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guide infallitiae, et qu'i pense que te temoignage de ce Meet sussit mur trancher inutestes question que foul-ed'examen de la Collectio hippocratique. L'ouisage deasimos est ultravail molns eludie et molns indopendant que celui de fiere riali se dernier divise en quatre classes les sicrit diis d'Hippocrates la premiἡre comprendeeu qui portent te caractere de sa doctrine et de so stylo la seconde les Ouvrage quine soni composes que de notes prises par tui mur momoire, ocrites sans correction, et pu-hlites par Thessalus , son sis , o par Polybe , mn endre , o parra'autres discipies, et dans tesqueis se trouvent des interpolations hiranores a ippocrate lui-mtines latroisthmoetasse est cesse declivres qui n'ontias in composis par Hippocrate , mais qui sontu'sevum de ses fila ou de secliscipies, et qui reprMentent plus ou molns exactemen ses dogmes et sa doctine; dans la quatriesne sonoranMcies ocrita qui soni toutd-sait in dehors dera'sicola hippocratique nereurialis'appule, avant inute chose, ou partager te livres hipp ratique en classes, surde style 'nippocrate, et fur simaniere d'ecrire Les anciens on attribu4u Hippocrate une phras homisique la promptitudo h large les mois nouueaux, et uno habitetε particuliare a approprie a son Objecies locutions vulgaires. ercuriali reconnaudans les cevises de ce medecin imis modes d'expositionci 'un est une narration continue eomme dans te trire desinaux de Aira a desaleuae, dans te traii ou risime aes maιadies atques; l'autre consiste en sentences separees , Omme les Aphoriamea te Pronostie letium de Aliment, de misiἡme enta tient des dein auum , comme te livre de la Natura de homme La premiis des conditions du style 'Hippocrate . suivant Mercuriali est laheiovein jointe44'obscurita semias Mercuriali se contredit immediatement, caesi di que, si Hippocrate se monue clair et prolixe dans queiques traiisis comme dans celui dea Eouae das Atra e de Lievi, c'est parce que son friet exigeat co genre de composition. Mnsi lariste de critique de Mercuriali lambe de son propre ave et te signe donne pou distingue lesierit authentiques lait desaut des le premier a M. La seconde condition Sest quoles sentences d'Hippocrate, diemque concises et incompines, ai'en sontias moius mamiaesdu caehet do la 4rity, et qu'illa'estias u mot de lui qui mitraerit en ain il est vident quune mille indication laisse lacritique dans te plus an vague La troisthme conditionde la eomposition 'Hippocrate est la gravise qui seisit voi non-seulement dans te frie lui- mime , mala eneore dans les phrases, es mola et leur arrangement. Telles sonides trois condition qui on servi a Mercuriali mur distingue les erita propres alippocrato de eeo qui tui soni lirangere sne pareille critique repose fur des land menta incertains rienis'est sujet a controverse commerae arguments tires de la gravita dustyle et dem concision B,illeum, iij ad une mition de principes; car, avant de dire quo tet style appartientd Hippocrate , it laut prouuer que les ouisages oues'on crest, a tori οὐ mison reconnalis ce style, soni Mellement dea'auisu auquel ondes attribuo. Voles la listo des ritique conuennent les quatre elasses de Mercuriali 1' classe lo
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u men des ivresti Hippoerate, eetur seste ave une grande avidit malm lecautresu tudes qui absorbent mon temps. 'ai vovi appuyer mon approbation, et ous monuer que e tenais 1 satisfaire a voire demande quant a savant auteu de cet Examen, qu'uu sol persuad queci'ai prisci plus vis platsi a la lecture de son livre, et que j'a conqui la plus haut opinion de secessoris pou rendre , parra science et te travati, a cola hippocratique , inute sa splendeur. Cette letire de Costet, en exposant te jugement qu'un homme clatri portat surd'οuvrago de Mercuriali mεrite aussi attentio par quelques ues ingenteuses surda critique hippocratique Telles soni se remamve surde desorde qui Φgne dans la Collection, et qui om-poche de croire qu'esse ait sit publiee au molns en totalit6 du vivant Hippocrate surdolium de Aliment, qui, rejet par quelque uns, porte cependant inus es caractδres dobriἡvein et d'obscurite attribusis par beaucou de critiques au style 'nippocrate telles sonte ore celles qui concernent las Prenοιioniosaques, et o Cosini Observe avec beaucou do jugement, qu'entre descitvres ou te meme suiet est traii ave les sime pensεes et Iesmemes delatis, une meilleum redaction suppose une post/riorite de composition LedecteurisOuvera developpees dans te chapitres futuantita plupari de ces indications qui ne sontqu'en germe dans la letire de Costei. Grune a suividie prisclesistines ristes de critique que Mercuriali cilla Huni, dans une section les caractores qui ui paruissentdistingueries sicrit hippocratiques labri/veindustyle, uidialecte tonien approchant de l'ancien dialecte attique la gravite et la simplicita duclangage, ensin rabsenc deraisonnementa thωriques dans ces erils Uusagei dialecte lanien ne prouue rien murra'authentieit de telis tetracrit, cara, mi quo , long-tempsapres le temps 'Hippocrate, des sicrivain enoni sal usago , et mur de mldecincti suffit dociter Aretes. Quant uri'absenee de inute Morie, de touis hypothδse les ecriis qui soni don-- comme hippocratiques n'en sontias absolumen dεpourvus. Ainsicles Aphoriamea co tiennent, par exemple, des sentences appuyles surda in rie de la chaleur innie, sura'orga me des humeurs et leur tendance 14'ecoule par telis o telis Oie. Repessenter Hippocrate comme ennemi des doctrines generales, 'est alter a l'eneontre de ce que Platon lubmome en rapporte Leissidecin de Cos pensait, dicte disciple de Socrate, que l'on ne peut connaltrole corps humain sans connalis la nature de l'ensemble des choses Bans Ieriait, it adme init les4εnsiralisations familieres au philosophes de sontemps, et de grandes et belles thεories soni dans seclivres. Gruner, doniae livre est trudit,la' chano notablementes son decla eritique des terita hippocratique qu'en uimini, c'est quIlla essayei'en juge lauruitimit par la nature des notions anatomique quio soni consignεes It regaine ranatomi dissippocrate comme trispe auantae ii est dispost a rejeter comme illεgitime laut sierit o les connaissances de cogenrein quiaque tendue cependant ilis'articule que mutae saltsis claux , entfautres Iamnnes Mancedes muscies et lassistinction des artἡres et des volnes, double notion qu l croit posterieure a Hippocrate. 4'examinera ailleur la siritε de ces assertions. Son intention arat deis,ppuyer fur lectisnoignages des auteum anciens, et ii nomino aussides premiers commentateurs des criis hippoeratiques mais dans te nit, it se homo
presque uniquementis Palladius, Dotion et Galien et iI saut bien, qu'en realita, te minide me de sa critique ne sol pas sorti de eo eerele puisqu'i dit: a bibliothδque d'At i xandrie ayant olybrulle pardos soldata deaule Cisar, n'ωυilias his facile a desinoinmes mal-intentionnis de substitue des livres ameryphes auxis/rit les, ctruit par ri die is Gruneris ubii dans es lignes quo des commentatres anthrieur de deuxeent ans Ll'incendie de la bibliothinue alexandrino, simoignent quo la collection bippo eratique existat des cetis εpoque telle qu'grotien et Galiena connurent plus tard. Gruneris reue De sine la perte des traductions latines d'llippoerato doni Cassiodore aparia comme si te tesnoimage d'Beraclide de Tarento, de lauetas et de Bacchiusin'einit pas prelarabie Disu auste, puisqu'ils ont τε inviron quatre cenis an avant Galien et si uenis avant cassiodore Au reste, Gruneris em unia oetis grave errour a Mercuriali, qui
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diti, dans son Mamen, p. 8 dea dition qu'il a donnωχ'Hippocrate, que les Mures hippoer liques on subi des alterations a moment de la dispersion de la Bibliothἡquei Alexandris. I va vim plus toti it suppos qu'Artemidore Capiton et Dioscoride on substitu destiures apocryphes aucumis ecritid'llippocrate. Cestilen completemen Oublier la traditiondes eorumentateurs et ces deucauleur ne se semientias ainsi mεprisci'ila avalent fulvi de prἡsua successio non interrompue de ecrivains de antiquit qui se soni occupes destiures hippocratiques o comprend par et exemple combie la eritique 'exposce notenant pas minutieusemen compte des trauaux anciens et l'on volt qu'ilis, pasinin inutilo de dresse , comme ed'a Iait, ne liste longue, mala exacte, des commentateum gremd'Hippocrate.
Grune regatae eomme tant d'Hippocrate les livres solvantsci te Serment les Aphoris- mea leuiure de Psir desinauae et des Liauae te Pronossie teri livre des Prorrhetiques; Ieclive de Polyeine u medeeii ieci' et lea livre de Didemias te trait duraesime danaues malauies atquec de Plates de Mis de Fraeturea, ou muriant ii est pari des muscies. Tout te reste, it te rejette di non hippocratique. Il se pose, avec raison, Ia question de fauoi Ροurquoi iij a e tant de divergendes dans Ies jugementa surdes ecriis hippocratiques, mais illae la refout pas La causo de ces dive genees sera expliquee dans te chapitre I, ou e monuerat questa colloction hippocratiquo a te sorme de piaces privees la plupari, derisu iamoimage a moment ou elles furentpis es. Ac mann dans in notice fur rhistoire litiaraire dHippocrate, oumetiant a ranalysorauthenticissi des erit hippocratiques, ' Hout aux reglesio es par Mercuriali et Grane queda tradition et te consentemen des auteum anciens, surae o te traiia. Cooonsentement amnioid tres Mel dans la questio , furtout quan on mutue ratisine do Galienis Bacchius, οὐ Herophile. Cest certainement ulmeilleur uide que les consid rations uries du style et de Ia phrase cara'incertain Soranus, auisu decla vie,'Ripp erate, a euriovis raim de diremaei est possibi d'imiter te style d'un crivain, et que lamomo hommeleutqui sim ecrire de disiarentes manthres.' Grimm qui a traduit les aeuures d'Hippocrate en assemand et doni la traductio est tris est M s'explique alasi surda question dees,uthenticit des disserenis traittaci aes intem, prἡtes et beaucoup 'autres, qui on sicrit et pori des jugementa sur Ies aeuiseid'Hippo, crate, Ont etabit plusleur rἡgles 'apr oesquelles on doli distingue les erita verit tes des apocryphes queiques nes soni precises et bonnes; maliles autres sonid'une applie , tion oujour dissicile fouvent impossible ou soumise Lune laute d'exception et de doutes. Pour moi, la4ἡgle la plus importante est te innoignage des invain postis leurca Hippo, crate tela que Galien et Erotien; temoignage transmis par une tradition orate, o appum, surdes documenta qui existaient alore, et qui n'existent plus arioues'hui. En secondaleu., te conten des erit dot ouo te qu'i donne a cetis preuve inuis a valeur. En cons Qquence cie ne cherche dans lecvεritabies erit d'Rippocrate riemque la descriptionisiis, d'apris nature des maladies ave leur accidenta et leum causes palpabies, description appuyω de sentences onεrales qui en dἡrivent, qui ne se contredisentias, et qui ne sont, risue qu' de rares exceptions Tout eel doit Otre, commera'expositio eu mome, con- forme attemps, present dans uistylo simple, res et expressis, et dans u langage qui, syaecorde ave celui dera'lpoque Aucune hypothδse , aucune subtilitε, quelque antiques, qu'esse solent, aucun traiiument et remω extraordiniares ne dolvent se uouver dans ces, livres. nB'apris es caraciares Grimm reconnali comm authentiques le ' et te III livre des idemies; te traiiatu Pronoatie les Aphoriames une parti consido able ducimit suris Regime danaues maladies atques; et te livre dea'Air, desinavae e de Lieuae Grimm mem- prunt a Gmne son opinio surrae notions anatomiques 'Hippocrate, et, comme lui, ilrrietis Iesmures oudes muscies soni nommia, Oudes arsere soni distinguεes des veines Apartae Minois se tradition l, Ies autem iste que te traducisur asseman expose pretent,
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eomme celles de ses pridε meum, beaveou Ll'arbitraire, et soni furtout aeuiordis tris secondatre. II lautaretver, cil est possitile, a quesque Gose de molns vague, et pou evia demander auctivres hippocratiques eu mines, auxincriis qui en sonides contemporians o qui ne soni venus que peide temps pres, des renseignemens plus praeis. Cette rarie de censeurs descitvres hippocratiques me appelle 'opinion qu'visameux philologue se salini des jugemens qui ne portent que surae style, 'exposition et les pensi d'un auisur. Lemos, Mercuriali, Gruneret Grimm bienisu'on reconnaisse chea eucundoveloppement progressis de la sithode eritique se soni principalement appuyta suriet ordre de ressons; l'insumsance ena-convenablement apprεciee par Richard Benuendansu passage qui trouvera ici naturessemen placeri a critique qui ne 'exerce que surdei, style et te langage dit-il dans la prelam de la Bissertationis illa prouu quera rapitres, qui portentae nom de Phalaris soni apocryphes, est ordinalaement delicate et incertaine , et dipen de notions fugitives. Bes hommes trδs instruits et tres sagaces Ont commis dans ce genre de conjectures, de meprises qui allatent usqu'a ridicule Le grand caliger a, publin quelques iambes commeo Dagmen cholai 'u vieil auisu tragique et quhi, tenati des uret mais eluiae bientot apias avoua a plessanterie, et dἡclara que e versis talent de tui. Boxhomius erivitin commentatre surran petit poeme inutule de ιiιe, qu'il attribu a quelque ancien auteur; mais, ne tarda paca dεωuvri qu'il sitat do, nichel LRospital chancelle de France. Be sorte que siue n'avais pasχ'auis argument, que te styleiour montre la lavssetsi des letum de Phalaris, je''evεrerais satre partager
Sprenget, dans son Apoιορi ι Hippoerate, a sui i ii te ditaui eme, Grune presque pisapas Cependant illa commence a introduire dans la critique hippocratiqueine considerationnouvelle a savol la consideration des doctrines philosophiques essayant de controier parcelle cides doctrines msidicales declivres hippocratiques, et 'sitablis entre ces iures unordrela'anteriorito Cette indication de Sprengel a in apreclud. vivi et dεveloppe par
La suile nieme des autevrs doni j viens d'ex se trδs sommatrement les idges, montroque te cham de la critique hippocratique s'est successivement grandi. Mais e genre derecherches est si minutieux, que les erreur pullulent a cote deci illeures observations j'at rolevsi, et je apporte ici quelques-unes de ces erreurs. Suivant Grunes, Aristote attribue te imite des Chatra a Polybe initation lavsse te mom au cit pararistote est, non dans te livre de Chaira , mais dans elui de la Nature de
Sprenges di qu'illa'est question, che aucumancien ducllure appete de rGage des liqui. des, Hil est clinia Galien solis cellane utre, et par grouen so de utre desinauae. Les quatre livres des maladies Ont, dit-il le temoignage detrouen et de Galien or gratienn'en cite que deux, et Galien nescite nulle paride quatrieme. B'aprhs prengel, Galien assure qu'Aristote a decouver l'aori or Aristote, pariant de ee,aisseau dii lui-meme Veine que quelques-uns appellentinori. II est done vident quiln'aias Ie premier decouverta'aort. 'ailleurs Galien dit Mulement que te aisseau appelaaor par Aristote, rest par d'autres grande artore. Gmne et Sprenge supposent queda sin du traite des chair o des Prineipes, qui, dans quelques editions sorme uichapitre a par intitulo de la te est te livro quo Galien et rautres appellent des Semaines It n'en est rien de Iivre des Semainea ne ensemeias laportio qui est bienis ilement lassi dea'opuscule des Chatra. Sprenget dit que te livre de la Nature dea os est positivement donni par Mistote a Polyhe. Orcle livre deda Naιure des os a te compose aveo de fragment divex , donia'un est pris a Aristoto lui-meme celui de Syennesis de ChyprH; et Ia citation daristoto se rapporte auliis de la Nature de rhomme ce sontria de graves erreum. Gmne et Sprenges, aprἡ tui, disent que is ueste de rAneienne me eine ἡμte plusiones passages dilivre dumiseme, et que, eelutinii'etantias 'Hippocrate, elui-la 'en Mut
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Spon . dans la pressace de ses Aphorismi novi, combat ercuriali, et se moni re beau colapplus facilesque in dernier fur lectitres qu'ont les disserenis livres aratre consideres commeapparienant Hippocrate de remarque dans ceti pinace une erreur considerable Sponi relen queri Piure des Didemies est piae a nombre des livres supposes O protiendit out avtre otioses illait, dans son catalogue descitvres hippocratiques me classe de Melanses, et chst dans ceste classe qu'i range Ies sep tivres de Epidisnies , et non loseptieme.
I trouve aussi une erreur singuliore dans Achermanes, ordina trement si exact. armi los cominentateurs dura livre des Epidemies, it cite uti certain Philistus surcia sol de Galien . O Philistus o Philistes est, non pas uri commentateum, maisin malade doni histoire est
inadvertances, Achermannis V ce commentate ur.
J'ai signat ces erreum de mes prestecesseura, non pou abaisse leuestravat et leve lemie , maisiour montremque dans u cham neu d'observations tout est dissiculte quandie cadi e est trace et rempli, it coule peii de te recusser. M. II. F. in atris, ou discuter rauthentici te desincrits hippoeraliques cia vole ou- verte par prengel La base,' a part a critique est Ia consideration des theories que ren- ferment ces eriis it illingue auiant de classes disserentesinu 'i reconia ait de doctrines pretendant que des doctrines contradictoires ne euvent apparieni au me iue criva in Boplus il les compare avx doctrines philosophique qui, correspondent, et de ceti comparuison , ii ire uno sorte de chronologie relative d'apres laquelle it place te sierit uvant telautre , et apres Platonis Aristote. Ce mode de critique est certainementis poliat de uenouueau et ii ossi edes considerations qui ne duiventias etre negligues M. Lin s montrotros dissicile surdes livres hippocratiquos , et a contraire de se prodecesscur qui soniploinid'enthousiasme Ροur cesicrita, et qui accueillent, ave uno grande facilite, des temoi-gnagos incertainsiourvuriu'il solent favorabies, i est animo,'un scepticisme inexorabio levant tequel la personiae 'Hippocrate est presque essacee o qui du molns ne ui aisse qu'vivain nomisans une euvre essective si quandisiicieti uia regari rapide surdes crita, hippocratiques, di te critique allemand on se demande uel est cet Hippocrate Si on, parte de rauteu du trai te des iri, des auae et des Lievae illa'agiti'un ecrivat clate, et agre te; si ron parte de I'autev du Pronost te et de Aphoriantes, 'un crivati qui, at me libriἡveto et meme l'obscurito de rautev des Epidemies d'vii homine qui est uni, excellent observateur, mais qui laisse mοuri tes malades sans leur rien preferire; duri'aui, tev duraestime danades maladies atques, d'un me lectiqui emptote beaucoup de uisidicat, menis inuetque unimoni sor actiss.
Si , in avait ponitrε plus avant dans le systδme 'Hippocrate, it aurai reconnu quele Pronosti , es Epidemie et te trai te du Risime danaues mala dies atque se tiennent et s'expliquent uni. I'autre Mais fulvon te dans secraisonnementa. Π distingve, dans la Collectio hippocratique, si theories principales, 'apres' quellesil sat si classes d'εcrita, et admet a molns sicautevrs disserenis. Ita premiδre est eelle de la bile et du phlegme elle est ancienne Thucidide en parte, et Aristote di questa division des maladies, fulvant la bile et te phlegme, est familium auxmedecins Platon, dans te Timee, attribue les maladies a ces memes humeum, d'οὐl'on peuteoncluresque les traites, cetis thdorie existe sonides plus anciens. L'Opposition de latile et du phlegme a hi misi de bonne heure la surabondance de latile est la cause des ma- ladies algues; la surabondance diphlegme, des maladies chroniques La premiere est caracterisee par tontine qui est vis et incisis ita seconde par tout ce qui est mo , lache et lent.
Voleides traites dans tesquela M. Lin pretend quer*ne la theorie decla bile et duphlegme,
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ti rexclusion deuoute autre Cessonid'abordam Diuem ies rauteus parte de vomissemens de bile et do phlogine ili' est presque pas question de traiiement lacuneque Galien explique tres mal et qui forme contradictio avecd'auteu du traite dii Regime dans lea maladies uigues . teque emptote beaucou de remedes Celui qui a compos teri et te iri Iivre des idemias a Mide long-tempsa Thasos carri 'docri la constitution atmospherique de Ρlusleursa lances Cominent Hippocrate se trotiverat ii a Thasos . qui avestin temple 'fle cute , inuis aucula temple 'Εsculape, nii'Hygie' es deuxireres soni non pas d'un medecin, inuis dun naturaliste qui observat les maladies et necles traiinitias Ceci estisne singuliere opinio de M. Linx maisci ne m'arrete pas a combarimen delati des assertions doni laresutation sortira de ma propre discussion surd'ensemble des crit hippocratiques. la meme categorie appartient te Pronostre, iure clatret precis Cene parali qu, extrait des olivrages semiotique Silippocrate; 'Rippocrate de Platon, dit M. Linx, aurai donne quotque chose de plus scientisque. Dansleri' livredes Prorrhetiques, Galien releve u solecisme. A cause de cetis laute dolangue et d'autres , plusleur croyalent, non sans aison, ditae mωecin de Pergame , que 'iure,'eini pa d'Hippocrate sa rieueia obscure et recherchee, lectournures singuli res, les epithetes accumulees, les phrases a 'infinitis, metientie livre u eoia des Pr/notionade Coa et dura' clivre des Gidemies L seeonilium des Prorrhetiques ara inutivire aui eur u style simple et clatrae distingue , et a debui, la plainte surd'exageration querou donne a Pronostio, indique une date posterieure. . incremarque que les Aphoriamea contiennent plusleur passages duarait de Air desina uae e de Lieuis que plusleurs autres se trouvent mo a mot dans Ie Pronostie. Ainsioniourrai considerer cette collectio commem extrait des crita hippocratiques; mais enius examinant, on)χεωuvre de plus grandes disserenoes en re Ces disserences soni dans laci ' section, o se trouve la theorie de la turgescence des humeurs et de leur ecoulement. uncienne idee de lamedecine, fulvant M. Link dans Iara ' section, o se trouve ne explication detaille des jοur critiques, indique seulementis une maniere generale dans Iaprecedente dans la δ' qui renserme, surdes salsons et surdes ages des considerations consormes avecua doctrine desupidemies dans la 4', ou ron volt une distinction plus fixe entretes maladies une division entre la bile noire et a bile aune, et que ues expression quisoniblent satre allusion au quatre humeum; dans la 6 et lari', qui rensermentin melangoil'aphorismes doni quelques-uns soni tres-bigarresci par exemple les muet soni facilementat laques de diarrhees rebelles; et avec cette singularite queri plia part sont ranges 'apres loinem mot sol epi, sol Oposoisi sottian. insi, dans te sections de Aphorismes onvolt des disserences qui soni pense qu'elles ne sontii du meme temps, ni du meme auisur; ona remarque une gradation de notions simples a des notions plus exactes tuis des singularites; puis ensin ne sorte 'alliteration. Croire que a distinctio entre la bile anne et a bile noire sol la prouue d'une dato posterie ureis Hippocrate Sest ne a teni compte des textos positiss. Platon parte de Iat,ileioire ei sat rapporteumversi'Aristophane o se trouvent et te nom de cetis humeurotae rappor queri'ancienne pathologie avait suppos entre latile noire etia solle. . Lin range encore, dans la theorie de la bile et du phlegme, te traite dumesim danstes maiadies atques, qui commence commein sali, par une polemique contre les msidecitas est'ecole de Cnide. . in croi qu'il'' avaitias asse d'ecrivains medicauca cette epo-que Our que laesulte 'engageat C douis tui est suggere par 'opinionis il est necles monuments hippocratiques soni generalement plus recent que leur date suppo e Mais ilos certa in queri litterature medicate etai deja ricte avant Hippocrate et de so temps et rien dansa histoiro litte halae de cessiecte recule ne contreditu possibilitei'une polemiqueontre Hippocrate et ranteu de Sentenees enidiennes. M. Link en jugeant te trait des Atra . de Εauae e de Lieuae , trouumque te style est agreablo . inuis que te sitiet est traite ave peti de prosondeur. Il suspecte plusleur passages qui lant allusion a lacili rie des quatro qualites elementatres , par exemple , que la seche-
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resse nuit auceonstitutions hille et qu'elle est utile aux constitutions phlegmatiques 4'ou il resulte que latile est regarde comme chaude et Iethlem comme humide. En consequenoe, it pense que ce trait doli eueiano dans la classe fulvante. Cette deuriem classe compren tes traiies o se trouvent la thoorie des quatre humeum sang bile jaune, bile noire phlegme), et celle des quatre qualites silementatres le chaud lesroid, esee, humide . Suivant M. Linx, cetis theorie appartient exclusivementi Aristote de sorte que laus es trestes o cetis doctrine se rencontre sontiostocleum au ches deI'sicole pωipateticienne Ce sont les trestes de la Naιure de Phomme de la Genisation de a Naιurederensant, dumegime dessens bieniorιanta, dumegime de premier livre excepia de rAιλment, de Asseetion internes des Naιadies de femmea, de la Nature dea femme , dola Maladi saeree, de Masadiea des eune βιιea de la ue des merires , de Remorrho des et dea Fiatuιea Galien ne cesse de repete qu'Aristote a pris a thhime dΗs quatis humeum a Hippocrate. 8οit que ron admette comme Anaxagore divit, quele corps est cο- pose de parties similaires, mitinulanae suppos constitu par te chaud de Iroid, I sec et I Iumide, comme ron pense Chrysippe, inuites Stoiciens, et avant eu Aristote et Thων phraste, et avant eo encore Platon et Hippocrate la symetrie de laus les elementa constitua, Ia sanis. Et aille sci an lisant les eritari Aristote et de Theophraste is te prendrait, Ourdes traiias surda physiologie d'Rippocrate; 'est torioues le roid te chavd cle Me, et rhumide, qui soni agent et patients. Le plus actis est te chaud puis lauroid inut cela alia dit par Rippocrate, puis re te par Aristote. η or, j'a rappeia que te decinde Pergame a tu et consulia undivre curan disciple 'hippoerate avait assemble inutes Iesanciennes theories missicales Bla' donei se tromper fur liquestion de fauoi qui, entro Hippocrate et Aristote, εinitae praeeur et thmprunisur Mais ce qui est completement decisis nise la chronologie quem Lin a uoulu et tir, Sest γ'Aristote lui eme cite u mor aude Polybe, et ce moremi se retrouve dans te traii de Ia Nature deci homme, o ladoctrine des quatre humeum est completemen expossie. La 2 ' classe in s ' theori renserine uisevi traith, eelui de Panetenue me eine. L'au- lauro Haide contre la doctrine des quatre qualites ilementatres, te chaud te se , ledroid I'humide, et ii placo la cause des derangemenis decla sania dans vimelange non convenablederi'amer, du doux, de raere, dea'acerbe, etc. Cesti re du reste bien ait ne eui tred'llippocrate, putriu'il combat uno doctrine dεrivle dela philosophie d'Aristote. Ladoctrine deces qualitas diverses la d irine des quatre qualites manees de qual rellimenta, soni plus vientes que ne te pense M. Linh Galienci, mone sormellenient; voicita prouis qu'iI ne s'estias rompo Platon a dii: aes contraires soni ennemis de Doldiu, haud a,me didoux te sec dea'humide nrat alueum Minoire corys est constituo par lectaud par te me par learoid et para'humide. . Et alueum v Notre rhateu Mant, uniae seu , rea et la terre .st avec rhumide et te sale u semen qu'i melange a Millimenta, et commmcla chai molle et humide , t ailleum: . Bed'humide et dus haud inutine qui linit a I'etat de pureto 'evapore , ais a quo bon4'arroter a Platon 'Anaxagore, plus viein M'nippocrate, sat Magedela doctrine des qualites . et ii parte durare et didense, dismid et dichaud dea'humide et du sec. Em docte e cust dans sesiniis et Alcmωn, da in passage queri, deja rapporte a diit comme l'autev d traiiedo raneienne medeeine, deleur melange convenaiae la condition de la sania. Sprengel penso mat deua d. t. 4 pag. 30xque cetis theorie est de beaveoumposiarieure a Alcmeon mais Heni'autorise a foumonne que Plutaeque ait commis une erreur en rapportant 'opinion du philosopho pythagoricien que rusage de ces theories ait hialamilier aux pythagoriciens et a Mem n .c'est ce qui, tacite, utre te temοignage de Plutarque ditemοignaged'Aristote u Alcmωn, dit Aristote, assum que lallupari des choses humaines se divisent, en deux, Ees, dire en contraires, commode mi et te blanc te doux et Ilamee, te hon, et is minuati, te petit et te grand nsans la dialogue intitula te Sophiate, ou Platon lait interveni des philosophes de recolod'ille, n est remamumqu'un mire on crapporta cette allusion a Archelaus , maiir de S
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erate attribuat rassociation et Ia production de Goses a deux qualitis , 'humide et lessee, o te chaud et te froid. Au reste, Archelaus avait Muten quo te imi et lo chaud sisarta 1'un de I,utre, elatent Ie principera mouvement Parmenide admetini deux qualissis, loehaud et te smid Plutarque rapporte γ' aximἡne salsaliique uirole auriroid et au inaud. Bioone 'Apolloni admettest, que Ierimi et te chaud avalent contribui a lasormation de laterre. Εnfin Zenon d'glω supposait queda nature universelle init eomposte dichaud , ut id, disec et dea'humide, se changeant 1'vidans rautre, e qui est justemen Icthωrie doni M. Lin attribue la priorit4 1 Aristote on volt parietto nu ration, que j'ai a dessetnsaite si dἡinitIω, eo tendes doctrines quem Lin pense si recentes talent anciennes. Tantocles quatre questias dεrivεes des quatre olsimenis chaud amix humido, sed tantot deuiseulement de ces qualitis, tanto d'autres quali quine soni plus derivhes desaelmenis amer doux dens , arein sont employles par des hommes ou contem ratns Bippoerateo plus anciens que tui. Tout cela sorme utensemble donia'antiquit est grande et u serati mome asse difficile d'en signater 'origine dans la philosophie gremue. Je viens de recapitule des opinion qui Ont tenu une grande place da ''antique physi
logie Les qualites, te nom qu'on leur a donnsis, les relesinaeon leue a attribuἡs, auroni parumut ire Obscuria lacteus, qui nj aura que des idem vagum , an aucun landementriel dans robservation Les inhortes tomMes en dimitude, si olles prendisinsi dictia deIeur erreuron'on aucti inseres; mali, si ondes prend du cote de leur εriti, ellas meritent de rauention et esses donnent de I'instruction ea elles monuent comment, uno risine εγque, resprit humatia essayε de moudrea temet problame qui tui est proposi. squalitas, a molnsen physiologie Mntune des solutions de la constitutionis corps vivant Les anciens virent, commedes modernes, quo te corps est compose d lsimenis, diata et is diala Les emendi tiliata furent te seu rair I'ea et Ia terre, commetis soni, denotre temps, 'Orione, 'hydrogone, te carbone, et les autros substances ind
composεes questa chimie a dεcοuvertes Les elaments immsidiat larent te sanx, te phlegmela bile nola cla bile jaune, o Ie ehaud, ledroid cle sec et rhumido , ou ramer, te doux te sala etc. svivant que Ila consid6rait plus particuliarementa Ilsimentarim kliat dansleur rapporta avee les quatre liεments ou dans leum qualitta diverses Be tella sorte que laconception des humeum radicales olides quatilas est,ne idie visitable qui suppose te corps constitue des momes limenta que te reste des choses, et uno hypothMe qui cherehera explique murques millimenta primitis ne cy monuentias en nature. La quatri- thωrie selon I'arrangement dem. Unx, est celle qui considδre te seu commeI'agent universes esse a dans Ia philosophie recque, Bisaclide mur auteur Baaut Train porterae 1 livre dii traii d Regime et te traiia des Prineipea. . Lin dicarior que des passages de ce dernier Ouvrage soni cith par Aristote; te philosophe cite uniassage qui set uve dans te imite de la Naivre de homme, et qu'il attribue a Polybe. s. Lin Moute quele iure des Prine pes 'appartient pas a rippocrate, mais γ'il est tias ancien Cestisne erreur; ear relativement, e Iiure est tres moderne, uiriu'il contient Ia connaissancod'vno thωrie anatomique qu'Aristote revendique comme sienno, a savia que les vaisseauxsanguinion leur origine dans te coeur. La inquiem insiori est celle qui regarde 1'ala commea'agent prinelpat Maraita des Atra et cellii de la μιure des o on με composε par des discipies de cette intorie. La siritine et derniae theorie est celle des catarrhes ou des flux. lle est tres ancienne, dic Linx, mais aussi tris grossiἡre La mauδre morbisque deseen decla tot et se leue Au les diverses parties elle vage 'undieii da in autre et sanis'inquiete des voles de communication, Oncla sest se promener de totis Ies cotis Cest lithεorie la plus naturene, Cest celle duieupla. Beuctratini apparuennent, elui de Lieu dans PMmme, quieontient, en outre, des traces dea' postes des quatre qualitta limentiares, et qui est enconsinuenc post eur 1 Aristote et te traiiε des Glandes, qui reprMente te cerveau commeun organe glanduleux Murnissant aux parties inferieur aes fluides de sep catarrhes ceciest, selon M. Lin , 'une plus ancienne theorie orae eritiques, dans rantiquit/, ont
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regatae unanimement te imit des ιandes comme Mant posterieuris Hippocrate. Sous cecsix division o theories, dit M. Linx, se angen Ies plus grands, es plus important reriis Mippocratiques la Hupari reconnus comm authentiques Nous avons, Lune collectioid'sicrita compose avant te temps ou les sciences et enlr'autres la mede- cine fleurirent a Alexandrie, et decores duiso d'Hippocrate Les doctrines et te styleo soni disserenis, de sorte qu'ilconi a molns si autevrs, parmi lesquelsis peu choisir celui a qui on Oudra accorde ce nom. Ilo a encore, dans la Collection hippocratique , plusteum a uires crita qui ne renuent pas dans une de ces si divisions malitis sonti, armi les molns importanis, et ilis'en est aucu sura'authenticite duque o ii'ait Ha, levet de grandidoutes ii Ilai donno avecthlialu'opinion quem Lin sis forme surries livres hippocratiques; d, es parceris ilis enuisage son sujet fousin nouum potnt de ue et qu'il a cherche a se creer 'autres bases de eritique que celles que ses devincier avalent admises ensuite Parce que son Memoire est tres peu connu en France. Τmis satis positis rendent inadmissiblela theorie de M. Linc: 1 te livre hippocratique u la doctrine des quatre humeum est εtabile est clia par Aristote par consequent cedivre ne peui tre posterieur a philosophe de Stagire 2 Ies qualites lementatres Dold chaud sec humide doni 1'usage dans esecrita des naturalistes, est, fulvant M. Linx, posterieur 1 Aristote se trouvent dans Pl ton, dans Anaxagore, dans Alcmlon , dans Archesaus, dans Anaximene, dans Empedocle, dans Parmεnide, dans Zenonis Elee; es qualites diverses- doux amer acre, etc.), que . Lin croi dejivees et d'un emplo posterieu a Aristote, soni aussi partie des doctrines de Platon, 'Εmpedocle et d'Alcmeon Les texies sontiresic abies. Ilo a de bonites reflexion a latre surdes oeuvres des critique queri viens d'enumerer et ce4'estias sans fruit que nouites aurons parcourues Tousint prosesssiropinion que lacollection hippocratique provient de plusleur mains disserentes j'ai sal voi dans les cha-pitres precedent γ'il en liai ainsi et Ies argumenta de Lemos, demercuriali, de Gruner, de Grinam d'Achermann et de M. Link, conmurent galement a cetis conclusion soli qu'ilsinuoquent rautorite de Galien, soli'u'il signatent Ies variations des anciens temoignages soli'u'iis metiunt en Iumiere les doctrines heterogenes qui figurent. Ce soni autant de Potniuriu'ilcon elabiis, et qu'on ne peu plus negliger; ce sontinuisiit de secours'u'il ont Murnisi'avance a celui qui situdiera apres eucles memes problemes. Je me plais a reconnaltre les lumieres que je leur dois mais chaeuid'euxis sit exclusit dans sonioint de vue, et ne s'est pas asse inquiete de reunt inutes le donnees epars Ροur en laire u corps de doctrine et de critique ures les avolestus, Hestae premier desieque j'at euiolara'avancement de monaravail. Gmne et Grimm onidit que Hippocrate navali pas connuda distinction des artere et des, eines, et que par consequent les trait lauri et init question de cette distinction devalentetre rayesta canon ppocratique Cest ce que Grimm avait oulii exprime en posant mine regie de critique que te langage de tout erit qu'on admetini comme etant,'ssipy crate devait Otre conforme hq'epoque ou avait siculae medeein Cette objectio conduisait amne dissiculte tro serieuse, Dune discussion tro importante pou que e ne lesb suiuisso Pas. En eludiant ceriue les hippocratiques avaienos concernant la distinction des arteres et des veines, 'ai tudio en meme temps 'antique doctrine de l'Origine des viasseaux sanguins dans te coeur, et quelque auires potnis dera'anatomi et de la physiologie anciennes Cetexamen est d'un grand intersit pou la critique de la Collectio hippocratique, et i laurnitdes claries que,ainement on chercherai ailleurs. M. Link, en travaillant a retrouve les anciennes theories de livres hippocratiques, et a latreiove la Collectio hippocratique ce que te disciple 'Aristote, Menon avait ait, dans Sonisiivrage si regrettable Imur inuisu'antiquite medicate, m' conduit a discuter des potnis quo j ii'aurais pacabordes sans cet eveil. Berious ces critiques, ceu qui on et te molias systematiques, ni et aussi ceu quioni commis te molnsi'erreurs. Αinsi te uide ic incilluur est certainemunt Achermann qui