qui, is bien'u'existant encore, n,valentias et Uus parqui. Vous ne trouverez dans cet ouvrage de Menon, aucun medecin qui de la bile aune οὐ cla bile nοire, ut phlegme, lasse, 'element unique dicorps humain. lusieurs msidecini, meme aprΦ Hippocrate, parias sent admetire, comme elament unique en nous, te sang. auquel iIs attribuent la premiἡre formation deri'embryon, son accroissement dans la matrice, et son developpement complet, priscia naissance mala Hippocrate a crit que quelque uns pensatent que te corps humain tali ou tout bile, O laut phlegme, et illae se semitias exprim&ainsi s li' en, vestias eu de son temps, o avant tui, qui eussent mis cetis opinion ηSi e livre sinit parvenu j γ' nous, ou si Galiena'avait discute murrat lis e qui enses de doeisines, eruit te propreMBippocrate, nous aurions certainement des renaeimementad'une grande prωision sur Pantiquite medicate en sintrat, et fur Hippocrate en partieulier. filium ausia anciemque eelui de Eenon, discipioAE'Aristote, tranchemit uigrandiso rede questions surci'simque de teli ou esse dec vorte, de tene ou telle thωrie Mimineratid'un aevi eou inuti qui est postarie die philosophe, et nous donnerare des notio pescises fur i intervasse de temps qui s'est ecoule entre Hippocrato et racoles ripathiicienne. 4ries intine duiure de Mnon imit dron a notroaut et nous lauriami las plus pr-eux--iaux mur une histolae de is m,lecine iusqu'au temps dAristote, Ces, dire, mur ne de cesses ouae documents sonides plus rares et les plus ineertain I, reunt, cour aperiu emque les eritique anciens possMalent et eo que nous ne pos don plus pοurda dMision des question relatives ara lagiti te, a riuisitimiis de tel ouael serit de is couection hippocratique diu nous, en esset, Ies tradition recusissimencore a temps ' trophile, deae erue de Baechius, sunt antant es, et la valeuris'an

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Hippocrate, et les Mint les plus importantide comparaison nous Ont in enleves; ensin unimitet Mustoire de la moleeine, te premier sans douis qui ait in compossi et qui remonis jusquirin Mevo d'Aristote, a dispariave tant lautres monumenta de cetis haute antiquite, Les anciens critiques ne nousint pas appris que usam iis Ont sest de es elementa de di eussion maiij, ten acies Muni mus uiseul Guyδ'ceii, as dassurera critique antique avant de passer a la critique moderne, qui, ouvant peuve ire plus que son alnee, nopeut'ependant rieique par esse. La mention duciture de Menon, quoiqu'elle ne nou donne aucune notion directe noua fonrnitin argument indirect d'une grande orce iniichan Iantiquite des crit hippocratiques Tout e que les anciens critiques, eis quo Gallem, miten et les commentateurs dAlexandrie,4'aceordent a placer avant la sontation du peripatesisme, doli ne Matrementetre admis comm reellement ante, leues Aristote caris aviat, duriemps de ces disserenis eritiquos, te livro meme d'un disciple de ce gran philosophe mur controle les assertio qui auraient attribu aux crita de Ia collection hippocratique une antiquit tro reculis. α'est dono pas sur de pure cori tures, fur de traditions incertaines, fur des donne sans landement quo te anciens se soni accordes a fixe repoque de la composition des principaucecriis hippocratiques vere te temps''nippocrate lui eme, o vers celui de sessis et petit fila; Is avesent, dans rouvrage de Menon, n mini solide Ouda critique m vest cet tablis quoique celoin nous manque rappetonsmous qualis existe pou eux, et cetineonsularation digne de inuisa'attention de la critique moderne, lettera une certaine lumieros des questions obseures.

- eia Mucillis par les eritique modernes qui ont composε des dissertations speciales sureo mini d ustiare litteratre Leum travaux ne peuvent eis negliges dans cetis introduction. v saut quedo Mitve de leum recherches, queri m' latre de leum idem que e consistola methode'u'us Ont sutrie et tali te o uison arrives, et que 'essalela,meliore lamethodo et de re te la limite Je ne suturai pacta ligne la plus rotis, et tera inuri'auraitias ta me la plus netis de mon travan, si je,'e Messias inmmatrement ce'u'om ait,

Les deuipremior qui se solent occupes de ce Mint de critique sontalmos et Mercuriali. Louis ramos s'appuleruntquement in tes dires de Galien et ili'aias d'autre avis que celui duildeein de Pergame; Sesta laseule base de s critique L style et la sorce des pense . qui sontaien quelquelais inuoquem par Lemos, ne soni uti argument tres accessotro murae medecin evag l. ce serat un progres Murcia critique que de quiuer 'appreciationuntque distylo mur passer alexamen intrinseque des ramoignages Mais , dans I'opusculo de Minos ceri'estias de propos delibere que cetis regle de critique, a laqueue les emvainspo risura malendroni furtout est Ia me de eoti, maice'est pares qui iuge alien un

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