Oeuvres

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s'en est tonii principalement auidires d'protien et de Galien Grimm legalement de la sureis dans se determinations mais ilis'est arrεt a ceriu'i navait de plus positis e par cons quent de plus acile, et illa rejetsi, a tori, ainst que jestacherat de te demuntre plus Oin, desecrit qui dolventratre restitues h Hippocrate. Ceux qui Ont consulte principalement les temoignages des anciens critiqueson microti desur uri terrain solide, qu'il necagissat plus que deleudre, en rendant. 'it etait possibie les recherches plus minutieuses Cest iansi que 'ai et amenem reunt totis lectemoignagos antique de Platon, de Diocles, 'Aristote, 'Herophile, de Xenophon a en tirer out oe au'illa renset malent, a rappeter 1'existence decla Collection medicate de Menon et a constater. autant que Iaire se ouvait, es documents bolis et alabies surdesqueis te anciens commentaleuris'appvyalent. De cette elude est sortie la conjecture qu'un petit nombre 'ecriisd Hippocrate seulement avalent vii leuour et avalent circule de so vivant, et que e grosn'en init devenu public'u'apres la sondation des grandes bibliotheques; car 'est usque-laque remonte la longue serie de commentateur que j a derculae. Illa saltu alors se rendro compte de ceti publication, et recherchercles traces decla maniδre doni la Collectio hippocratique avait si te composee. Les chapitres X et X soni consacres a cet examen. En ludiant les recherches de M. Lin L .cio ne tomba pas 'accor avec tui fur es basesqu'il avait admises et i me resta prou si querioutes Iecthsiories qu'il croyait Otre ou dues a Aristote posterie ures meme a ce philosophe remonialent beaucoia plus haut; 'enis tro uva la trace duriemps 'Hippocrate et vani tui, et ii me devini clair que ces doctrines avalent cour a repoque sim o vivest e medecin de Cos, et qu'il lauait reporter plus Ioin dans l'antiquit te travaili'idees qui les avait ensantees. tendant alor te pia de M. Link, et fulvant 'exemple qu'il m'avait donnsi, j'a essaye de me laire vitablea exaetdu systemo momela'Hippocrate, c'essea ire decla regie 'apros laquelle it jugeat la sanie et la maladie, observat les malades et dεcrivati leur histoire diagnostiquat molnsu'assectionparticuliδre que ses terminalsons et ses crises, 'apres laquelle ensiit appliquatiles re des. L ehapitre XIII est consacre a cette elude La lecture des uvrages u es devanciersavalent adopte de piant de me divergenis, ni avai sati senti la necessite de combinerinus Ies resultats decla critique , et decies accepter comine conditions dii probleme, do manter que les sicrita qui echappulent a l'une de ces conditions se trouvassent, par cela Seul, rejetes hors du catalogue hippocratique que e travaille a resser. I sallait donesque lesysteme 'Hippocrate se montrat, plus ou molns a deconvert dans les critique je dsiclarais hippocratiques 'aprὐ de temoignages direcis, ura'apres de consequences urees destemοignages oblige aliis de controier me premiores determinations, 'ai reconnuriu'elles recevalentine clarte nou velle de I'ensemble meme de la doctrine ensemble qui,' aide a sorti sier quelque minis salvies ou la critique ne peu Murni de documents bien certains. Les considὲrations surdo style et surdes pensees ni sit invoqusies en troistem licii Lameihode meme suivie par les critique qui ont furtout beaucou attribuo a ce mode de dete mination, s'est presente alor a mon esprit4'une maniore inverse Au licii de chercher acleeide para'etu dei style queis talent les livresi Hippocrate, 'a cherchε ayant dote mine ces livres par unis utre mοyen, a reconnaitre les caraeteres du style d Hippocrate. II fallait'u'entre ces livresue ne trouvasse aucune disparate choquante dans te langage et re position carisne teli disparate m'aurait inspir de doutes surra valeu des arguments antecedent qui m'avalent decidε dat dono encore ici appli lusi a regi qui velit que murun probisime de critique commelour un probleme de physique, tolite les conditions solent satissaites. Ces ainsi'u'en usant de laus te secoum que 'avalent prepares me devanciers, quaenpoursvivant outes les directions qu'il avalent sui vies, qu'en examinant coinmen la critique hippocratique s'etait successivement agrandie entre leure mains depuis Lemos jus tu'ari Linx, Sest aliis qu'en prenant leum resultata, une sol trita et admis, commedes condition auxquelles la solution du probleme devai satisfaire, 'aitu rectister des potnis evne, et donnerine plus solide certitude aux deserminations. I'a tenura monisu que si

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oni servi de regi aux critique tant anciens que modernes. I, montre les remources queles premiere avalent possedem et, dans l'absence de leur travavcspsiciaux. 'ai cherche dreunt quelques motis qui Ont site donnes de leurs jugemenis, et qui soni dissemines G et Ia particulierement dans les ouvrages de Galien . 'ense te manque . il est Vrat; ea molas i en resulte certain renseignement utiles, sol surcies auteurs auxqueis iis attribuatent une colla ratio dans Ia collectio hippocratique sol surdes remarque particulieres d'apres eriuelles iis essayalent de motive leurid istons. Les critique modernes ont ou veri des apercus nouueaux J'ai discute incidemment avee . Lin ceraui, dans te livres hippocratiques, a rapportisux doctrines physiologi ques Ouphilosophique il est rest positis que eos doctrines talent plus ieilles qu'il ne ravait suppose; et, de eetin sacon encore, rati rattacher Ies systemes generaux decla collectionaux systemes qui avalentissigrasi anterieu rement et donici, presente une esquisse dans leehapitre premier de cetis Introduetion L'espece de chronologi que des critiques moderneson vovi elabit entre les reritis hippocratiques a raide de certaines decouvertes anatomia ques doni iis croyalenta date sxhe, merit une grande attention Les bases en ont ete, ilest Urai, Osees par ux mais elles,'on par avoles sol et de rectification et d'extension et je me suis engage dans decreeherches doni j'expose ici a Iecisurde resultat. Lechippocratique ont-lis distingue les eines des arteres eique potnt du corps Ontclis placerae commencement des aisseaux sangui onNil connil'arti explore Iepoulsousphymologie 'ont-iis consondit, fouile nom communi chaim, te parenchyme des organes et les muscies eux lanes, et n'on iis amat employ ceu dernio re denominatio pour designe les Organes qui servent acla contraction onNil connu les nerti EnsndoiNon admetire qu'ilsi'onidamais examine. 4''aide de la dissection, des parties dicorps humain Be es questions 'une, a fauoi celle qui est relative in commencementies alas uxsanguitis, 'a amaiceti compli temen examinoe ellei'est que touchee par Biei dans son e litioni trait de la Haladie saeree; Ies autem on eia diversemen resolues; toutes importent acta consolidation decla eritique declivres hippocratiques. cautevr d'hisinire de laiωecine on oneinalement admis que la distinctio des ari res et des eines avait ei satis tres posterieurement a ippocrate. Riem pendantis' tmolns prouVεque cette assertion. a discussion de quelque passages de Histoire deuamedeeine dem fleeker, va montre qued'anatomie des aisseau sanguincalewin quantha serie delasicouvortes doni elle a te oriet ditre examinε de plus pres et furtout Araide des temo nages que nous ouenit I'antiquise Dioclti de Caryste, qui vivaitie detemps apros Hippocrate, aves connu Ieature de Artieulatis Becker en conclut que

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anterieur a Diocles lui-meme Cela posε voyons Ies consequences qui en deeoulent, et auxquelles M. Recher ne me parallias avoi sat asse attention Il place Praxagore de cosapres Biocles, et avec raison; puis it attribue a Praxagorei'avoir docouver la distinetionentre es vel nes et les arseres Ilo a contradiction entre cette assertion et l'assertio incontestabie, selon Hecher et seson moi que te liveo des Arιieulations est anterieu DBiocles carie livre contient, en plusleurs endroits la distinction des arteres et des eines. x 'expliquerat ailleum, dit 'auisu de ce trailsi, Ies communications des ei nece des arteresi, et ailleum: aes ligamenis Ies chairs,cles arteres et les vel nes presentent desi disserences pou la promptitude oucia lenisur avec laquelle ces parties deviolanent notrosi et meurent , Ces citations monuent la distinction des arisires et des vel nes Lune epoquo anterieure a Diocles, et a plus sorte resson, a Praxagore auque o ne peu laissee 'hon- neu de cette d6ωuverte satis laire violence a des texies precis Bancto les eas, it aut OPier is placer la compositionis traiis des Artieulationa apres Praxagore, o admotireque les arteres Ont ete distingures des vel ne avant e medecin. ais, comme en maiierctus critique liudraire iste ne prsi vaut contremit6moignage positis, e ne volsias ceriu'onPourrat oppose a ces deu satis que 'ai approchsis la connaissance des arteres et des cines consigne dans te imite des Artieulations et a date de ce traite, place satis contestation a une poque anterieure non seulement a Praxagore, alia Dioclδs lui-meme. Jelourmis me contenter de cet argument, et regarde comme deeidue par russirinalive laquestion de fauoi si a distinctio des vel nos et des arthres arato connue avant Praxagore. Mais, dans une mattere aussite connumque l'histoire medicate de celle periode meme quia prsicodsi Praxagore, e emis devoi resinir 'autres ait non molns probanis, et donnorquetque explications fur os confusion reolles qui on existe dans 'ancien tangago

Aristote parte de la distinetion des arteres et des Veines, et ii ne rem arque pas que cette distinctio sol recente uia imau dit-il est compose de eines, de ligamenis et d'artores: η dc Veines, cariiquee, elle foui niti sang; de ligamenis ea elle possede decla tension; M 'arteres, caselle amne expiration ,, Cetie constitution de latea svivant Aristote devini poli Erasistrale a constitution de tous es organes. 'apres e medecin alexandrin, os PrinciFes constitutis de iovi te ooeps etaient une triple combinaison desieris, des cines et

des arteres.

Tout te morceaid'Aristote est eurieux Ce naturaliste ne parallias avoir d'Hεes precisos surda distinction entre les arteres et les ramiscations de is trachsie-artere Selo lui, les arteres sonipleines lair, les vel nes de sang.1'homine a besoini'esprit et les espriis d'hu- meum aes arteres S'unissent aux et nos, et cela est manifeste avxsens Cette communication Visibi qui, 'apres Aristote, existe entre es arteres et les eines, est conforme aupassage, citε plus aut, duarait des Arιi lations On volt qu'it 'agit a de communications amat comprises enire les ros troncs dos arterus des velites et de bronches, et non des Commonication que les modernes on reconnues enire les extremitus des eines et des arteres Le passage d Aristote surta communaute des arteres ei des cines est tres important; carrit explique cclvi ducitur sv les Irιieulations ou on aurai puratre tente de Vot une anatomi beaueous plus savante qu'elle ne l'est reellement. Cest done enetire u secone ait qui montre que l'omne pent accorde la dccouverte dona distinction des arteres et des vel nes Praxagore ear la volt dans les erit d Aristote sic 'cst pactout Aristote ne s'en ait Pachonneur il la apporte commo un ait uotoire; de sortesqu'clle remonte encore au-delv de Mi Ces enseignement soni certainc et i est encoro possibio 'alter beaucouppIM Ioin.

Diogene 'Apollonie, qui est anteriour a Hippocrato plaeait Pintelligone dans la cavitε artoriaque u ceur, qui est auraicia cavi: pneumatique Lo philosophe, qui admetis it quo

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lariore gubernatri , solidans univers, sol dans rhommo est rate, a di avoi unemison mur suppose que eetis lare residait dans Io ventriculo Duche or il est laevo deuouver eue mison dans l'etat des opinion anatomiques et physiologique de eo temps

Biogene tenant, comme beau up de se contemporains, es arteres Our pleines 'air, mit dans le ventriculo te strue de et air, ourcera mouvement et de l'intelligenee Isai dout pas que las mola ventrieuι arteriaque ne tui appartiennent; car. 'it 'avait paseonnucles arteres, s'il ne les avaitias supposis pleines d'air comment auraii-il te amene alaire sieger l'air dansin ventricule di eur et commentis,umi iluas appetet artistaque loventricule qui Mevat raOrie, puisque lesbronches, c'MN dire es aisseaux de rate,s'appetaient aussi aortes, commeri te dira tout a I'heure mans univis endroit Diogeno parte dei'air qui est dans es eines; 'est'u'en esset, perpetuellement ei ne s'employait mur artere; et dans te livres hippocratiques, o vara voir, des arteres, vivant et aneten langage, donnent naissance a des Veines, et des vrines, naissancea des arteres. Dutre ces raisons, times de la physiologie de Diogene, te contexte decla citation mθme de Plutarque indiquerat que les mota eaviis neumatique soni πιοutes par cet autev mmmeune explication des mois ea vite arιeriaque Cela est en esset Erasistrate, dans uniassage conser e par alien designe te ventricule gauis ilicseu par expression de eaviιe pneu-maιique ce qui prouue que Plutarque a uouIu donne reellementine synonymie. L'opinion, que les hippocratiques n'onlpas connucles arteres est tellementi aetnee dans Ies historiens de lamedecine, que saccumule suris potnt les texies et les aisonnementa. Rienis'est plus enmurageant mur la critique queste Gncoum, vers une seule et meme conclusion de plusie s satis qui viennent de minis tris-disserenis Ledernier de ces salts estio temoimago 'Euryphon te celebre medecin nidien l'auteu de Sentenera nidiennea. Laelius Aurelianus a .consacre uichapitre a retude de rhemorrhagie Ilo apporte les opinio des m&lecius surda disserence do I perte de sang. Themison ne reconnaisses qu'uno seule espece 'hemorrhagie; outes fulvant tui, venaientd'une plate Asclepiade les divisait en hemorrhagies par eruption et par putrefaction. Erasistrate admetini comme dissereneest'erupiton. Ia putrefaction et i,nastomose Bacchius y joutalici'exsudation Bans ce cha- pure, Coelius Aurelianus dii: Bes med ins Hippocrate, Euryphon on attribue l'hemo

, hagis Lune eruption de sang, Hippocrate par les eines seulement iuryphon par tes, eines et les arteres. η Hippocrate appelle en esset les hisnorrhagies ruptions da sans et, dans laus te passages oti it en indique 'Origine, ille parte que des Veines par exemple, νοur rhemorrhagis enala, our hisnorrhagie pulmonaire mur rhemorrhagi anale Letesnoignage de Caelius Aurelianus prouue qu'Euryphon attribuaita'hhmorrhagi avssi hienain arter 'u'aux Kaein . Cela monumen reisu'Euryphon croyait les artere pleines de sang, et querim hippocratiques lecer aient pleines d'ala. Ainsi votis quatre satis qui se eorroborent mutuellement, et qui prouuent inus que la di tinctio des artares init connuo bien long-temps avant Praxagore, ear esse existe dans lea,ivres d'Aristote, dans la traity canisvιaιiona anterieur a Diocles, dans Diogene dapoli nie, et dans Euryphon anterieurca Hippocrate. Leriai et ii, Mest encore quesque eonsequenem importantes a en urer La mention desarieres Uest piant isolae dansae traiis des artieulaιiona elle se troine en re dans te traiis

des chairco des riseipes duieur; dans Ia premiere parti du pretendu traiis de lanaιure des os dans la derniere partie qui ait intituleo, dans es ditions dea'antiquite, des eines et qui salaestin appendice ditiise des Instrumenta de reduetion dans te traiiade I Aliment dans Io 2 Iivre des Epidisaias; dans Iera livre ensin dans le ' Mnsi. quo qu'omen dise, et emplo etai frequent. II laut mainte ut rapporter te principauxpassages:

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I'autre vetae ave qu ristote nomme orto est ei appet artere. Bans te fragmen surdos seines, qui termine Io pretendu traiia declamature dea os, onlit: a veine principale qui iunge 'epino se rendis coeur il novit ne eine tres grande qui a plusteum embouc res a Meur, et qui Mia forme un uyauciusquam

Je passe Mus silencedimention des arteres, aquella se trouvo dans Iairemiere portland pretendu trait de la Nature des os, dans la livre de rasiment, dans loclivis dumaeur et dans le 4 livre des Midemies; eis arrete seulament sufeesse dum Grecrauisur en

partant du attement qui se salsait remisque auctempes, di dans u endroit: aesi ariareides tempestatinient davantage . et dans unisutrer aes vrinea des tempestat talent nesci veines et Minres sontirises indissereminent runo mur 'autre, et ividerumentsans que ' age dimotirine exesue I eonnaissa e des artises. Misiste nous apprendinue quelques-uns nommesentinori te grandisaisseau que les in dernes appellent en re de eo nom. 'un aulre coia, rauisu duratur hippocratique des Lievae dansa homme appelle les bronchelaomes de sorte quo nous avons en re tu une Preuve des rapporis que les anciens admetiatent entre Ies arteres et Ies ramifications de latrachee Les bronches soni appetem tanto arteres, tanto aortescit navait, dans te la ageanatomique decla confusion enim las bronches et les arteres comme entre ius artere et tes

Suivant Empedocle, inspiration et l'expiration se produisent parce qu'it fades vaisseauxqui Uni vides de sanx, et qui s'εtendent, 'une pari, usqu'aux ouvertures de narineS de autre, usqu'aux dernieres parites da eorps Cest Aristote qui nous a conserve ce assage; mais en l'analysant, it dit que, dans le system Smi docte, a respiration se ait pardes eines qui contiennentiu sang mais qui n'en sontia renipli . II dans cetis analyse deux inexactitudes la premiere, Cest quTmpedocte se fert, non dimo veinea maisd'ummo plus generat, eanauae a reste, 'emples que lait Aristote du molietae muriendrela mo surigae 'Empedocle confirme mon opinion suru'emplo du molietae, piaepa , dansles anciens livres rees la secondo inexactitude porte suae la deniὐplenitude des canaux. pedocle dit positivement qu4is sont vides de sang; e liquidem, penis re dans son sy teme inu, momen dea'expiration, et pou chasser l,ir Cette citation d'Εmphd te mon-ue amne epoque bien reculee, I doctrine physiologique qui supposait que riareiait conduit Par des canaux vides de sanctans tout des partim die ps. naucon ele , doctes Premier temps, appetes arteres. L'appellation des artores et desistanes musis uom communis' partient pas auiseula hippocratiques Mus avons uriu'elle etait Iamiliere si Aristote, a tet mini que si ollisait seulementi chapitre de Hisistre des animauae eleelui des parιies des animaum, dans Iesmel e naturaliste traiis des ei nec ii serat aussi impossibie, po aut que Mur e inius hippocratiques, de suppose γ'ila connu les arteres. Son disciple Theophrasis qui, eomme lui, saviat tres bien cistingueries arteres des vianes, ait arrive rair dans lec inea, se servant indisseremnient de e mot mur signifer Ies,aisseau qui conuennent 4'air menylus, Praxagore, qui dit que les eo ledons de la matrice sont les Muches des Mines et

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de ariare qui 'frendent, Praxagore donne a raorte te nom de seine mairae. II en est ginti duatvre hippocratique dicoeur: les artises msoni denom es, et cependant raorte est appeIeexein epuisse; tant i est rat que c'etait une pure assaire de langam, qui lini detorminω sans dolite, pariun certaininiat des opinion physiologiques mais qui 'emmehait pasinu'on ne sui'u'si favait des arteres et des eines Cest exacteinent, mur en revenirauchippocratique , comme dans te traiia de Fraetures et des artieulationa quoique cesueuitratias solentinvidenimentia continuation 'unde rautre, dans te premier ili'est questionque de eines; dans Ie secondiseines et artises sont nomm s. Les urethres mεnies soni par sol appetes veines il est dit dans le eommoncemen d pratendu traiia dola Nature dec Q. Bu rein sortent Ies vrines qui se rendent ad vessie. Galien dicen disiarenis endrotis que les anciens comprenatent, Mus te nom communiexeines, Ies,eines et Iecariares Les interprδtes se soni tmmpes surde sens de ces passages de Galien Il ont penia que is medecin de Pergam avait ouis dire que les anciens , fessant aucuno distinctio entre les artores et les eines, n'avalent qu'un nomiouries deunordres de viasseaux. r. inus les passages queri'ai reunis montrent que Ies anciens se servatent dimot eine a peuires commmmus nou servons du-ο vaisseau pota designe ala sol le veines et les arthres, et quIis se servatent indis remmenti mo artἡreioue designor ad Misaesariares proprement dites et les ramisications de la trachhe. Bans e systome, Ies arthres constitualent pluto un appendice des voles a4riennes qu'uno metion disysiam circulatoire. Poursuivons juriu'a Mulci'examen de cetis vieille doctrine physiologique Lil est remamu lo que rauleur duci clivre des maιadies, en partant des parties dontia blessure est mortesse, dἡsigne uneoeine qui donne duaang. Cest distinguertes eines qui on disang, de cesses qui n'en on pas L'auteu duriture des Artieulationa, qui a mentio ε expressemen tes arseres, parte de la mortiscation dea veinea sanguinea, les separant ainst de celles qui ne donnentias de sang. Les eines sanguine soni certain ment opposεes aux veines pleines d'air. Volesin exemple ouae nom de seines est donni comme dans Thωphraste, ain aisseau qui eontient de rair Sest dans te trait4 de la Maladieciaeree. Baniles veines, dita'auisur. nous introduisons la plus grande partie de thir, c sonides voles d aspiration de notr , mrps, elles attirent rat dans leur interieue, et te distribuent partout , t alueum: , 'air, en partie a mumon, en partio auxiscines, qui te repandent dans te reste dueor . insi caesoni iei tes xeinea qui contiennenta'air, et qui te resolvent des mumons. Lecveines sont lvidemment misesio des arthres et cet exemple acheve de prouuer ou quoi les anciens disent quelquelais seinea νιeinea de sans; 'εtiatioue les distingue desvetae pιaines d'air. Uidee que les,eines soni pleines de sang et les ariares pleines d'atris tronve implicite-ment exprimωparces distinctions entre les Veines pleinest,ir et les veines pleines de sang. ais este res aussi en tormes formeis in lit dans te live de I Aliment: ua'enracinementi, des eines est au sole, celui des artores est a coeur; decla se repandent dans laut te corpsis e san et l'air non apprendiar une expressiond'grasistrate que les ramifications de la tmehles'appetaient, dans ce systome, Ies premici ea arthrec car e m&lecin qui a foutenique les artΦres sontuleines 'air, a dii que cet ala provient de celui qui nous enisure, qu'il enuei'abor dansles premiδres arthres duioumon , et que de tu iliasse dans te cosur et dans les autres Cest,aroles d'Erasistrate servent de compilanent, 'explication de prouue, a tout eo que 'at dit plus haut Bans cetis ancienne physiologie, ee que nous appeton artores linient les secondes artωes, celles qui receisient, de seconde main, i'air laures par les preMῆres artores, par les ramifications de latrachis. Ainsi de cetie discussion risulte que la distinction de ariares et des vesne a te connus des avant Hippocrate 'u'ο Ies designat communementisousae nom communi vel nes Meles arteres ont eis finiralement consid6rtes comme apparinnant pluto aux voles ari temnes M'aux voles dusans que 'opinion des hippocratiques etait quederatristest contenu

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dans las arseres que cependant Euryphon croyait qaeelles donnatent disang et que clatait mutistre luin deciminis surdesqueis recole de Cnide disseruit de colle de Cos. Iste resulto encore quχωn'est nullement autoriis a enleveri Hippocrate uides livres de la Collection par cela seul que ce lium conuent la mention des velites et des arteres. Galien dit: a respiratio sertaelle a sortisier ramo comni te pense Praxagore is a rasealchiracchaleur innee, commede eulent Philistion et Diocles, o a alimenter et anii, me cette mome chaleur, Omme te dit Hippocrate is est in te dernier terme de cotto euine surdes communautes delitraehee, d coeur de arieres et des eines Les uias pensatent que rat allait rasraichir les autres, qu'il allat entretent Ia chaleur innee. Bes Opinion parcilles peuvent surprendre quandonne se reporte pas a limque Ou ellusontite compues. Ourtant eum siritent plus d'otre comprises qu'on ne te croimitta'a es viles ne sonticini son es emisit, ii est vini, et ne deriventioint 'une observatio rigoureus des phenomenes mais esse ont laur origine dans une sorte Sintuition qui man-que rarement de prolandeur; et, a cet gar une grande distinctionis latro entrem idem en tant qu'elles soni primitives, uisu'elles soni eques de seconde main. Primitives elles ontes'intersit,'indique la premiere impressio que sit surri'esprit humai une certain observatio de la nature. Secondatres, et interet est perdu, et iln, resin plus ordinatrement que e qu'elles contenaiunt 'erransi Ainsi, que les anciens philosophes et med ins de la Grece sans presquaucune physiologie concolvent 'une certaine laconatisage dea'ais dans la respiration, 'estis politi de ueriu'il aut chercher a comprendre mi qu'grasistrate, savant anatomiste, dδlande leur opinion, et emptote. Ourl Muienis, ne science qui dimoin Ieu manquait, o ne peut plus y voirriu'une erreursans porte et sans instruction. L'ide primitive des philosophes et medecins rec se rωuit a ceci L'air est necessalae a la vie et l'animal le respire sans cesse cetrair, Our quo la ius malauenne, doliatre incessammentiorie dans iouincies parties dicorps pardes ValMeaux. Les anciens se soni tmmpes surcle m/canisme de ce transpori uis se sonNil boauco aptrompes surde son meme de la question 'is' Niliacvrai'u'ave te sang, n element deriar, sinona'ala inut entier, est sans cesse distribue a lautes le portions de I'organismea

et n'a-t-ilias pou o et 'alimenter la chaleur innhe, comme le oulai Hippocrate 'Il est, auue mini de rhistoire medicate qui peu servies la critique desicrit hippo-eratiques Cest l'Opinio que les anciens se soni seste de rorigine des vaisseau sanguinS.Cetis question a Mancoup occupe 'antiquit esse avait, en esset, uno grande importaueo dans rancienne physiologie La circulationis etaitia decolivertes queiques spriis Seulu mentes pressentalent; et, de inuis part les naturalistes s'efforcalent de designe te licuPrecis dhu es veines devalent provenir Galien avait placε 'origino des veines dans te solo de ariares dans te coeur, et cette opinio prevalui long-temps prἡs tui; mais elle sui uneboix quo sitae med in de Pergame entre plusleur hypotheses qui avalent et pro See ;In sole, te coeur Iesmeninges la tete, te ventre, une grosse eine, avalent site a dissereni reprises et par disserenis auinum , considἡres eomine te mini delasipari des aisseau sanguins; et meme uneide bien plus prolando et hie plus juste avest ete , des uno quantiis

tres reculsie consignee dans queique,uns desicriis hippocratiques, a fauoi que les,ais Maux sanguinclament uicercle istis'ontioint de commencement mais cetis grande ut Belle ide avai ete repoussee dans Ιχmbre, clariois par les hypotheses diverses qui sup --ienti commencement aux veines je me fers duclangage ancienὶ, et par te trauaux aua tomique plus exacta qui avesentisieux montre te trace des Vaisseaux sanguitis. Bionysius 'agee, dans son livre intitule les Fiιeιs , ou, en cent chapitres, it exposait loPοur et te contre des doctrines medicales, donne uia resume des opinion surri'origine des aisseaux sanguins Cei unam, donide me fers Sautant plus volonuersinu'il proviunt,'unocrivain ancien metira te lecteu au courant de cette discussion Volcide titre des chapitres

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voines. ae ventre est te commencement des veines. - ventre Uestias te eoinmen- cement docveines. a mhninge est te commencement de inustes aisseaux. - - ning n'estias te commencement de inus les,aisseaux. - umon est te commene m ment des arteres. - Letoumoni'estias te commenoemen des artores. - 'artere quin longe te rachis est te commen ment des arteres. I'artere qui longe te rachis,'est pasi te commencement des arteres. ae coeur est te commencement des artores eur, 'estias te commencement de arteres.

Ceque Bionysius rapporte embrasse mutes les opinions anciennes surcetis question que les physiologistes s'sitaieni posee. ais j dois me horne aux sevis erit de la Collectio hi Meratique; et, dans cette Collection, les hypotheses fur origine des aisseau sanguitis soni molns nombreuses. lles se reduisent a quatre: e cervea est l'origine des velam Polybe, dans te mite deda Nature de rhomme .la rosse eine qui longela colonne vesiabrale est l'origine des eines rauisu duri livre des Gidemiea in te seu est l'originodes vaisseau sanguins rauteu duriture des Principes Oides ehaira, rauleur de l'opusculo surrae Coeur in te sole est l'origine des eines, e coeur, des ariares illauisu ducllure derasiment .in volt, par te rapprochement des opinion contenues dans lectivres hippocrau-ques, commetarde resumsi de Bionysius 'agω, e qu'il saut entendre par te problema dat origine des viasseaux sanguins, te que serae sontiose les anciens physiologistes ne sontias 'extravagantes erreum d'anatomie maikc'estine hypothiae que salinient les m decini, ignorant la circulation et uoulant concevoi la Murce du sang. La conectio hippocratique ogre done quatre opinion tris distinetes fur rorigine des isseaux sanguins Ces opinion representen eum des γγ ditarentes de la physiologie, et es il possibie 'en reeonnalire la chronologie χ'est eo qu'ii importe 'examiner. Letointd'histoire taleale alte discuti ave u sola laut particulier par un homine doni Iesiastes connaissances en touis ehose et la date recuIω rendent te jugement murians dire. sans appet en paretne matiδre je eum parier d'Aristote. 8a science et son erudition te meutent a I'abrid'une erreur son poque si rapprochsie de celle d'Rippocrate 'limine, d'unsevi up, ne masse immense de trauaux de Ilures et d'Opinions et ne laisse aucune piae hune confusion entre ce qui est anthrieur et ce qui est postsirieur. I inumerat is discussiond'Aristote car intre rintero qu'elle a murria distinction desines hippocrauques il est eurieux de vola comment te philosophe de Stragire uestes uniolat de critiquo et une que tion de priorite. Aristote est d'opinion que Iecvaisseaux sanguincontine origine et quela Meur est cetis origine mine Volci se principales aisons Le sang4tant liquide, it sau an aisseau murte conten ir, et a celacla nature a Muru parda labrication des veines; ces,sines, a leur inur, dolvent avoirine scule origine car, lais une origine est nεcessalae uno seule aut mieuxque plusleurs or, chstae coeur qui est lepoint de depari des veines ear on volt qu'esses ennaissent, et non qu'elles le traversent Bellus, la texture dicoeur et vetneuse, e qui estnεcessite par in similarit ave les velites Cet organe occupemne position 'origine et de commen ment carri est situl a milieu et plus en haut qu'enias, en avant qu'en arriἡre;

ea lamature a molns d'empoehement, place Ia partie la plus nobis dans la positioncla plus iae Le milieu est letoint te plus convenable carci est unique, et illae trouve aragale distance direste Ceo qui placent 'origine des eines dans is tot se trompent,d'abor iis supposent de origines multiples sipare a pulsilales metient dans unio Iroid Tous tes

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tas alsons ne donne Misiste mur mutent son pinio sont les unes anatomiques.les autres physiologiques, et les vires metaphysiques. Ouraui, 'est doncine doetrine aemee; te sare et locveines dolvent avoi et ontine murce, ne origine; et cetis murce, eetis origine est dans te se . Volei maintonant comment ii tablit se dmit acla priorite de cette doctrine anatomic physiologique Apres avoi expos&les dissicultes qui emprehen de discerneres'origine desveines , origine qu'on ne Mut vola que suram animaux moris , o tres imparisitement surrhomine u rapporto des passages de Syennesis, de Chypre , de Biogene Apollonie et do Polybe, puis si riovis que les autre eerivians on ditiessemble beaucou au passagegi, qui oni sitieitis Ilis est en utret,utres auteum qui oni erit surria nature et qui, 'ontias decrit les velam aussi exactement nais ous en Ont mis4'origine dans la tot et, dans te cerveau is est done de a maniere la plus positive. 'esbadire en citant Iesauleurs qui avant tui, avalent crit susce suiet quAristote tablit e uoles autres Ont penia et ceriu'u pensequi eme , surcle mini illanatomi en question. Ii resulte elatrement de ce qui precolle, qu'Aristote a mis rorigine des aisseaux sanguinsitans te coeur, qu l a regam cette Opinio comme importante , et qu'ilis vovi consisterqu'eue tui appartenait derelaverat seulement une inexactitude ii di que inus les physiol gistes 'vant tui, placent dans la tete te commeneement des vaisseaui or dans te passage de Biogenes'Apollonie, que lui-mεme rapporte, te commenoemenides aisseaux est place moina dans la tete, que dans les grosses vel ne qui longent te ractis Cela 'em cheias que eo potntra'histoire anatomique aliis decide par Aristote ne laurnisset terme de comparaison tres instructis mur plusleur des crita hippocratiques ii devient vident que lainessus.les disserences 'opinion que ila remarque dans la collection hippocratique indiquent des differences de temps et auteur laus es ivres Oucllarigine des aisseau sanguin est placee dans te coeur, appartiennent a ne epoque posterieure a renseignement d'Aristote. Lais I de eritique quo j'etablis ici est positive, car elle se sonde surrae temoimagod'Aristote Au reste, commetie ne doti eire nεglige dans de pareille rectorches, e serviremurque qu'en Milet la collectio hippocratique porte4 son ton timoignage en saveuro'Aristote Les ecriis qui soni reellement,'ssippocrate ne conuennent se quis soli contraire et l'impuissance, qui fuit Ia section decla veine derriere les milles, est dans lotraite deaAir dea Eavae et de Lieua uncindice de cette anatomie Polybe, endre 'lii merate, doni te morcea cit par Misiste se retrouve extvellement dans te traiie de la ture de homine, ne deeritia autrement les eines dans le I livre de Epidemias, ladescriptio se rapproche de celle de Biogone 'Apollonie. insi, out e qui est notoirement te plus ancien dans la collection hippocratique eonfirmerae dire d'Aristote. II saut douc voiris caraetere de moderniti relative dans te petit nombre 'ecrita qui portent latraeei'opinion qu'Aristote a expressiment revendiquees comme siennes.srasistrate avait embrassεl'opinion d'Mistote, ear il avait dit dansae 1 Iiure de sonaresto aurcies Fiaures que te coeur est I'origine . la sol des arteres et des volnes. Et ailleum uaa veine natici ou les arteres, s'etant distribue 4 tout te corps, ni leur commenee ment, et elis s'a uehe dans le ventriculo sanguini Meur rariare, de son cote, alta, ou les vrines commencent, et euela' ouine dans le ventricule pneumatique du coeur. Ainsi, L asistrate etait bien res anatomi mement, Ne Ioin physiologiquement de lade uveris decla circulation du sang; car si, d'une pari, it admetini que les,eines naissentia Oudes arteres commencent, de rautre, it croyait les arteres Iein χ'air. Berophile, te celebre contemporain d'grasistrate, declarati ne pas invole ou lait roriginodes eines It laudeat auoi sous lecyeucle texis memet Herophiletour reconnalire 'ilPretendat simplement4'abstenir de inute opinio surrorigine des aisseaux ouis'i adme tali, commerit est dit dans queiques livres hippocratiques, que Ies,aisseaux istant constitum circuliarement, n'ontieellementias de commeneement. En esset, 1'auteu dea'opuscuis de reinea, reunt dans nos editionia pretenditeat de Ia Nature des os et jadis muni aulivre des Inaιrumenta de redveιion , dit: Les eines se dεvelappenti'une eule; mais

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, ou commene et ou sinit cette eine unique je ne te mis uicercle tant accompli, leti commencement n)empeuiratre trouul. η 'auteu dii trait des Lievae dans homme dit de son cotes: Ielon Oi, ilis' a aucu commencement dans te corps tout est rualement, commencement et sin car, un cercle etant decrit, te comme ementi'en muttire uouve. Bo tolles idees, dans rignorance oud'οὐεiait des conditions anatomique et physiologiques de la circulation , soni certainement 'une haut portee. Cestra decouVerte de arvey. pressentie decla maniδre la plus formelle ut'estias uideve oppernent, Ie plus avanc ε de lamhdecine contemporaine qui ne se trouve en embryon dans a nisid in aniarieure Lea connaissances antique et les nouos soni identiques au lanx, en tant que composees desmemes el&nenis; ce qui n'etait'u'um urgeon est devenuin robuste rameau ce qui sit aiteache fousu'ccorce s'est developpsi a la lumiere duriour. M science, commmen tout autrochose, rimi'est qui n'ait id e germe. Τout prouue que les idees de cercle et de circulationi'ont εω ni comprises niloursuivies par les anciens physiologistes tis se soni obstinta a vovloi trouverisne origine aux vat seaux Plus meme ranatomi est devenue exacte et a reconnite trajet des volnes et des ari, res et leur rappori avec te coeur, plus iis se soni confirmes dans ropinion que les vaisseauxit ovaient motrii commencement. Il arrive omle volt, que te progres mome de la scienco et les sicοuvertes rhelles Ont mur esset de dsitrvire des idees scientisque d'une grande valeur L penssie decla circulatio est dans Iescitvres hippocratiques ones' laisse pourpoursuivreine theorie qui detourne videmment tecospriis decla recherche de la veritabio condition des aisseaux, dicaeui et duisang. 'exemples semblabies qui ne sontias rares P Viennent ces plaintes, wuvent repeiees, que a science retrograde quan des satis dodMail nouvellement apersus brisent 'anciennes conception qui on de la grandeur, et soniperdre deisue des doctrines qui, nee d'une sorte 'inluition et rates dans te land man-quent de ovis dεmonstration Aristote, qui avia beaueoumdisssique, ut conduit a latro parti du cseu les,eines, mais en nisime temps illabandonii l idsi primitive decla constitutio circulaire du corps animal. I 'anatomi modernei'admetias, comme Aristote, que Ioeceu sol l'Origine des vaisseaux sanguins mais elle admet, comme les hippocratiques, que

maisque je rencontre encore, a saVoi queles intuitions soni o genhrat, 'autant plus juste qu'elles sontilus anciennes. 'Origine des vaisseaux, si ellei'estias dans Ieseseur, esteneor molns dans te cerveaim; mais, s'ilis'agit dii moteu primordia de la vie it os bienplus attacheo system ner eux commori'ontionsedes hippocratiques, qu'au system sanguin comm l niense Aristote.

La sphymologie, oul'ari de tirer diponis des indicationscin te diagnostic surde pro

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