Oeuvres

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η Hippocrate te preinter a dii que te poliis que qu'il ut apparienait a laute les arteres. Et ailleura uae premier de ious ceu que nous connaissons, Hippocrate, a critae nora dun ouis, et i ne parallias aves ignore l'art de s'en servir mala ilis, pas genMalomenti, ultive cetis partie dea'ari. , Ainsia'opinion de Galien est que, si Hippocrates eu la notion durimuNeriuri ouve is mula dans les malassies, illa'en aiuriu'une eonnaissane borare, et Uen a les presque

consultons maintenancta collection hippocratique, et voyons sicles detatis M'elle laurnit incideront avec ces dires des anciens eritiques Les passages qui se rapportent auxiu sations des vessseauc sontie nombrenx. En voici les plus importantsci aes vetues pro sentent de battemenis autour dea'ombilic dans te fievres le plus algues, las pulsatio Sont les plus frequentes et les plus sortes. - Cheg Zoile te charpentier les pulsations furentire lantes et obscures. - Si tes eines des mains attent, si Io visage est plei et Ieshypochondres tendus. a maladie dure iungiemps. - Chea Pythodore les pulsations noeesserent pas de se satre sentir. aes eines de tempe battaient. aes arteres destempes attaient. ae in pur, bu en plus grande quantite que 'habitude, produit is hallement des veines la pesanteur de tete et i soli. - Pulsations qui viennent Dappo lamat avec laihIesse. II saut brute les,eines derriere les milles iuriu'a ceruu'ellos eo sent de battre. aes,eines se foulevent et battent dans la te e. aes eines se tendent et batient. aes tempe mn te siege de pulsations. - ux Veines, qui battent torioura traversent les tempes. - Bans testeures, les battemenis decla vein siluee au eo et la dou- eur en celoin se inminent parda dyssenterie. aes subricitanis qui on de lato eur auvisage, une sorte douleur de teste, et unaattement dans les,eines, sontiris te plus fouventdχεmorrhagie. Toutes res citations montrent que les hippocratiquesint is que les veines, comine iis distient ordinatrement, attaient, et qu'il ont examine uelqueisis cos pulsations mais elles ruontrent en meme temps que ces observations talent dans l'ensanee et illa' a risu Ia qui offred'indice d'une sphymologi quelque peu tudiee Galien a parsaltemen repe sente celeta des connaissances medicales, en disant qu Ilippocrate ne parallias aves ignoro rari de se servi despouis mais qu'il ne ratas cultivε.s seu passage, que e ais citor, dolosans dout satre exception II est dit dans lea'. Iivre de ProrrhEtiquesci on se trompe molns en talant te ventre et les Veines qu'en ne

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lectatantias , B est dissicile de ne a vola, dans et auouehement des Minos, ne indication dera'habitude de consulter te muls dans les maladies, et par consequent de Iasphymologie. Et, hos remamuable, et argument, qui signate, dans unoratia de laoolleetion, un ait iudi6apres le temps 'ssippocrate, tombe fur u livre que ous teseritiques deri'antiquissi se soni accordε unanimement a regarde comme 'etant pas ducoiebre molocin de Cos Lea Iure de ProrrhEιique est declare sitrange a Hippocrate par Galien par grotien, et, dism,ils par laus les autres iis ne nousint pas donn los motissde eo jugement it,'en est que plus interessant de uouver, par une vote independante, des motis qui confirment leur arret. Queiques mota me sussironi maintenant pou acheve cetis question de la sphygmologie. Bleophile aves ocriti livro surrae Ouis; et it contribu beaucou a developper cetie4tude Cessu lui qui donnanti sens tae a motriphusmos, et appliquant, san equivoque ce nom auxiattementa qui se soni senti dans lecarlδres durant invide coves de lavie, miti terme acta confusio dans lactermes et dans lacchoses. Praxagore, son mattre

atques; mala is ehose sitiat douteuse. En resumi, ce,'est Diure audela de Praxagore qu'onpeut salae remonier te premier traii de sphymologie Cependant, nous ravons u nipp erat aves remarqui letouis avant Praxagore, et illa'estias te seul Aristote ra connu: Touincies eines, diNil, battent ense te, parce'u'elles on leur origine dans te coeur. At ailleues u Letoulsi'a aucu rappori ave la respiration; qu'elle soli frequente ruale is sorte ou douce, ili'en reste pas moin tes me. Mais ii devient irrεgulier et tendu dans certaines affections corporelles et dans les criantes, les sphrances et les angoisses. Blanoerite a connu ausia letouis et ita'appetat palpitalion des eines. Ainia e dehors d'Bippocrate et iusqu'Dune poque uicine plus ancienne que tui nous trouvoncla mention duiouis, mais non la theorie decla sphygmologie. Quesque cratiques modernes Ont en re presendu que te mot muscieratai d'un emploiposiarisu a Bippocrate, qu'anciennomenco se servat dimotrahair, et que e sont les anatomistes alexandrins qui, les premier , ni distingusi des chairs es museles. Si cetto risis deseritique init admise, elle reporterat Lune date bie posterieurein grandisom-heo dheriis docia Collectio hippocratique. En esset te ino musele se trouve dans tera'

ines des muscies, dans te traii des Deιions internes, page 195, ou rauisu parte desmuselos des tombes; dans les traites des Fraeturea de Artieusaιiona de ollisine dumtaeein des Instrumεnis de reduetion Ourae mot musci est frequemnaen repete; dansis Aphorismea, vii section, o i est parisi des muscies v rachis. on volt combiei; detraitis se trouveraten platas apessae travavx des coles alexandrines traiias doni plusteum soni nominativemen cites par les plus anciens critique , et ces citations sumentseules mur dotruire laute argumentation de ce genre sondsie surda prosence du ino mvaefedans et ou te init. sentis ore en monuer lauaussessi rune autre maniere. Il emetati dimot chair commo

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inoins arbitraire.

decla de Cos Uy alien innovi. Imen est de la eonnaissanee des neris comme de eis duo is Lechippocratique luson indiquε vagument, sans se rendrein compte exae de Ia nature de ces organes Aseonsondalent, it est,res, ovile nom de neris la Hupari des parties Monoes eis me de Mes, quoiquIIs mssent aussi te motriendon; mais iis avalent remamulis,utres parties tela sensibim ainquelles iis avesent donM un nom analogue a colui des tendons Uiei tes Passages: Res eanain etendus dans Ia conemu4 de haque eoia de la polirine, et les Tono prennentes, leur origino aux partim les plus angemuses duino s. in mentant ce passage, alien est que les canain sonides ariares et Iecveines, que les Tonoisonides neris, et que les partim misines dhu iis naissent sonides organes principaux de Iamurine Le meme Iiure presente eneor deuco trois uires sessa'emplai du mo 'nol.

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Bancto traiis de Instrumenta de reduetion il est diti Ilo a Meraindre la retention, 'urine dans Ia luxation de la cuisse en avant ea l'os appule fur de rinoi, qui sont danger x η anile lium de Didemies ut est diici aes de is se sontia les Vei-

nes, les rinoi, les Os les ligamenis, lateau ou dlati tres voles. plus loli u Beux Tono descendent du cerum fousci'os decla grande vertebres, e long de raesophage. Telles sonides notions que la collectio hippoeratique contient surcle neris eviderumentit Ont Me entrevus mais leurs lanctions et leum relations restent iout a Iait ignorem. Platon s'est servi aussi duiem mot et a penires avec te mome sens dans, passage qui venant on eonfirmation des conclusions onsirales de ce chapitre doli eare ici apporto - n tiu se dissout comme uiuaisseau ouis animal doniram neris, es ligamens et les tenseurides tendons, organes de m&ne nature quoique dissemines, Ont recides nomS divers. η Ainsi, On volt dans e passage, i que les rino soni nomines; ''u'il est parte de parties qui servent a tendre les tendons, e qui prouue la connais nee des muscies, et iln'est plus tonnant que Ia hose, tant connue, ait recu u nom, que ronomuVe dans Ctesias et les hippocratiques 3 ensin, que Platon assure que es trois choses, nera ligamens et muscies, soni des organes identiques au land quoique disperses dans te corps et diversemen denomm . o a lati uvel exemplo de ces confusions de la vieille anatomie de meme que, eine, artere broncte, uretere meme laut cela a e te nom commun de vetue, an exclusiond'um m particulier de meme neris, tendons, muscies, laut cela arate considere commede me naturo. Ici mδme se presente unisapprochement inut-a-sait inattendu, 'est que,

dans u passage duclivrei durataime les muscies sontianges parmi les partim demur- uos de sang. u Parmi les chaira depourvum de sang, di l'avisur hippocratique les plus substantielles sontae cerum et Ia moelle; les plus legeres sonides intestiris, les musci , lea parties genitales semelles, esui s. . e passage seu de Platon,' explique com- mepta'auisur hippocratique placat les muscies parmi es parties de urvues de Sang. Les anciens physiologistes, ni Hippocrate, ni ses discipies, ni Aristote meme n'on pus latro aueuno ideo complete des sonetions du cerveau attendu qu iis ne connaissalentiastes lanctions desieris Les hippocratique placent, i est,rai 'intelligence dans la tete; mais itin'en favont pas avantage Aristote vant combattua'opinion de ceu qui pensentque, ehea les animaux Ie strue deri'intelligene est dans te cerveau me ce lege dans loemur, et mmmo dit Galien, ne sat a quo series'enesiphale Cest aucanatomistes alexandrins qu'ost duo la connaissaneo exacte des neess. Suivant Rufus, grasistrate distingue deuxes ces de neris, eux de la motilite et deo de la sensibilite inivant Galien Herophile et Ludeme qui les premiere dansae temps poste, leursis Hippocrate, herivirent urci'anais e des nerti, ne determinerentias 'Origine des ners qui se rendent a chaque Organe, et les minoin euron heaueou de peine a comprende murquoi certaines paralysim portent surde mouvement et d'autres surde sentiment; mais, duae s de Galien in init alle plus loin et ii di positivement quo te ners qui se distribuent aucteguments decla main et qui leur donnent leur sensibilita, oui des racines particulieres, et que celles des neris qui meu-vent les museles sontinuum. Uexamen querie viens de laire des eonnaissances des hippocratiques sur Iecneris, prouueencore queda collection est anterieum auctravain des anatomistes alexandrins, d'Erasistrateo dBlmphile. sanciens hippoemtiquos n'onNils jamais uvert de corps humains, 'en onNils jamais examin4 quelque parties te satique la negativo est oneralement foutenue Cependant, ione uis me persuade qaeitcaioni ete . cet gard dans une ignorance complete. Volci tres Nimement quotquesis de mes motio Aristote est supposim'avoir jamais vides organes dicorps humain, et luLmome dit que les organes des homines Mnt furtout ignores, et que, ur,'en latre une id , Plaut re uri aux animaux qui Osirent decressemblances Cependant les me Aristote dit quo Phomme a proportionnellement te plus de cervelle, que son 'ea a deux membranes, l'une adhεrente sortemen aros, l'autre plus mince qui inuehe

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le remeau meme que te coeli de rhomme est inelino a auche queda rate de rhomme est seinblable a cellei cochoi mala imito et longue que I late de homine est ron et serublabie a celui dulceus que les rein de rhomme essemblent aux rein des aeuis; diant comme composes de plusteum petits reins et n'etantias unis commo ceu de mou- tons et ensin il termine son premio livre de I Histoire des animavae en disant'u'ira exposuimat des parties tant internes qu'externes dii corps hvmain. Resutant opinion 'Anaxa re, qui attribuat rorigine des malacies au transpori dela bile it riovis que, si cela etait, ois'en apereevrait dans Ies dissections. Bi les qui avait publiei traiiad'anatomie, savait que, dans la pleuroste, Cest a pluod qui est te siege du mal. Il est dit dans leuiure de la Nature de Pensant: a'ensant dans a matrice a te mains pres des oves et lariete peta desii somnicon ne eul exactemen juger, meme en voyant rensant dans la matrice 4'il a litote en haut ou enias. Il est dit dans te livre des Chatrari aes humeurs dera'ceit soni semblabies che rhomine, et checles animauX.

museleis'elend o verra que la tot de I'humorus y est salilante. Ces passages munis dAristote de Diocles et des hippocratiques me soni mire que de8eorps humains Onciti examines plus ou molns exactement avant les anatomistes alexandrins.

En general cie remarque dans la collection hippocratique quea'anatomist, develoypeo extraitεe Mec sol dans les iures purement chirurgicaux, 'efface singulierement dans im iures ou illa'agit psicialement de pathologie interne. Aprecavoi etabit quelque regies de critique qui mo serviron ultetriourement, ii ne sera Pas hora de propos de rapprocherin petit nombre de remaeques, tendant a meme but, quison disseminees dans les Ouvrages des critiques dea'antiqvilsi. B'abor illaut observe que ni Galien, ni Erotie . ni lecautresilant conteflea'authen ticita d'un crit parce qu'ilo Maii ait mention des arisipes Galien Erotien, Heraclide de Tarente Ont admis, comme Mant,'Hippocrate, te imito de Aliment ou cette notion est exprimee declamantem Ia plus lamelle Galien arouen Baeellius, Philinus Ont galementadmis te traiin des Arιieulations, oudes arteres soni nominees Ilcnlantias u dans ce ait, tin motis d'exclusion. Il saut en dire aulant de l'emplo duio muscle. Quantis pοula Galien parat eire dispos 14'en servi commeta'un criterium, et i re marque que 'usage dimo Sphusmos dans te sens de pouis est de Praxagore et d'Ηεropbile, et, dans te sens de pulsation violente des aeteres, d'grasistrate et d'Bippocrate. Galien preten quealanatomi dos velites qui se trouve dans te livre de la μιure de hom- me est une interpolation, et n'est ni d'Hippocrate ni de Polybe on mi qu'Aristote la cito textuellement dans sontistoire des anima uae, elle est done de Polybe tres certainement; ron sat encore que la collectio des livres aristoteliques 'est devenue publique que par Apellicon, qui vivat apres Herophile et gra latrate , Cest4-dire apres le tempsiu latine tion hippocratique etait dria forme et publiee. 'interpolation d'vn moreea dura Polyborians uilium, des public dRippocrate, 'est pas possibie ce morceaum' pasinio Prisaux euvres d'Aristote, puisque ces oeuvres,'hinientias encore putiliques ilis' passu clavantage eis pris au seu res de Polybe, puisqve ees aeuures, qui etaient dans la bibli theque σAristotes depulsin'on plus' ni vum ni retrouvωs , et n'existaient plus ous lonom de Polybe a temps de la publication decla Collectio hippocratique je dira dans u

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me , tandis que les autres lui paraissalent conformes h la pense dimεdecin de Cos. Galien a dicaussi que , manifestement te imito des Semaines n'estias d'Hippocrate. La discussion ne a pas Ioliave certains eritiques. insitaean, dans son commentatre surde traiie de la Naιure de Pensant se posancta question de fauoi si eo trai te est d'Ilippocrate , sipond u Ous te dirie ara sol authentique et apocryphe, authentique pou tes, recherches surdes lammes stelailes , recherches dignes de latensemd'Hippocrate, et aussis ourra' ondance des propositions apocryphe, parce qu'il conitent Maumu de choses sausses, et rerreur est reconnue sitrangδre a Bippocratein, et parce quera'auteu se sertn 'un grandiso re 'exemples contrairement , libriavetsi et acla concision d mldeein, de Cos. Lecremarques touctant la chronologie declivres hippocratiques, remisque bien breves qui nous soni arrivsies aveccles restes des oeuvres des anciens critiques, auron e dimoinaceia d'important'v'elles n'auron pas contredit les resultat que 'ai Obtenus par de voles disserentes , et qu'esses Ies auroni mdine sortistes en plusleur potnis. En resumε les connaissances inedicales contenues dans les iures hipmeratique on uncaractere qui leur est propre. L'anatomico est pe developpis et peisitudiεe, exeπω murquetque potnis surdesquel la chirurgi avait et dea de grandes umieres Les arteres

ries commese importantes; 'application decla sphymologie est laut a sat ignoree Iesner sonta'o et de quesque vagues designations; la polamique se dirige soli contre I heole de Cnide, sol contre l'emplo des doctrines de la philosophie litatique dans la mωmino; nulle trace ness, sest voirdes doctrines d' asistrate, I plus sorte mison des sectes midicales posterieures clout ijdsiveloppement qu'ono trouve dδrive sans pesne de rεtat antisieu desconnaissances msidicales Mnsi on est autorissi parda compositio seule des erit hippocratique a les reporter dans ruge qui a prece laeses granditravauod'prasistrate, 'Heisophile et dea olei'Alexandrie. Cestiun resultat auquel rarrive oujοur , dequesque cola que ieeonsidere la Collection hippocratique.

Ilai, dans Ieschapitre V, essπε de eo Iera'intervasse qui sipare Hippocrate des premieraeommentateum de sesicriis, et de renouerine chalne que ila monuω Fotre interrempus nulle part aintenant, e vescessayer de laire, mur Ia Collectio hippocratique , e quo j'at lait mur Hippocrate lui-memes, et meherche si I'ο peu uouver quelque enseign ment surries diversiapporta qui emunissent les parties isol&s musteum des livere hippocratique preaeniunt entre eux de similitudes qui Ont etele plus fouvent considereos comme

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des rodites Ce soni des redites en eget, mala non pas, fulvant moi, en eo sens que eo solent des passages quod'auisue a transcrtis 'un de se livres dans, autre Ie mi que eos risititions annoncent autre Gose je σοis'u'elles indiquent que , parmi ces livres at impios, Iecunsint servi de malis tauch des Ouvrages plus parsalis, que les avtresint Murnimatiore a des extraiti, obscure te plus Muvent par leuririevete extreme, quelquelais par Ic gligene avoe laqueilea' risiastur a salta'analyse j cmis encore que ceti succe ston, que cetis reproductio de livres mus declames diverses, prouuent que es livres soni restos lon temps h la disposition scit fune lamille Mitra'une ecole de medetans. Los Multata quod'ai Obtenus de ceu sacon correspondent a ceuid chapitre Oud'ai monuioomiae les hippocratique avalent compose de Ilures, ous perdus Cette masse d ecriis medieau est allω 'amoindrissant et se detruisant; 'est a 'esset de cetis destruetionm'd savi attribue la presene de fragmenta et d'extralis dans la Collectio hippocratique. ne flagitias iei de reunt et de compare les proposition , nonceus dans de termes plus ou molns analogues , qui expriment la incine peniae, mais it 'agit de rassembler IIndication des principau passages qui soni textuellement copiis es uns surdes autres. Les proposition qui dans la collection hippocratique, ensemen des peniae identiques, sontis tres grand nombre cela se con it sans peine ce Iivres soni a pe prδs de lavimo isoque, dἡriventis'δcoles idieales qui sitaient en contact, et sonia'seuise de M. declas O deseendanti, o disciples , O voisins Iesin des autres It ne aut done pass'Monne d' voi de intuentes consorinitia tesquelles ne prouvent pas utre hoseque la simultaneste de trauaux ex uias dans une meme sphδre dIdees. ais i n'en est plus de vim quan des passages soni copisis textuellement, et reproluit datis es memes termes Le hasard ne peu produire ces similitudes absolues la consor in de doctrines no eui a les expliquer avantage u saut Messairementadmetire uno communication plus imm ate et i devient certain parcia que les auteum de traiias is des passages tenuellement identiques se retrouvent, ont connu on tenu, ont copi te livres lacuns des avis une preuve indubitabie decla transmission, de main e main , de ces livresa et ici e parte a a letire et a raucune sitaphore. stet, dans in letuo sura amen de Mercuriali, a misci'opinio que les renotionade Cos talent anterieuros a certaines aurem parties decla collectio hippocratique, quieontiennent une laute de passages ista se labies a plus grandisombre des renoιion Le land est se lable la forme dissere Les μεnοιiona soni des notestu la redactio man-que Orod'ωrit doni Iesule et renchainement soni excellent , o ne saltias, dit Costei. par ultraves p inrieur, une sεrie de notes de usum mais de notes decousues, O sait tres bien declivres ou inui se lie, et ou I style a re G'Haborationis finire. 'observatio de Costes est insinonieuse, et la gle qu4l en ure est certaine. Cette considorationis in dεveloppo avo tout te scin qu'elle nisirite par .amerins . med in holiandala, dans ne exeellente thδse intitui : peeimen hiaιοrisO-medicum inaugurale de mymeratia doeιrina a prognostiee oriunda, Lugduni Batavorum , 1832. a Minerins ne parat pas avola e connat ance derideo mise par siet; carri ne itopas te medoein italien B'ailleum it se Iest approprie par te developpement qu'elle a prismus 'sa plume, et pardes no reus ireuves doni iid' appπω Ie me contenteres cid'analyserna thiae de M. firmerini ear 'eu adopte pleinement ioutes e conclusions et si e votalais satre autrement que tui, jo ne semis certainementias aussi bien. Lea iure des Prorrhetique et les Pianotiona de Coa sontisne collectio de notes , laplupari relatives avx pessages dans Iecmaladies Ces notes n'ont aucundien enue elles esses 3e svivent maiielles ne tiennentias es unes auxinutres. lles renserinent de proposition plus ou molns delatuεes, des fragmenta d'observationi des doutes que ouleve l'au- eur, des question qu'il se pose. . rvierin pense qu'elles on et recueillies dans e temple des aselapiades a cos cela est tres probabie dans inus Ieccas, des notes tias breves Prises suram malades no rem qui venalenta, satre migner, et joinius bout a boui, n'auraientias une auire forme.

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LXXXVIII

Quoi tu De soli, te passages repetsi textuellement dans run et l'autro de ces livem, prouuent qued'auteu deci'um euri'autre fous lecyeux cela est incontestabie. aininnant, dans que rapportae Prenotion de Coa j ne partera que 'elles puls-O'elles rensermentiresque entisirement teri ylium de Prorrheιiques se trouvenbelles aveod'auires livres de la Collection hippocratique' Cerapport, ii sis singulier a et mis dansiout son Our par M. Erinerins I resulte manifestemen des comparaisons tabiles par lemedecin hollandais, que i,uisu dui nostis a consulte les Prenotion de Coa, et qu'eilassorinent latas principale de milium Uidentite des principes , a similitude des propositions, et a consormite des expression , ne laissent aucun douteis et Nard. ais 'unautre coisi comine te monostio est in tralia accompli, minute les rδgles decla composition soni observees , commeries differentes parties disi et soni enchalnees 1'une ara'avise et formenti inui, comme te livreis uni ambule qui introiluit et une peroraim qui leelot il est impossibie de ne pas admetire quea'auteu quid' compos semit servi de Pr motion de Coa comme de mainriaux. En esset, de propositions decousues ut satre uilivre, en remplissant les lacunes, en luguant 'inutile, en coordonnant l'ense te; maisu'undium bien lait, On 'ira jamais tire des proposition decousues, tabli des lacu nec, detrvire I'arrangement, inter xerti l'Ordre decidees, et inutile Ia restaction Les Prenotionade cos ne sont pasin extrait du Pronosties; car elles n'en suiuentias l'ordre et ensementune laute de chosesiniranores a ce traiie Hles sontine composition laut a sat indepe dantes, donide caraethre est labeunioni'une serie de proposition qui soni relatives auxprsisages dans les maladies, mais qui ne sontias angees sysiamatiqueinent. Au contraire l'autev d Pronoaιie systsimatiso son si jet, et illa pris, dans es propositions, e qu'il a juge convenable elaguant tereste, riouiaut d nouvea , et disposant Ieriout fulvant unpla regulier Eni mot, e qui prouVe que les Prenοιωna de Coa ne sontias eximites du Pronosties, 'est qu'elles contiennent plus de hoses et des c se differentes; e qui provve'u'elles Ont servi de materiain au Pronostic χ'est que les proposition particulieres des Prenosiona de Coa , qui n'en ontioint de Mnsirales , Ont les elementa des propositions g6nsirales du Pronosιie, qui n'en a pas de particulisires C rapportla particulier a genεralentre les renotiona et I Pronostic est tres remarquabim, et i est decisis dans la questionde saxoi tequel de ces detix livres est posterieur ara'autre. Telis' pas te, e te ais , ravis de Galien qui a dit: si elui qui prendra inutes Iesi, proposition des Prorrhetique comme de regie genisales, tombera dans de graves, erreum uis est de insime de lailupari des proposition que contient te Iiure des rea n tions de cis queique passages des Aphorismes dii Pronosιie ι des lepidemies o sontis intercalees; et ce Ont les seules proposition veritabies qui solent dans te Prorrheιiques, et les renotiona de Coa ,

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ais ei et Galien videmment s'est tmmμ il a pris Murrane prouis de posiarioriti eo qui est ne preuve''ant6rioriti, o pluto ilis, pas approlandi cetis question, et a pronones rapidementin jugement ou domine surtout son admiration exclusive mur Ies aeuis veritabies d'Hippocrate. Bos rapporta hien plus troiis unissent Iearaite des Instrumenta de Eduetion et Ieariata des Artieulations Ils contiennent simultanement la luxation decla machoire, dea'4paulo du conde duioignet, decla coisse , d Milou dii piod; 'exposition de plates qui Gupent

Ies membres dans I'articulationis dans la continuite; les gangrenes qui uolennent, tesdεviations de I'epine Marai te de Instrumenta de redueιω et te imite des artieuωιω ne rensermenti dehors de ce cadreruulan petit nombre de parties qui ne sontias communes a I'un et DI'autre Le svjet doni l'un et l'autreis'occupent est don te meme mais celane prouuerest pasin apport entre ces deuclivres car, dans une mauere purement chim incale commem traiis su te Luaeationa , te son sera inuiour identique; il est determine para nature des choses. Aussi n'aurai jeias parte de ces similitudes, si elles n'etaientias assees plus lotes messelles soni telles que visiblement te traiis de Inatrumenta de reduetion est uisirrue dutrali des Articulations. 0 jugera qu'un passage estin abrige d'un autre, quandi verra quo''abreviateu su possi a conserv l'otare des pensees dera'Original, supprimε les dεveloppemenis, et copia, dans ce'u'il a garde mes expressioncmsimes de son auisur. or, 'est ce doni ii est facito de s'assure en comparant, dans les deuctrait , Ies differentes sections que je viens d'enumhrer. Be eur de tropolonge ce chapitre, eis'en apportera qu'un exemple οὐ quo te lecteu se convainque par lui-meme que te traiia de Instrumenta de reduetion estis ita lementi extrait dii grandaraite de Arιieulaιions Il est dit dans te trait des Artieulationari uae sphacete des chairs survient dans Iesilaies avec hemorrhagi surdesquellesu on exercemne sorte constriction dans te fractures des os que ron ferre uom; en on η res, dans les parties qui soni etreintes dans de liens tro etroiis. Beaucou de blessuresi, pareilles guerissent chea ceu qui perdent ne portion des chales et dea'os, sol a la cuisse soli alabras; la usirison est plus difficile Dravantineas et a lauambe; mais desile n e supportent encore cet accident, et furvivent Bans les eas de fractur Ouda lividite et lagangrsine 'otablissent aussi tot, a soparatio se ait promptement ave te corps , et les parties qui dolvent tomber tombent bientot attenditque les os ontraria succo εα ι''inssuence decla lesion quanil la lividite furvient les os sitan sains, les chairs meurenti promptument, i est rai mais es os se delachen lentemenida ou s'e litra limite de la lividite et de la denudation dest'os Les parties siluees au-dessous de la lividite , quand elles soni completemen mortes et insensibies, dolvent sitre retranchsies dansa'articulation, is et te medecin aura soli de ne pas tesse les parties aines Car, si opsir ressent de M la douleur , et si te parties ne sontias mortes la oud rhsectio se pratique, ii est , craindre questa douleur ne cause ne desa illances et beaucoli de malades ontusiri fouis ainement dans de telles syncopes. 'ai ura'os de la cuisse , insi denud&, se dsitachor te quatr vinguemebour. A ce meme malade clauambe avaichtsi enlevee, dans l'articula

tion digenou, te vingtieme jour on auraitiu, e pense, l'enleve plus olimaisbe vovius que rien ne se sit prεcipitamment, et que la prudence riniat 'opisation Bans unias sem, labie de gangrenem te mal s'etendati usqu'a miliet de laesambe, j. v lamber is Vercle soixantieme Our, laut e qui des deucos init denude, ae traiiemen dissere du traiiementiour amene plus vite o plus lentemen Ia separation des os denudεs. Volci maintenant e passage correspondant dii trait de Insιrvmenta de ἐduetion: Sphacete des chaire .constrictio dans les plates aveo hemorrhagie; bandages serrε dans Iecsractures des os lividitδ sumenue inus des liens qui treignent. Be ceucche qui so, delache uno portion de licuisse et duaras ehe qui tombent des os et de chaira, mu- mu guisissent, attendique direste, laure forces se sonuennent Bansae cas de Oae ture la separation se sat promptement. Autrement les os εχεtachen surda limito do

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lenisur mivant Ies desigations moticales ηAprista lecture et Ia comparaison de ces deux passages, o reconnat eviderument querun est uterimit, une analyse deI'autre mome ordro dans rexposition des penssies; mcines exemplas; mei sexpressions. 8eulament m qui armum dεVelopperuent dans run n'est plus M'en substance dansa'autre; eice risumε est momo si bres, qu hyades membres de phrases qui semient tres obscura si te eommentiare n'enintestias dans les passages correspondanisdu traiia des ArιωMMiona Lecresse lances enire ceraturo et celui de Instrumenta deriduetion sonti si Dappantes, et ontio insime carae-edans laus las artici donici'ai india qu&umpe plus haut la correspondisce dans ces deuctrailsis. Il est done certain que Iediis de Instrumenta de riduetion est, en grande parite, unerimitiali su las passages analogues diliis des Artieusationa de dis passages analogues. ear uno observation non molas digne d tre notω que Ie rapporventre ces deux Ilures, 'est pesseniae dans rexamen comparatis anque te me suis lives: 'est queri'extrait qui porte loture declivre des Instrumenta de riuuetion pinente, arrangement plus regulier que letinerimo des artienιationa par consεquent om ut suppose que e dernier traiia aumoment ou reximit appe livre des Instrumenta de riuuetis. εω sait avest les maliares autrement distribuω -elles ne ron torio clia depulsa publication caraes preMerseommentateum, Philinus et Baechius, l'on eonnu te que nous te connaissons encore au-jοues' h, qu'il eontenait plus et contenes moins, et aviat, non mot une dispositionisuis disserente. M tablea svivant, qui donne u index des matteres comprises dans ita et I'autretratina e montrant les parties communes, monuera aussi te dis ences dans l'arrang

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